Le 27 mai 2025 à 22:30:23 :
c'est quoi tes auteurs favoris l'op? ou ceux qui t'ont le plus infleucé?
J'aime bien Roy Lewis
Daniel Keyes
Récemment j'ai lu le goncourt de Le Tellier que j'ai beaucoup aimé
En jeunesse/jeune adulte j'aime beaucoup Christelle Dabos.
Le 27 mai 2025 à 22:25:42 :
En tant qu'écrivain, est-ce que tu es parfois frustré devant la qualité des romans qui se vendent le mieux ?
Oui, mais c'est un deuil à faire. Tout comme je suppose que j'ai déjà été "l'auteur-médiocre-mais-qui-marche-mieux" de quelqu'un d'autre... en vrai, il faut accepter qu'on joue à la roulette à chaque fois qu'on écrit un roman
Je pensais surtout à Sally Rooney, l'autrice à la réputation la plus surfaite de ces dernières années
C'est du twilight en plus sophistiqué, et je suppose que la série Netflix avec Paul Mescal n'a fait qu'empirer la situation
Et est-ce que tu connais des écrivains français qui écrivent dans d'autres langues ? Je pense surtout à l'anglais
Non, à part ceux qui sont réellement bilingues. Une règle dans le monde du livre veut qu'on ne puisse écrire (et traduire) que dans sa langue maternelle. Il y a bien sûr des exceptions, notamment pour certaines personnes issues de l'immigration qui vivent dans un pays depuis des décennies...
Mais globalement, c'est rarissime d'écrire dans une langue dans laquelle tu n'as pas grandi.
Ceux que je connais qui s'essaient le plus à l'exercice sont des auteurs de fanfictions érotiques sur Wattpad
Je pensais surtout à Sally Rooney, l'autrice à la réputation la plus surfaite de ces dernières années
C'est du twilight en plus sophistiqué, et je suppose que la série Netflix avec Paul Mescal n'a fait qu'empirer la situation
Sûrement, mais bon, si on commence à s'appesantir sur tous les auteurs dont le sort est injustement plus favorable que le nôtre, on crève de dépression avant 30 ans
Comme je n'avance plus pour le moment avec mon autre histoire, je me suis mis au défit d'écrire une nouvelle histoire, dans un style différent du premier, si des gens aimables pouvaient me donner leur avis ça me plairait
Chapitre 0 - Ça commence mal
Salut.
Je m'appelle Rikako Nanami, mais y’a que ma mère qui m’appelle encore comme ça. Pour le reste du monde, c’est Rika, point.
Je suis née le 28 mars 2002, dans un coin paumé au nord de Kyoto. Ça s’appelle Ine. Un village planté entre les collines et la flotte, avec plus de mouettes que d’habitants.
Mon vieux, Takeshi, était pêcheur. Comme son père. Et le père de son père. Bref, les Nanami sont faits pour crever sur un bateau. Et lui, c’est ce qu’il a fait.
Ma mère, Chizuru, elle tient une petite épicerie au village. Elle parle pas beaucoup, elle compte les pièces et les silences.
Mon frère, Shun, a repris la barque. Il est solide, silencieux, et coincé dans ce décor comme un rocher.
Moi, je suis partie.
Ce livre, c’est pas un journal intime pour chialer dessus.
C’est pas un mélo pour vous tirer une larme.
C’est juste ma vie, comme elle vient.
Avec les tuiles, les bastons, les murs, les départs.
J’ai pas grandi dans un enfer, mais j’ai jamais eu de pause non plus. J’ai toujours eu cette rage douce, ce truc qu’on appelle “rebelle” parce qu’on n’a pas de mot plus propre.
Et ouais, je me planque derrière ça. C’est ma carapace. Mon armure. Mon camouflage.
On commence là.
Si ça sonne mal, tant pis. C’est vrai.
Le 28 mai 2025 à 14:42:40 :
Comme je n'avance plus pour le moment avec mon autre histoire, je me suis mis au défit d'écrire une nouvelle histoire, dans un style différent du premier, si des gens aimables pouvaient me donner leur avis ça me plairaitChapitre 0 - Ça commence mal
Salut.
