"BLABLA c'est l'URSS qui avait VAINCU les allemands"
SuppriméLe 24 février 2024 à 11:29:38 :
Le 24 février 2024 à 11:25:17 :
Le 24 février 2024 à 11:19:28 :
Le 23 février 2024 à 22:39:32 :
8,7 millions de soldats soviétiques morts
292 000 américains.Voilà
Mais ça prouve quoi ? Ils se sont fait dégommer et les usa ont mieux protégés leurs hommes
Si les deux avaient autant contribué à détruire le matériel et à causer des pertes à l'Allemagne oui, dans les faits c'est pas le cas. Les alliés (pas que américains) causent 600 000 pertes sur le front de l'Ouest, les soviétiques près de 5.5M. Donc en dehors de la question de la protection faite aux hommes il s'agit surtout d'une implication moindre dans la guerre contre l'axe en Europe.
Ces chiffres sont faux. L'Allemagne a eu 4,3m de morts à l'est grand max, 1,2 à l'ouest (le chiffres sov est gonflé par le % plus élevé d'Allemands morts en captivité en URSS).
https://web.archive.org/web/20161107003129/http://ww2stats.com/cas_ger_tot.htmlQuant au matériel, les Sovs n'ont on détruit qu'environ 50% en valeur. Les 50% autres c'est les milliers d'avions/sous marins/navires etc détruits par les occidentaux. Et c'est sans compter les effets du blocus anglais et des bombardements stratégiques.
Les chiffres ne sont pas faux, mais je fais un raccourci il est vrai : je parle des pertes faites à l'axe en Europe sur le front de l'est. Même en ne parlant que de l'Allemagne dans tous les cas, le rapport reste de 4:1
Du reste, les soviétiques ont fait la moitié a eux seuls (même un peu plus en vrai), donc à moins que de dire que les pays alliés autre que les USA n'ont ABSOLUMENT RIEN FAIT, ce qui est bien évidemment intenable, il demeure comme nous le disons que l'URSS est première dans la participation bien devant les USA (qui ne seraient même pas forcément les premiers parmi les autres pays alliés, ou pas forcément de grand chose).
Le 24 février 2024 à 11:34:39 :
Le 24 février 2024 à 11:31:31 :
J’ai une théorie j’aimerais en parler avec vous : l’Allemagne a perdu car elle a été sur deux fronts en même temps. Ça les a perdus. Si il n’y avait eu qu’un seul front à gérer, c’était gagné pour eux. Votre avis ?Totalement faux. Le débarquement c'est juin 1944 et je te laisse regarder où en était le front est.
C'est délirant comme propos. L'impact US s'est fait sentir bien avant le 6 juin 1944. Sur les mers, dans les airs, en Méditerranée et sur le front de l'est avec le LL. Le nier c'est du négationnisme pur et simple.
Dès 1943 l'Allemagne savait qu'elle avait perdu. Stalingrad c'est un rouleau compresseur russe apres
Roulant compresseur uniquement possible car l'Allemagne est prise en étau entre les USA/RU et l'URSS.
1943 c'est l'année ou après 1 an de mobilisation les forces US ont enfin un impact massif et donne la marge de supériorité nécessaire aux alliés pour gagner.
Le 24 février 2024 à 11:36:15 :
Le 24 février 2024 à 11:29:38 :
Le 24 février 2024 à 11:25:17 :
Le 24 février 2024 à 11:19:28 :
Le 23 février 2024 à 22:39:32 :
8,7 millions de soldats soviétiques morts
292 000 américains.Voilà
Mais ça prouve quoi ? Ils se sont fait dégommer et les usa ont mieux protégés leurs hommes
Si les deux avaient autant contribué à détruire le matériel et à causer des pertes à l'Allemagne oui, dans les faits c'est pas le cas. Les alliés (pas que américains) causent 600 000 pertes sur le front de l'Ouest, les soviétiques près de 5.5M. Donc en dehors de la question de la protection faite aux hommes il s'agit surtout d'une implication moindre dans la guerre contre l'axe en Europe.
Ces chiffres sont faux. L'Allemagne a eu 4,3m de morts à l'est grand max, 1,2 à l'ouest (le chiffres sov est gonflé par le % plus élevé d'Allemands morts en captivité en URSS).
https://web.archive.org/web/20161107003129/http://ww2stats.com/cas_ger_tot.htmlQuant au matériel, les Sovs n'ont on détruit qu'environ 50% en valeur. Les 50% autres c'est les milliers d'avions/sous marins/navires etc détruits par les occidentaux. Et c'est sans compter les effets du blocus anglais et des bombardements stratégiques.
Les chiffres ne sont pas faux, mais je fais un raccourci il est vrai : je parle des pertes faites à l'axe en Europe sur le front de l'est. Même en ne parlant que de l'Allemagne dans tous les cas, le rapport reste de 4:1
Si, ils sont faux.
Et 4:1 pour c'est déjà un rapport plus réaliste, dans ton message initial (avec les faux chiffres) le rapport était de 10:1
Le 24 février 2024 à 11:48:55 :
Écoutez ya les stats sur wikipédia. Le prêt bail en matériel pour l'URSS c'est 3 fois moins que le royaume uni. Impact négligeable
Logique de segpa.
Le 24 février 2024 à 11:50:22 Ker_Vizic a écrit :
Et les hommes qui ont fait la guerre ils étaient made in U.S.A. aussi ?![]()
Silence le facho on te dit que l'URSS n'a servit à rien, n'était pas bon, on perdu trop d'homme et causé peu de perte
Du coup pourquoi ils étaient dangereux durant la guerre froide ?
Le 23 février 2024 à 22:39:32 :
8,7 millions de soldats soviétiques morts
292 000 américains.Voilà
Impossible de dire que l'URSS n'a rien fait, elle a tant fait qu'elle a gagné le droit de :
- Garder la Lethonie, l'Estonie, la Lithuanie
- Garder la partie est de la Pologne
- Garder la Bessarabie et une partie de la Finlande
- Kaliningrad directement prise aux mains des allemands
- Les Carpates directements prises aux mains des Hongrois (appartenant anciennement a la Slovaquie)
- Choper tout un jeu d'état satellites : Pologne, Hongrie, Tchéquoslovaquie, Albanie, Bulgarie, Roumanie, et dans une moindre mesure Corée du nord
- Gouverner une zone d'occupation large en Allemagne, une autre zone d'occupation en Autriche
- Céder la Mandchourie a l'allié communiste chinois. Sans doute ce qui leur a permis la victoire finale.
Les us ont gagné quoi ? Une zone d'occupation en Allemagne et en Autriche, une base a Okinawa et le droit de se faire rejeter par les francais lorsqu'ils ont tenté de les satelliser ?
Les gains a l'issu de la guerre sont proportionnels a la participation pour rappel.
Le 24 février 2024 à 11:43:50 :
Le 24 février 2024 à 11:36:15 :
Le 24 février 2024 à 11:29:38 :
Le 24 février 2024 à 11:25:17 :
Le 24 février 2024 à 11:19:28 :
> Le 23 février 2024 à 22:39:32 :
>8,7 millions de soldats soviétiques morts
> 292 000 américains.
>
> Voilà
Mais ça prouve quoi ? Ils se sont fait dégommer et les usa ont mieux protégés leurs hommes
Si les deux avaient autant contribué à détruire le matériel et à causer des pertes à l'Allemagne oui, dans les faits c'est pas le cas. Les alliés (pas que américains) causent 600 000 pertes sur le front de l'Ouest, les soviétiques près de 5.5M. Donc en dehors de la question de la protection faite aux hommes il s'agit surtout d'une implication moindre dans la guerre contre l'axe en Europe.
