[NOFAKE] : MORT d'Émile, les GRANDS-PARENTS en GARDE à VUE ! 🤔
On sait si la jardinière élevait des animaux sauvages type aigles ou loups ?
J'ai un grand-père qui avait des sangliers sauvages dans son jardin, sans autorisation préfectorale...
Le 27 mars 2025 à 11:14:04 :
On sait si la jardinière élevait des animaux sauvages type aigles ou loups ?J'ai un grand-père qui avait des sangliers sauvages dans son jardin, sans autorisation préfectorale...
Mais arrêtez avec la piste animale. Tout porte à croire que c'est un homocide d'après le procureur.
Le 27 mars 2025 à 10:48:15 :
Le 27 mars 2025 à 10:46:57 :
Le 27 mars 2025 à 10:45:39 :
La torgnole du grand-pèreÉvidemment mais ils ont dû accorder leurs violons en famille donc tout paraît clean
stop avec cette théorie, faut etre zinzin pour décapiter son gamin mort accidentellement
Oui ça n'a jamais existé dans le monde criminel jean bisounoursin
Le 27 mars 2025 à 11:10:52 :
Maintenant que la famille sait qu'elle est sur écoute c'est terminé, c'était complètement idiot d'en parler Ayaaaaaaaa![]()
Et les 4 pourront plus être placé en garde vue c'est terminé
Ils sont probablement sur écoute depuis longtemps mais la famille et les voisins l'ont surement vu venir à cause du très gros pressing policier mis sur le hameau.
Le 27 mars 2025 à 11:11:49 :
PROCUREUR :Bonjour à tous.
Pour cette conférence de presse, je suis accompagné du colonel Christophe Berthelin, commandant de la section de recherche de la gendarmerie de Marseille, qui est chargé des investigations relatives à la disparition et au décès d'Émile Soleil. Tout ceci sous l'autorité des magistrats instructeurs. Cette prise de parole a pour objet de présenter les dernières évolutions de l'enquête sur les circonstances et les causes du décès d'Émile Soleil, qui a disparu le 8 juillet 2023.
Elle est aussi le moment d'expliciter les actes et opérations réalisés ces derniers jours. Au préalable, je voudrais retracer brièvement la chronologie des événements procéduraux qui ont jalonné l'enquête depuis presque deux ans. Le lendemain de la disparition d'Émile Soleil le 8 juillet 2023, le procureur de la République de Digne ouvrait une enquête en recherche des causes de la disparition de l'enfant de 2 ans et demi.
Les investigations étaient alors confiées à la section de recherche de gendarmerie de Marseille. Le 18 juillet 2023, après plusieurs jours de vaines recherches et d'investigations réalisées avec des moyens massifs et spécialisés, deux juges d'instruction du pôle de l'instruction du tribunal judiciaire d'Aix-en-Provence étaient désignés pour diriger l'enquête.
Le 27 juillet 2023, le parquet d'Aix-en-Provence sollicitait une extension des investigations aux infractions d'enlèvement, de détention arbitraire et de séquestration criminelles. Après plusieurs mois d'enquête, le 28 mars 2024, les magistrats instructeurs procédaient dans le hameau du Haut-Vernet à une mise en situation qui avait pour principal objectif de contextualiser et de matérialiser les déclarations des témoins directs et indirects du réveil de l'enfant après sa sieste jusqu'à l'appel aux forces de l'ordre.
Deux jours plus tard, le 30 mars 2024, un crâne humain était découvert sur un chemin forestier. 150 mètres plus loin, en aval de ce chemin, étaient retrouvés plusieurs effets vestimentaires ayant appartenu à l'enfant Émile Soleil. Depuis cette découverte, les gendarmes qui enquêtent sur commission rogatoire des magistrats instructeurs ont maintenu la cellule d'enquête très active et multiplié les actes d'investigation de toute nature.
À ce stade de mon intervention, je voudrais donner la parole au colonel Berthelin qui va vous détailler le travail réalisé au cours de ces derniers mois, autrement dit depuis la découverte le 30 mars 2024 des effets vestimentaires.
COLONEL BERTHELIN : Les opérations de ces derniers jours s'inscrivent dans le dispositif que nous avons mis en place depuis la disparition d'Émile Soleil. Je rappelle qu'une cellule nationale d'enquête composée d'une quinzaine d'enquêteurs de la gendarmerie nationale, d'analystes criminels et de comportementalistes travaille quotidiennement depuis le mois de juillet 2023, mais plus encore depuis la découverte des restes d'Émile Soleil. Notre démarche consiste à examiner chaque indice, chaque trace physique, chaque trace numérique, chaque signalement, chaque témoignage. Nous allons au bout de chacune de ces investigations en fonction des résultats obtenus.
Nous avons non seulement utilisé les moyens que nous avions ici, les moyens nationaux, mais nous nous sommes aussi appuyés sur l'ensemble des unités de la gendarmerie nationale. 3141 signalements ont été traités. 27 véhicules ont fait l'objet d'analyses en matière de police technique et scientifique. Nous avons procédé à 50 perquisitions judiciaires. Nous avons ratissé près de 285 hectares. Nous avons pu entrer 7450 entités dans nos bases d'analyse criminelle et nous traitons 55 millions de données de communication. Actuellement, nous avons toujours 21 octets qui sont en cours d'analyse.
PROCUREUR : Je voudrais ajouter qu'après la découverte des ossements et des vêtements, nous avons fait appel à diverses disciplines : l'anthropologie, l'anatomie crânio-faciale, la pédopsychiatrie, la génétique, la biologie, l'écologie médico-légale, plus précisément la palinologie, et l'analyse médicale. Les conclusions de ces expertises réalisées sur une durée de plusieurs mois permettent désormais de considérer que les vêtements et les ossements retrouvés ont été transportés et déposés peu de temps avant leur découverte. Elles permettent aussi d'affirmer que le corps de l'enfant ne s'est pas décomposé dans les vêtements retrouvés dans la forêt, de considérer l'hypothèse que le corps n'est pas demeuré au même endroit et dans le même biotope au cours du processus de décomposition et qu'il n'a pas été enfoui. Enfin, elles permettent de caractériser la présence sur le crâne découvert de stigmates anatomiques évocateurs d'un traumatisme facial violent.
Vous aurez compris que les expertises introduisent la probabilité de l'intervention d'un tiers dans la disparition et la mort d'Émile Soleil. Elles ont convaincu le parquet de saisir les juges d'instruction le 19 mars dernier de réquisitions supplétives des chefs d'homicide volontaire et de recel de cadavre.
Vous aurez donc aussi compris que les gardes à vue et auditions de plusieurs témoins de ces deux derniers jours s'inscrivent dans une phase d'enquête où il devenait nécessaire de confronter, d'éclairer et de soumettre aux personnes les plus concernées par la disparition d'Émile les résultats issus de l'ensemble des investigations.
La complexité de l'affaire, l'étendue des questions à poser et la nécessité de prévenir toute concertation imposaient le recours au cadre juridique offert par la garde à vue, notamment la présence de l'avocat et l'enregistrement vidéo des interrogatoires. Autrement dit, les gardes à vue de ces derniers jours s'inscrivent dans une méthode de travail et un programme d'enquête qui se sont déployés dans la durée et sur plusieurs hypothèses de travail.
Elles ne sont certainement pas la traduction d'une décision hâtive liée aux opérations réalisées au Vernet la semaine dernière, qui ont conduit notamment à la saisie d'une jardinière. Cette dernière ne comportait d'ailleurs aucun élément de nature à faire progresser les investigations. Je voudrais terminer cette présentation en rappelant, d'une part, que les quatre personnes placées en garde à vue ont été remises en liberté sans qu'aucune charge ne soit retenue contre elles.
D'autre part, bien que cette phase indispensable à l'économie de l'enquête soit terminée, les juges d'instruction et les enquêteurs restent déterminés à éclairer les circonstances de la disparition et du décès d'Émile Soleil. Je propose maintenant de laisser place à quelques questions. Je vous demanderai de poser des questions courtes et sur un temps relativement bref, puisque nos fonctions habituelles nous appellent par ailleurs.
Je vous remercie.
Question : Vous avez approfondi la piste intrafamiliale lors des gardes à vue. Est-ce une piste définitivement abandonnée ?
Réponse : Vous faites bien de poser cette question. Nous avons effectivement approfondi la piste intrafamiliale à l'occasion des gardes à vue réalisées et des auditions associées. Aujourd'hui, cette phase concernant cette piste se termine. Cela ne signifie pas qu'elle est définitivement fermée. De nouveaux éléments pourraient émerger au cours des investigations futures et prolonger cette piste.
Question : Y a-t-il eu un acte d'enquête déterminant pour cette piste ?
Réponse : Non, aucun acte particulier n'a été plus déterminant que les autres dans l'approfondissement de cette piste. Tous les éléments recueillis ont été pris en compte dans le cadre des investigations.
Question : Pouvez-vous nous en dire plus sur le déroulement des gardes à vue ?
Réponse : Les gardes à vue ont été menées conformément aux règles de procédure pénale, qui s'imposent à nous. Les personnes placées en garde à vue ont répondu aux questions posées. Ces interrogatoires ont permis d'éclaircir certains éléments significatifs pour faire avancer l'enquête.
Question : Pourquoi avoir exploré la piste intrafamiliale ?
Réponse : Les membres de la famille étaient présents au moment de la disparition de l'enfant et ont réagi immédiatement après celle-ci. Il était donc nécessaire de comprendre ces réactions à la lumière des relations et des liens qui unissent les membres de cette famille.
Question : Pourquoi avoir retenu la qualification d'homicide volontaire ?
Réponse : Cette qualification a été choisie à la lumière des derniers résultats d'expertise. Elle n'exclut pas définitivement l'hypothèse d'un homicide involontaire, mais les éléments du dossier favorisent actuellement cette hypothèse plus grave.
Question : Pourquoi les gardés à vue ont-ils été remis en liberté ?
Réponse : À l'issue des gardes à vue et après analyse des éléments réunis, les charges n'étaient pas suffisantes pour conduire à une mise en examen quelconque dans ce dossier.
Question : Pouvez-vous évoquer le statut juridique des personnes interrogées ?
Réponse : Aucun témoin assisté n'a été désigné par le magistrat instructeur pour le moment. Les témoins entendus l'ont été sous le statut d'audition libre, sans contrainte.
Question : Combien de temps ont duré les gardes à vue ?
Réponse : Les gardes à vue ont duré entre 44 et 46 heures environ. Les déclarations recueillies feront désormais l'objet d'une analyse minutieuse pour éclairer ou privilégier d'autres pistes.
Dernière question : Y a-t-il un lien entre un prêtre et cette affaire ?
Réponse : Je ne fais pas le lien pour l'instant entre un prêtre et cette affaire. Je ne souhaite pas répondre sur ce point.
Merci
Le 27 mars 2025 à 11:16:08 :
Le 27 mars 2025 à 11:10:52 :
Maintenant que la famille sait qu'elle est sur écoute c'est terminé, c'était complètement idiot d'en parler Ayaaaaaaaa![]()
Et les 4 pourront plus être placé en garde vue c'est terminé
Ils sont probablement sur écoute depuis longtemps mais la famille et les voisins l'ont surement vu venir à cause du très gros pressing policier mis sur le hameau.
Du coup la c'est mort ils feront jamais de faux pas ou de bourde
LA GARDE À VUE N'A SERVIE À RIEN
LES JOURNAUX FAN DU DRAMA EN PLS
Le 27 mars 2025 à 11:02:19 :
Ils ont parlé du loup sérieux ?
Surtout que ça laisse des traces les animaux
Le 27 mars 2025 à 11:17:21 :
Le tonton qui a dit que c’était certain car Emile était intenable - étrange remarque quand ton petit neveu de 2ans est introuvable depuis des heures au milieu de la pampa par 40degres…
Comment ça?
On oublie beaucoup trop souvent que l'indice principal = le tueur est un expert en survie qui a effacé toute trace de son passage dans la nature.
Candidat de Koh Lanta et éleveur d'aigles à Perpignan (à 10 minutes en voiture du Vernet).
Expert en survie, très à l'aise dans les milieux hostiles type jungle ou forêt, il aurait eu aucune difficulté à effacer ses traces et à déplacer un corps sans se faire repérer.
Pourquoi les éleveurs d'animaux sauvages ne sont pas suspectés ?
Qu'est-ce qu'Ugo L. faisait le jour de l'enlèvement ? Où étaient ses animaux ?
Le 27 mars 2025 à 11:17:19 :
LA GARDE À VUE N'A SERVIE À RIENLES JOURNAUX FAN DU DRAMA EN PLS
La PLS c'est surtout pour les enquêteurs qui incriminent les gardés à vue pour "homicide volontaire" et "recel de cadavre". Pour au final les relâcher comme des innocents.
Le 27 mars 2025 à 11:15:48 :
Souvent dans ces enquêtes on se rend compte des années plus tard que les flics ont laissés des trous béants dans la procédure, ou qu'ils écartés des pistes sans raison apparente![]()
Déjà la randonneuse n'aurait jamais dû être libre des le moment où cette tarax ramène un crâne dans son sac à la gendarmerie.
Je veux bien qu'elle ait eu peur que ces ossements soient déplacé m'enfin on est en 2k25, tout les boomers on des téléphones.
Peut être qu'elle est complice de la famille vu qu'elle n'était pas sous surveillance ? Ils auraient dû la cuisiner les enquêteurs.
Le 27 mars 2025 à 11:20:07 :
Le 27 mars 2025 à 11:17:19 :
LA GARDE À VUE N'A SERVIE À RIENLES JOURNAUX FAN DU DRAMA EN PLS
La PLS c'est surtout pour les enquêteurs qui incriminent les gardés à vue pour "homicide volontaire" et "recel de cadavre". Pour au final les relâcher comme des innocents.
L'enquête n'avancera plus.
Données du topic
- Auteur
- CafeDesDelices
- Date de création
- 25 mars 2025 à 07:35:26
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