Le 15 février 2025 à 03:17:54 :
Le 15 février 2025 à 03:08:14 :
Le 15 février 2025 à 03:03:20 :
Le 15 février 2025 à 02:58:49 :
J'ai dit que le contexte de l'expérience changeais le résultat, que l'expérience soit physique ou sociologique, tu n'es pas d'accord ?
Je suis en sciences sociales, en droit précisément, et je suis pas d'accord non plus.
Juste pour clarifier, tu n'es pas d'accord que le contexte influe sur le résultat de l’expérience ?
Bon, je crois qu'il va falloir que tu explicites ce que tu veux dire par résultat de l'expérience
Je ne vois pas trop ce qu'il y a à expliciter.
Un extraterrestre calculant la vitesse d'un corps en chute libre sur sa planète ne trouvera pas la même réponse que nous sur la nôtre, pour la simple et bonne raison qu'il ne calcule pas la même chose que nous, donc évidemment que du moment oû la question est différente, la réponse le sera aussi
Si tu fais tomber la même pomme sur les deux planètes, tu aboutiras pourtant à deux réponses différentes à la même question : à quelle vitesse tombe cette pomme.
Le contexte change donc le résultat. En physique et probablement plus encore en sociologie. Es tu contre cette affirmation ?
Parce que ce n'est PAS la même question je viens de l'expliquer
Une question est : à quelle vitesse tombe cette pomme sur terre ?
L'autre est : à quelle vitesse tombe cette pomme sur Mars ? (ou Saturne, Neptune, peu importe)
Si tu poses deux questions différentes, il est probable que les réponses le soient aussi, ça ne veut pas dire que la physique change selon le contexte, ça veut dire que les QUESTIONNEMENTS physiques changent selon le contexte
Donc OUI je suis contre cette affirmation
Un terrien qui se demande la valeur de l'accélération de pesanteur sur Terre trouvera 9.81 m/s^2
Un martien qui se demande la valeur de l'accélération de pesanteur sur Terre trouvera 9.81 m/s^2
Le contexte est différent, le résultat est le même
Le 15 février 2025 à 03:13:31 :
Non le contexte d'une expérience physique ne fait PAS varier le résultat, pour les raisons que j'ai mentionnées dans mon dernier message
Ah... donc le fait d'être dans le vide ou avec atmosphère ne change rien
La gravité que tu sois sur terre ou sur la lune osef
Aux mêmes questions, la physique donne TOUJOURS les mêmes réponses
Non
Il convient seulement de bien réaliser que certaines questions, qui peuvent te sembler être les mêmes, sont en fait différentes
Non
"Comment décrire la vitesse d'un corps en chute libre sur ma planète ?" n'est pas la même question selon si tu te trouves sur Terre ou sur Mars
Ce n'est pas la question que je t'ai posé
"Comment décrire la vitesse d'un corps en chute libre ?" est la même question sur Terre ou sur Mars, ou n'importe où ailleurs
Ça non plus
J'ai aussi pris l'exemple de la lumière sous vide parce qu'il est universel, toute civilisation finira par se poser la question et trouvera la même réponse invariablement
Sous vide EST un contexte
Le 14 février 2025 à 23:15:25 :
Le 14 février 2025 à 23:09:11 :
comment est-ce que tu comptes générer un revenu quand tu auras fini tes études ?Bonne question,
Ma stratégie est d'être le meilleur pour aller dans le master le plus prestigieux possible, m'y faire des contacts afin de débloquer plus facilement une bourse pour ma thèse histoire de la faire sans trop galérer (et si possible dans la même institution prestigieuse dans laquelle j'aurais fait mon master).
Après je croise les doigts pour avoir vite un poste et hop, j'aurais enfin un salaire décent,
Ensuite plus qu'à être le meilleur chercheur de ma génération pour finir au collège de France et toucher plus de 5000 balles par mois
Donc tu fais des études uniquement pour être chercheur ?
Tu ne penses pas que c'est un ponzi ?
C'est comme si j'inventais une nouvelle langue, le "neptunien", et que j'enseignais cette langue a l'université, dans l'unique but de former des jeunes capables a leur tour de faire des recherches sur cette nouvelle langue imaginaire et l'enseigner à leur tour.
Le 15 février 2025 à 03:21:16 :
Le 15 février 2025 à 03:17:54 :
Le 15 février 2025 à 03:08:14 :
Le 15 février 2025 à 03:03:20 :
Le 15 février 2025 à 02:58:49 :
> J'ai dit que le contexte de l'expérience changeais le résultat, que l'expérience soit physique ou sociologique, tu n'es pas d'accord ?
