Ce soir, on se pose et on cause DYSPHORIE DE GENRE

Pareille pour les mecs, regarde au cinéma toutes les stars sont des hommes épilés, les sportifs s'épilent régulièrement.

Thor c'est un mec au cheveux long et au corps sans poil

Le 30 mai 2021 à 21:23:14 :

Le 30 mai 2021 à 21:18:36 :

Le 30 mai 2021 à 21:13:39 :
"Sans regard social, cette dysphorie n'existerait pas chez de nombreuses personnes."

Totalement faux, le problème des dysphoriques c'est leurs corps, surtout chez les hommes qui ont des poils et de la barbe et se sentent femme, socialement tu es libre de te comporter comme tu veux.

T'es dysphorique ?

Parce que oui, les dysphoriques détestent souvent leur corps. Mais pas directement : parce que ça les ramène à une identité sociale.

Tu as déjà essayé de te comporter "comme tu veux" ? Moi oui. Et sur le plan professionnel, sur le plan sentimental, sur le plan social, sur énormément de plans, c'est galère. Et tu te prends en plein museau une violence assez inouïe.

Rien qu'en prenant, enfant, la décision de ne pas m'épiler les jambes, j'ai signé pour des années d'humiliations parfois publiques, de violences et de remarques à la con. Et je te parle que de poils sur des jambes.

Les mecs qui s'amusent à flirter un peu trop avec la féminité en prennent également plein la gueule.

Virtuellement, oui, tu es libre de te comporter comme tu veux. Dans la pratique, te comporter comme tu veux a un prix, et il est souvent bien salé.

Le problème c'est de ton charisme et ton leadership. J'ai connu des femmes qui ne s'épilaient pas non pas pour des questions sexualité mais tout simplement par flemme, et elles se faisaient respecter par tous le monde. Une en particulier a terminé avec un banquier et ils montent des entreprises ensemble.

Ce n'est pas une question de sexualité : je suis en couple hétéro depuis pas mal d'années.

Le problème c'est ta manière de t'imposer, de te comporter. C'est pas la société qui est responsable de tes sentiments de gènes et du regard des autres qui pèse sur toi.

Je suis quelqu'un qu'on définirait (et je pense que ça se ressent quand j'écris) de plutôt assuré et plus prompt à diriger qu'à suivre. Je n'ai donc jamais eu la sensation de me laisser marcher dessus peut-être, justement, parce que j'ai pas supporté qu'on m'humilie quand j'étais môme. Mais la violence existe néanmoins, et ce n'est pas parce que tu t'imposes qu'elle n'existe pas.

Mon beau-père est mort récemment, juste après m'avoir à demi-mot avoué qu'il aurait souhaité "autre chose" comme belle-fille.
J'ai des patients qui refusent parfois d'être soignés par quelqu'un avec mon physique (notamment des personnes religieuses).
J'ai déjà eu des tentatives d'intimidation suffisamment poussées pour que le charisme n'y puisse rien.

Il y a des violences qui se foutent éperdument de ton leadership.

Tu n'es jamais totalement libre, khey. Aussi charismatique sois-tu, t'en prends dans la gueule. Perso, j'en parle pas IRL. Il n'empêche que ça te trotte dans la tête quand tu rentres le soir et que tu gagnes ton pieu.

Le 30 mai 2021 à 21:27:43 :
Pareille pour les mecs, regarde au cinéma toutes les stars sont des hommes épilés, les sportifs s'épilent régulièrement.

Thor c'est un mec au cheveux long et au corps sans poil

Pourtant un homme qui s'épile les jambes, et le maillot c'est plutôt mal vu

Le 30 mai 2021 à 21:25:50 :

Le 30 mai 2021 à 21:19:58 :

Le 30 mai 2021 à 21:13:16 :

Le 30 mai 2021 à 21:00:49 :

Le 30 mai 2021 à 20:56:39 :

Le 30 mai 2021 à 20:52:00 :

Le 30 mai 2021 à 20:49:00 :

Le 30 mai 2021 à 20:45:05 :

Le 30 mai 2021 à 20:43:45 :
Ca devient rare les topics de 1 à 2 ans pas censurés, surtout sur ce genre de sujet

Enfin je suppose que la collabomodération doit veiller au grain et qu a part "bonjour" on ne doit pas pouvoir dire grand chose

Y a eu des discussions très intéressantes sur les détransitions, le lien avec des abus, sur les comorbidités associées, sur les dérives militantes...

