Je suis ECRIVAIN je réponds à vos questions

Le 28 mai 2025 à 22:26:08 :

Le 28 mai 2025 à 22:24:41 :

Le 28 mai 2025 à 22:17:26 :

Le 28 mai 2025 à 22:13:52 :

Le 28 mai 2025 à 22:12:11 :

> Le 28 mai 2025 à 22:08:48 :

> > Le 28 mai 2025 à 22:03:14 :

> > > Le 28 mai 2025 à 21:50:19 :

> > > Pendant ces balades de 20min, qu'observes-tu ? Quel genre de réflexions t'arrive-t-il souvent de faire ?

> > >

> > > + On dit qu'on la physique de ses idées, mais je trouve qu'on a surtout les idées de son physique (déterminisme physiologico-social )

> >

> > J'observe tout : le ciel, la façon dont se battent les fleurs, la démarche des gens dans la rue

> >

> > Je me dis qu'il est beau, le sourire que cette vieille dame offre à son bichon échevelé.

> >

> > Qu'elle est douce, cette pluie qui murmure sur ma nuque.

> >

> > Qu'elle est sage, l'innocence de ces gamins qui pétrissent la boue sans se préoccuper le moins du monde des tracas des adultes

> >

> > Bref, j'essaie d'attraper des pépites de vie. Des tessons de présent, que je garderai avec moi quand il faudra les conjuguer au passé

>

> Pour moi la marque d'un bon écrivain c'est l'authenticité de son regard

> Pas besoin de découvrir quoique ce soit de grandiose, il suffit de parvenir à le vivre intimement, profondément, pour ensuite le transmettre avec nos mots neufs et vivaces

> Quel est selon toi la marque d'un grand écrivain ?

C'est une question assez vaste. Je pense que je considère (subjectif, bien sûr) l'ampleur de l'écrivain est proportionnelle à celle des émotions que je vais vivre, ou digérer, en le lisant.

ça se comprend, et c'est bien naturel
Si j'étais pas dépressif j'écrirais tous les jours. Mais comme mon cerveau est éteint je me contente de rédiger quelques poèmes par-ci par-là, rien de folichon. Tu as tout mon respect

Tu n'as pas eu envie d'essayer à travers la dépression de coucher quelques mots d'une fiction que tu pourrais faire évoluer ?

J'ai été dépressif donc je sais parfaitement que ça n'a rien d'évident, et souvent même rien de faisable, mais je sais qu'à la période où j'avais l'impression que tout le poids du monde s'était condensé autour de mes tripes, écrire quelques mots avait au moins le mérite de me faire ressentir des trucs.

Oui j'écris quand c'est trop lourd, et je ressens ce besoin d'écrire. Depuis gamin j'écris et je dessine
La nature de ma dépression m'empêche de pénétrer profondément dans ma psyché et de retirer quoique ce soit de mes émotions, puisqu'elles sont engourdies, sinon paralysées
Et puis ça fait 10 ans que je suis comme ça, j'en ai 28. ça fait rien

Tu penses quoi de la poésie ?

Courage en tout cas je suis certain que la lumière t'attend au bout du tunnel. Moi ça a duré 7 ans.

J'aime la poésie, mais je n'en écris pas, je suis loin d'être doué

Je t'aime clé

Le 28 mai 2025 à 22:31:52 :

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> > > > Pendant ces balades de 20min, qu'observes-tu ? Quel genre de réflexions t'arrive-t-il souvent de faire ?

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> > > > + On dit qu'on la physique de ses idées, mais je trouve qu'on a surtout les idées de son physique (déterminisme physiologico-social )

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> > > J'observe tout : le ciel, la façon dont se battent les fleurs, la démarche des gens dans la rue

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> > > Je me dis qu'il est beau, le sourire que cette vieille dame offre à son bichon échevelé.

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> > > Qu'elle est douce, cette pluie qui murmure sur ma nuque.