Ces chiffres sont faux. L'Allemagne a eu 4,3m de morts à l'est grand max, 1,2 à l'ouest (le chiffres sov est gonflé par le % plus élevé d'Allemands morts en captivité en URSS).
https://web.archive.org/web/20161107003129/http://ww2stats.com/cas_ger_tot.htmlQuant au matériel, les Sovs n'ont on détruit qu'environ 50% en valeur. Les 50% autres c'est les milliers d'avions/sous marins/navires etc détruits par les occidentaux. Et c'est sans compter les effets du blocus anglais et des bombardements stratégiques.
Les chiffres ne sont pas faux, mais je fais un raccourci il est vrai : je parle des pertes faites à l'axe en Europe sur le front de l'est. Même en ne parlant que de l'Allemagne dans tous les cas, le rapport reste de 4:1
Si, ils sont faux.
Et 4:1 pour c'est déjà un rapport plus réaliste, dans ton message initial (avec les faux chiffres) le rapport était de 10:1
Alors après vérification :
Morts en millions,
Axe front de l'Est : 5.48M (chiffre que j'avais initialement initialement avancé)
Axe front de l'Ouest (comprenant la campagne de France) : 0.83M (mon chiffre initial là dessus était effectivement trop faible car il ne comptait pas les pertes italiennes à l'ouest).
Maintenant participation des USA :
Au le front de l'est : xxx
Au front de l'Ouest : 0.18M sur les 0.93M de morts côté alliés. Bien sûr, on ne calcule pas seulement la participation là-dessus, mais ça donne un ordre de grandeur.
De là, pour un soldat de l'axe à l'Ouest, on est effectivement proche du 6:1
Sachant que les USA ne semble pas avoir fait le plus gros de ce petit 1, le ratio 10 pertes par les soviétiques pour 1 par les USA n'est même pas délirant, cela dit je ne cherche pas à gonfler et même si on statut sur moins je m'en moque, ce qui importe est de voir que le principal ennemi de l'axe en europe est l'urss, qui tient pour les alliés le même rôle que l'allemagne pour l'axe.
Le 24 février 2024 à 12:01:33 :
Impossible de dire que l'URSS n'a rien fait, elle a tant fait qu'elle a gagné le droit de :
- Garder la Lethonie, l'Estonie, la Lithuanie
- Garder la partie est de la Pologne
- Garder la Bessarabie et une partie de la Finlande
- Kaliningrad directement prise aux mains des allemands
- Les Carpates directements prises aux mains des Hongrois (appartenant anciennement a la Slovaquie)
- Choper tout un jeu d'état satellites : Pologne, Hongrie, Tchéquoslovaquie, Albanie, Bulgarie, Roumanie, et dans une moindre mesure Corée du nord
- Gouverner une zone d'occupation large en Allemagne, une autre zone d'occupation en Autriche
- Céder la Mandchourie a l'allié communiste chinois. Sans doute ce qui leur a permis la victoire finale.Les us ont gagné quoi ? Une zone d'occupation en Allemagne et en Autriche, une base a Okinawa et le droit de se faire rejeter par les francais lorsqu'ils ont tenté de les satelliser ?
Les gains a l'issu de la guerre sont proportionnels a la participation pour rappel.
On est pas dans Hearts of Iron, c'est pas comme ça que ça se passe.
Le 24 février 2024 à 12:06:55 :
Le 24 février 2024 à 12:01:33 :
Impossible de dire que l'URSS n'a rien fait, elle a tant fait qu'elle a gagné le droit de :
- Garder la Lethonie, l'Estonie, la Lithuanie
- Garder la partie est de la Pologne
- Garder la Bessarabie et une partie de la Finlande
- Kaliningrad directement prise aux mains des allemands
- Les Carpates directements prises aux mains des Hongrois (appartenant anciennement a la Slovaquie)
- Choper tout un jeu d'état satellites : Pologne, Hongrie, Tchéquoslovaquie, Albanie, Bulgarie, Roumanie, et dans une moindre mesure Corée du nord
- Gouverner une zone d'occupation large en Allemagne, une autre zone d'occupation en Autriche
- Céder la Mandchourie a l'allié communiste chinois. Sans doute ce qui leur a permis la victoire finale.Les us ont gagné quoi ? Une zone d'occupation en Allemagne et en Autriche, une base a Okinawa et le droit de se faire rejeter par les francais lorsqu'ils ont tenté de les satelliser ?
Les gains a l'issu de la guerre sont proportionnels a la participation pour rappel.
On est pas dans Hearts of Iron, c'est pas comme ça que ça se passe.
Bien sûr que si les gains sont proportionnels a la participation, puisque les gains sont discutés et négociés et que les arguments de la négociation sont surtout les participations de chacun, avec quelques incertitudes selon la puissance diplomatique du pays négociant ou simplement sa faculté a bien négocier (DG qui réussi à négocier des zones d'occupations par exemple)
Le 24 février 2024 à 12:02:18 :
Le 24 février 2024 à 11:43:50 :
Le 24 février 2024 à 11:36:15 :
Le 24 février 2024 à 11:29:38 :
Le 24 février 2024 à 11:25:17 :
> Le 24 février 2024 à 11:19:28 :
>> Le 23 février 2024 à 22:39:32 :
> >8,7 millions de soldats soviétiques morts
> > 292 000 américains.
> >
> > Voilà
>
> Mais ça prouve quoi ? Ils se sont fait dégommer et les usa ont mieux protégés leurs hommes
Si les deux avaient autant contribué à détruire le matériel et à causer des pertes à l'Allemagne oui, dans les faits c'est pas le cas. Les alliés (pas que américains) causent 600 000 pertes sur le front de l'Ouest, les soviétiques près de 5.5M. Donc en dehors de la question de la protection faite aux hommes il s'agit surtout d'une implication moindre dans la guerre contre l'axe en Europe.
Ces chiffres sont faux. L'Allemagne a eu 4,3m de morts à l'est grand max, 1,2 à l'ouest (le chiffres sov est gonflé par le % plus élevé d'Allemands morts en captivité en URSS).
https://web.archive.org/web/20161107003129/http://ww2stats.com/cas_ger_tot.htmlQuant au matériel, les Sovs n'ont on détruit qu'environ 50% en valeur. Les 50% autres c'est les milliers d'avions/sous marins/navires etc détruits par les occidentaux. Et c'est sans compter les effets du blocus anglais et des bombardements stratégiques.
Les chiffres ne sont pas faux, mais je fais un raccourci il est vrai : je parle des pertes faites à l'axe en Europe sur le front de l'est. Même en ne parlant que de l'Allemagne dans tous les cas, le rapport reste de 4:1
Si, ils sont faux.
Et 4:1 pour c'est déjà un rapport plus réaliste, dans ton message initial (avec les faux chiffres) le rapport était de 10:1Alors après vérification :
Morts en millions,
Axe front de l'Est : 5.48M (chiffre que j'avais initialement initialement avancé)
Axe front de l'Ouest (comprenant la campagne de France) : 0.83M (mon chiffre initial là dessus était effectivement trop faible car il ne comptait pas les pertes italiennes à l'ouest).
T'as rien vérifié, ces chiffres n'existent pas, et bonne chance pour apporter la moindre preuve.
Ma main à couper que tu as juste repris les données sur une image random trouvée sur le net, données absolument pas sourcées bien sûr. Alors que j'ai donné un lien avec toutes les sources, les vraies sources, dont on a besoin.
