[RISITAS] L'Oasis du diable.

CHAPITRE XVII

Il était quatre heures de l'après-midi et cela faisait maintenant deux heures que Delatour et Lenoir cheminaient silencieusement le long de la route qui reliait Hassi Messaoud et Blidet Hamor. Ils ne savaient pas combien de kilomètres ils avaient parcouru, mais la fatigue et la chaleur les ralentissaient considérablement. Le temps était lourd et sec. Le monde semblait plongé dans l'immobilité. Lenoir marmonna :

Cette chaleur... bon sang...

Delatour ne répondit rien. "Les français ne savent pas se taire." songea t-il. Le silence les angoisse. Il les maintient dans l'embarras.
Son esprit était embrumé par de vieux songes, qui suscitaient en lui des sentiments nostalgiques. Il repensait au premier repas qu'il avait partagé avec des collègues anglais, lors d'un séminaire à Londres, il y a de cela de nombreuses années. Il fit beaucoup rire les locaux ce jour là, car il était très bavard et savait animer les discussions avec humour et fluidité. Les anglais le prirent comme un ami mais Delatour était déçu d'eux, car il les trouvait ennuyeux. Il regrettait que les anglais ne sachent pas converser comme les français, et sentait le poids d'un malaise, celui là même que l'on ressent quand nous échangeons avec une personne qui nous est étrangère en tout point et avec qui les discussions semblent interminables et inspides. Alors que tout le monde s'était tu , il osa faire une remarque :

Excusez moi, mais les longs silences, comme ça... ça ne vous embarrasse pas ?

Pourquoi ça ?

Eh bien, cela donne l'impression que vous ne vous aimez pas... que vous ne voulez pas parler.

L'anglais l'observa d'un air stoïque puis lui dit en souriant.

Vous faites erreur... nous trouvons les silences relaxants ici, cela ne nous incommode pas du tout, au contraire.

Delatour rougit en repensant à cette vieille histoire. Cette simple remarque avait suffi à lui faire comprendre que le "besoin de discussion" était bien plus une particularité culturelle propre à la France qu'une loi vraiment universelle. Certains peuples s’accommodaient bien au silence, et le commissaire vécut son séjour en Angleterre comme un soulagement, car il savait qu'il pourrait mieux y assumer son introversion. Mais Lenoir interrompit ses rêveries pour le ramener dans son pays natal.

Vous pensez... vous pensez qu'on a parcouru combien de kilomètres commissaire ?

Je n'en sais rien... et tu sais très bien que je n'en sais rien.

Bon, bon...

Les deux hommes continuaient de marcher, la tête baissée, mais Delatour émit un soupir de soulagement quand il sentit un courant d'air frais. Cela rafraichissait son corps couvert de sueur. Il leva la tête vers le ciel et profita du vent. Mais le courant d'air se changea en bourrasque et il reçut une giclée de sable sur le visage. Il baissa la tête et constata du coin de l’œil qu'une brume de sable se rapprochait d'eux. Il se tourna vers Lenoir, qui regardait dans la même direction, et les deux hommes, instinctivement, se couvrirent les yeux et le nez du mieux qu'ils purent. Ils saccroupirent et tournèrent le dos à la tempête qui les enveloppa entièrement. Ils se maintinrent dans cette position de longues minutes,' en attendant que passe l'intempérie. Leur périple prenait l'allure d'un cauchemar, et cette tempête démoralisait vraiment le commissaire. Les évènements malheureux face auxquels il était impuissant se succédaient. Il se sentait humilié. Il n'avait jamais soupçonné à quel point l'homme était faible face au monde, et ce tourbillon de sable lui semblait vivant désormais. Il était paralysé au milieu de la route et il avait le sentiment qu'un démon débauché s'acharnait à pénétrer son âme. Il tremblait de peur, en attendant que ces mauvaises impressions s'en aillent. Finalement, tout passa. La tempête, les tremblements, l'angoisse. Il se releva d'un air rassuré, puis se tourna vers Lenoir pour s'assurer qu'il allait bien. Mais son collègue avait disparu.

Le 21 juillet 2021 à 23:51:15 :
Il y a un travail de documentation derrière ce portrait de l'Algérie Française ou tu tiens ça de ton entourage

Non, j'ai pas d'algériens mon entourage. Pour les villes j'ai juste cherché sur google map.