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> > > Qu'elle est sage, l'innocence de ces gamins qui pétrissent la boue sans se préoccuper le moins du monde des tracas des adultes

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> > > Bref, j'essaie d'attraper des pépites de vie. Des tessons de présent, que je garderai avec moi quand il faudra les conjuguer au passé

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> > Pour moi la marque d'un bon écrivain c'est l'authenticité de son regard

> > Pas besoin de découvrir quoique ce soit de grandiose, il suffit de parvenir à le vivre intimement, profondément, pour ensuite le transmettre avec nos mots neufs et vivaces

> > Quel est selon toi la marque d'un grand écrivain ?

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> C'est une question assez vaste. Je pense que je considère (subjectif, bien sûr) l'ampleur de l'écrivain est proportionnelle à celle des émotions que je vais vivre, ou digérer, en le lisant.

ça se comprend, et c'est bien naturel
Si j'étais pas dépressif j'écrirais tous les jours. Mais comme mon cerveau est éteint je me contente de rédiger quelques poèmes par-ci par-là, rien de folichon. Tu as tout mon respect

Tu n'as pas eu envie d'essayer à travers la dépression de coucher quelques mots d'une fiction que tu pourrais faire évoluer ?

J'ai été dépressif donc je sais parfaitement que ça n'a rien d'évident, et souvent même rien de faisable, mais je sais qu'à la période où j'avais l'impression que tout le poids du monde s'était condensé autour de mes tripes, écrire quelques mots avait au moins le mérite de me faire ressentir des trucs.

Oui j'écris quand c'est trop lourd, et je ressens ce besoin d'écrire. Depuis gamin j'écris et je dessine
La nature de ma dépression m'empêche de pénétrer profondément dans ma psyché et de retirer quoique ce soit de mes émotions, puisqu'elles sont engourdies, sinon paralysées
Et puis ça fait 10 ans que je suis comme ça, j'en ai 28. ça fait rien

Tu penses quoi de la poésie ?

Courage en tout cas je suis certain que la lumière t'attend au bout du tunnel. Moi ça a duré 7 ans.

J'aime la poésie, mais je n'en écris pas, je suis loin d'être doué

Je t'aime clé

J'espère que tu arrives aussi à t'aimer un peu dans cette galère

Tu sais si il ya des assistant ou autre qui peuvent me fournir de meilleurs aides

J'ai peur de faire une boule farfelu a la nietzche,hegel,levinas version aldi si tu vois le truc

Parfois je fais lire les début à des connaissances, j'en ai même fais lire un à un dys assé sévère qui correspond au sujet que je traite (pas sa dys) et il arrive à comprendre un minimum et après j'explique les concepte mes termes etc et ça leurs fait sens assé vite après.

Mon but est juste de toucher ceux qui aurons la même sensibilité que moi plus tard et qui vont connaître peut être la même chose que j'ai connu voir un peux plus pire, je veux juste faire le travaille de main tendu comme Arthur Schopenauher la fais pour moi pas plus. ^^

Le 28 mai 2025 à 22:14:19 :

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Le 28 mai 2025 à 22:05:56 :

Le 28 mai 2025 à 22:02:36 :
Actuellement j'écris un essai philosophique existentialiste sur un sujet particulier qui me touche il a 5 chapitre avec 10 sous partie chacune seule le chapitre 1 en dispose de 15 je fais corriger et tend moins abstrait en gardant mon style par chatgpt j'ai l'ambition qui résonne mais j'ai pas encore la réalité en face en ce qui concerne l'édition de livre de philosophie en autodidacte je sais pas laquelle fonctionnerait le mieux si d'autre on eux le même sujet que moi et se sont écrasé.

Faire corriger son texte par Chat GPT est d'une inutilité absolue, par contre

Fais tes erreurs, n'emprunte pas celle des autres que l'IA voudra calquer sur ton projet

Tu es sur ? j'ecris tellement en abstrait parfois que je préfère que l'Ia puisse rendre ce que j'ecris un peux plus compréhensible à la première voire 5 ème lecture du texte il change pas mon style ou autre il le rend plus digeste, sinon tous ce qui est dans mon livre je l'ai écrit l'IA na rien penser pour moi à ma place et je laisserais jamais l'IA faire.