Je m'appelle Rikako Nanami, mais y’a que ma mère qui m’appelle encore comme ça. Pour le reste du monde, c’est Rika, point.
Je suis née le 28 mars 2002, dans un coin paumé au nord de Kyoto. Ça s’appelle Ine. Un village planté entre les collines et la flotte, avec plus de mouettes que d’habitants.Mon vieux, Takeshi, était pêcheur. Comme son père. Et le père de son père. Bref, les Nanami sont faits pour crever sur un bateau. Et lui, c’est ce qu’il a fait.
Ma mère, Chizuru, elle tient une petite épicerie au village. Elle parle pas beaucoup, elle compte les pièces et les silences.
Mon frère, Shun, a repris la barque. Il est solide, silencieux, et coincé dans ce décor comme un rocher.
Moi, je suis partie.Ce livre, c’est pas un journal intime pour chialer dessus.
C’est pas un mélo pour vous tirer une larme.
C’est juste ma vie, comme elle vient.
Avec les tuiles, les bastons, les murs, les départs.J’ai pas grandi dans un enfer, mais j’ai jamais eu de pause non plus. J’ai toujours eu cette rage douce, ce truc qu’on appelle “rebelle” parce qu’on n’a pas de mot plus propre.
Et ouais, je me planque derrière ça. C’est ma carapace. Mon armure. Mon camouflage.On commence là.
Si ça sonne mal, tant pis. C’est vrai.
Hello.
En général je ne réponds pas à ce genre d'extrait, mais j'ai une question (qui n'a rien à voir avec l'orthographe), est-ce que le français est ta langue maternelle ?
Le 28 mai 2025 à 15:38:45 :
Le 28 mai 2025 à 14:42:40 :
Comme je n'avance plus pour le moment avec mon autre histoire, je me suis mis au défit d'écrire une nouvelle histoire, dans un style différent du premier, si des gens aimables pouvaient me donner leur avis ça me plairaitChapitre 0 - Ça commence mal
Salut.
Je m'appelle Rikako Nanami, mais y’a que ma mère qui m’appelle encore comme ça. Pour le reste du monde, c’est Rika, point.
Je suis née le 28 mars 2002, dans un coin paumé au nord de Kyoto. Ça s’appelle Ine. Un village planté entre les collines et la flotte, avec plus de mouettes que d’habitants.Mon vieux, Takeshi, était pêcheur. Comme son père. Et le père de son père. Bref, les Nanami sont faits pour crever sur un bateau. Et lui, c’est ce qu’il a fait.
Ma mère, Chizuru, elle tient une petite épicerie au village. Elle parle pas beaucoup, elle compte les pièces et les silences.
Mon frère, Shun, a repris la barque. Il est solide, silencieux, et coincé dans ce décor comme un rocher.
Moi, je suis partie.Ce livre, c’est pas un journal intime pour chialer dessus.
C’est pas un mélo pour vous tirer une larme.
C’est juste ma vie, comme elle vient.
Avec les tuiles, les bastons, les murs, les départs.J’ai pas grandi dans un enfer, mais j’ai jamais eu de pause non plus. J’ai toujours eu cette rage douce, ce truc qu’on appelle “rebelle” parce qu’on n’a pas de mot plus propre.
Et ouais, je me planque derrière ça. C’est ma carapace. Mon armure. Mon camouflage.On commence là.
Si ça sonne mal, tant pis. C’est vrai.Hello.
En général je ne réponds pas à ce genre d'extrait, mais j'ai une question (qui n'a rien à voir avec l'orthographe), est-ce que le français est ta langue maternelle ?
Oui, mais j’ai justement décidé d’écrire mon livre en mode rock/punk, c’est une fille rebelle qui raconte sa vie, elle ll’a raconte avec sa maniere de parler dans son quotidiens , c’est pour ça que ça donne ce genre de phrases, au moins ça t’a interpeller, même si c’est pas de la maniere que je voulais.