Le 22 juillet 2021 à 00:51:29 :
Bonne fic, hâte de voir la suite.

Merci marlou.

Le 22 juillet 2021 à 00:15:40 :

Le 21 juillet 2021 à 23:51:15 :
Il y a un travail de documentation derrière ce portrait de l'Algérie Française ou tu tiens ça de ton entourage

Non, j'ai pas d'algériens mon entourage. Pour les villes j'ai juste cherché sur google map.

C'est moins une question de géographie que d'atmosphère, je trouve le récit plutôt immersif.

Le 21 juillet 2021 à 23:04:55 :

Le 21 juillet 2021 à 15:05:24 :

Le 20 juillet 2021 à 12:49:24 :

Le 20 juillet 2021 à 11:20:29 :
Toutes des djinns

Ahi je retiens cette expression.

Je l'emploierai IRL au risque de bouleverser mes interlocuteurs

Des djeuns ?

Pas vraiment, ou très peu, d'où le probable malaise. Mais j'aime les malaises.

il avait le sentiment qu'un démon débauché s'acharnait à pénétrer son âme

=

Bonne fic clé, j'apprécie.
Delatour et Lenoir me font penser au duo classique de roman policier. Du genre Holmes et Watson, pour ne citer qu'eux. Il y a un exemple chez Balzac qui serait plus ressemblant mais j'ai complètement oublié leur nom.

Le 22 juillet 2021 à 08:27:45 :

Le 22 juillet 2021 à 00:15:40 :

Le 21 juillet 2021 à 23:51:15 :
Il y a un travail de documentation derrière ce portrait de l'Algérie Française ou tu tiens ça de ton entourage

Non, j'ai pas d'algériens mon entourage. Pour les villes j'ai juste cherché sur google map.

C'est moins une question de géographie que d'atmosphère, je trouve le récit plutôt immersif.

Ah bah merci, c'est gentil. Je suis jamais allé en Algérie, donc je ne sais pas d'où vient ce sentiment immersif.

(a moins que ça soit l'Algérie qui soit venue à moi).

Le 22 juillet 2021 à 10:31:13 :

Le 21 juillet 2021 à 23:04:55 :

Le 21 juillet 2021 à 15:05:24 :

Le 20 juillet 2021 à 12:49:24 :

Le 20 juillet 2021 à 11:20:29 :
Toutes des djinns

Ahi je retiens cette expression.

Je l'emploierai IRL au risque de bouleverser mes interlocuteurs

Des djeuns ?

Pas vraiment, ou très peu, d'où le probable malaise. Mais j'aime les malaises.

il avait le sentiment qu'un démon débauché s'acharnait à pénétrer son âme

=

Bonne fic clé, j'apprécie.
Delatour et Lenoir me font penser au duo classique de roman policier. Du genre Holmes et Watson, pour ne citer qu'eux. Il y a un exemple chez Balzac qui serait plus ressemblant mais j'ai complètement oublié leur nom.

Maintenant que tu le dis c'est vrai qu'on peut voir Delatour comme un Sherlock eco plus.

Le 22 juillet 2021 à 10:31:13 :

Le 21 juillet 2021 à 23:04:55 :

Le 21 juillet 2021 à 15:05:24 :

Le 20 juillet 2021 à 12:49:24 :

Le 20 juillet 2021 à 11:20:29 :
Toutes des djinns

Ahi je retiens cette expression.

Je l'emploierai IRL au risque de bouleverser mes interlocuteurs

Des djeuns ?

Pas vraiment, ou très peu, d'où le probable malaise. Mais j'aime les malaises.

En fait je jouais simplement sur la similitude entre "djinns" et "djeuns".
C'est une astuce.

Le 22 juillet 2021 à 11:20:22 :

Le 22 juillet 2021 à 08:27:45 :

Le 22 juillet 2021 à 00:15:40 :

Le 21 juillet 2021 à 23:51:15 :
Il y a un travail de documentation derrière ce portrait de l'Algérie Française ou tu tiens ça de ton entourage

Non, j'ai pas d'algériens mon entourage. Pour les villes j'ai juste cherché sur google map.

C'est moins une question de géographie que d'atmosphère, je trouve le récit plutôt immersif.