Et se baser sur les morts uniquement (avec des données fausses en plus), c'est absurde. Il faut aussi compter les blessés, les prisonniers, le matériel détruit. Ils sont où les 50% du matériel allemand (en valeur) détruits par les alliés occidentaux?
Et comme je l'ai dit ne compter que le morts fait gonfler artificiellement la contribution de l'URSS car le taux de prisonniers dcd là-bas fut plus élevés que ceux dans les camps occidentaux.
Le 24 février 2024 à 11:18:10 :
Beaucoup oublient que Staline a coopéré avec le HIl s’est juste prit une sélection naturelle
Toute l’Europe à coopérer avec le H
L'auteur n'a pas entendu parler de Vistule Oder en janvier 1945.
Les chefs militaires allemands pensent qu'il est possible d'arrêter les Soviétiques sur la Vistule et de les empêcher d'entrer en Allemagne. Plus de 20 voir 25 unités sont disposés en réserve derrière les Groupes d'Armées A et Centres à cet effet. C'est ce que demande Gehlen. Avec une tactique allant dans le sens d'une défense élastique et de la fortification, il serait possible avec des rectifications de front de maintenir l'Armée rouge où elle est Ainsi il y a 4 Groupes d'Armées entre ba Baltique au nord et les Carpates au sud. Ces 4 Groupes d'Armées comprennent eux même 12 Armées allemandes au total. A cela s'ajoute 2 armées hongroises. Le front à garder est long de 2 200 kilomètres sachant qu'a été 1943, il était de 3 100 kilomètres. En décembre 1944, les forces allemande consistent en 1 840 000 hommes, 1 853 canons automoteurs ainsi que que 1 079. Ces chiffres ne comprennent que les combattants et le matériel immédiatement disponible. La Luftwaffe elle, dispose de 900 avions sur le front de l'est. On avait parlé de 1 840 000 combattants au sein des forces de l'armée de terre allemande. Si on compte l'ensemble de la Wehrmacht et ses services arrières inclus, en tout on a largement plus de 3 millions d'hommes.
Pour rappeler le contexte de chacun de ces Groupes d'Armées, il faut savoir que le Groupe d'Armée Nord avait été coupé du Groupe d'Armée Centre par l'Armée rouge le 9 octobre 1944. A ce moment là, le Groupe d'Armées Nord comptait 2 armées, les 16ème et 18ème Armées. Le Groupe était dirigé par le colonel général Schorner. Les Soviétiques parviennent à enfermer ce Groupe à Courlande. Au moment de l'enfermement, 32 divisions dont 5 mécanisés, groupes de combats divisionnaires ainsi que brigades sont disponibles. Sachant qu'un groupe de combat divisionnaire ne dépasse pas une demi division en termes d'effectifs avec en plus une petite quantité d'armes lourdes seulement. Ce Groupe D'Armées Nord ne dépasse que légèrement le chiffre des 500 000 hommes si on inclus les services arrières pour entre 300 000 et 350 000 combattants. Le tout comprenant 510 chars et Sturmgeschutze et seulement 178 avions selon l'ouvrage intitulé : " Das deutsche Reich und der Zweite Welkrieg " volume 8 à la page 670. Les forces soviétiques bloqués dans ce secteur ont beau être importantes puisqu'elles concernent les 1er et 2nd Front Baltiques, ces fronts soviétiques sont moins dotés de tous. Ce qui signifie que l'Armée rouge se retrouve moins pénalisé dans ses autres secteurs que l'Armée allemande qui doit désormais se passer d'un Groupe d'Armées entier, quand bien même ce dernier n'est pas le plus fort. La situation du Groupe d'Armée Nord est si préoccupante que Guderian demande le 18 octobre déjà d'évacuer les 2 Armées du Groupe Nord pour en sorte une réserve opérationnelle digne de ce nom pour la défense de l'Allemagne notamment. Refus d'Hitler qui demande le 21 janvier de tenir Courlande considérée comme étant forteresse. Les 11ème, 61ème et 121ème divisions d'infanterie sont néanmoins rapatriées. Ainsi que la 4ème division Panzer, l'ensemble de ces divisions étant amenés au Groupe d'Armées Centre.
Guderian a beau insister à plusieurs reprises pour l'évacuation de la Courlande, rien n'y fait. Finalement une fois l'offensive Vistule Oder déclenchée, 9 unités viennent renforcer la Prusse Orientale et la Poméranie, un peu tard tout de même. Pour Hitler, il s'agit de de faire de la péninsule un rôle important car l'objectif est de battre les Anglo Saxons puis ensuite les Russes. D'où la contre offensive dans les Ardennes à la fin de 1944. Si cette contre offensive réussit, et elle n'était pas si loin de réussir, Hitler pourrait alors mettre en place un encerclement géant des Armées soviétiques se situant entre les forces soviétiques en avant de la Vistule et les forces soviétiques su nord vers le Courlande. Vu que la contre offensive des Ardennes ne réussit pas comme Hitler l'espérait, il espère qu'un miracle viendra le sauver. Ce miracle viendrait de la fin de l'alliance apparemment contre nature entre le bolchevisme et le capitalisme. La Courlande doit alors devenir l'endroit à partir duquel les Occidentaux puissent attaquer les Soviétiques. Soit une sorte de porte avion situé à 300 kilomètres de la ville de Leningrad, assiégée 900 jours durant par le Groupe d'Armée Nord. Car la Courlande est le seul pied d'appel à l'est pour les Occidentaux. Reste à savoir si une évacuation était possible de la part du Groupe d'Armée Nord. En effet, à partir de l'encerclement du Groupe d'Armées Nord le 9 octobre 1944, le seul moment où la décision d'évacuation aurait pu aboutir favorablement, c'était durant les premiers jours voir le premier si possible. Cela aurait tout de même signifier une maneuvre faisant replier le Groupe via plusieurs parcours de ses divisions par tour successifs. Mais, le mouvement de retraite et d'évacuation aurait probablement été détecté par les 6 Armées soviétiques présentes pour l'encerclement du Groupe Nord.
Ces 6 Armées consistent en les 1ère et 4ème Armées de Choc, la 6ème Armée de la Garde, ainsi que les 22ème, 42ème et 51ème Armées combinées. L'ensemble aurait attaqué massivement. En cas de percée rapide et directe, ce qui était tout sauf improbable, il y aurait un un haut risque de destruction de la plupart des unités situés dans la poche de Courlande. Sans oublier le besoin d'un convoi de 5 à 6 transports de troupes rien que pour une seule division de troupes, le tout escortés par des destroyers de lutte anti sous marine et des chasseurs de mines. Or, la Kriegsmarine a été grandement affaibli dans ses combats dans l'Atlantique notamment. Une estimation soviétique parler de 1 unité toutes les 3 semaines au mieux. Cela signifie que quand l'offensive Vistule Oder commence le 12 puis le 14 janvier, seuls 6 voir 7 divisions dans le meilleur des cas auraient pu être présentes pour constituer une réserve opérationnelle en Prusse Orientale, voire sur la Vistule même. Sachant que l'aviation soviétique aurait fait subir aux Allemands un véritable Dunkerque inversé. Enfin, le mazout et le charbon n'étaient pas en quantité suffisantes pour la Kriegsmarine pour une telle opération dont les moyens excède les moyens britanniques employées lors de l'évacuation de Dunkerque.
