Un vieux nerd te renseigne, NKA-Skamp 1700, il y en a 20 000 exemplaires à Oxygène.
Une idée d'où on pourrait en trouver ?
Lui demander si pure clean solution ça lui parle, de même pour le logo.
Demander s'il est possible d'obtenir un objet d'auto défense pour le pire des cas où les forces d'oxygène nous tombent dessus et que la fuite n'est plus possible.
Pour Alastor : pourquoi cette épreuve spéciale pour lui et pas juste le test normal ? Pourquoi pas le test normal avant l'accident de voiture ?
Je comprends que le guide sait plus que nous, mais là j'ai mal et j'ai même pas droit à un mot d'explications...
Réponse dans la sweet
Pour Alastor : pourquoi cette épreuve spéciale pour lui et pas juste le test normal ? Pourquoi pas le test normal avant l'accident de voiture ?
![]()
Je comprends que le guide sait plus que nous, mais là j'ai mal et j'ai même pas droit à un mot d'explications...![]()
Réponses dans la sweet
Le 17 juin 2025 à 10:53:44 :
Réponse dans la sweet
Pour Alastor : pourquoi cette épreuve spéciale pour lui et pas juste le test normal ? Pourquoi pas le test normal avant l'accident de voiture ?
![]()
Je comprends que le guide sait plus que nous, mais là j'ai mal et j'ai même pas droit à un mot d'explications...![]()
Réponses dans la sweet
Alors SWEET VITE MA SWEET BORDEL
Même si je ne souhaite pas m'étaler durant des heures et être ami avec elle, j'aimerais demander à Gisèle d'où elle tire ses informations sur ces "centres", et si elle pouvait me dire ce qu'elle pense d'Oxygène et pourquoi, a-t-elle vécu des choses particulières ?
Les kheys et encore plus le lapin ont déjà demandé tout ce qu'il y a d'intéressant à demander pour Alastor donc rien à demander pour lui.
(j'aurais aimé demander ce qui aurait convaincu le "guide" mais j'aime la direction prise sous l'impulsion du lapin).
Ce qui sera sous les balises spoils sera ironique, merci cher auteur de ne pas l'intégrer à la sweetent
Trisha l'aide à se recoucher.
Trisha, je suis si fatigué et j'ai si mal, tu peux me border ?
Je saurais te remercier et te border à ma façon dans dix ans.
La promesse d'Auroch de fuir dès que possible tombe à l'eau. Trois jours dans ce trou à rat. Trois jours à prendre la poussière. Ce dédale dégoûtant empli de perdants.
Alastor n'est pas en reste. Les tentatives de se lever se soldent par la douleur. Généralisée. Pas encore supportable. Ce bureau propret le retient par la force des choses. Si seulement il pouvait avoir une vraie chambre, même pas d'hôpital. Juste ne plus sentir le sol dur de l'atelier à travers ce matelas dérisoire.
Trisha rentre, une mallette de bandages neufs sous le bras. Son port aristocratique, sa grande taille, elle revêt toujours une autorité. Mais le vernis de son apparence s'écaille après chaque question sans réponse.
« Je t'expliquerai TOUT. »
Alastor a plutôt la furieuse impression de ne savoir rien, le vide, le néant. Si ce n'est qu'il a le courage nécessaire pour laisser une tonne d'acier l’aplatir.
Elle décroche un pansement et nettoie la plaie avec délicatesse. En fuyant son regard.
Alastor laisse flotter l'invitation. Elle est lettre morte. Son thorax bouillonne, et zut pour la politesse.
- Trisha. Hier vous m'avez dit que... Que j'étais le premier à passer par cette épreuve. Avec la voiture.
- Notre guide est clairvoyant, il a un plan pour chacun de nous. C'est ainsi.
- Ça...
Alastor ravale sa phrase, mais rien à faire elle lui brûle la gorge.
- Ça tellement bien fonctionné que je suis là... Convalescent. Et il me tourne le dos, refuse de me parler, de m'apprendre. Moi je suis là comme un idiot, à tourner dans ce lit. On me laisse dans le noir ! Peut-être que pour la prochaine épreuve on me roulera carrément dessus. Voilà ce qu'il manque !
Trisha sort de son rôle. Sa voix est teintée d'agacement.
- Ne sois pas sarcastique ! Nous lui devons le respect.
- Je... Je veux juste comprendre. Qu'est-ce qu'il m'arrive ?
Elle imbibe un coton d'alcool. Trisha tire une moue désapprobatrice. Alastor se fige. Il l'a encore contrarié ? À moins qu'il ne s'agisse de l’antiseptique qui enflamme sa peau.
- Parlez-moi du test du sang. Vos collègues adeptes n'avaient que ça à la bouche.
Elle soupire avant de répondre.
- Nous prélevons une goutte de sang, dans un calice. Le guide projette ensuite son esprit pour y lire une lignée draconique.