Je suis en sciences sociales, en droit précisément, et je suis pas d'accord non plus.
Juste pour clarifier, tu n'es pas d'accord que le contexte influe sur le résultat de l’expérience ?
Bon, je crois qu'il va falloir que tu explicites ce que tu veux dire par résultat de l'expérience
Je ne vois pas trop ce qu'il y a à expliciter.
Un extraterrestre calculant la vitesse d'un corps en chute libre sur sa planète ne trouvera pas la même réponse que nous sur la nôtre, pour la simple et bonne raison qu'il ne calcule pas la même chose que nous, donc évidemment que du moment oû la question est différente, la réponse le sera aussi
Si tu fais tomber la même pomme sur les deux planètes, tu aboutiras pourtant à deux réponses différentes à la même question : à quelle vitesse tombe cette pomme.
Le contexte change donc le résultat. En physique et probablement plus encore en sociologie. Es tu contre cette affirmation ?
Parce que ce n'est PAS la même question je viens de l'expliquer
Bah si : à quelle vitesse tombe cette pomme.
Une question est : à quelle vitesse tombe cette pomme sur terre ?
L'autre est : à quelle vitesse tombe cette pomme sur Mars ? (ou Saturne, Neptune, peu importe)
Donc tu contextualises
Si tu poses deux questions différentes, il est probable que les réponses le soient aussi, çane veut pas dire que la physique change selon le contexte, çaa veut dire que les QUESTIONNEMENTS physiques chagnent selon le contexte
Donc OUI je suis contre cette affirmation
Un terrien qui se demande la valeur de l'accélération de pesanteur sur Terre trouvera 9.81 m/s^2
Un martien qui se demande la valeur de l'accélération de pesanteur sur Terre trouvera 9.81 m/s^2
Dans le vide
Le contexte est différent, le résultat est le même
Ah bon ? Donc une pomme sur mars tombe à la même vitesse qu'une pomme sur la terre ?
Ah... donc le fait d'être dans le vide ou avec atmosphère ne change rien
La gravité que tu sois sur terre ou sur la lune osef
Bien sûr que ça change quelque chose vu que tu ne poses pas la même question
La question "Quelle est la vitesse de chute d'un objet sur Terre sous vide" et la question "quelle est la vitesse de chute sur Terre dans l'atmosphère terrestre" sont DIFFERENTES, ce n'est pas une simple différence de contexte
Le martien qui se pose ces deux questions trouvera pour chacune la même réponse que nous ; pourtant, le contexte dans lequel il se trouvera et dans lequel il mènera l'expérience est différent du nôtre. C'est parce que la physique répond de la même manière aux mêmes questions. Et elle fait ça parce que son fonctionnement est UNIVERSEL
La gravitation existe PARTOUT et répond aux MÊMES RÈGLES
Le 15 février 2025 à 03:30:49 :
Ah... donc le fait d'être dans le vide ou avec atmosphère ne change rien
La gravité que tu sois sur terre ou sur la lune osefBien sûr que ça change quelque chose vu que tu ne poses pas la même question
Bah si : a quelle vitesse ça tomberait ?
La question "Quelle est la vitesse de chute d'un objet sur Terre sous vide" et la question "quelle est la vitesse de chute sur Terre dans l'atmosphère terrestre" sont DIFFERENTES, ce n'est pas une simple différence de contexte
Sauf que "sous vide" et "dans l'atmosphère terrestre" sont deux contexte différents... que TU as posé, pas moi, preuve que le contexte change le résultat de l'expérience
Le martien qui se pose ces deux questions trouvera pour chacune la même réponse que nous ; pourtant, le contexte dans lequel il se trouvera et dans lequel il mènera l'expérience est différent du nôtre. C'est parce que la physique répond de la même manière aux mêmes questions. Et elle fait ça parce que son fonctionnement est UNIVERSEL
La gravitation existe PARTOUT et répond aux MÊMES RÈGLES
Deux plumes, sur terre donc même gravitation, une dans l'atmosphère une dans le vide. A quelle unique vitesse puisque les règles sont les mêmes tombent les plumes ?
Le 15 février 2025 à 03:13:31 CaIiste a écrit :
Le 15 février 2025 à 03:08:36 :
Le 15 février 2025 à 03:04:16 :
Evidemment que si tu changes la question la réponse sera différente d'un endroit à l'autre je croyais pas avoir besoin de le mentionner
Je n'ai pas changé, je t'ai demandé à chaque fois si tu étais d'accord ou pas que le contexte d'une expérience, sociologique ou physique, faisait varier le résultat...
