Le 03 juin 2025 à 21:18:17 :
Le 03 juin 2025 à 21:16:28 :
Le 03 juin 2025 à 12:52:22 :
Faire mes besoins avant de pénétrer les lieux, profiter de ce moment de détente pour apprécier ce qu'a à offrir le monde extérieur, hors de l'orphelinat![]()
J'étais not ready pour le RPpoop
![]()
Et sinon, Auroch a réussi à s'extirper du box, mais comme l'a fait remarquer Conker il serait bien trop risqué d'essayer de sortir du vaste bâtiment directement.
évidement tu ne connais pas tous les plans du bâtiment qui abrite la bibliothèque d'Oxygène mais voila ce que tu as pu voir.
Le 04 juin 2025 à 00:55:58 :
Auroch ce zgeg qui s'est fait cramax en moins de 24H ayahi![]()
J'aimerais bien t'y voir à sa place, à 8 ans
Pour le plan n'hésitez pas à interagir avec, dites-moi "je veux aller à l'endroit X", je vous décrirai ce qu'il y a, j'étendrai le plan si besoin, il n'y aura pas de game over juste des complications intéressantes ou moi qui vous dit au pire "non mais tu peux pas arrête".
- N-n-non tu peux pas
- Zeubi c'est éclaté le JDR on m'a dit que seule mon imagination était la limite
- Bon bah je vais me rendre en disant à l'agent que c'est un zgeg
- Ar-arrête !
Le 04 juin 2025 à 09:40:42 :
Est-ce qu'Auroch sait où se trouvent les employés de la bibliothèque actuellement ? Ca pourrait nous donner une idée des endroits à éviter. Si la voie est libre, j'aimerais savoir ce qu'il y a derrière la première porte réservée aux employés![]()
J'aurais aimé voir ce qui se cache dans la salle de l'harmonie sociale, mais étant donné l'endroit où elle se situe, il vaut mieux éviter![]()
La première porte du staff est derrière un digicode il va falloir ruser pour y aller.
Et l'homme pomme veut semer le chaos à voir si ça fera consensus.
Le 04 juin 2025 à 11:57:42 :
Tant mieux si les minitels prennent feu à cause de la disquette, ça devrait au moins attirer l'attention des employés. Mais il en faut probablement plus pour ce type de la brigade anti liberté. D'ailleurs, ça ne m'étonnerais pas qu'il ait envoyé quelqu'un à l'issue de secours![]()
Tenter d'aller dans l'espace de l'harmonie sociale si la voie est libre. Monter à l'étage si c'est impossible![]()
Un rapide coup d'œil t'indique qu'il n'y a que le concierge vers l'entrée dans le couloir principal.
Reste à voir si vous voulez le tenter ou pas.
Seule agitation dans ces ténèbres : des bâches claquent. C'est le vent.
Alastor descend un chemin de terre, sans panneau, sans lampadaire. C'est peut-être par-là ?
Perdu, il crapahute dans une pelouse traîtresse, sans repère. Il gravit une motte, redescend, mais où est passé l'atelier ? Son pied se bloque, un creux gelé dans la terre. Le jeune Lazuli se dégage, avance, plus loin des détritus maculent l'herbe de graisse.
Quelque chose l'a mordu, on perfore sa chair ! Il relève son pantalon. Une entaille violacée au mollet, incisive et fraîche. C'est une satanée tôle, elle scintille encore de son sang, toute fière de son méfait. C'est infecté ?
Frustré mais prudent Alastor poursuit. Il contourne une flaque glacée, discerne enfin le mur orangé. Sa cheville se plie sur le côté. C'est ce foutu sol irrégulier. Il manque de peu la foulure.
Des grillages, des sacs de chaux empilés, et enfin le parking plat et rassurant.
« Tension de la vigilance », tout citoyen aurait dû se faire pour mission d'investiguer ce bâtiment encore éclairé.
Un raclement de gorge le prend par surprise - Petit ?
Il tressaille. C'est un vieil homme sale, si proche qu'Alastor respire les effluves chargées de sa bouche.