Édit : je suis la_poetesse, j’ai pas rechange de pseudo pour répondre
Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livre
Le vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
"Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
"Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
"Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "
Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :
Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livreLe vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
"Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
"Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
"Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "
Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmes
Le 28 mai 2025 à 17:14:21 :
Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :
Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livreLe vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
"Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
"Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
"Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmes
Je te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.
Merci quand même pour ta remarque.
Le 28 mai 2025 à 17:20:33 :
Le 28 mai 2025 à 17:14:21 :
Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :
Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livreLe vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
"Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
"Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
"Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmesJe te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.
Merci quand même pour ta remarque.
C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?
Le 28 mai 2025 à 17:22:45 :
Le 28 mai 2025 à 17:20:33 :
Le 28 mai 2025 à 17:14:21 :
Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :
Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livreLe vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
"Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
"Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
"Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmesJe te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.
Merci quand même pour ta remarque.
C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?
Ça fait quelques année que j’écris que pour moi , mais la j’ai commencé un livre qu’on va dire de romance de gare ( il faut bien commencer quelque part) une histoire d’amour interdit entre 2 personnes dans un pays ou l’union entre 2 personnes du même sexe n’est pas encore admis par tout le monde, comme ça je peux ajouter des références aux traditions du pays.
Le deuxième je l’ai commencé la semaine passée, il parlera de la vie tumultueuse d’une file qui raconte sa propre vie, mais pour celui-là je ne sais pas encore vraiment vers où je vais aller.
Le 28 mai 2025 à 16:44:16 :
Le 28 mai 2025 à 15:38:45 :
Le 28 mai 2025 à 14:42:40 :
Comme je n'avance plus pour le moment avec mon autre histoire, je me suis mis au défit d'écrire une nouvelle histoire, dans un style différent du premier, si des gens aimables pouvaient me donner leur avis ça me plairaitChapitre 0 - Ça commence mal
Salut.
Je m'appelle Rikako Nanami, mais y’a que ma mère qui m’appelle encore comme ça. Pour le reste du monde, c’est Rika, point.
Je suis née le 28 mars 2002, dans un coin paumé au nord de Kyoto. Ça s’appelle Ine. Un village planté entre les collines et la flotte, avec plus de mouettes que d’habitants.Mon vieux, Takeshi, était pêcheur. Comme son père. Et le père de son père. Bref, les Nanami sont faits pour crever sur un bateau. Et lui, c’est ce qu’il a fait.
Ma mère, Chizuru, elle tient une petite épicerie au village. Elle parle pas beaucoup, elle compte les pièces et les silences.
Mon frère, Shun, a repris la barque. Il est solide, silencieux, et coincé dans ce décor comme un rocher.
Moi, je suis partie.Ce livre, c’est pas un journal intime pour chialer dessus.
C’est pas un mélo pour vous tirer une larme.
C’est juste ma vie, comme elle vient.
Avec les tuiles, les bastons, les murs, les départs.J’ai pas grandi dans un enfer, mais j’ai jamais eu de pause non plus. J’ai toujours eu cette rage douce, ce truc qu’on appelle “rebelle” parce qu’on n’a pas de mot plus propre.
Et ouais, je me planque derrière ça. C’est ma carapace. Mon armure. Mon camouflage.On commence là.
Si ça sonne mal, tant pis. C’est vrai.Hello.
En général je ne réponds pas à ce genre d'extrait, mais j'ai une question (qui n'a rien à voir avec l'orthographe), est-ce que le français est ta langue maternelle ?
Oui, mais j’ai justement décidé d’écrire mon livre en mode rock/punk, c’est une fille rebelle qui raconte sa vie, elle ll’a raconte avec sa maniere de parler dans son quotidiens , c’est pour ça que ça donne ce genre de phrases, au moins ça t’a interpeller, même si c’est pas de la maniere que je voulais.
Édit : je suis la_poetesse, j’ai pas rechange de pseudo pour répondre
Le souci, je trouve, c'est moins le ton que son irrégularité. C'est l'équivalent d'une inconsistance de jeu pour un acteur. Les formulations ne sont pas forcément orales, mais fautives d'une telle sorte qu'on ne pense pas à une anacoluthe ou à un effet de style. D'où ce décalage qui, s'il représente peut-être les prémices d'un style percutant, semble en l'état assez flottant.