Un conseil si tu as écrit avec ce style : rajoute de la ponctuation

Orhf ne te fatigue pas le taff ma volé toutes mes ponctuation je les retrouve que les week-end têtes reposer face à ma page word, et le lundi face à la boîte mail quand justement j'ai peur de ce que me dira le correcteur ou le collègue d'en face.

Tu sais si il ya des assistant ou autre qui peuvent me fournir de meilleurs aides

Ben... trouve des bêta-lecteurs humains qui aiment la philo

Je vois difficilement comment tu peux te placer dans le prolongement de Schopenhauer sans être lu et critiqué par tes pairs

Le 28 mai 2025 à 17:51:57 :

Le 28 mai 2025 à 17:46:50 :

Le 28 mai 2025 à 17:22:45 :

Le 28 mai 2025 à 17:20:33 :

Le 28 mai 2025 à 17:14:21 :

> Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :

> Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livre

>

> > Le vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.

> > "Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "

> >

> > Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.

> > Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.

> > "Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "

> >

> > Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.

> > "Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "

> >

Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmes

Je te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.

Merci quand même pour ta remarque.

C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?

Ça fait quelques année que j’écris que pour moi , mais la j’ai commencé un livre qu’on va dire de romance de gare ( il faut bien commencer quelque part) une histoire d’amour interdit entre 2 personnes dans un pays ou l’union entre 2 personnes du même sexe n’est pas encore admis par tout le monde, comme ça je peux ajouter des références aux traditions du pays.

Le deuxième je l’ai commencé la semaine passée, il parlera de la vie tumultueuse d’une file qui raconte sa propre vie, mais pour celui-là je ne sais pas encore vraiment vers où je vais aller.

Tu as du courage pour te disperser sur deux projets, respect

Pour revenir sur ce point, pour mon deuxième livre j’écris dans fichier les personnages qui interviennent avec une petite description, ainsi que les moments clés de sa vie, avec de petits résumés si nécessaire, ce qui me permet de ne pas me perdre dans le fil de l’histoire, il me reste plus qu’à faire rentrer les personnages dans l’histoire et relier les différentes parties de sa vie.

Le 29 mai 2025 à 11:23:51 :

Le 28 mai 2025 à 17:51:57 :

Le 28 mai 2025 à 17:46:50 :

Le 28 mai 2025 à 17:22:45 :

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> > Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :

> > Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livre

> >

> > > Le vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.

> > > "Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "

> > >

> > > Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.

> > > Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.

> > > "Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "

> > >

> > > Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.

> > > "Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "

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> Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.

> Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmes

Je te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.

Merci quand même pour ta remarque.

C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?

Ça fait quelques année que j’écris que pour moi , mais la j’ai commencé un livre qu’on va dire de romance de gare ( il faut bien commencer quelque part) une histoire d’amour interdit entre 2 personnes dans un pays ou l’union entre 2 personnes du même sexe n’est pas encore admis par tout le monde, comme ça je peux ajouter des références aux traditions du pays.

Le deuxième je l’ai commencé la semaine passée, il parlera de la vie tumultueuse d’une file qui raconte sa propre vie, mais pour celui-là je ne sais pas encore vraiment vers où je vais aller.

Tu as du courage pour te disperser sur deux projets, respect

Pour revenir sur ce point, pour mon deuxième livre j’écris dans fichier les personnages qui interviennent avec une petite description, ainsi que les moments clés de sa vie, avec de petits résumés si nécessaire, ce qui me permet de ne pas me perdre dans le fil de l’histoire, il me reste plus qu’à faire rentrer les personnages dans l’histoire et relier les différentes parties de sa vie.