Ah bah merci, c'est gentil. Je suis jamais allé en Algérie, donc je ne sais pas d'où vient ce sentiment immersif.

(a moins que ça soit l'Algérie qui soit venue à moi).

On passe vite des sables chauds au verglas sur ce topic.

En fait je jouais simplement sur la similitude entre "djinns" et "djeuns".
C'est une astuce.

Cocasse

(a moins que ça soit l'Algérie qui soit venue à moi).

Cocasse aussi

CHAPITRE XVIII

Delatour continuait de suivre la route. Il voulait crier le nom de son collègue, lui demander où il était passé, mais sa gorge était si sèche qu'il ne trouva pas la force de le faire. Après quelques minutes de marche, il finit par apercevoir une oasis à sa droite, à peut être un kilomètre de distance. Il avait si soif qu'il n'hésita pas à y aller. Il s'élança tout droit en direction de ce qu'il considérait déjà comme la source de son salut. Il souriait un peu, mais il demeurait inquiet pour Lenoir, d'autant qu'il ne comprenait toujours pas la raison de sa disparition. La brume de sable avait beau être épaisse, les vents n'étaient pas assez violents pour emporter un être humain, ce à quoi il faut rajouter le fait que Lenoir n'avait aucune raison de s'éloigner de lui. Sa disparition demeurait un mystère. Quoi qu'il en soit, cela faisait maintenant plusieurs minutes que le commissaire avançait vers l'oasis, et pourtant, celle ci semblait toujours aussi éloignée. Delatour marmonna :

Ce n'est pas possible, elle n'est pas si loin que ça quand même !

Il se retourna pour voir où était la route par rapport à lui, et il fut très surpris de constater qu'une grande distance le séparait de celle ci.

Bon sang, je crois que je poursuis un mirage...

Mais Delatour ne voulait pas renoncer, il avait placé tellement d'espoir dans cette oasis qu'il se refusa à faire demi tour. Il observait les dattiers au loin, et cherchait à se convaincre qu'ils étaient plus proches en les scrutant dans leurs moindres détails. Finalement il décida de reprendre la route, à peu prêt certain qu'il s'était rapproché du point d'eau. Il chemina encore un bon moment ainsi en continuant de se retourner régulièrement. A chaque fois, il constatait que la route était un peu plus éloignée, et à chaque fois, il constatait que l'oasis demeurait toujours aussi lointaine.
Il poursuivit ainsi jusqu'à ce que la route ne soit plus visible du tout. A cet instant, il dut se rendre à une mortelle évidence : il avait poursuivi une chimère, qui continuait de le narguer au fond du désert, immobile.
Soucieux sur l'état de ses forces qui ne faisaient que décroitre, Delatour s'assit quelques minutes pour se reposer, le visage enterré dans les paumes de ses mains. Soudain, une voix féminine le surprit.

Vous vous êtes perdu ?

Delatour releva la tête, ébahi, et constata qu'une berbère était assise à côté de lui. Elle lui reposa la question :

Vous cherchez votre chemin ?

Je... oui, je me suis perdu. Je voulais aller à cette oasis là bas... mais elle était plus loin que ce que je pensais.

Une oasis ? De quelle oasis parlez vous ?

Le commissaire releva la tête et constata que l'oasis avait disparu.

Bon sang... ce n'était qu'un mirage. Je me suis fait avoir comme un bleu.

La femme continuait de l'examiner, d'un air tranquille. Son regard était magnétique, presque effrayant. Sous son voile blanc et rouge s'échappaient quelques mèches de cheveux aussi noirs que ses yeux. Elle lui demanda :

Vous avez soif peut être ?

Oh oui ! Je suis assoiffé ! Si vous pouviez... avoir la charité de m'offrir un peu d'eau... je vous en serais infiniment reconnaissant.

La jeune femme sourit et lui tendit une gourde.

Allez y buvez, je ne manque pas d'eau. Étanchez votre soif.

Merci... merci beaucoup.

Delatour empoigna la gourde et en but la moitié du contenu. Il rendit l'objet à la femme, mais quelque chose l'intriguait quelque peu.

Votre eau... elle a un goût de sel.

C'est normal, ne vous inquiétez pas. Elle reste potable malgré tout.