Le 28 mai 2025 à 17:26:08 :
c'est toi l'op qui revient sur le forum une fois par an faire la promo de tes livres claqués sur amazon?
Nope je préserve mon anonymat depuis le début
Le 28 mai 2025 à 17:46:50 :
Le 28 mai 2025 à 17:22:45 :
Le 28 mai 2025 à 17:20:33 :
Le 28 mai 2025 à 17:14:21 :
Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :
Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livre> Le vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
> "Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "
>
> Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
> Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
> "Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "
>
> Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
> "Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "
>
Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmesJe te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.
Merci quand même pour ta remarque.
C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?
Ça fait quelques année que j’écris que pour moi , mais la j’ai commencé un livre qu’on va dire de romance de gare ( il faut bien commencer quelque part) une histoire d’amour interdit entre 2 personnes dans un pays ou l’union entre 2 personnes du même sexe n’est pas encore admis par tout le monde, comme ça je peux ajouter des références aux traditions du pays.
Le deuxième je l’ai commencé la semaine passée, il parlera de la vie tumultueuse d’une file qui raconte sa propre vie, mais pour celui-là je ne sais pas encore vraiment vers où je vais aller.
Tu as du courage pour te disperser sur deux projets, respect
Le 28 mai 2025 à 17:51:57 :
Le 28 mai 2025 à 17:46:50 :
Le 28 mai 2025 à 17:22:45 :
Le 28 mai 2025 à 17:20:33 :
Le 28 mai 2025 à 17:14:21 :
> Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :
> Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livre
>
> > Le vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
> > "Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "
> >
> > Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
> > Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
> > "Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "
> >
> > Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
> > "Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "
> >
Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmesJe te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.
Merci quand même pour ta remarque.
C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?
Ça fait quelques année que j’écris que pour moi , mais la j’ai commencé un livre qu’on va dire de romance de gare ( il faut bien commencer quelque part) une histoire d’amour interdit entre 2 personnes dans un pays ou l’union entre 2 personnes du même sexe n’est pas encore admis par tout le monde, comme ça je peux ajouter des références aux traditions du pays.
Le deuxième je l’ai commencé la semaine passée, il parlera de la vie tumultueuse d’une file qui raconte sa propre vie, mais pour celui-là je ne sais pas encore vraiment vers où je vais aller.
Tu as du courage pour te disperser sur deux projets, respect
Le 28 mai 2025 à 17:51:57 :
Le 28 mai 2025 à 17:46:50 :
Le 28 mai 2025 à 17:22:45 :
Le 28 mai 2025 à 17:20:33 :
Le 28 mai 2025 à 17:14:21 :
> Le 28 mai 2025 à 17:00:13 :
> Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livre
>
> > Le vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
> > "Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "
> >
> > Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
> > Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
> > "Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "
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> > Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
> > "Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "
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Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmesJe te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.
Merci quand même pour ta remarque.
C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?
Ça fait quelques année que j’écris que pour moi , mais la j’ai commencé un livre qu’on va dire de romance de gare ( il faut bien commencer quelque part) une histoire d’amour interdit entre 2 personnes dans un pays ou l’union entre 2 personnes du même sexe n’est pas encore admis par tout le monde, comme ça je peux ajouter des références aux traditions du pays.
Le deuxième je l’ai commencé la semaine passée, il parlera de la vie tumultueuse d’une file qui raconte sa propre vie, mais pour celui-là je ne sais pas encore vraiment vers où je vais aller.
Tu as du courage pour te disperser sur deux projets, respect
Le premier est presque fini, je le laisse juste mijoter encore un peu avant de le conclure définitivement
Le 28 mai 2025 à 17:57:24 :
Le 28 mai 2025 à 17:51:57 :
Le 28 mai 2025 à 17:46:50 :
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> > Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livre
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> > > Le vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
> > > "Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "
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> > > Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
> > > Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
> > > "Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "
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> > > Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
> > > "Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "
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> Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
> Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmes
Je te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.
Merci quand même pour ta remarque.
C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?