Non la force de gravitation qui nous attire à la Terre n'est pas la même que celle à la surface de Mars
Par contre les martiens, s'ils existaient, finiraient par trouver les mêmes formules générales que nous pour le calcul gravitationnel
Donc oui, les lois physiques fondamentales sont bien universelles, et les expériences trouveront les mêmes résultats partout
... et tu réponds invariablement que les lois de la physique sont universelles, ce que je n'ai JAMAIS nié. Du coup, toujours pas de réponse à ma question sur l'importance oui non du contexte de l'expérience
Non le contexte d'une expérience physique ne fait PAS varier le résultat, pour les raisons que j'ai mentionnées dans mon dernier message
Aux mêmes questions, la physique donne TOUJOURS les mêmes réponses
Il convient seulement de bien réaliser que certaines questions, qui peuvent te sembler être les mêmes, sont en fait différentes
"Comment décrire la vitesse d'un corps en chute libre sur ma planète ?" n'est pas la même question selon si tu te trouves sur Terre ou sur Mars
"Comment décrire la vitesse d'un corps en chute libre ?" est la même question sur Terre ou sur Mars, ou n'importe où ailleurs
Exactement.
Encore une fois, il faut distinguer la réponse que donnera la physique et celle que donnera la perception de l'Homme de la réponse de la physique
Pour prendre un exemple bidon: si je dis cinq, c'est cinq ; mais si je dis "cinq" à un malentendant, il va entendre "zinc". J'aurai beau avoir dire "cinq", lui pensera avoir entendu "zinc" et le répètera à ses potes sourds qui valideront sa théorie. Jusqu'à ce qu'un expert de la communauté sourde, expert en lecture labiale, va l'invalider.
Etre sur telle ou telle planète ou être telle ou telle espèce animale va fatalement, et c'est vrai, impacter l'expérience (je parle bien d'expérience). Tu peux pas tester la résistance à l'air sur la Lune, car y'en a pas.
Ainsi, l'expérience du boulet et de la plume ne donne pas les mêmes résultats sur la Terre et sur la Lune.
Et donc fatalement, un être hypothétique vivant sur la Lune n'aura jamais la connaissance de la résistance à l'air va décrire un phénomène qui paraîtra juste, qu'il validera, jusqu'à visiter la Terre, refaire l'expérience, et se rendre compte d'un hic.
C'est pas qu'il avait "tort", c'est qu'il manquait une CONNAISSANCE, celle de l'existence de l'air, pour que sa théorie soit invalidée.
Tu confonds en fait le fonctionnement d'une mécanique physique, qui est immuable, et la connaissance d'une mécanique physique, qui elle dépend des capacités humaines et ses connaissances préalables dont découlera une loi physique qui, elle, est une création humaine décrivant parfaitement une mécanique physique ou imparfaitement si une donnée est manquante.
C'est pour ça qu'il y a effectivement un relativisme des connaissances terrestres sur le Globe encore aujourd'hui. C'est pas car il y a des races plus cons que d'autres (la carte du QI, c'est de la chiasse), mais parce que fatalement, certaines civilisations n'ont pas l'occasion de connaître depuis leur patelin certains phénomènes. Soit par désintérêt, soit par inaccessibilité de la connaissance.
Ce qui souvent conduit les civilisations dites primaires à être d'assez gros ignorants. Et encore, car on a appris des choses sur elles et on s'est rendus comptes que, ben non, ils sont loin d'être cons et ignares.
Genre les Sentinelles dans l'Océan Indien. Ces fameux arborigènes qui tirent des flèches à vue sur quiconque s'approche de leur ile
Ben aussi "primitifs" soient ils, ils ont déjà des connaissances de base pour avoir une qualité de vie limite plus acceptable que certains Etats "civilisés" mais misérables financièrement. Et surtout pour survivre sans difficulté au tsunami de 2004. Signe que, s'il s'agit d'un réflexe "instinctif", ils ont prévu l'arrivée de la vague, se sont réfugiés dans les hauteurs puis ont attendu que ça passe. Cocasse quand on sait qu'il y a eu pas mal de morts en Indonésie ou en Thailande car certains par curiosité se sont approchés de la mer quand elle s'est anormalement retirée.
Le 15 février 2025 à 03:41:54 :
Le 15 février 2025 à 03:13:31 CaIiste a écrit :
Le 15 février 2025 à 03:08:36 :
Le 15 février 2025 à 03:04:16 :
Evidemment que si tu changes la question la réponse sera différente d'un endroit à l'autre je croyais pas avoir besoin de le mentionner
Je n'ai pas changé, je t'ai demandé à chaque fois si tu étais d'accord ou pas que le contexte d'une expérience, sociologique ou physique, faisait varier le résultat...