Le commissaire se sentait mal à l'aise ceci dit, car les yeux de cette inconnue étaient emplis de malice et de voracité. Elle le regardait comme un chat regarde un mulot. Delatour voulut mettre fin à cette rencontre ; alors, sans même chercher à savoir d'où elle venait il lui demanda :

Savez vous où se trouve la ville de Blidet Hamor ? Un ami... un ami m'attend là bas, enfin j'espère.

La jeune femme prit soudain un air plus amical et répondit :

Oh ! Mais elle n'est pas loin vous savez... vous voyez la petite dune là bas ? Celle avec un gros rocher dessus ?

Oui je la vois.

Allez y, escaladez là, et de là haut vous devriez voir la ville normalement.

Vraiment ? Mais je suis tout proche en fait ! Merci beaucoup.

C'était un plaisir. Bon voyage monsieur...

Merci, vous aussi... au revoir.

Delatour avait retrouvé sa vitalité. Il s'élança avec confiance jusqu'en haut de la dune en question et arrivé là haut, il put constater avec bonheur que la ville n'était effectivement plus très loin, à deux ou trois kilomètres tout au plus. Il descendit la dune et se dirigea vers Blidet Hamor

CHAPITRE XVIII

Delatour continuait de suivre la route. Il voulait crier le nom de son collègue, lui demander où il était passé, mais sa gorge était si sèche qu'il ne trouva pas la force de le faire. Après quelques minutes de marche, il finit par apercevoir une oasis à sa droite, à peut être un kilomètre de distance. Il avait si soif qu'il n'hésita pas à y aller. Il s'élança tout droit en direction de ce qu'il considérait déjà comme la source de son salut. Il souriait un peu, mais il demeurait inquiet pour Lenoir, d'autant qu'il ne comprenait toujours pas la raison de sa disparition. La brume de sable avait beau être épaisse, les vents n'étaient pas assez violents pour emporter un être humain, ce à quoi il faut rajouter le fait que Lenoir n'avait aucune raison de s'éloigner de lui. Sa disparition demeurait un mystère. Quoi qu'il en soit, cela faisait maintenant plusieurs minutes que le commissaire avançait vers l'oasis, et pourtant, celle ci semblait toujours aussi éloignée. Delatour marmonna :

Ce n'est pas possible, elle n'est pas si loin que ça quand même !

Il se retourna pour voir où était la route par rapport à lui, et il fut très surpris de constater qu'une grande distance le séparait de celle ci.

Bon sang, je crois que je poursuis un mirage...

Mais Delatour ne voulait pas renoncer, il avait placé tellement d'espoir dans cette oasis qu'il se refusa à faire demi tour. Il observait les dattiers au loin, et cherchait à se convaincre qu'ils étaient plus proches en les scrutant dans leurs moindres détails. Finalement il décida de reprendre la route, à peu prêt certain qu'il s'était rapproché du point d'eau. Il chemina encore un bon moment ainsi en continuant de se retourner régulièrement. A chaque fois, il constatait que la route était un peu plus éloignée, et à chaque fois, il constatait que l'oasis demeurait toujours aussi lointaine.
Il poursuivit ainsi jusqu'à ce que la route ne soit plus visible du tout. A cet instant, il dut se rendre à une mortelle évidence : il avait poursuivi une chimère, qui continuait de le narguer au fond du désert, immobile.
Soucieux sur l'état de ses forces qui ne faisaient que décroitre, Delatour s'assit quelques minutes pour se reposer, le visage enterré dans les paumes de ses mains. Soudain, une voix féminine le surprit.

Vous vous êtes perdu ?

Delatour releva la tête, ébahi, et constata qu'une berbère était assise à côté de lui. Elle lui reposa la question :

Vous cherchez votre chemin ?

Je... oui, je me suis perdu. Je voulais aller à cette oasis là bas... mais elle était plus loin que ce que je pensais.

Une oasis ? De quelle oasis parlez vous ?

Le commissaire releva la tête et constata que l'oasis avait disparu.

Bon sang... ce n'était qu'un mirage. Je me suis fait avoir comme un bleu.

La femme continuait de l'examiner, d'un air tranquille. Son regard était magnétique, presque effrayant. Sous son voile blanc et rouge s'échappaient quelques mèches de cheveux aussi noirs que ses yeux. Elle lui demanda :

Vous avez soif peut être ?