Ça fait quelques année que j’écris que pour moi , mais la j’ai commencé un livre qu’on va dire de romance de gare ( il faut bien commencer quelque part) une histoire d’amour interdit entre 2 personnes dans un pays ou l’union entre 2 personnes du même sexe n’est pas encore admis par tout le monde, comme ça je peux ajouter des références aux traditions du pays.
Le deuxième je l’ai commencé la semaine passée, il parlera de la vie tumultueuse d’une file qui raconte sa propre vie, mais pour celui-là je ne sais pas encore vraiment vers où je vais aller.
Tu as du courage pour te disperser sur deux projets, respect
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> > Voilà un texte de mon autre livre, tu peux voir , c’est pas la même façon d’écrire, je me suis mis un défi en écrivant le nouveau livre
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> > > Le vent souffle doucement dehors, emportant des feuilles d'automne contre la fenêtre. Le temps semble suspendu, calme, mais l'atmosphère intérieure est chargée de douceur et d'intimité. Aiki est assise sur le canapé, les mains enroulées autour d'une tasse de thé. Mei, elle, se tient un peu à l'écart, comme si elle s'apprêtait à dire quelque chose qu'elle n'avait pas prévu.
> > > "Tu sais, Aiki... il n'y a pas que toi qui a grandi dans le manque ", dit Mei doucement, ses yeux fixés sur le sol, mais son ton calme et posé. "Je n'ai pas vécu la même chose que toi, mais j'ai aussi eu ce vide. "
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> > > Aiki relève la tête, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce que Mei parle de son passé. Mais elle est prête à écouter, prête à comprendre.
> > > Mei prend une profonde inspiration, se laissant aller dans le flot de ses souvenirs.
> > > "Mes parents m'aimaient. Je le sais, vraiment. Mais... ils travaillaient tout le temps. C'était une époque où leur boulot passait avant tout. Ils faisaient de leur mieux, mais ils étaient souvent absents, et moi je me retrouvais seule à la maison. Ils m'offraient ce qu'ils pouvaient, mais je sentais qu'il y avait un vide. Un espace qu'ils n'avaient pas le temps de remplir. "
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> > > Elle fait une pause, comme si elle se souvenait des longues soirées passées seule dans cette maison trop calme.
> > > "Je passais beaucoup de temps chez ma grand-mère. Elle vivait dans une petite maison à la campagne, avec un jardin plein de fleurs. Là-bas, je recevais tout l'amour qui me manquait à la maison. Elle me racontait des histoires, m'écrivait des lettres, m'embrassait avant de partir à l'école. Elle faisait en sorte que je ne me sente jamais invisible. "
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> Je ne suis pas écrivain mais je trouve que ton texte manque d'action et que tu donnes toutes les informations clairement, le lecteur ne le comprend pas de lui-même.
> Mon exemple est bête mais c'est comme si tu disais "X est méchant" c'est mieux de montrer urn scène où il est méchant et on le comprend de nous-mêmes
Je te comprends, mais c’est une partie de mon livre, c’est normal que si on ne lit pas les pages qui se trouvent avant cette partie on soit perdu, j’avais mis cet extrait pour montrer ma différence d’écriture entre mes deux livres.
Merci quand même pour ta remarque.
C'est normal alors, tu écris des textes de quel genre ?
Ça fait quelques année que j’écris que pour moi , mais la j’ai commencé un livre qu’on va dire de romance de gare ( il faut bien commencer quelque part) une histoire d’amour interdit entre 2 personnes dans un pays ou l’union entre 2 personnes du même sexe n’est pas encore admis par tout le monde, comme ça je peux ajouter des références aux traditions du pays.
Le deuxième je l’ai commencé la semaine passée, il parlera de la vie tumultueuse d’une file qui raconte sa propre vie, mais pour celui-là je ne sais pas encore vraiment vers où je vais aller.
Tu as du courage pour te disperser sur deux projets, respect
Le premier est presque fini, je le laisse juste mijoter encore un peu avant de le conclure définitivement
Quand même ! Perso j'ai mis du temps avant d'y arriver, tu as l'inspiration assez élastique c'est une bonne qualité.
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