Quand tu discutes du sujet sans vomir ton venin sur des personnes, ça marche plutôt bien

Oui bien sur, la haine le venin tout ça tout ça
Ca aurai été étonnant un topic lgbt sans pleurniche

T'appelles ça comment, les menaces de mort et les insultes qui frappent au bide ?

Si tu lis le topic tu t'apercevras bien vite que personnellement, je m'en bats les reins du venin des autres. C'est précisément parce que je ne m'énerve pas et que je ne pleurniche pas que le topic est toujours là. Mais tu peux pas nier qu'y a autour de ces topics une hargne complètement aberrante

J'appelle ça une jeunesse classique en 2021. LGBT ou pas.

Clairement, en étant un minimum de bonne foi, je pense pas que le khey lambda et le khey lambda LGBT subissent le même niveau de haine

La hargne que je vois provient essentiellement de gens dis LGBT justement
Apres je ne me plains pas h24, c est peut-être pour ça

Bon aller j'arrête de taquiner. Je vais pas me mettre aussi à dos les rares LGBT qui acceptent de dialoguer sans mettre une insulte par phrase.

Non mais t'as le droit de t'exprimer, hein. Le topic est là pour ça. Simplement je pense que croire qu'y a pas une crispation, une difficulté particulière quand on traite de sujets LGBT... c'est se planter, ou regarder au mauvais endroit

Alors tu as une bien mauvaise perception du monde reel, ma chère

Je te renvoie le compliment

Il y a une crispation sur la censure et la propagande, comme pour tout. Pas plus pour les LGBT que pour autre chose. Au contraire même je trouve qu'en France on est relativement tolérant la dessus.

Y a de la violence sur les individus LGBT au-delà de la communauté LGBT (ou non-conformes dans leur expression de genre). Et elle dépasse Internet, elle dépasse la politique, elle dépasse les revendications sociales.

C'est pas une accusation, c'est un fait. Si tu crois que le pire de ce que peut subir une personne est de subir du harcèlement, des insultes voir des menaces de mort pour son genre ou son orientation sexuelle, alors tu es très, très loin d'avoir une idée claire sur le pire de ce que représente le monde dans lequel on vit. Prouve-moi le contraire.

Est-ce que j'ai dit que c'était le pire qu'un être humain puisse subir ?

Si elle dépasse internet c'est dans des proportions infimes, parce qu'on en voit jamais.

Peut-être que tu ne le vois pas car ce n'est pas sur toi qu'elle est dirigée. J'ai pas une vie particulièrement audacieuse ni exposée, et ça m'arrive régulièrement de la voir, cette violence et cette haine. T'apprends à vivre avec, après tout, tu peux bien te faire défoncer pour une clope refusée.

Je me moque de hiérarchiser les souffrances : t'as toujours pire ailleurs. Et bossant dans un hôpital, je peux t'assurer que je le mesure parfaitement bien et que je vois tous les jours des vies explosées dans des proportions bien plus immenses que la mienne.

Mais dire que deux individus exactement similaires, à l'orientation sexuelle/expression de genre près subiraient le même niveau de haine... c'est une ânerie. Et ce n'est pas une supposition - pour rebondir sur ce que tu disais -, c'est un fait.

Le 30 mai 2021 à 21:28:09 :

Le 30 mai 2021 à 21:23:14 :

Le 30 mai 2021 à 21:18:36 :

Le 30 mai 2021 à 21:13:39 :
"Sans regard social, cette dysphorie n'existerait pas chez de nombreuses personnes."