Georg Hans Reinhardt est le commandant du Groupe D'Armées Centre, succédant à Busch et Model après la catastrophe de Bagration dont Busch est largement responsable. Le Groupe d'Armées doit se reconstruire après avoir perdu vu ses 3ème, 9ème Armées ainsi que sa 4ème Armée Panzer se faire détruire. Entre la Baltique et Modlin, Reinhardt gouverne depuis son PC de Wartenburg sur 580 kilomètres. Du nord au sud, le Groupe d'Armées Centre aligne désormais 3 Armées au lieu de 4 alignées durant l'été 1944. A savor=ir au nord est, la 3ème Armée Panzer renflouée avec le désastre de Bagration. Cette armée est commandée par le colonelgénéral Erhard Raus derrière la rivière Memel. Sa mission consiste en la protection de Konigsberg, capitale de la Prusse orientale. Au centre du Groupe D'Armées se trouve la 4ème Armée du général Friedfrich Hossbach qui doit protéger le saillant situé entre les rivières Narew et Pregel. Au sud, on trouve la 2ème Armée dirigée pe colonel général Walter Weiss au nord de Varsovie à Vonogrod. Il fait face au 2nd Front de Biélorussie de Rokossovski qui tient 2 têtes de ponts sur la rive ouest de la Narew, à Rozan et Serock. Le tout pour 35 divisions d'infanterie et au moins 14 unités mécanisés. On a notamment les 3ème, 5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 20ème divisions Panzer ainsi que les 2 Panzer SS Totenkopf et Wiking. A cela s'ajoute la PanzerGrenadierDivisionen Grossdeutschland, la 18ème PanzergrenadierDivisionen et la 1ère division blindée aéroportée Hermann Goering. Ainsi que la 10ème Brigade de chasseurs cyclistes, la Brigade Fuhrergrenadier et la PanzergrenadiverDivisionen Bradenburg. 5 unités mécanisés et 2 unités d'infanterie sont retirés puis envoyés en Hongrie pour 4 d'entre elles, à savoir les 6ème et 8ème divisions Panzer notamment ainsi que la Wiking et la Totenkopf. L'autre est envoyée à l'ouest en France dans les Ardennes. Il s'agit de la Brigade Fuhrer Grenadier qui suit la Fuhrer Begleit partie avant cela.
Le Groupe d'Armées le plus au sud se nomme logiquement le Groupe d'Armées Sud. 17 divisions allemande la composent, dont 7 divisions mécanisées. Le tout ayant pour but de défendre la Hongrie et la route menant à Vienne. L'ensemble dispose d'effectifs pouvant peupler 31 divisions dont 11 divisions mécanisées après que 14 divisions soient venus renforcer ce Groupe à partir du 31 décembre 1944. Ces unités venaient des Groupes d'Armées Centre et A pour la plupart. Mais certaines venaient également de la France.
Mais le Groupe d'Armée concernée directement par l'offensive Vistule Oder est le Groupe d'Armée A. Celle ci se trouve entre le confluent Bug et la Slovaquie. Le général Josef Harpe commande ce Groupe d'Armée depuis sa nomination le 24 septembre 1944. 3 têtes de ponts soviétiques doivent être gardées à Baranov, Pulaway ainsi que Magnusev, d'où s'élancera l'offensive soviétique. L'ensemble comprend certes 34 divisions mais seulement 4 divisions mécanisées. Ordre est donné à Harpe de mettre son aile droite jusqu'en Slovaquie, ce qui fait que le total du front fait 700 kilomètres. Le tout pour seulement 4 Armées dont 3 Allemandes bien que conséquentes. Ainsi qu nord au sud on retrouve la célèbre 8ème Armée, dirigée désormais par Smilo Freiherr von Luttwitz, dotée de 7 divisions d'infanterie et V.G.D répartis en 3 Corps d'Armées. Ensuite on a la 4ème Armée Panzer, transférée depuis le Groupe d'Armée Centre après l'été 1944. Cette unité a Fritz Hubert Graser à sa tête et dispose de seulement 2 Corps ayant 3 divisions chacun, donc 6 divisions au total ainsi qu'une division de réserve hongroise. Encore plus au sud, il y a la 17ème Armée commandée par le général d'infanterie Friedrich Schultz dotée de 2 Corps également mais cette fois de 8 divisions ou V.G.D. Enfin, c'est la 1ère Armée Panzer qui couvre le secteur nord du Groupe d'Armée avec le célèbre Hotthard Heinrici à sa tête. La 1ère Armée hongroise garde son flanc, malgré sa relative faiblesse. Ces 2 armées forment une sorte de sous groupe au sein du Groupe d'Armées A, à savoir le Groupe d'Armées Heinrici. L'ensemble comporte 7 divisions d'infanterie, de skieurs ou de chasseurs répartis en 2 Corps d'Armées. Juste avant l'attaque, il y a 32 divisions auxquels s'ajoutent 6 unités mécanisées et 2 Brigades d'infanterie. Le total est porté à 93 000 combattants pour 1 816 pièces d'artillerie, 793 pièces de Pak, 616 Sturmgeschutze ainsi que 318 chars.
La 4ème Armée Panzer est logiquement l'armée la plus puissante du Groupe A puisqu'elle dispose de de 596 canons ainsi que de 474 chars et Sturmgeschutze à elle seule si on en croit l'ouvrage intitulé " Magenheimer, Absehrschlacht" à la page 77. En réserve on trouve la 10ème PanzerGrenadierDIvisionen. Au total, l'ensemble des 4 Groupes d'Armées alignent 132 divisions en novembre 1944 dont 30 mécanisés pour un total de 1500 chars. Puis ensuite, le chiffre passe à 1 800 chars pour 145 divisions. Cela est du à la nécessité de renforcer un front qui s'est allongé avec l'offensive soviétique en Hongrie puis en Slovaquie en décembre 1944.
Les mois de juin, juillet et août 1944 ont vu près de 590 000 combattants allemandes mourir sur le front de l'est. Sachant que les 4 derniers mois de la guerre entre le 12 janvier 1945 et le 12 mai 1945 verra bien plus de morts s'accumuler côté allemand puisque le chiffre de 590 000 va faire plus que doubler avec au moins 1 200 000 morts dont près de 70% à l'est dans les combats contre l'Armée rouge. Cela signifie en l'espace de 4 mois autant de morts qu'entre aout 1914 et décembre 1917. Les plus concernés sont logiquement l'infanterie. Les soldats les plus expérimentés ainsi que les officiers et sous officiers meurent en masse. Ce qui fait que non seulement le nombre des effectifs des unités baissent, mais leur qualité également. De plus, le nombre d'unités commence petit à petit à diminuer également. Goebbels reçoit pour mission d'Hitler de remédier à cette catastrophe à partir du 25 juillet 1944. De telle sorte que des centaines de milliers d'hommes travaillant dans les usines se voient contraints à être envoyés sur le front pour le plupart, qu'ils viennent des secteurs des bureaux de poste, de la consommation, des transports ou des mines. 80 000 de travailleurs sont envoyés à l'est pour la plupart entre les mois de janvier et mars 1945 par Goebbels. Mais Speer n'est pas d'accord car l'économie et la production s'en retrouvent petit à petit et logiquement pénalisés puisqu'il déclare ainsi en mars 1945 d'avoir besoin de près de 2 millions de travailleurs pour la réparation des destructions à l'encontre des voies ferrées alors qu'il n'en dispose que de 180 000. Même les canonniers sont concernés par dizaines de milliers vu qu'ils sont envoyés dans les divisions de DCA pour s'improviser d'un coup en artilleurs antichars. De plus, la Kriegsmarine transfère 200 000 hommes à l'Armée de Terre alors qu'ils n'ont pas les compétences requises.