C'est une bonne stratégie, qui a ses écueils, mais une bonne stratégie quand même

Le 29 mai 2025 à 20:10:53 :
Une chose pénible : lorsqu'un pan entier d'un manuscrit rédigé dix ans plus tôt s'est perdu, notamment le début. Ton topic me donne envie de le reprendre. Me replonger dans l'atmosphère de ce que j'avais commencé à écrire sera nécessaire pour reconstituer les parties manquantes, ce qui ne sera pas le plus dur car le climat général de l'ouvrage est resté intact en moi. Je te remercie par ailleurs d'avoir initié ce topic très utile.

Pas de quoi !

En soi, c'est toujours un travail de reprendre un manuscrit qui date d'une décennie, même si le texte est complet

Je viens de passer 3 mois à en reprendre un qui ne date que d'il y a 5 ans...

Quelqu'un pour me conseiller un putain de bon bouquin ?

J'accepte TOUT

Le 29 mai 2025 à 21:03:21 :
Quelqu'un pour me conseiller un putain de bon bouquin ?

J'accepte TOUT

Qu'est-ce que tu aimes lire ?

Le 29 mai 2025 à 21:22:48 :
Cicéron a dit : "Rem sectari, non verba." ("S'attacher à la réalité [= au fond des choses], non aux mots."). Je trouve cette sentence dure à appliquer. Je pense qu'il faut avoir passé un certain degré de maîtrise des mots pour pouvoir s'en distancier (dès lors qu'on recherche la qualité stylistique), et je fais là un parallèle avec des arts comme la danse ou encore les arts martiaux : tant que l'esprit est accaparé par l'apprentissage des mouvements, le corps ne peut pas s'exprimer avec une entière liberté. Cicéron maîtrisait parfaitement le latin et le grec, ce qui lui a valu de devenir un orateur et un écrivain parmi les meilleurs de son époque et une référence jusqu'à aujourd'hui. Qu'en penses-tu ?

Là, à brûle-pourpoint, pas grand chose
A part que l'idée est pertinente mais que les contextes historiques et culturels ne sont pas les mêmes

Le 29 mai 2025 à 22:25:12 :
J'ai lu que les écrivains en général travaillaient beaucoup avec le dictionnaire, est-ce aussi ton cas ?

Oui. Dictionnaire (en ligne) + dictionnaire des synonymes à portée pour être sûr de pas dire de la merde.

Le 29 mai 2025 à 22:28:21 :
avec l'anatomie du scénario et le héros aux 1001 visages je suis paré pour écrire une saga monumentale ?

Je n'ai lu ni l'un ni l'autre, même si j'ai celui de Truby dans ma bibliothèque

Le 29 mai 2025 à 22:48:16 Gristhan a écrit :

Le 29 mai 2025 à 22:28:21 :
avec l'anatomie du scénario et le héros aux 1001 visages je suis paré pour écrire une saga monumentale ?

Je n'ai lu ni l'un ni l'autre, même si j'ai celui de Truby dans ma bibliothèque

en soit on apprend pas grand chose la dedans, quand tu commences a analyser toi même les oeuvres qui t'ont plus et celles qui se sont le mieux vendus tu vois des schémas qui se répettent, le monde vivant autour du héros, un monde avec un passé, un héros orphelin qui doit commencer au plus bas pour arriver au plus haut etc...

Le 29 mai 2025 à 22:52:37 :

Le 29 mai 2025 à 22:48:16 Gristhan a écrit :

Le 29 mai 2025 à 22:28:21 :
avec l'anatomie du scénario et le héros aux 1001 visages je suis paré pour écrire une saga monumentale ?

Je n'ai lu ni l'un ni l'autre, même si j'ai celui de Truby dans ma bibliothèque

en soit on apprend pas grand chose la dedans, quand tu commences a analyser toi même les oeuvres qui t'ont plus et celles qui se sont le mieux vendus tu vois des schémas qui se répettent, le monde vivant autour du héros, un monde avec un passé, un héros orphelin qui doit commencer au plus bas pour arriver au plus haut etc...

Après je suppose que ça peut offrir de bons outils pour analyser les structures des livres qu'on lit.