Il commence à connaître l'histoire, on lui rabâche assez. Il y a 13 lignées, chacune plus prestigieuse et mystique que la précédente. Les membres du cercle s'en gargarisent. Pourtant, pas une once de lassitude. Alastor les écoute encore et encore, retenant son souffle à chaque fois.
Trisha se revendique de la dixième lignée, les autres orbitent autour de la cinquième. Assez de secrets, elle doit forcément avoir plus de détails.
Mais Trisha conclut.
- C'est suffisant pour le moment.
Évidemment.
Les adeptes complètent souvent avec vanité : seul le guide arbore la prestigieuse treizième lignée. Le pinacle de la puissance arcanique et de la sagesse.
Dans ce cas, pourquoi ne pas montrer ses pouvoirs ?
Trisha remballe son kit de premiers secours. Les déchets, des bandages ensanglantés, sont amoncelés dans un sac plastique. Souillé. Alastor déglutit avec difficulté avant de détourner le regard.
Trisha l'emporte.
Le sac.
Une présomption.
Celle que le guide a déjà procédé au test.
.
.
.
Vwomp. Vwomp. Vwomp. Le bruit est saccadé, persistant. Plus qu'un son c'est une onde qui se propage dans tout ce qui est solide.
Auroch ironise en son for intérieur. Sûrement ces fêlés de marginaux. À coup sûr, ils construisent une machine à voyager dans le temps à l'étage. De toute façon il a déjà lâché l'affaire, cet endroit grouille de choses sans queue-ni-tête.
- Auroch c'est toi qui fais s'boucan ? Je les avais prévenu que ça allait arriver. Un gosse ça peut pas rester calme.
Il connaît son nom ? Le cinglé qui parle de bruit à longueur de journée.
- J'ai pas le temps, tu vois bien que je profite de ma superbe suite. Option vieux caddies qui prennent toute la place. Avec vue sur les seaux mystères.
La main vissée sur le front, les yeux grands ouverts, Auroch laisse couler. Celui-là est un meurtrier, c'est pour ça qu'il s'est reclus de la société. Voisins trop bruyants.
- Aide-moi alors. On va mettre le bruit bruit bruit dans ma boîtounette.
Auroch se relève comme un ressort, c'en est trop Il n'a pas envie d'attendre la nuit qu'il ait fini de bégayer.
- T'inquiète pas l'ami, je vais fouiller les étages inférieurs. Surveille bien par ici, faudrait pas que ce bruit nous file entre les doigts.
Le jeune Séris descend les marches. Généreux, l'escalier cède à ses chaussures quelques morceaux de son corps vermoulu. Combien de temps avant qu'un de ces types ne passe à travers ?
Auroch s'écarte, une pauvrette déambule dans les couloirs sans même le voir. Il n'a pas la moindre envie de respirer ses microbes, ou pire ses effluves. Il n'a pas un moment pour elle.
Le Séris grassouillet dans l'angle de la bibliothèque, c'est une autre paire de manche. Sa passion à lui, c'est le matériel électronique.
Le marginal fourrage dans un tas de livres gondolés par l'humidité.
Auroch se racle la gorge. Il se joint à lui.
Ses mains, ça picote. Il baisse les yeux. Plusieurs scolopendres participent à l'effort de recherche. Des centaines de pattes jouent du xylophone sur ses revers de main.
Auroch ne tremble pas. Le fourmillement continue. Il sourit.
L'autre prend la parole sans lui prêter plus d'attention. Rivé sur sa tâche.
- Si tu trouves un polar ou de la romance je te l'échange contre des nouvelles. Un recueil S.F pas piqué des hannetons.
- Je te parle pas d'un roman d'anticipation, mais de la vraie S.F.
Clin d’œil. Où est-ce qu'il veut en venir ? Il ne lui faut pas longtemps avant de cracher le morceau.
- Ce que j'veux dire c'est que ça parle d'un futur sans Oxygène.
Pas légal ça.
Rien que penser à cela vaudrait d'être privé de repas à l'orphelinat. Alors l'écrire.
Auroch continue à trier les bouquins, machinalement. Le regard dans le vide.
Vwomp, il décroche de ses pensées.
- Ouais, intéressant tout ça... La science-fiction, la technologie... D'ailleurs j'ai entendu dire que certaines disquettes ne pouvaient être lu que par les Minitel les plus récents. C'est dingue.
- Non ça n'a rien de dingue. C'est une histoire de formats, d'encodage, et de vitesse de rotation.
- Et ce genre de différence, ça peut faire brûler l'engin ? Il y a une histoire comme ça. Le gars enclenche la disquette, ça mouline et paf. Tout prend feu.
- N'importe quoi, tes bobards de disquette maudite tu peux te les garder.
- Mais admettons que ça soit vrai. Quel Minitel en aurait assez sous le capot pour lire n'importe quoi ?
- Je te l'ai déjà dit ! C'est pas les performances le problème. Tu confonds tout.
Auroch réprime un rictus de mécontentement. Il prend une inspiration.