La Luftwaffe se voit obliger de retirer près de 200 000 hommes également dont 160 000 ç l'Armée de terre tandis que les autres doivent aller remplacer des unités parachutistes durant l'ensemble de l'été 1944. 140 000 hommes sont encore être cédés à l'armée de terre allemande durant les mois de septembre et octobre 1944. Il ne faut pas s'étonner que ces marins et ces aviateurs enregistrent des pertes plus élevées que la moyenne en raison de leur manque de compétence. Le pire est à venir puisqu'un décret donne à partir du 25 septembre 1944 le pouvoir aux différents Groupes d'Armées le pouvoir d'enrôler tout homme entre 18 et 60 ans. De plus, la classe 28, c'est à dire les moins de 17 ans est appelé à combattre en janvier 1945 sachant qu'un tiers d'entre eux est jugé inapte aux combats. En mars 1945, ce sera quasiment les moins de 16 ans avec la classe 29.
Au début du mois de janvier 1945, on voit que les deux ailes des Groupes Centre et Sud sont plus fortes que le centre qui est le Groupe d'Armées A. Seulement 3 chars ou chasseurs de char en moyenne par kilomètres sachant que chaque division occupe un secteur de 16,5 kilomètres en moyenne. Du côté du centre, à savoir du Groupe d'Armées A, il n'y a pas plus de 2 chars au kilomètres en moyenne sachant que chaque division a en charge de tenir 22 kilomètres de front en moyenne. De plus, entre Varsovie au nord et les Carpates au sud, l'Armée rouge est passé en mode défensive à partir de la fin du mois d'août 1944 jusqu'au mois de novembre 1944. En Hongrie, en revanche, les batailles s'enchaînent entre aout 1944 et janvier 1945. Durant la bataille de Iassy Kichinev dans le secteur portant le même nom, lorsque la percée est obtenue entre le 20 et le 29 août 1944. Budapest est finalement encerclé le 27 décembre après une avancée soviétique ayant duré 4 mois durant. Du coup, Hitler donne un maximum d'effectifs au Groupe d'Armées Sud. Durant le mois de janvier, Hitler maintient sa tentative de conservation de la Hongrie, malgré le fait que l'Armée rouge est alors de faire rouler ses Armées de tanks à toute vitesse en direction de Berlin à travers la Pologne à raison de 50 kilomètres par jour au maximum. Entre le 13 et le 15 janvier 1945, les bombardiers américains détruisent plusieurs usines de carburant synthétique, une dizaine en tout, dont celles de Zetz, Brux, Blehhammer, Leuna et Politz à Stettin. Dans le cadre de la défense des usines, 150 appareils allemands ont été abattus contre seulement 16 avions côté américain. L'hécatombe est clair. Du coup, Hitler veut sauver les centaines de milliers de tonnes de brut restantes, et extraites de Zisterdorf qui se situe près de Vienne dans le district de Nagykanizca près du lac Balaton. Il envoie donc la 6ème Armée Panzer en Hongrie au lieu de la garder près de Berlin en Pologne de l'ouest.
Mais le Groupe d'Armée concernée directement par l'offensive Vistule Oder est le Groupe d'Armée A. Celle ci se trouve entre le confluent Bug et la Slovaquie. Le général Josef Harpe commande ce Groupe d'Armée depuis sa nomination le 24 septembre 1944. 3 têtes de ponts soviétiques doivent être gardées à Baranov, Pulaway ainsi que Magnusev, d'où s'élancera l'offensive soviétique. L'ensemble comprend certes 34 divisions mais seulement 4 divisions mécanisées. Ordre est donné à Harpe de mettre son aile droite jusqu'en Slovaquie, ce qui fait que le total du front fait 700 kilomètres. Le tout pour seulement 4 Armées dont 3 Allemandes bien que conséquentes. Ainsi qu nord au sud on retrouve la célèbre 8ème Armée, dirigée désormais par Smilo Freiherr von Luttwitz, dotée de 7 divisions d'infanterie et V.G.D répartis en 3 Corps d'Armées. Ensuite on a la 4ème Armée Panzer, transférée depuis le Groupe d'Armée Centre après l'été 1944. Cette unité a Fritz Hubert Graser à sa tête et dispose de seulement 2 Corps ayant 3 divisions chacun, donc 6 divisions au total ainsi qu'une division de réserve hongroise. Encore plus au sud, il y a la 17ème Armée commandée par le général d'infanterie Friedrich Schultz dotée de 2 Corps également mais cette fois de 8 divisions ou V.G.D. Enfin, c'est la 1ère Armée Panzer qui couvre le secteur nord du Groupe d'Armée avec le célèbre Hotthard Heinrici à sa tête. La 1ère Armée hongroise garde son flanc, malgré sa relative faiblesse. Ces 2 armées forment une sorte de sous groupe au sein du Groupe d'Armées A, à savoir le Groupe d'Armées Heinrici. L'ensemble comporte 7 divisions d'infanterie, de skieurs ou de chasseurs répartis en 2 Corps d'Armées. Juste avant l'attaque, il y a 32 divisions auxquels s'ajoutent 6 unités mécanisées et 2 Brigades d'infanterie. Le total est porté à 93 000 combattants pour 1 816 pièces d'artillerie, 793 pièces de Pak, 616 Sturmgeschutze ainsi que 318 chars.
La 4ème Armée Panzer est logiquement l'armée la plus puissante du Groupe A puisqu'elle dispose de de 596 canons ainsi que de 474 chars et Sturmgeschutze à elle seule si on en croit l'ouvrage intitulé " Magenheimer, Absehrschlacht" à la page 77. En réserve on trouve la 10ème PanzerGrenadierDIvisionen. Au total, l'ensemble des 4 Groupes d'Armées alignent 132 divisions en novembre 1944 dont 30 mécanisés pour un total de 1500 chars. Puis ensuite, le chiffre passe à 1 800 chars pour 145 divisions. Cela est du à la nécessité de renforcer un front qui s'est allongé avec l'offensive soviétique en Hongrie puis en Slovaquie en décembre 1944.
Les mois de juin, juillet et août 1944 ont vu près de 590 000 combattants allemandes mourir sur le front de l'est. Sachant que les 4 derniers mois de la guerre entre le 12 janvier 1945 et le 12 mai 1945 verra bien plus de morts s'accumuler côté allemand puisque le chiffre de 590 000 va faire plus que doubler avec au moins 1 200 000 morts dont près de 70% à l'est dans les combats contre l'Armée rouge. Cela signifie en l'espace de 4 mois autant de morts qu'entre aout 1914 et décembre 1917. Les plus concernés sont logiquement l'infanterie. Les soldats les plus expérimentés ainsi que les officiers et sous officiers meurent en masse. Ce qui fait que non seulement le nombre des effectifs des unités baissent, mais leur qualité également. De plus, le nombre d'unités commence petit à petit à diminuer également. Goebbels reçoit pour mission d'Hitler de remédier à cette catastrophe à partir du 25 juillet 1944. De telle sorte que des centaines de milliers d'hommes travaillant dans les usines se voient contraints à être envoyés sur le front pour le plupart, qu'ils viennent des secteurs des bureaux de poste, de la consommation, des transports ou des mines. 80 000 de travailleurs sont envoyés à l'est pour la plupart entre les mois de janvier et mars 1945 par Goebbels. Mais Speer n'est pas d'accord car l'économie et la production s'en retrouvent petit à petit et logiquement pénalisés puisqu'il déclare ainsi en mars 1945 d'avoir besoin de près de 2 millions de travailleurs pour la réparation des destructions à l'encontre des voies ferrées alors qu'il n'en dispose que de 180 000. Même les canonniers sont concernés par dizaines de milliers vu qu'ils sont envoyés dans les divisions de DCA pour s'improviser d'un coup en artilleurs antichars. De plus, la Kriegsmarine transfère 200 000 hommes à l'Armée de Terre alors qu'ils n'ont pas les compétences requises.