Non la force de gravitation qui nous attire à la Terre n'est pas la même que celle à la surface de Mars
Par contre les martiens, s'ils existaient, finiraient par trouver les mêmes formules générales que nous pour le calcul gravitationnel
Donc oui, les lois physiques fondamentales sont bien universelles, et les expériences trouveront les mêmes résultats partout
... et tu réponds invariablement que les lois de la physique sont universelles, ce que je n'ai JAMAIS nié. Du coup, toujours pas de réponse à ma question sur l'importance oui non du contexte de l'expérience
Non le contexte d'une expérience physique ne fait PAS varier le résultat, pour les raisons que j'ai mentionnées dans mon dernier message
Aux mêmes questions, la physique donne TOUJOURS les mêmes réponses
Il convient seulement de bien réaliser que certaines questions, qui peuvent te sembler être les mêmes, sont en fait différentes
"Comment décrire la vitesse d'un corps en chute libre sur ma planète ?" n'est pas la même question selon si tu te trouves sur Terre ou sur Mars
"Comment décrire la vitesse d'un corps en chute libre ?" est la même question sur Terre ou sur Mars, ou n'importe où ailleursExactement.
Encore une fois, il faut distinguer la réponse que donnera la physique et celle que donnera la perception de l'Homme de la réponse de la physique
Pour prendre un exemple bidon: si je dis cinq, c'est cinq ; mais si je dis "cinq" à un malentendant, il va entendre "zinc". J'aurai beau avoir dire "cinq", lui pensera avoir entendu "zinc" et le répètera à ses potes sourds qui valideront sa théorie. Jusqu'à ce qu'un expert de la communauté sourde, expert en lecture labiale, va l'invalider.
Etre sur telle ou telle planète ou être telle ou telle espèce animale va fatalement, et c'est vrai, impacter l'expérience (je parle bien d'expérience). Tu peux pas tester la résistance à l'air sur la Lune, car y'en a pas.
Ainsi, l'expérience du boulet et de la plume ne donne pas les mêmes résultats sur la Terre et sur la Lune.
Et donc fatalement, un être hypothétique vivant sur la Lune n'aura jamais la connaissance de la résistance à l'air va décrire un phénomène qui paraîtra juste, qu'il validera, jusqu'à visiter la Terre, refaire l'expérience, et se rendre compte d'un hic.
C'est pas qu'il avait "tort", c'est qu'il manquait une CONNAISSANCE, celle de l'existence de l'air, pour que sa théorie soit invalidée.Tu confonds en fait le fonctionnement d'une mécanique physique, qui est immuable, et la connaissance d'une mécanique physique, qui elle dépend des capacités humaines et ses connaissances préalables dont découlera une loi physique qui, elle, est une création humaine décrivant parfaitement une mécanique physique ou imparfaitement si une donnée est manquante.
C'est pour ça qu'il y a effectivement un relativisme des connaissances terrestres sur le Globe encore aujourd'hui. C'est pas car il y a des races plus cons que d'autres (la carte du QI, c'est de la chiasse), mais parce que fatalement, certaines civilisations n'ont pas l'occasion de connaître depuis leur patelin certains phénomènes. Soit par désintérêt, soit par inaccessibilité de la connaissance.
Ce qui souvent conduit les civilisations dites primaires à être d'assez gros ignorants. Et encore, car on a appris des choses sur elles et on s'est rendus comptes que, ben non, ils sont loin d'être cons et ignares.
Genre les Sentinelles dans l'Océan Indien. Ces fameux arborigènes qui tirent des flèches à vue sur quiconque s'approche de leur ile![]()
Ben aussi "primitifs" soient ils, ils ont déjà des connaissances de base pour avoir une qualité de vie limite plus acceptable que certains Etats "civilisés" mais misérables financièrement. Et surtout pour survivre sans difficulté au tsunami de 2004. Signe que, s'il s'agit d'un réflexe "instinctif", ils ont prévu l'arrivée de la vague, se sont réfugiés dans les hauteurs puis ont attendu que ça passe. Cocasse quand on sait qu'il y a eu pas mal de morts en Indonésie ou en Thailande car certains par curiosité se sont approchés de la mer quand elle s'est anormalement retirée.
Donc tu es d'accord avec son assertion qu'à contexte différents le résultat est le même en sociologie comme en physique ?
Le 15 février 2025 à 03:46:22 dreamonette a écrit :
Le 15 février 2025 à 03:41:54 :
Le 15 février 2025 à 03:13:31 CaIiste a écrit :
Le 15 février 2025 à 03:08:36 :
Le 15 février 2025 à 03:04:16 :
Evidemment que si tu changes la question la réponse sera différente d'un endroit à l'autre je croyais pas avoir besoin de le mentionner
Je n'ai pas changé, je t'ai demandé à chaque fois si tu étais d'accord ou pas que le contexte d'une expérience, sociologique ou physique, faisait varier le résultat...
Non la force de gravitation qui nous attire à la Terre n'est pas la même que celle à la surface de Mars
Par contre les martiens, s'ils existaient, finiraient par trouver les mêmes formules générales que nous pour le calcul gravitationnel
Donc oui, les lois physiques fondamentales sont bien universelles, et les expériences trouveront les mêmes résultats partout
... et tu réponds invariablement que les lois de la physique sont universelles, ce que je n'ai JAMAIS nié. Du coup, toujours pas de réponse à ma question sur l'importance oui non du contexte de l'expérience
Non le contexte d'une expérience physique ne fait PAS varier le résultat, pour les raisons que j'ai mentionnées dans mon dernier message
Aux mêmes questions, la physique donne TOUJOURS les mêmes réponses
Il convient seulement de bien réaliser que certaines questions, qui peuvent te sembler être les mêmes, sont en fait différentes
"Comment décrire la vitesse d'un corps en chute libre sur ma planète ?" n'est pas la même question selon si tu te trouves sur Terre ou sur Mars
"Comment décrire la vitesse d'un corps en chute libre ?" est la même question sur Terre ou sur Mars, ou n'importe où ailleursExactement.
Encore une fois, il faut distinguer la réponse que donnera la physique et celle que donnera la perception de l'Homme de la réponse de la physique
Pour prendre un exemple bidon: si je dis cinq, c'est cinq ; mais si je dis "cinq" à un malentendant, il va entendre "zinc". J'aurai beau avoir dire "cinq", lui pensera avoir entendu "zinc" et le répètera à ses potes sourds qui valideront sa théorie. Jusqu'à ce qu'un expert de la communauté sourde, expert en lecture labiale, va l'invalider.
Etre sur telle ou telle planète ou être telle ou telle espèce animale va fatalement, et c'est vrai, impacter l'expérience (je parle bien d'expérience). Tu peux pas tester la résistance à l'air sur la Lune, car y'en a pas.
Ainsi, l'expérience du boulet et de la plume ne donne pas les mêmes résultats sur la Terre et sur la Lune.
Et donc fatalement, un être hypothétique vivant sur la Lune n'aura jamais la connaissance de la résistance à l'air va décrire un phénomène qui paraîtra juste, qu'il validera, jusqu'à visiter la Terre, refaire l'expérience, et se rendre compte d'un hic.
C'est pas qu'il avait "tort", c'est qu'il manquait une CONNAISSANCE, celle de l'existence de l'air, pour que sa théorie soit invalidée.Tu confonds en fait le fonctionnement d'une mécanique physique, qui est immuable, et la connaissance d'une mécanique physique, qui elle dépend des capacités humaines et ses connaissances préalables dont découlera une loi physique qui, elle, est une création humaine décrivant parfaitement une mécanique physique ou imparfaitement si une donnée est manquante.
C'est pour ça qu'il y a effectivement un relativisme des connaissances terrestres sur le Globe encore aujourd'hui. C'est pas car il y a des races plus cons que d'autres (la carte du QI, c'est de la chiasse), mais parce que fatalement, certaines civilisations n'ont pas l'occasion de connaître depuis leur patelin certains phénomènes. Soit par désintérêt, soit par inaccessibilité de la connaissance.
Ce qui souvent conduit les civilisations dites primaires à être d'assez gros ignorants. Et encore, car on a appris des choses sur elles et on s'est rendus comptes que, ben non, ils sont loin d'être cons et ignares.
Genre les Sentinelles dans l'Océan Indien. Ces fameux arborigènes qui tirent des flèches à vue sur quiconque s'approche de leur ile![]()
Ben aussi "primitifs" soient ils, ils ont déjà des connaissances de base pour avoir une qualité de vie limite plus acceptable que certains Etats "civilisés" mais misérables financièrement. Et surtout pour survivre sans difficulté au tsunami de 2004. Signe que, s'il s'agit d'un réflexe "instinctif", ils ont prévu l'arrivée de la vague, se sont réfugiés dans les hauteurs puis ont attendu que ça passe. Cocasse quand on sait qu'il y a eu pas mal de morts en Indonésie ou en Thailande car certains par curiosité se sont approchés de la mer quand elle s'est anormalement retirée.Donc tu es d'accord avec son assertion qu'à contexte différents le résultat est le même en sociologie comme en physique ?
Non, car encore une fois, une mécanique physique est purement et simplement immuable. Tu peux faire ce que tu veux, ça changera pas. Tout ce que tu peux faire, c'est changer des données en fonction du lieu ou de tes diverses transformations.
Une loi sociologique, juridique ou même économique demeure une loi de l'Homme, par l'Homme, sur l'Homme, pour l'Homme. Tout individu ou toute société peut aller contre, ce qui empêche de les rendre purement immuables.
D'où la critique régulière de l'effet Laffer. Parce que des Etats ont été prospères malgré une fiscalité trop forte pour que la théorie ait un véritable sens précis et l'existence, potentielle, d'un optimum fiscal.
La théorie n'est au mieux valide de manière certaine qu'avec une fiscalité de 100% vu qu'elle priverait alors l'entreprise économique de toute prospérité. Mais n'importe quel crétin serait arrivé à cette conclusion.
Je bosse actuellement sur les lois de Louis Rolland. Un professeur de droit du 20e siècle qui a théorisé les principes fondateurs du régime juridique des services publics. Il les a élaboré avant tout à partir d'une analyse du droit positif et, plus précisément, de la jurisprudence du Conseil d'Etat, pour en tirer ses conclusions. Ce n'est qu'a posteriori qu'il a théorisé leur aspect intrinsèque au service public.
Il y en a trois: la continuité (un service public fonctionne en continu et ne doit pas être interrompu), l'égalité (un service public fonctionne en garantissant une égalité de traitement aux agents et aux usagers) et la mutabilité (un service public évolue en fonction de l'intérêt général, jusqu'à disparaître "de lui même" si nécessaire).
Sauf qu'à y regarder de plus près, on se rend compte déjà du profond relativisme qui encadre ces principes. Déjà, parce que Louis Rolland s'est fondé sur la jurisprudence du juge, il aurait fallu que ce dernier ne les détermine pas pour qu'on passe au travers. Faut pas tomber dans un relativisme con, ce n'est pas élaboré "au pif" et ces dernières sont inhérentes à la fonction de l'Etat Républicain.
Mais de cette première conséquence en découle une seconde, cette fois plus discutable. Le service public tel qu'on l'entend en droit aujourd'hui peut se rapprocher d'un label. Théoriquement, toute activité peut être un service public tant qu'il répond à un but d'intérêt général, allant de la justice à la vente de glace (exemple "réel" dans les années 50).
Or rien que là, on a un problème. Outre qu'on va évidemment pas les comparer, on va surtout se demander s'il est vraiment pertinent d'appliquer des principes "inhérentes à la nature d'un service public" à des activités qui, normalement, n'en relèvent pas. Si le service public prend parfois des allures de label, ne devenant que des étiquettes car l'intérêt général est lui même très indéterminé, voire indéterminable autre que par volonté politique (ce qui fragilise encore plus l'aspect humain), les lois vont naturellement se distordre, voire l'application elle même perdra de son sens. Un peu comme si tu tentais d'appliquer la thermodynamique à l'eau, en caricaturant à l'extrême.
Ce qui fatalement amène à un profond relativisme, inhérente au demeurant à des circonstances de temps et de lieu. La continuité en est l'exemple parfait: dans certains services publics, la grève est interdite (dès que ça touche au régalien, le juge, le militaire, le policier ou le contrôleur aérien a l'interdiction absolue de se mettre en grève) tandis que dans d'autres, elle sera légale voire protégée. De même, un service public ne fonctionne pas toujours 24h/24, là aussi, ça dépend de circonstances propres à l'activité.
C'est pas une pure construction de l'esprit de Louis Rolland évidemment. Et on retrouve des aspects "physiques", les principes s'atténuent sans disparaître. Mais elle prend non seulement des formes trop variables, parfois au gré du seul politique, et il serait très facile de passer outre si on le voulait.
Qui plus est, c'est parce qu'on a recherché une conception "physique" qu'on les a limité à trois. Une quatrième peut se défendre si on veut, via la neutralité. Mais elle m'apparaît trop franco-française pour ne serait-ce que la défendre à l'international, où elle est parfois contestée (en gros, l'interdiction de signes politiques ou religieux au sein du service public, ça fait pas toujours plaisir aux anglo-saxons qui trouvent ça ridicule en caricaturant).
Là je bosse aussi sur la dignité humaine. Pendant longtemps, on lui a conféré une forme objective mais, surtout, on a dépassé la conception kantienne de la dignité pour amalgamer le corps et l'esprit, dans une lecture moniste: elle est propre ET au corps humain ET à l'esprit humain. Ce qui implique l'interdiction des traitements humiliants tant sur le corps (on te casse pas la gueule via la torture) que l'esprit (interdit de te "ficher").
Y'a pourtant une énorme exception qui a vu le jour: la bioéthique. Où là, on se retrouve avec une conception bien plus kantienne puisque, justement, on s'intéresse bien trop au corps pour le prendre objectivement en considération et on va appeler davantage à la psyché.
Et alors que récemment, la dignité humaine a été invoquée pour invalider une loi compte tenu du traitement apporté aux cendres des défunts après la fin d'une concession, en bioéthique, on va davantage tout faire pour distinguer le corps de l'âme, parce que seul le premier nous intéresse pour, et c'est fatal, le "maltraiter". Et donc pour mieux faire bouffer la pilule, ben on s'appuie davantage sur l'esprit. Soit via le consentement renforcé, soit en indiquant justement que "l'âme est absente, donc allonzy".
Le 15 février 2025 à 04:13:33 :
Non, car encore une fois, une mécanique physique est purement et simplement immuable. Tu peux faire ce que tu veux, ça changera pas. Tout ce que tu peux faire, c'est changer des données en fonction du lieu ou de tes diverses transformations.
Si tu changes les donnés tu changes le contexte et tu me donnes raison
Une loi sociologique, juridique ou même économique demeure une loi de l'Homme, par l'Homme, sur l'Homme, pour l'Homme. Tout individu ou toute société peut aller contre, ce qui empêche de les rendre purement immuables.
Comme en physique quand tu changes le contexte en somme
Le 15 février 2025 à 02:40:56 :
Le 14 février 2025 à 23:23:17 :
Le 14 février 2025 à 23:15:40 :
Que penses-tu de l’absence de compréhension de concepts basiques par les kheys ?Que c'est un peu dommage, mais bon, ça s'explique facilement par le fait qu'on fait pas faire de sociologie aux gosses alors qu'on leur fait faire de l'histoire (qui est pourtant une discipline très proche de la socio) ou des cours d'EMC (alors que ces derniers sont, on va pas se mentir, une vaste fumisterie).
Ah bah j'allais demander à quoi ressemble une expérience en socio, s'il y a beaucoup de statistiques à apprendre, mais si c'est très proche de l'histoire, on ne parle pas de science alors ?
Alors, concernant les expériences, y'en a en psychologie sociale, qui est une discipline proche, mais pas en sociologie,
La sociologie se repose sur deux types de méthodes : qualitatives et quantitatives.
1) Dans les qualitatives tu as surtout l'entretien et l'observation participante, qui vient à l'origine de l'anthropologie (mais la sociologie et l'anthropologie tendent de nos jours à se rapprocher de plus en plus).
a) L'entretien c'est un genre d'interview mais tu poses des questions qui suivent une grille élaborée à l'avance de manière à obtenir les informations dont tu as besoin. Y'a plusieurs types d'entretiens possibles mais je vais pas détailler.
b) L'observation participante c'est, comme son nom l'indique, un chercheur qui va observer un lieu et une population spécifique, ce qu'on appelle un terrain. Par exemple, dans "En quête de respect. Le crack à New York", Philippe Bourgois va observer la vie des cracked à New York dans le quartier d'El Barrio pour comprendre le fonctionnement de l'économie clandestine et de la culture de la rue.
2) Du côté statistiques ont a
a) Les enquêtes par questionnaire, très utiles pour obtenir une grosse quantité de données, mais pas pour creuser en profondeur un sujet (pour ça, les entretiens c'est mieux).
Il faut savoir que les deux types de méthodes ne sont pas incompatibles. Tu peux par exemple faire un questionnaire, puis réaliser des entretiens auprès de personnes ayant répondu au questionnaire pour creuser.
Et vu que tu parles de l'histoire, la méthode en histoire c'est l'utilisation d'archives. En vrai c'est aussi parfois fait par des sociologues pour étudier des sociétés du passé, comme l'a fait Norbert Elias.
Et du coup oui, la sociologie et l'histoire sont des sciences.
Le 15 février 2025 à 07:00:26 :
Est ce que plus tard tu comptes plutôt gérer le bac à frites ou le poste nuggets?
Puisque je suis à la fac, j'ai déjà le bac,
Quant au poste nuggets, il me semble que tu l'occupes déjà
Le 15 février 2025 à 02:38:53 :
1. que penses tu de la video de el rayan https://www.youtube.com/watch?v=8HTm3SWBxq0
2. merci d'être sur JVC khey. Et de te faire chier à débattre avec ces bolosses facho. C'est rare de voir un compatriote.