Vwomp. Vwomp. Ça ne s'arrête pas.
Il faut réessayer. Auroch manque de se lancer par deux fois. Avant de tout simplement glisser :
- C'est quoi le meilleur matos ?
Le marginal s'interrompt. Ses yeux brillent sous ses lunettes.
- Un modèle sorti il y a 5 cycles. Si puissant qu'aucune machine ne l'a détrôné. Cent fois plus d'opérations à la seconde.
Auroch reste impassible. Dans sa poche la disquette semble lourde comme du plomb. C'est ce modèle qu'il lui faut.
- Eh ben. Le truc c'est que personne a jamais réussi à l'allumer. Il est pas fait pour le réseau électrique, il grille dès qu'on le branche. J'en ai vu des tas, dans les bennes à ordures. Aujourd'hui il est introuvable.
Vwomp. Vwomp. De plus en plus proche.
WVOMP. WVOMP. De plus en plus fort.
Une main sur l'épaule, Auroch se dérobe à ce contact. C'est encore Rusl.
- Quasar ! Fait pas bon d'rester ici, prends tes affaires.
- Je discute. Calme-toi, je gère le vieux.
- S'il te plaît mon copain. Sois pas comme ce p'tit Lazuli, avec les Draco.
Un petit Lazuli ?
- Le soir avant de t'avoir évité la police. J'ai voulu l'aider mais je...
WVOMP.
WVOMP.
WVOMP.
WVOMP.
Le crépuscule glacé filtre par les fenêtres. Elles explosent.
Des fragments de verre éjectés. Partout. Dans les cuirs des canapés. Dans les chairs. Dans les murs.
Les oreilles sifflent. Puis c'est la poussière et les cris.
Un clochard hurle, défiguré. Auroch est près, trop près. Les parties molles de son visage sont lardées d'épine transparentes. Un porc-épique grotesque.
Des hélicoptères gravitent autour du bâtiment. Des ombres fugaces visibles par la façade éclatée.
Auroch court à travers les décombres. Un bloc de béton lui barre la route. Son armature est saillante. Elle manque de lui empaler le ventre.
Il n'est pas blessé. Il peut fuir.
Une poutre affaissée, il contourne. Elle est rompue et montre son cœur fibreux.
Un homme avec un casque anti-émeute bâtonne un sans-abri. Un autre comprime Gisèle sous son bouclier, son arme brandie menace de la frapper au sol.
La fumée rentre dans ses poumons, Auroch crache. En attaquer un dans le dos ? Lancer une pierre ? Non, penser à sa peau.
Quelque chose cloche. L'un d'eux garde son flegme.
Il est avec eux, Polgar.
L'agent.
Auroch reste là, interdit, sans la moindre expression. Son corps fait mal, comme si ses blessures s'étaient rouvertes.
On s'interpose, une figure grise de cendre et piteuse.
Le vieux Rusl est à ses côtés, sa mâchoire tremblote.
Polgar pointe une arme à feu. Son ton fade est presque rassurant.
- Nulle inquiétude citoyen. Oxygène vous traitera tous deux avec le soin nécessaire, et avec une attention égale.
- Ferme bien les yeux mon copain Quasar.
Les paumes de Rusl crépitent. Des étincelles violettes en surgissent. Il tremble toujours mais canalise le feu ancien. L'agent va donner ses ordres, rétablir la paix sociale. Ses hommes s'acharnent sur les corps à terre. Lui, il vise, pour tuer.
Pas assez vite. Des ténèbres envahissent la salle, noires et violettes, tachetées comme le ciel étoilé. Auroch enfouit sa tête dans sa veste. Il tâtonne. C'est son ultime chance.
La promesse d'Auroch de fuir dès que possible tombe à l'eau. Trois jours dans ce trou à rat. Trois jours à prendre la poussière. Ce dédale dégoûtant empli de perdants.
Alastor n'est pas en reste. Les tentatives de se lever se soldent par la douleur. Généralisée. Pas encore supportable. Ce bureau propret le retient par la force des choses. Si seulement il pouvait avoir une vraie chambre, même pas d'hôpital. Juste ne plus sentir le sol dur de l'atelier à travers ce matelas dérisoire.
Trisha rentre, une mallette de bandages neufs sous le bras. Son port aristocratique, sa grande taille, elle revêt toujours une autorité. Mais le vernis de son apparence s'écaille après chaque question sans réponse.
« Je t'expliquerai TOUT. »
Alastor a plutôt la furieuse impression de ne savoir rien, le vide, le néant. Si ce n'est qu'il a le courage nécessaire pour laisser une tonne d'acier l’aplatir.
Elle décroche un pansement et nettoie la plaie avec délicatesse. En fuyant son regard.
Alastor laisse flotter l'invitation. Elle est lettre morte. Son thorax bouillonne, et zut pour la politesse.
- Trisha. Hier vous m'avez dit que... Que j'étais le premier à passer par cette épreuve. Avec la voiture.