- Prends pas peur, je m'appelle Rusl. Je suis ton copain, aie confiance. Tu devrais pas être ici.
- Vous êtes avec ces gens là ? Vous savez la... La lignée draconique.
Les mots le brûlent, c'est la première fois qu'il l'avoue à voix haute. Mais avouer quoi ? Il n'en sait encore rien. Seule certitude, son état d'esprit depuis l'accident est incompatible avec la citoyenneté.
- Non non non ! J'suis pas avec eux.
Alastor lève un sourcil, méfiant - Avec qui alors ?
- Avec personne, je suis... Je suis un sans-abri.
Il recule. Sur l'affiche il y a un œil fascinant, presque mystique. Pas ce marginal, pas cette odeur de renfermé.
- Ce n'est pas vous que je suis venu trouver.
- Ça ira très bien comme ça, je vous remercie.
- Écoute, tu dois pas rentrer dans l'atelier. C'est pas bon pour toi à l'intérieur. Tu vas avoir des problèmes, avec le gouvernement et tout le toutim.
Un zélé d'Oxygène ? Il profère des menaces à peine voilées. Alastor relève son col, hors de question qu'il se souvienne de son visage.
- Vous ne m'avez jamais vu.
Il s'éloigne à pas mesurés, sans quitter le vieillard des yeux.
Un appel dans le noir, calme, sans la moindre once d'émotion.
- Qui va là ?
La mâchoire du clochard tremblote, ses yeux s'élargissent. Il détale, disparaît comme un cafard glissant sous une plinthe.
Près de l'atelier, dans l'embrasure de la porte, une femme. C'est une Lazuli, elle aussi. Drapée d'une longue tunique au bleu qui accroche la rétine. Juchée sur ses talons aiguilles. Colossale. Comme une statue venue lui dire qu'il ne s'était pas trompé.
Soulagée, elle pose une main sur sa poitrine.
- Ce n'est quoi toi, jeune enfant.
Son esprit rationnel refait surface. Tel un toc. « Prends garde », « Renonce à tes délires ».
Pourtant il brûle de croire.
Alastor est pris de vertige. S'il tarde, elle partira. S'il ne se décide pas, il restera ignorant.
- Parle mon enfant.
Il relève la tête. Sa bouche forme des mots mais rien ne sort.
- V... Vous savez qui je suis ? Vous m'attendiez ? Je m'appelle Alastor, enchantée Madame. Vous voir ici m’emplit de joie.
- En quelque sorte. On m'a parlé de toi.
Curieux. Se pourrait-il que le récit de son évasion se propage ? Ou alors... Alastor remonte encore le fil des événements. Un professeur a tout ébruité : l’accrobranche, Davis, le miracle inexplicable.
- En fait je pense... Que je.... Je suis peut-être différent, des autres. Je viens pour découvrir ma lignée draco...
- Chut... Bien entendu mon enfant, ce n'est simplement pas le lieu pour en dire plus.
- Oui. Nous autres devons faire preuve de prudence, et de mesure.
- Suis-moi, je vais tout t'expliquer.
Enfin. Alastor acquiesce. Elle franchit la porte, il rentre à sa suite.
.
.
.
La souffrance l'élance à nouveau. Ça pulse dans ses nerfs, ceux des bras et jambes irritées.
La faute à cette moquette rugueuse, et à ce sol bétonné plein d'aspérités.
Pour se soulager, Auroch presse ses mains sur ses membres. Il se frictionne en vain, s’écœure, mais recommence.
De l'air chaud souffle sur son corps abîmé, un boîtier rigide rentre dans ses côtes endolories. Coincé là, entre une cloison et une imprimante, il attend.
Ah... S'il pouvait rêvasser comme il l'a toujours fait en classe. Tuer le temps, laisser cette journée maudite disparaître d'elle-même.
Il voudrait raccourcir son calvaire. Mais le temps s'écoule avec rigueur. L'horloge murale le lui rappelle, cliquetis après cliquetis.
Auroch hasarde un regard, son pouls s'emballe. L'agent, il est toujours là, sur son dos comme une tique revancharde. En plus de malmener le personnel il vérifie les issues de secours, renverse les placards.