La Luftwaffe se voit obliger de retirer près de 200 000 hommes également dont 160 000 ç l'Armée de terre tandis que les autres doivent aller remplacer des unités parachutistes durant l'ensemble de l'été 1944. 140 000 hommes sont encore être cédés à l'armée de terre allemande durant les mois de septembre et octobre 1944. Il ne faut pas s'étonner que ces marins et ces aviateurs enregistrent des pertes plus élevées que la moyenne en raison de leur manque de compétence. Le pire est à venir puisqu'un décret donne à partir du 25 septembre 1944 le pouvoir aux différents Groupes d'Armées le pouvoir d'enrôler tout homme entre 18 et 60 ans. De plus, la classe 28, c'est à dire les moins de 17 ans est appelé à combattre en janvier 1945 sachant qu'un tiers d'entre eux est jugé inapte aux combats. En mars 1945, ce sera quasiment les moins de 16 ans avec la classe 29.
Au début du mois de janvier 1945, on voit que les deux ailes des Groupes Centre et Sud sont plus fortes que le centre qui est le Groupe d'Armées A. Seulement 3 chars ou chasseurs de char en moyenne par kilomètres sachant que chaque division occupe un secteur de 16,5 kilomètres en moyenne. Du côté du centre, à savoir du Groupe d'Armées A, il n'y a pas plus de 2 chars au kilomètres en moyenne sachant que chaque division a en charge de tenir 22 kilomètres de front en moyenne. De plus, entre Varsovie au nord et les Carpates au sud, l'Armée rouge est passé en mode défensive à partir de la fin du mois d'août 1944 jusqu'au mois de novembre 1944. En Hongrie, en revanche, les batailles s'enchaînent entre aout 1944 et janvier 1945. Durant la bataille de Iassy Kichinev dans le secteur portant le même nom, lorsque la percée est obtenue entre le 20 et le 29 août 1944. Budapest est finalement encerclé le 27 décembre après une avancée soviétique ayant duré 4 mois durant. Du coup, Hitler donne un maximum d'effectifs au Groupe d'Armées Sud. Durant le mois de janvier, Hitler maintient sa tentative de conservation de la Hongrie, malgré le fait que l'Armée rouge est alors de faire rouler ses Armées de tanks à toute vitesse en direction de Berlin à travers la Pologne à raison de 50 kilomètres par jour au maximum. Entre le 13 et le 15 janvier 1945, les bombardiers américains détruisent plusieurs usines de carburant synthétique, une dizaine en tout, dont celles de Zetz, Brux, Blehhammer, Leuna et Politz à Stettin. Dans le cadre de la défense des usines, 150 appareils allemands ont été abattus contre seulement 16 avions côté américain. L'hécatombe est clair. Du coup, Hitler veut sauver les centaines de milliers de tonnes de brut restantes, et extraites de Zisterdorf qui se situe près de Vienne dans le district de Nagykanizca près du lac Balaton. Il envoie donc la 6ème Armée Panzer en Hongrie au lieu de la garder près de Berlin en Pologne de l'ouest.
En parlant du Volkssturm, des groupes entiers ont été formés à la fin de la guerre pour palliers des pertes de plus en plus énormes notamment sur le front de l'est, même si certains partent également combattre à l'ouest. Selon Heinz Guderian, c'est Adolf Heusinger qui aurait eu l'idée de sa création. Ce dernier a contesté cela en 1956 après la mort de Guderian. Certains historiens pensent aujourd'hui que c'est Koch le véritable inventeur de La Volkssturm. Il s'agit de stopper les Soviétiques avant qu'il ne puissent atteindre Konigsberg après la destruction du Groupe d'Armées Centre lros de l'été 1944. Ainsi, 2 mesures sont prises par Koch. D'abord le 13 juillet 1944, les hommes de 15 à 65 ans sont mobilisés pour la construction de fortifications de campagne sur la frontière devant Konigsberg. Ensuite, l'ordre de Guderian du 27 juillet met en avant l'idée d'Ostwall, mûr de l'est censé protéger l'Allemagne de l'avancée de l'Armée rouge. Koch demande l'enrôlement de 2 divisions supplémentaires en Prusse orientale et enrôle des effectés spéciaux qui ne sont pas indispensables à l'économie de guerre. Le Volkssturm allemand est officiellement crée via décret signé par Hitler le 25 septembre 1945. Le Volkssturm est directement dirigé par le parti nazi et notamment par Friedrichs qui est chef d'état major. C'et Himmer chef des SS qui se charge de leur équipement. En théorie, 13,5 millions dont 11 millions dans la Whermacht sont incorposés alors qu'en fait, il n'y a que 6 millions potentiellement mobilisables. D'abord les 20 60 ans sont appelés, du moins ceux qui sont aptes au service armée et qui ne jouent pas un rôle important dans les arrières du front. Cela fait 1,2 millions d'hommes. Ensuite la seconde levée concerne 2,8 millions avec les 20 60 ans aptes au service armés qui sont pour la plupart dans les transports, les communications et les usines de guerre.
A cela s'ajoute la troisième et la quatrième levée. La troisième levée concerne les 16 19 ans et en tout plus de 600 000 adolescents dont beaucoup de 16 ans étant donné que beaucoup de jeunes de 17 18 ans sont déjà enrôlés au sein de la Wehrmacht, voire au sein du Service du Travail du Reich quand ce n'est pas au sein de la Jeunesse hitlérienne. La quatrième lève 1,4 millions d'hommes en théorie puisque les inapes au service armés capable de tenir des rôles de sécurité et de surveillance sont levés. Seulement une minorité des ces 6 millions d'hommes sont réellement envoyés au combat avec un total de 206 000 disparus en 1945 selon la Croix Rouge allemande dont 31 000 tués selon l'auteur Yelon dans son ouvrage intitulé ' Hitler's Volkssturm" ainsi que 175 000 disparus sont la majorité sont en réalité morts.. Le Volkssturm se divise en bataillons disposant de 2,3 voir 4 compagnies d'infanterie avec une compagnie lourde. Le tout comprenant entre 400 et 800 hommes. Leur faiblesse consiste logiquement au manque d'armement lourd et notamment de canons d'infanterie, de MG ou encore de mortiers, la grande majorité de cet armement lourd étant envoyé à la Whermacht. Même les armes légères sont envoyés au compte goutte de telle sorte que seuls les effectifs susceptibles d'avoir une arme individuelle au moins seront réellement levés. La formation de ceux qui sont envoyés dans ces bataillons dure 2 semaines au pire. Dans le meilleur des cas, elle ne dépasse pas la durée d'un mois, ce qui est insuffisant face aux vétérans de l'Armée rouge de 1945. Des mitrallettes MP 3008 peuplent tout de même certaines sections nommés les Volksmaschinenpistole. Le Panzerfaust est en revanche largement présent au sein de quasiment toutes les untiés du Volkssturm et en grand nombre. L'autre grand faiblesse du Volkssturm en revanche réside d'une part dans l'incompétence d'une partie de l'encarement ainsi que son insuffisance.