3. Que penses tu de bourdieu
4. Quels arguments pour répondre à la question stupide de "faut il supprimer les facs de sciences sociales/humanité"merci!
1. Je pense qu'il aurait dû aller en math.
Aussi, il dit qu'il y a 80% de meufs en socio. Je dirais plutôt 70% au doigt mouillé, mais bon je pinaille. Aussi il explique pas POURQUOI, alors qu'on peut faire une analyse sociologique intéressante à ce sujet, ce qui aurait été l'occasion pour lui de montrer ses skills en sociologie du genre (mais au vu de ses avis politiques, je doute qu'il en ait).
Concernant son histoire avec la "Jessica", ça me semble crédible, mais je pense qu'il est difficile de se faire un avis objectif sur un conflit entre deux personnes lorsque l'on a uniquement le point de vue de l'une des deux. Par contre, dans sa vidéo et dans l'histoire qu'il raconte, il se présente comme une personne assez agressive, autrement dit, comme un mec incarnant bien les valeurs et le comportement que devrait avoir un mec de droite. Avec un comportement comme ça, c'est pas étonnant qu'il génère du conflit là où il va, notamment avec les personnes avec lesquelles il est en désaccord idéologique. Il se plaint du harcèlement qu'il se prend après avoir défendu des opinions de droite de manière provocante dans un environnement qui comporte un haut taux de gauchistes, mais une telle réaction était tout a fait prévisible. Quand t'es dans un endroit dans lequel tes opinions sont pas trop les bienvenues, tu peux être toléré, à condition de pas faire le fou. Y'a pas bcp de mecs de droite dans ma licence, mais je sais que ça existe. Et ils sont pas emmerdés, eux, parce qu'ils passent pas leur temps à provoquer les autres et à crier leurs opinions sur tous les toits. Tout comme moi je suis pas emmerdé car, même si je suis pas fan des théories queer, je commence pas à attaquer les profs et étudiants convaincus par ces théories (ce que je faisais avant la fac, ce qui m'amenait à faire des débats 1 vs 8, mais j'ai appris à plus être dans l'agression entre temps).
Y'a des licences plus à gauche, des licences plus à droite. Je suis sûr qu'un gauchiste qui irait dans une licence plus à droite et commencerait à incendier tout le monde se ferait mettre au banc aussi. C'est normal, quand t'attaques un groupe et ses valeurs, ce dernier réagit.
Donc présenter son histoire comme une preuve que "holala ça devient evergreen les universités françaises" c'est franchement pas convainquant à mes yeux.
2. De rien, ça fait plaisir
3. J'avoue ne pas encore l'avoir beaucoup lu par moi-même, mais j'en ai pas mal entendu parler en cours et il me semble avoir créé des concepts très intéressant. Je pense qu'il mérite qu'on le considère comme un sociologue important. Par contre, j'ai le sentiment qu'il est quand même un peu surcoté. Un nombre non-négligeable de personnes "opposés aux dominations" le considèrent comme leur sociologue préféré et comme l'un des meilleurs sociologues ayant existé, alors qu'il a tiré beaucoup de sa fame de l'appropriation du travail de ses collègues (que ce soit les membres du centre de sociologie européenne, des sociologues classiques sur lesquels ils s'appuyait sans les citer, et sa non-citation de travaux féministes dans son livre "La domination masculine" qui réinvente clairement la roue). Bref, Bourdieu a beaucoup valorisé le travail d'autres en le faisant passer pour sien, donc je trouve ça un peu gênant les gauchistes qui le sucent. Il était bon, mais c'était pas un Dieu non plus, il faut se calmer. La science est toujours un travail collectif, et la sociologie ne fait pas exception à cette règle.
Et puis comme on l'a dit plus haut dans le topax, il a tendance à over complexifier les choses pour se donner une légitimité. Un peu comme Butler
4. Je dirais que les contre-arguments doivent s'adapter au contexte pour avoir une chance d'être convaincants. Pour te fournir des contre-arguments efficaces, il faudrait que je sache pour quelle raison la personne te demande cela, quelles sont ses croyances de base sur lesquelles elle fonde cet avis.
Le 15 février 2025 à 01:48:22 :
Revenu moyen par habitant dans la ville où tu as résidé pour la dernière fois avec tes parents ?
Aucune idée, mais pas très élevé je pense
Le 15 février 2025 à 02:32:21 :
Ketchup mayo sans oignons merci chef
Demande plutôt ça à Carefullymeat
JvArchive compagnon