- Notre guide est clairvoyant, il a un plan pour chacun de nous. C'est ainsi.
- Ça...
Alastor ravale sa phrase, mais rien à faire elle lui brûle la gorge.
- Ça tellement bien fonctionné que je suis là... Convalescent. Et il me tourne le dos, refuse de me parler, de m'apprendre. Moi je suis là comme un idiot, à tourner dans ce lit. On me laisse dans le noir ! Peut-être que pour la prochaine épreuve on me roulera carrément dessus. Voilà ce qu'il manque !
Trisha sort de son rôle. Sa voix est teintée d'agacement.
- Ne sois pas sarcastique ! Nous lui devons le respect.
- Je... Je veux juste comprendre. Qu'est-ce qu'il m'arrive ?
Elle imbibe un coton d'alcool. Trisha tire une moue désapprobatrice. Alastor se fige. Il l'a encore contrarié ? À moins qu'il ne s'agisse de l’antiseptique qui enflamme sa peau.
- Parlez-moi du test du sang. Vos collègues adeptes n'avaient que ça à la bouche.
Elle soupire avant de répondre.
- Nous prélevons une goutte de sang, dans un calice. Le guide projette ensuite son esprit pour y lire une lignée draconique.
Il commence à connaître l'histoire, on lui rabâche assez. Il y a 13 lignées, chacune plus prestigieuse et mystique que la précédente. Les membres du cercle s'en gargarisent. Pourtant, pas une once de lassitude. Alastor les écoute encore et encore, retenant son souffle à chaque fois.
Trisha se revendique de la dixième lignée, les autres orbitent autour de la cinquième. Assez de secrets, elle doit forcément avoir plus de détails.
Mais Trisha conclut.
- C'est suffisant pour le moment.
Évidemment.
Les adeptes complètent souvent avec vanité : seul le guide arbore la prestigieuse treizième lignée. Le pinacle de la puissance arcanique et de la sagesse.
Dans ce cas, pourquoi ne pas montrer ses pouvoirs ?
Trisha remballe son kit de premiers secours. Les déchets, des bandages ensanglantés, sont amoncelés dans un sac plastique. Souillé. Alastor déglutit avec difficulté avant de détourner le regard.
Trisha l'emporte.
Le sac.
Une présomption.
Celle que le guide a déjà procédé au test.
.
.
.
Vwomp. Vwomp. Vwomp. Le bruit est saccadé, persistant. Plus qu'un son c'est une onde qui se propage dans tout ce qui est solide.
Auroch ironise en son for intérieur. Sûrement ces fêlés de marginaux. À coup sûr, ils construisent une machine à voyager dans le temps à l'étage. De toute façon il a déjà lâché l'affaire, cet endroit grouille de choses sans queue-ni-tête.
- Auroch c'est toi qui fais s'boucan ? Je les avais prévenu que ça allait arriver. Un gosse ça peut pas rester calme.
Il connaît son nom ? Le cinglé qui parle de bruit à longueur de journée.
- J'ai pas le temps, tu vois bien que je profite de ma superbe suite. Option vieux caddies qui prennent toute la place. Avec vue sur les seaux mystères.
La main vissée sur le front, les yeux grands ouverts, Auroch laisse couler. Celui-là est un meurtrier, c'est pour ça qu'il s'est reclus de la société. Voisins trop bruyants.
- Aide-moi alors. On va mettre le bruit bruit bruit dans ma boîtounette.
Auroch se relève comme un ressort, c'en est trop Il n'a pas envie d'attendre la nuit qu'il ait fini de bégayer.
- T'inquiète pas l'ami, je vais fouiller les étages inférieurs. Surveille bien par ici, faudrait pas que ce bruit nous file entre les doigts.
Le jeune Séris descend les marches. Généreux, l'escalier cède à ses chaussures quelques morceaux de son corps vermoulu. Combien de temps avant qu'un de ces types ne passe à travers ?
Auroch s'écarte, une pauvrette déambule dans les couloirs sans même le voir. Il n'a pas la moindre envie de respirer ses microbes, ou pire ses effluves. Il n'a pas un moment pour elle.
Le Séris grassouillet dans l'angle de la bibliothèque, c'est une autre paire de manche. Sa passion à lui, c'est le matériel électronique.
Le marginal fourrage dans un tas de livres gondolés par l'humidité.
Auroch se racle la gorge. Il se joint à lui.
Ses mains, ça picote. Il baisse les yeux. Plusieurs scolopendres participent à l'effort de recherche. Des centaines de pattes jouent du xylophone sur ses revers de main.
Auroch ne tremble pas. Le fourmillement continue. Il sourit.
L'autre prend la parole sans lui prêter plus d'attention. Rivé sur sa tâche.
- Si tu trouves un polar ou de la romance je te l'échange contre des nouvelles. Un recueil S.F pas piqué des hannetons.
- Je te parle pas d'un roman d'anticipation, mais de la vraie S.F.
Clin d’œil. Où est-ce qu'il veut en venir ? Il ne lui faut pas longtemps avant de cracher le morceau.
- Ce que j'veux dire c'est que ça parle d'un futur sans Oxygène.
Pas légal ça.
Rien que penser à cela vaudrait d'être privé de repas à l'orphelinat. Alors l'écrire.
Auroch continue à trier les bouquins, machinalement. Le regard dans le vide.
Vwomp, il décroche de ses pensées.
- Ouais, intéressant tout ça... La science-fiction, la technologie... D'ailleurs j'ai entendu dire que certaines disquettes ne pouvaient être lu que par les Minitel les plus récents. C'est dingue.
- Non ça n'a rien de dingue. C'est une histoire de formats, d'encodage, et de vitesse de rotation.
- Et ce genre de différence, ça peut faire brûler l'engin ? Il y a une histoire comme ça. Le gars enclenche la disquette, ça mouline et paf. Tout prend feu.
- N'importe quoi, tes bobards de disquette maudite tu peux te les garder.
- Mais admettons que ça soit vrai. Quel Minitel en aurait assez sous le capot pour lire n'importe quoi ?
- Je te l'ai déjà dit ! C'est pas les performances le problème. Tu confonds tout.
Auroch réprime un rictus de mécontentement. Il prend une inspiration.
Vwomp. Vwomp. Ça ne s'arrête pas.
Il faut réessayer. Auroch manque de se lancer par deux fois. Avant de tout simplement glisser :
- C'est quoi le meilleur matos ?
Le marginal s'interrompt. Ses yeux brillent sous ses lunettes.
- Un modèle sorti il y a 5 cycles. Si puissant qu'aucune machine ne l'a détrôné. Cent fois plus d'opérations à la seconde.
Auroch reste impassible. Dans sa poche la disquette semble lourde comme du plomb. C'est ce modèle qu'il lui faut.
- Eh ben. Le truc c'est que personne a jamais réussi à l'allumer. Il est pas fait pour le réseau électrique, il grille dès qu'on le branche. J'en ai vu des tas, dans les bennes à ordures. Aujourd'hui il est introuvable.
Vwomp. Vwomp. De plus en plus proche.
WVOMP. WVOMP. De plus en plus fort.
Une main sur l'épaule, Auroch se dérobe à ce contact. C'est encore Rusl.
- Quasar ! Fait pas bon d'rester ici, prends tes affaires.
- Je discute. Calme-toi, je gère le vieux.
- S'il te plaît mon copain. Sois pas comme ce p'tit Lazuli, avec les Draco.
Un petit Lazuli ?
- Le soir avant de t'avoir évité la police. J'ai voulu l'aider mais je...
WVOMP.
WVOMP.
WVOMP.
WVOMP.
Le crépuscule glacé filtre par les fenêtres. Elles explosent.
Des fragments de verre éjectés. Partout. Dans les cuirs des canapés. Dans les chairs. Dans les murs.
Les oreilles sifflent. Puis c'est la poussière et les cris.
Un clochard hurle, défiguré. Auroch est près, trop près. Les parties molles de son visage sont lardées d'épine transparentes. Un porc-épique grotesque.
Des hélicoptères gravitent autour du bâtiment. Des ombres fugaces visibles par la façade éclatée.
Auroch court à travers les décombres. Un bloc de béton lui barre la route. Son armature est saillante. Elle manque de lui empaler le ventre.
Il n'est pas blessé. Il peut fuir.
Une poutre affaissée, il contourne. Elle est rompue et montre son cœur fibreux.
Un homme avec un casque anti-émeute bâtonne un sans-abri. Un autre comprime Gisèle sous son bouclier, son arme brandie menace de la frapper au sol.
La fumée rentre dans ses poumons, Auroch crache. En attaquer un dans le dos ? Lancer une pierre ? Non, penser à sa peau.
Quelque chose cloche. L'un d'eux garde son flegme.
Il est avec eux, Polgar.
L'agent.
Auroch reste là, interdit, sans la moindre expression. Son corps fait mal, comme si ses blessures s'étaient rouvertes.
On s'interpose, une figure grise de cendre et piteuse.
Le vieux Rusl est à ses côtés, sa mâchoire tremblote.
Polgar pointe une arme à feu. Son ton fade est presque rassurant.
- Nulle inquiétude citoyen. Oxygène vous traitera tous deux avec le soin nécessaire, et avec une attention égale.
- Ferme bien les yeux mon copain Quasar.
Les paumes de Rusl crépitent. Des étincelles violettes en surgissent. Il tremble toujours mais canalise le feu ancien. Face à lui l'agent va donner ses ordres, rétablir la paix sociale. Ses hommes s'acharnent sur les corps à terre. Polgar vise, pour tuer.
Pas assez vite. Des ténèbres envahissent la salle, noires et violettes, tachetées comme le ciel étoilé. Auroch enfouit sa tête dans sa veste. Il tâtonne. C'est son ultime chance.
Le 19 juin 2025 à 21:31:58 :
Pas mal d'infos dans cette suite mine de rien![]()
Auroch doit privilégier la fuite mais s'il à l'opportunité d'aider Rusl et/ou mettre un sale coup à Polgar qu'il prenne sa chance par exemple lui mettre sur la gueule un de ces seau dégoûtants.
J'approuve pour les seaux, si l'op les a mis en évidence c'est pour que l'on s'en serve
Cinquième jour, Alastor clopine jusqu'à la fontaine à eau, il soupire. L'atelier est plus que familier à ce point. Sur sa gauche un gros casier gris, il ouvre un tiroir. Des liasses de factures bien serrées l'y attendent, une de plus et c'est tout le meuble qui se démantèle.
Celles-ci c'est pour des essieux. Elle est couvertes de scribouillages : des commentaires laconiques. « Entretien 4 équilibrage huile fuite». Si on y croit très fort c'est presque une formule de magie.
Le Lazuli consulte la fiche avec le visage creusé d'un comptable dépressif. Au moins c'est bien rangé.
Maggie attend près de la porte. Conductrice de bus de jour, adepte dévouée le soir, Maggie ne rate pas une réunion. Tous ne partagent pas sa ponctualité, à commencer par le guide.
- Oh, Alastor, tu peux enfin te tenir debout ? Je t'ai apporté des tortillas, et une salade de tomate. Allons allons ne fais pas ton timide !
- Merci Maggie. Tu es aux petits soins avec moi.
- Bien entendu ! Et puis même Madame Trisha t'a à la bonne. Je prends soin de notre invité im-por-tant.
Alastor rit mais le cœur n'y est pas. Maggie reprend avec le débit rapide qui la caractérise.
- J'ai demandé à tout le monde. Pour le test du sang. Pour savoir si tu l'avais passé à ton insu. On me dit que non, mais moi je pense que tu as du nez. Notre guide est filou parfois, oh je ne devrais pas dire ça ahahah.
- Comme tu dis... J'ai l'impression d'attendre la note au contrôle le plus important de ma vie. Mais avec un professeur qui s'évertue à repousser la date de la correction.
- Tu sais ce que je pense ?
Bien sûr. Mais il la laisse répéter et jacqueter : Maggie est gentille, elle. Et elle ne cache rien. Elle est bien brave.
- Je pense que notre guide est choqué de ce qu'il a lu en toi. Que tu es d'une grande lignée, douzième, treizième qui sait !
Elle pétille en racontant cela, et lui accorde quelques tapes affectueuses à l'avant-bras.
- Mon petit Alastor, je suis sûr que tu as un grand potentiel.
Le compliment lui arrache un sourire poli. Mais ça le fâche sans qu'il sache pourquoi.
- Ce n'est pas à toi de dire ça.
Maggie ne relève pas, elle éponge le bureau avec diligence.
Dans le coin de sa tête, une question refoulée qui glace ses veines et ronge ses nuits. Il l'évite, l'enterre sous les pensées. Rien à faire, elle est revenue.
- Depuis que tu as rejoint le cercle...
- Est-ce que tu as déjà vu une manifestation de quoi que ce soit de surnaturel ?
- Eh bien...
Maggie forme une phrase, s'arrête. Elle joint ses mains et les malaxe de ses pouces, penaude.
- Je n'ai rien vu de mes propres yeux. Mais... Ça ne veut pas dire que c'est faux tu vois ?
Pas ça, tout mais pas ça. Alastor encaisse la nouvelle, il ne cligne même plus des yeux.
- Mais comment savoir si c'est vrai surtout ? Il n'y a pas de preuve. Comment est-ce qu'il a fait sans ça pour que Trisha et les autres le suive !
- Notre guide est plein de belles qualités. Si il dit que ses pouvoirs existent alors j'ai foi en lui ! [Maggie]
- J'ai failli y laisser la peau... Pour ça ?
Maggie embraye sur la confiture de cerise en bredouillant. Garantie sans pépin et sans blasphème.
- Non, non, non. Reprends-toi Maggie, tu as six fois mon âge.
- Je... Je n'aime pas cette discussion. Non vraiment je n'aime pas !
- Regarde la vérité en face. Juste parce qu'il a une voix grave et qu'il articule on va gober tout ce qu'il raconte ?
Alastor poursuit, sans tumulte.
- Il faut qu'on se réveille Maggie, il faut faire marcher notre esprit critique.
- Il... Il se peut qu'il tire un certain gain financier du cercle. Mais... Et quelques autres avantages. Cependant...
Les phrases de Maggie n'en finissent pas de trébucher. Elles déboulent sur l'inéluctable conclusion.
- Imagine si tout ça est juste... Une vaste arnaque.
- Oh... Oh ben ça alors Maggie, quand même pas !
C'est ça un adulte responsable ? Une citoyenne bien insérée ? Il vient de la retourner en une minute. Et dire qu'elle ose se hasarder à parler de potentiel. Alastor se mord l'intérieur des lèvres. Cette femme qui n'a pas le moindre grain d'intuition, elle est aussi perdue que les enfants.
- Il faut qu'on en parle aux autres, Alastor. Ça pourrait être grave.
Le Lazuli hoche la tête lentement, conscient de s'être fait avoir lui-même. Il prend ses béquilles et part à la suite de la vieille femme en plein émoi.
Ils vont d'adeptes en adeptes pour leur apporter le même son de cloche. Pas frontalement, non : tout en insinuations et en inquiétudes légitimes. À chaque fois qu'on partage leurs critiques, le souffle d'Alastor se fait plus court.
De plus en plus ébranlé, il s'adosse. Il s'est toujours vu comme affûté, mais il répète juste les mêmes erreurs qu'eux. Pire. Il est encore plus bête.
Les braillements mécontents franchissent les murs huileux et les carreaux couverts de journaux. C’est la grogne.
Samson est un fidèle, d’ordinaire réservé, du genre qu’on ne remarque pas. Il ne se départ jamais d’une chemise à carreau bien serrée, rentrée dans son jean. Ce n’est plus Samson, c’est un lion, qui mène la meute. Le visage cramoisi, gonflé par sa désinhibition. « Marre du flan ! Nous voulons des réponses ! Avec moi ! ».
On jurerait que l’idée est de lui.
De la lumière, la porte du garage remonte par à-coups, sans cérémonie.
Ils les ont entendu. Quelqu’un arrive.
Samson glapit, même ses jambes veulent rétrograder. Pas possible, il bute sur la foule compacte. Le pauvre bougre tire sur son col. Trisha débarque comme une trombe. Trois enjambées impérieuses, et elle se plante devant Samson le frondeur.
- Qu’est-ce qui bouillonne ici ? Plus rien ? ALORS ? Êtes-vous donc tous devenus muet ?
Alastor est à l’étroit dans cette forêt de guibolles qu’il dépasse à peine. Il pousse d’une épaule, se fait chahuter de l’autre, ricoche sur les torses moites. Écrasés, ses poumons vidés ne produisent pas un son. Au sein du silence une voix geignarde s’élève. Presque le bourdonnement d’une mouche.
- Vas-y Samson, dis lui le fond de ta pensée.
- Euh… C’est qu’avec tout le monde on...
- Dis-lui ses quatre vérités !
Des boutons de pantalons et de vestes s'enfoncent dans le haut de son corps. Son T-shirt colle à sa peau. Alastor suffoque, les vêtements imbibés de sueur. C’est une étuve, une cocotte-minute de transpiration qui ne fait que monter en pression.
Samson brise ses chaînes, ivre de l'influence du groupe.
Trisha s'empourpre. Sa posture est impérieuse, pas de place au doute, elle va le faire disparaître d'une manière ou d'une autre. Ce nabot qu'elle dépasse de deux têtes.
Un claquement. Tous détournent le regard : c'est le palanquin en arrière-plan. Le guide la rappelle à l'ordre, pas de violence, avant haranguer les contestataires.
- Le berger mène les bêtes à la pâture mais ne peut les forcer à brouter. Oui, défier l'autorité est une des leçons que vous vous deviez d'apprendre, par vous-même. Vos actes démontrent l'authenticité de vos lignées Draconiques, d'une probité transcendantale et rarement égalée.
Samson contient ses aboiements, mais reste chauffé à blanc. Une étincelle et ça pourrait repartir. Le guide prolonge sa prêche.
- Vous avez suivi les chemins invisibles des lignes d'énergies Draconiques pour accéder à un nouveau plan d’existence vibratoire. Par la présente et sans délai, chacun d'entre vous s’élève d'un degré dans son éveil.
Des mots circulent. La clameur se fait murmure. la colère devient incertitude.
Alastor se fraie un chemin, déformé comme un poulpe qui s'infiltre à travers un tuyau étroit. Il émerge à peine qu'il entend son voisin bredouiller.
- B-ben... Alors si je suis 6ème lignée je vais devenir 7ème ?
Le Lazuli se fige. Vraiment ? Il en est encore à s'interroger là-dessus ? Le guide a vraiment réussi à les reconquérir avec ce maigre susucre ?
- C'est exact. Réjouissez-vous car vous venez de faire un pas de plus vers une compréhension totale de l'univers, et de vous-même.
Dégoûté, Alastor tousse, pris d'une crise. Il y a un grondement dans sa poitrine, et il refuse de le faire taire.
Et puis quoi ? Laisser Maggie l'oisillon vulnérable en proie à cet escroc ? Voir encore Trisha se gâcher auprès de ce minable ? Il hausse le ton.
- Un bon point pour chacun et tout est pardonné. Est-ce que vous réalisez qu'il vient de vous offrit une promotion pour... Avoir râlé ?
Les messes basses des adeptes ne s'interrompent pas mais changent de couleur. Le guide intervient.
- Les esprits doivent être prêts. Chaque révélation se mérite.
Alastor s'adresse au groupe, il n'a pas de temps à perdre.
- Commençons par la première alors. Quel secret indicible tenez-vous de notre estimé maître ?
Rictus nerveux. Ça gratte les nuques, ça échange des œillades.
Il en rajoute une couche.
- Pas d'inquiétude. Le guide vient de tamponner votre carte de fidélité. Au bout du dixième, une pizza offerte ! Vous pourrez la manger à même le sol en compagnie des barils de peinture et des tâches de cambouis. Entre deux épiphanies spirituelles.
Un rire nerveux. La peur lézarde les esprits.
Samson est blanc calcaire, il bêle.
- C'est qui qu'a raison à la fin ? On y comprend plus rien.
- C'est à vous de décider. Est-ce qu'il faut croire le gars dont on ne connaît pas le visage et qui se contente de reculer l'échéance. Ou la vive impression de s'être fait prendre pour des pigeons sans jamais rien apprendre de valeur ?
Il voit les mâchoires se crisper. Même Trisha ne peut lutter contre le courant.
La foule entoure le palanquin. Les mains s'engouffrent, écartent les rideaux. Ils en extraient le guide. Alastor prête l'oreille à leur déception audible.
- C'est tout ? Il ressemble à Samson.
Le vent tourne à nouveau. Une vraie bourrasque de colère incontrôlable.
Le guide gesticule, retenus de tous les côtés. Il se défend.
- A... Attendez, j'ai une preuve, je vais la montrer tout de suite ! Appuyez sur ce bouton, là-bas.
Les adeptes s'exécutent. Il y a le « PFONM » de vérins pneumatiques, puis un monte-charge se met en action.
Un sombre mugissement s'échappe de la trappe. Il gagne en intensité à mesure que la plate-forme s'arrache des ténèbres.
Son cœur bat à la chamade, Alastor s'avance au plus près.
Trisha bégaie.
- Qu'est... Qu'est-ce que c'est que ça ?
Une lumière, puis une forme. Mouvante. Quelque chose de vivant.
Alastor frémit. Sous des haillons une respiration rauque, puissante comme réacteur d'avion.
Cette vision. Elle fait picoter sa rétine. Le jeune Lazuli plisse les yeux, les protège de la main. Des flamboiements turquoises rayonnent à travers les tissus indigents.
Les poignets cerclés par de lourdes entraves, qui le lient au sol par des chaînes qui grelottent. La masse informe oscille, ploie, elle veut se libérer. Et n'est pas loin d'y parvenir.
« À quoi il joue ce gourou ? »
Les rouages de la mémoire d'Alastor s'emboîtent, tournent.
La réalisation.
Ça le démange. Partout. Il se sent sali.
- Vous... Vouliez faire de moi votre deuxième monstre de foire ?
- Si ça avait marché, avec la voiture. Vous m'auriez exposé comme cette créature ! Un levier supplémentaire pour exploiter ces gens.
Ces gens ? Samson monte dans les tours. C'est de lui qu'on parle, c'est lui qu'on a lésé. Il rugit.
- UNE PREUVE DE RIEN DU TOUT ! On s'en fiche de ton spectacle sons et lumières enfoiré !
Ils accélèrent, les ondoiements turquoises qui dansent sur les murs. Une supplique caverneuse, sinistre, s'élève de la gorge de la créature. «Je m'appelle Ezra Taylor. J'ai une mission. Détachez-moi.»
Le 21 juin 2025 à 22:27:43
Désolé pour la faute chef![]()
Par contre, j'ai jamais regardé/ lu Fairy Tail![]()
A-t-on vraiment besoin d'avoir lu ou regardé Fairy Tail pour connaître Erza et ses arguments très convaincants ?
Par contre je ne détacherais pas Ezra, je le sens moyen là
Je rejoins le lapin, je n'aurais pas dit mieux, en plus avec l'avatar d'Alastor qui montre que c'est dit sur le ton de la colère, parfait
Et je rejoins aussi nanome
Si on peut encore participer pour Auroch, je rejoins Arawn.
Le 19 juin 2025 à 21:31:58 :
Pas mal d'infos dans cette suite mine de rien![]()
Auroch doit privilégier la fuite mais s'il à l'opportunité d'aider Rusl et/ou mettre un sale coup à Polgar qu'il prenne sa chance par exemple lui mettre sur la gueule un de ces seau dégoûtants.
Je pense qu'il faut privilégier la fuite mais vraiment essayer d'aider Rusl le plus possible, ça ne pourra être que bénéfique pour Auroch pour la suite de l'histoire.
Par contre, j'ai raté un épisode ou c'est pas normal ça ?
Auroch c'est toi qui fais s'boucan ? Je les avais prévenu que ça allait arriver. Un gosse ça peut pas rester calme.
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Il connaît son nom ? Le cinglé qui parle de bruit à longueur de journée.
JvArchive compagnon