Le vivier de l'armée de terre c'est l'Esartzamee ou Armée de remplacement commandée par Himmler. Son rôle consiste à la fois en un rôle de police intérieure pour réprimer d'éventuels soulèvements voire lutter contre les parachutistes soviétiques à la fois de formation en format dans les écoles et les casernes dans des formations diverses. Pour ce qui est du remplacement, cela consiste en l'accueil des convalescents et en la constitution de bataillons de marche acheminés vers les unités combattantes voire la levée et l'équipement de nouvelles unités. Or à partir de l'automne 1944, il est décidé que la Ersatzer doit lever des groupes de combats dans les zones bordés par l'Armée rouge. Le mot e code est Gneisenau. En janvier 1945, c'est toute l'Allemagne orientale qui est concernée à cause de l'offensive Vistule Oder. Au total 155 000 soldats formés sont envoyés après une formation très rapide. Au sein des unités de retraite sont affectés 70 000 soldats. Plus de 33 000 nouveaux officiers sortent des écoles à la hâte. Ils sont groupés en 12 régiments. En mars 1945.
Même les SS ne sont pas épargnés par les changements. D'ailleurs en valeur absolue, selon les chiffres donnés par B Muller Hillebrandt dans son ouvrage intitulé : Das Heer, 1933 1945, l'augmentation est claire et nette. La Waffen SS passe de plus de 70 000 hommes à 594 443 hommes au moins de juin 1944 lors de l'opération Bagration et 830 000 à la fin de la guerre en mars 1945. Au début de l'opération Barbarossa entre temps, il y en a 170 000 environ. 5% du personnel de la Wehrmacht sont des SS à la fin de l'année 1944 dont 2 tierss des divisions de Panzergrenadiers et un quart des Panzerdivisionnen. Les classes 27 et 28 représentent 17% de leurs effectifs. Pour ce qui est des étrangers, sa proportion augmente au fur et à mesure. Le 1er janvier 1943, 10% des SS se font à recrutement étranger tandis que qu'à partir du 1er janvier 1944, on a 5 divisions étrangères sur 17 divisions SS au total. Le 1er juin 1944, le chiffre monte à 11 sur 23 pour finalement arriver à 20 sur 34 au 1er janvier 1945 et finalement 27 sur 45 le 1er mai 1945. Près de la moitié des divisions SS à Berlin sont des étrangers. Au total plus de 400 000 allemands s'enrôlent dans la SS en 1944 pour 300 000 Volkdeutschen, 50 000 Germaniques et 150 000 étrangers non germaniques.
L'Allemagne atteint des pics de production spectaculaires en 1944 malgré la difficulté. Le concentration des pouvoirs économiques entre les mains d'Albert Speer ainsi que la mise au travail forcé des prisonniers de guerre ont été les 2 causes principales de cet augmentation. Ainsi les usines sortent 1 854 chars, canons automoteurs et canons d'assaut au mois de décembre 1944. Parmi eux il y a 1 090 canons d'assaut. 450 Mark IV, 285 Panthers et 30 Tigres. Un niveau jamais atteint durant toute la guerre. La même chose peut être dite concernant l'aviation puisque la production passe pour ce qui est des avions de chasse de 1104 en février 1944 à 2275 en septembre 1944. 1 273 Nebelwerfer pour ce qui est de l'artillerie ont été produits en octobre 1944 soit quasiment autant que durant toute l'année 1943. Enfin, 1354 canons d'infanterie sont produit dans le courant du mois de novembre 1944. Sans oublier les 1414 tubes de Flak et 104 000 armes automatiques, 1 279 tubes Pak, 4 387 mortiers et pour terminer, un nombre astronomique de 1 280 000 Panzerfaust. Cependant, le manque de mitrailleuses et mitraillettes se fait sentir pour l'infanterie. De même que ses moyens de transport. De plus, le nombre de véhicules et notamment de camions a diminué de manière considérable depuis 1941 de sorte que son infanterie est très peu motorisée. 367 000 obus de chars seulement sont manufacturés en janvier 1945 alors que l'infanterie en a besoin de 1,5 par mois. Au total les Armées allemands comptent en décembre 1944 4 053 Sturmgeschutze, 1 966 Panthers, 1 630 Mark IV, 1 411 Panzerjager, 409 Tigres I et II ainsi que 243 Flakpanzer. Le 10 janvier 1945, on compte 2 587 chasseurs allemands contre 3 484 grand maximum durant le mois de novembre 1944. De plus, il y a 1 029 avions d'attaque au sol à seulement quelques unités du record de la guerre qui est de 1 078 avions d'attaque au sol en décembre 1944. Mais l'économie allemande reste au bord de l'effondrement.
Côté soviétique contrairement à 1942 et 1943, Corps et Armées combattent au sein d'un système interarmes. L'aviation devient de plus en plus importante. Le lien avec les formations à côté est toujours rechercher par chaque formation. La coordination s'améliore de manière considérable également. Jusque 1943, le manque de coordination a souvent coûté à l'Armée rouge soit des victoires complètes, soit a transformé une simple défaite ou un simple recul en un désastre notamment lors de la catastrophe de 1941. De plus, les commandant d'Armées de tanks sont tout aussi performant que leurs homologues allemands de la PanzerAffe.
Pour préparer l'offensive Vistule Oder, entre le 27 octobre 1944 et le 12 janvier 1945, les Soviétiques passent en défensive entre les pays Baltes et la Slovaquie sur plusieurs centaines de kilomètres de front. Les Soviétiques avaient déjà conquis trois têtes de pont de grande taille que la Vistule. Il a fallu les défendre, les étendre, les aménager et les ravitailler pour qu'ils puissent servir de base à la grande offensive qui se préparer. La tête de pont de Baranov comme l'appellent les Allemands avaient été pris dans le cadre de l'opération Lvov Sandomir par le 1er Front d'Ukraine de Koniev. Malgré de violentes contre attaques des Panzers allemands pour éliminer cette tête de pont, seule une réduction de sa taille est obtenue. La tête de pont en question a une longueur de 75 kilomètres pour une largeur de 50 kilomètres. Pendant ce temps, 2 autres têtes de ponts étaient conquises par le 1er Front de Biélorussie à l'occasion de l'opération Bagration, à savoir les 2 têtes de ponts de Pulawy et Magnuszez, certes moins grandes que celle de Baranov étant donné que les dimensions de la tête de pont de Pulway sont de 30 kilomètres de longueur pour 10 kilomètres de largeur contre 40 sur 18 kilomètres concernant celle de Magnuszev. La 19ème division Panzer allemande empêcher néanmoins la jonction entre ces 2 têtes de ponts.