Oh oui ! Je suis assoiffé ! Si vous pouviez... avoir la charité de m'offrir un peu d'eau... je vous en serais infiniment reconnaissant.

La jeune femme sourit et lui tendit une gourde.

Allez y buvez, je ne manque pas d'eau. Étanchez votre soif.

Merci... merci beaucoup.

Delatour empoigna la gourde et en but la moitié du contenu. Il rendit l'objet à la femme, mais quelque chose l'intriguait quelque peu.

Votre eau... elle a un goût de sel.

C'est normal, ne vous inquiétez pas. Elle reste potable malgré tout.

Le commissaire se sentait mal à l'aise. Les yeux de cette inconnue étaient emplis de malice et de voracité. Elle le regardait comme un chat regarde un mulot. Delatour voulut mettre fin à cette rencontre ; alors, sans même chercher à savoir d'où elle venait il lui demanda :

Savez vous où se trouve la ville de Blidet Hamor ? Un ami... un ami m'attend là bas, enfin j'espère.

La jeune femme prit soudain un air plus amical et lui dit :

Oh ! Mais elle n'est pas loin vous savez... vous voyez la petite dune là bas ? Celle avec un gros rocher dessus ?

Oui je la vois.

Allez y, escaladez là, et de là haut vous devriez voir la ville normalement.

Vraiment ? Mais je suis tout proche en fait ! Merci beaucoup.

Elle lui fit un grand sourire, à s'en découvrir les dents, puis répondit :

C'était un plaisir. Bon voyage monsieur...

Merci, vous aussi... au revoir.

Delatour avait retrouvé sa vitalité. Il s'élança avec confiance jusqu'en haut de la dune en question et arrivé là haut, il put constater avec bonheur que la ville n'était effectivement plus très loin, à deux ou trois kilomètres tout au plus. Il descendit la dune et se dirigea vers Blidet Hamor.

Le 23 juillet 2021 à 10:27:40 :
Je sens que c'était pas que du sel dans l'eau...

Ne te pose pas trop de questions.

Le 03 juillet 2021 à 15:11:27 :
Superbe. Je lirai tout ça un peu plus tard crayon.

"gnagna tu dis des trucs mais tu les fais pas"

Mais si je l'ai lu et c'est sympa kheyou. Je trouve que tu es plutôt bien parvenu construire l'atmosphère que tu voulais (enfin je pense) avoir. L'aspect rationnel et la tentation au surnaturel, on oscille entre les deux !

Par contre, ça va pas du tout, il nous faut la suite là crayon.

Le 25 juillet 2021 à 22:35:17 :

Le 03 juillet 2021 à 15:11:27 :
Superbe. Je lirai tout ça un peu plus tard crayon.

"gnagna tu dis des trucs mais tu les fais pas"

Mais si je l'ai lu et c'est sympa kheyou. Je trouve que tu es plutôt bien parvenu construire l'atmosphère que tu voulais (enfin je pense) avoir. L'aspect rationnel et la tentation au surnaturel, on oscille entre les deux !

Par contre, ça va pas du tout, il nous faut la suite là crayon.

Salut marlou.
Oui, je posterai la suite demain, j'ai été assez occupé hier et j'ai nagé dans la boue aujourd'hui, je n'ai rien fait.
Mais merci pour le compliment ceci dit... d'autant qu'on arrive à un point clé du récit...

Le 25 juillet 2021 à 22:47:20 :

Le 25 juillet 2021 à 22:35:17 :

Le 03 juillet 2021 à 15:11:27 :
Superbe. Je lirai tout ça un peu plus tard crayon.

"gnagna tu dis des trucs mais tu les fais pas"

Mais si je l'ai lu et c'est sympa kheyou. Je trouve que tu es plutôt bien parvenu construire l'atmosphère que tu voulais (enfin je pense) avoir. L'aspect rationnel et la tentation au surnaturel, on oscille entre les deux !

Par contre, ça va pas du tout, il nous faut la suite là crayon.

Salut marlou.
Oui, je posterai la suite demain, j'ai été assez occupé hier et j'ai nagé dans la boue aujourd'hui, je n'ai rien fait.
Mais merci pour le compliment ceci dit... d'autant qu'on arrive à un point clé du récit...

Coucou.
Et oui tqt prends ton temps cléyou, surtout que tu sembles vivre des aventures IRL. :eyes: