Le 19 avril 2025 à 11:01:42 :
Le temps ne paraît jamais plus long qu'en dédicace lorsque personne ne se présente ahi
Tu as combien de lecteurs d'après tes estimations ?
Le 19 avril 2025 à 11:14:27 :
J'entends toujours j'écrirais bien, mais je n'ai pas le temps, j'aimerais écrire, mais j'ai un métier prenant... Ça me fait sourire. La plupart des gens ont le temps, et choisissent de ne pas le prendre.
Je suis d'accord, c'est comme les gens qui te disent ne pas avoir le temps de lire... alors qu'ils regardent la télé ou leur portable des heures
Par contre je peux comprendre qu'on ait du mal à écrire à cause de la fatigue mentale d'un boulot.
Le 19 avril 2025 à 13:57:43 :
Je viens de terminer l'une des dédicaces les plus bidesques de ma carrière, trois exemplaires en deux heures ahi.
Pour être honnête, je n'ai jamais compris l'intérêt des dédicaces
Le 19 avril 2025 à 11:33:38 :
Honnêtement, on s'en fout d'être à chier.L'important c'est le plaisir que tu en tires, qui entraînera fatalement à un moment ou un autre celui de tes lecteurs. Peut être pas de suite, mais un jour, inéluctablement, tu produiras un texte qui happera tes lecteurs.
Je ne suis pas trop d'accord pour le coup. Certaines personnes écrivent objectivement mal, et ce sera toujours ainsi (cette remarque inclut des auteurs publiés bien sûr). C'est comme si tu disais que tu finis par devenir bon en maths à force de pratique ; bien sûr qu'on peut s'améliorer, mais on finit inévitablement par se heurter à un plafond de verre.
Je ne crois pas une seule seconde que quiconque puisse rester mauvais toute sa vie en s'entraînant.
Bien sûr qu'on est pas tous égaux, bien sûr aussi qu'on évolue pas au même rythme...
Mais je ne crois pas à cette histoire de plafond de verre, pourvu qu'on lise et qu'on se fasse lire régulièrement.
Je ne dis pas que n'importe qui peut devenir Céline ou Dostoïevski, mais écrire de bons textes, qui captent le lecteur et procurent une belle expérience, c'est à la portée de tout le monde. Pourvu qu'on accepte de travailler dans ce sens.
Salut clé.
Non je ne connais pas la page blanche. Il m'arrive de galérer sur un texte, une scène ou un dialogue, mais j'ai mes habitudes pour y remédier et dépasser ces difficultés. C'est difficile au début, mais chaque auteur développe ses combines pour retrouver le souffle. De mon côté, ça passe par la course à pied et une écriture à la main. Ce sont mes deux bottes secrètes qui débloquent dans l'heure mes pannes créatives.
JvArchive compagnon