Cependant, l'Armée allemande a détruit derrière eux un maximum de carrefours routiers, de dépôts, de ponts et de gares. Les rails n'ont pas été épargnés. De telle sorte que les services de construction ferroviaire et routière soviétique du 1er Front de Biélorussie doivent réparer 11 000 kilomètres de lignes téléphoniques et télégraphiques ainsi que 3 000 kilomètres de routes. Ils doivent également mettre en place 562 nouveaux ponts sur le Bug, la Berezine, le Pripat, la Sosh et sur le Dniepr en particulier.. 626 ponts sont réparés également. Le tout entre le mois d'août 1944 et le mois de janvier 1945 juste avant le début de l'offensive Vistule Oder. 6 ponts de 60 tonnes, 5 de 40 tonnes et 2 de 16 tonnes sont installés sur la Vistule dans l'optique de ravitaillement des têtes de pont de Pulawy et de Magnuszev. A partir de l'hiver, des compagnies du génie doivent à plusieurs reprises dynamiter les glaçons les plus dangereux lorsque la glace commence à s'accumuler contre les piles des ponts installés. En parlant de têtes de ponts, rien que dans celle de Magnuszev, on y trouve 23 divisions comportant30 000 chevaux, 10 000 véhicules ainsi que 5 348 canons d'artillerie. Au sein de cella de Baranov, les tranchées boueuses accueille une vingtaine de visiisons également. 4 à 4,5 napravka par Front pour la carburant. Cela fait 50 000 tonnes de gazole pour la 1er Front de Biélorussie. Mais selon Antipenko dans son ouvrage intitulé In Der Hayptrichtung à la page 241, 40 000 tonnes manquent pour les 70 000 camions, 4 000 chars et canons automoteurs, 3 000 tracteurs et 2 500 avions. Une des raisons de l'arrêt sur l'Oder en février. Dès fois, les Soviétiques prennent des dépôts de carburant allemands pris sur leur passage. Le problème est que là où les Panthers et les Tigres allemands utilises de l'essence, les T 34 85 ainsi que les IS 2, eux, utilisent du gazole.
Du coup, on utilise le kérosène pris et on le mélange avec de l'essence dans une proportion de 2 : 1. Mais les moulins finissent par être surchauffés. En dernier ressort, certains bataillons se sont également mis à rouler avec un drôle de mélange kérosène vodka.
De plus, pour se préparer à l'attaque, des groupes d'observateurs sont envoyés par centaines une fois formés par le NKVD et le GRU. Ces gens là parlent allemands dans la plupart des cas. Certains d'entres eux sont des communistes slovaques, polonais, voire ukrainiens. 26 groupes d'observateurs envoyés en profondeur derrière les lignes allemandes en novembre 1944 si on en croit un rapport du contre espionnage allemande du Groupe d'Armées A, qui va recevoir l'attaque du 12 et 14 janvier 1945 de plein fouet. La plupart sont relevés entre Litzmannstadt à Lodz et Radom, là où avanceront le 1er Front de Biélorussie ainsi que le 1er Front d'Ukraine. Mais vu que ce n'est logiquement pas suffisant pour tromper les Allemands, le GRU envoie ses parachutistes dans des fausses zones d'attaque, à savoir au sud de Cracovie et à l'ouest de Varsovie. Les bataillons du génie font des reconnaissances également pour détecter les champs de mines, les fossés antichars et les lignes téléphoniques, ainsi que les nids de mitrailleuses et les bunkers allemands. Les officiers soviétiques admettront avoir eu une connaissance exacte du dispositif ennemi ainsi que les lignes de jonction se situant entre les différents bataillons, régiments et divisions voire dans certains cas entre des compagnies. C'est sur ces points faibles que leurs attaques sont concentrés au début de l'offensive. 4 bataillons de détection électromagnétique écoutent les communications allemands 24 heures sur 24. Plusieurs PC divisionnaires sont reprérés. Ils ont même repérés le IV Panzerkorps SS le 30 décembre 1944 avoir son mouvement à 100 kilomètres au sud de leur emplacement précédent. Des agents ont été envoyés du 1er Front de Biélorussie à Czestochowa où des SS portant l'insigne de la Wiking avaient été aperçus. De plus, un prisonnier de la Totenkof à Komarno a confirmé la déplacement de l'unité allemande.
A cela s'ajoute le concept de maskirovka, de dissimulation. Car oui, il est impossible de cacher les concentrations massives d'hommes et de matériels dans des points si étroits que sont les têtes de ponts. La seule possibilité côté soviétique est donc de masquer les réels objectifs, de faire croire à une concentration des moyens moindre que la réalité et enfin de dissimuler le centre de gravité réel de l'offensive. Et cela marche puisque Gehle, le chef du renseignement allemand, s'il devine l'axe d'attaque principal en direction de Berlin, pense que l'attaque consistera juste à élargir les têtes de ponts soviétiques sur la Vistule.
Cela montre qu'il ne pensait pas que les têtes de pont existantes pouvaient fournirs aux différents Fronts Soviétiques les bases suffisantes pour une opération de si grande ampleur. De plus, l'objectif de la ligne Breslau Posen ainsi que l'Oder n'est pas mentionné. Pour Gehlen, le 1er Front d'Ukraine visera de sa tête de pont de Baranov la ligne Tschenstochau Kattowitz et ensuite Cracovie Moravie au nord ainsi que un axe situé au sud de la Vistule. Il croit également que le 1er Front Biélorussie voudra prendre Varsovie pour obliquer nord ouest afin de sectionner les forces de Prusse Orientale du reste de l'Allemagne. Il postule don à une attaque en pince pour élargir la tête de pont. Le fait que les mouvements des unités soviétiques se sont effectués par grand brouillard et principalement durant la nuit ainsi que la présence d'une silence radio complet pour les nouvelles unités couplés à la mise en place de faux trafics radios concernant la zones de départs des unités en question n'ont rien arrangé du tout. Au contraire.
La maskirovka s'applique principalement du côté de Varsovie ainsi que dans l'axe Tarnow Cracovie. Les 47ème et 67ème Armées ainsi que la 1ère Armée polonaises tentent de simuler une grande offensive concentrique tandis qu'au sein de la tête de pont de Magnuszev, c'est la 5ème Armée de Choc ainsi que la 8ème Armée de la Garde dirigée par Tchoukov qui tentent d'orienter en direction du nord ouest pour faire croire à une future attaque dans cette direction alors qu'en réalité, l'axe se situe vers l'ouest uniquement en direction de Lodz. De plus, entre la seconde partie du mois de décembre et la 10 janvier sur quasiment 4 semaines donc, dans le secteur du 1er Front d'Ukraine, Koniev tente de faire croire aux Allemands que son offensive vise le sud de la Vistule dans l'axe Tarnow Cracovie puis vers Kattowitz alors qu'en réalité, il n'en sera rien. Faire croire à une prise de la Haute Silésie est un bon coup à jouer étant donné que c'est un des seuls grands centres industriels du Reich non bombardés par les Alliés Occidentaux ou par les Soviétiques pour le moment. Il s'agit de faire croire à la présence des 2 Armées de tanks du 1er Front d'Ukraine ainsi qu'à la présence de 4 Corps blindées en plus. D'où la présence de brigades d'infanterie de la 60ème Armée ainsi que les 200 chars appartenant au 4ème Corps blindé de la Garde. Au total, il y a également eu une sous estimation de 40% des forces de l'infanterie soviétiques ainsi qu'une sous estimation de 60% de ses moyens en chars. La 5ème Armée de Choc n'a ainsi pas été vue par les Allemands du côté de la tête de pont de Magnuszev. La moitié de la 61ème Armée n'a pas été détectée également. La 1ère Armée de tanks de la Garde est crue à 200 kilomètres au sud de la rive orientale de la Vistule par Gehlen. De même enfin, la 2ème Armée de tanks de la Garde est placée par le renseignement allemand à une centaine de kilomètres au nord est.
Du côté de la tête de pont de Pulawy, c'est la 33ème Armée qui n'est aps vu. Enfin, les 21ème, 52ème et 59ème Armées ne sont pas vues par les Allemands du ôté de la tête de pont de Baranov. Pour ce qui est des Armées de tanks ainsi que du 4ème Corps blindé, ils sont vus comme étant plus en arrière que dans la réalité.
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- Pp2024
- Date de création
- 23 février 2024 à 22:35:43
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- 23 décembre 2024 à 02:10:00
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