Tant d'efforts. Déjà, s'exfiltrer du box. Ensuite, franchir cette porte coupe-feu à double-battant. Enfin, finir de ramper derrière cette machine. Pourtant, même ainsi caché, le moment de répit dans la vaste salle de réunion ne durerait pas. Tôt ou tard l'agent le trouverait. Lui, ou des renforts.
Des halos de lumière percent la carcasse métallique de l'imprimante. La partie laide qui ne veut être vue, grouillant de câbles, de mécanismes nus, de poussière.
Assez, il faut bouger.
Auroch se lève et s'extirpe, il se déploie lentement - les fourmis sont partout. Plus un seul usager, tant mieux. Il longe la grande table au son de l'hymne du progrès. Elle résonne dans le vide, pour personne. Bientôt le couloir principal, et son escalier noir.
Il s'y aventure prudemment. Quelqu'un ? Son souffle se coupe. C'est un reflet. Il soupire, ce n'est que le sien dans le carrelage éclatant.
On veut l'empêcher de rejoindre le dehors. Il y a ces odieux tourniquets qui l'ont déjà trahi par une fois. Et le concierge, toujours bien en place. Sans compter ces véhicules. Deux. Immobiles faces à la bibliothèque, en embuscade.
Il glisse à gauche, dos aux obstacles. Direction l'espace de l'harmonie sociale.
Le 04 juin 2025 à 19:23:45 :
Jeter un coup d'œil dans l'espace de l'harmonie sociale puis passer par une fenêtre pour s'enfuir le plus loin possible de cette bibliothèque![]()
Il y a beaucoup de monde dans l'espace de l'harmonie sociale. On dirait qu'un séminaire a lieu. Personne ne fait vraiment attention à toi ici. En revanche les fenêtres sont comme celles de la bibliothèque :
Soit des bais vitrées sans poignées.
Soit elles comportent des poignées mais il va vous falloir une clef pour les déverrouiller.
Le 04 juin 2025 à 19:25:17 :
Le 04 juin 2025 à 19:23:45 :
Jeter un coup d'œil dans l'espace de l'harmonie sociale puis passer par une fenêtre pour s'enfuir le plus loin possible de cette bibliothèque![]()
Il y a beaucoup de monde dans l'espace de l'harmonie sociale. On dirait qu'un séminaire a lieu. Personne ne fait vraiment attention à toi ici. En revanche les fenêtres sont comme celles de la bibliothèque :
Soit des bais vitrées sans poignées.
Soit elles comportent des poignées mais il va vous falloir une clef pour les déverrouiller.
Aller attaquer le concierge pour lui voler les clefs
Comme il peut naviguer incognito Auroch doit en profiter pour choper un max d'informations sur les lieux, possible échappatoires, choses voir personnes d'intérêt, etc... Et qui sait ce séminaire pourrait nous apprendre des choses intéressantes.
Suite à ces observations on pourra établir s'il est préférable de tenter l'évasion ici ou ailleurs
Je suppose également que le fait qu'il y ait un séminaire offre une protection temporaire à Auroch, je vois mal l'agent interrompre ce rassemblement potentiellement important sans suspicion valable, ce ne serait pas dans l'esprit d'oxygène.
Cette petite pause va lui permettre de remettre un peu son corps endolori il en aura besoin pour la suite.
Est-ce qu'Auroch saurait nous dire sur quel sujet porte le séminaire ?
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Le titre : "Auto-essentialisation, ou comment je suis devenu le voisin idéal"
Comme il peut naviguer incognito Auroch doit en profiter pour choper un max d'informations sur les lieux, possible échappatoires, choses voir personnes d'intérêt, etc... Et qui sait ce séminaire pourrait nous apprendre des choses intéressantes.
Très juste, il est possible qu'Auroch puisse en profiter comme un moment de répit.
Je ne suis pas rassuré, je devrais peut-être rester sur le pas de la porte pour m'enfuir au cas où tout cela serait un piège pour me capturer.
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Attention, rester méfiant c'est aussi potentiellement rater des choses. Parfois la demi-mesure ne fait pas que du bien
JvArchive compagnon