Totalement faux, le problème des dysphoriques c'est leurs corps, surtout chez les hommes qui ont des poils et de la barbe et se sentent femme, socialement tu es libre de te comporter comme tu veux.

T'es dysphorique ?

Parce que oui, les dysphoriques détestent souvent leur corps. Mais pas directement : parce que ça les ramène à une identité sociale.

Tu as déjà essayé de te comporter "comme tu veux" ? Moi oui. Et sur le plan professionnel, sur le plan sentimental, sur le plan social, sur énormément de plans, c'est galère. Et tu te prends en plein museau une violence assez inouïe.

Rien qu'en prenant, enfant, la décision de ne pas m'épiler les jambes, j'ai signé pour des années d'humiliations parfois publiques, de violences et de remarques à la con. Et je te parle que de poils sur des jambes.

Les mecs qui s'amusent à flirter un peu trop avec la féminité en prennent également plein la gueule.

Virtuellement, oui, tu es libre de te comporter comme tu veux. Dans la pratique, te comporter comme tu veux a un prix, et il est souvent bien salé.

Le problème c'est de ton charisme et ton leadership. J'ai connu des femmes qui ne s'épilaient pas non pas pour des questions sexualité mais tout simplement par flemme, et elles se faisaient respecter par tous le monde. Une en particulier a terminé avec un banquier et ils montent des entreprises ensemble.

Ce n'est pas une question de sexualité : je suis en couple hétéro depuis pas mal d'années.

Le problème c'est ta manière de t'imposer, de te comporter. C'est pas la société qui est responsable de tes sentiments de gènes et du regard des autres qui pèse sur toi.

Je suis quelqu'un qu'on définirait (et je pense que ça se ressent quand j'écris) de plutôt assuré et plus prompt à diriger qu'à suivre. Je n'ai donc jamais eu la sensation de me laisser marcher dessus peut-être, justement, parce que j'ai pas supporté qu'on m'humilie quand j'étais môme. Mais la violence existe néanmoins, et ce n'est pas parce que tu t'imposes qu'elle n'existe pas.

Mon beau-père est mort récemment, juste après m'avoir à demi-mot avoué qu'il aurait souhaité "autre chose" comme belle-fille.
J'ai des patients qui refusent parfois d'être soignés par quelqu'un avec mon physique (notamment des personnes religieuses).
J'ai déjà eu des tentatives d'intimidation suffisamment poussées pour que le charisme n'y puisse rien.

Il y a des violences qui se foutent éperdument de ton leadership.

Tu n'es jamais totalement libre, khey. Aussi charismatique sois-tu, t'en prends dans la gueule. Perso, j'en parle pas IRL. Il n'empêche que ça te trotte dans la tête quand tu rentres le soir et que tu gagnes ton pieu.

Ce que tu appelles des "violences" c'est juste des intérêts différents entre individus.

Des parents qui renient leurs enfants car ils sont déçu d'eux il y en a partout, des gens qui veulent pas faire d'affaire avec d'autres c'est leurs liberté également.

J'appelle pas ça de la violence.

Le 30 mai 2021 à 21:28:26 :

Le 30 mai 2021 à 21:27:43 :
Pareille pour les mecs, regarde au cinéma toutes les stars sont des hommes épilés, les sportifs s'épilent régulièrement.

Thor c'est un mec au cheveux long et au corps sans poil

Pourtant un homme qui s'épile les jambes, et le maillot c'est plutôt mal vu

Non

Le 30 mai 2021 à 21:27:43 :
Pareille pour les mecs, regarde au cinéma toutes les stars sont des hommes épilés, les sportifs s'épilent régulièrement.

Thor c'est un mec au cheveux long et au corps sans poil

Un homme épilé est quand même largement moins mal vu qu'une femme pas épilée.

C'est pas quelque chose de symétrique à ce niveau-là. Inversement, une femme bodybuildée aura moins de chances de trouver un mec qu'un type avec une carrure fragile de trouver une donzelle

Y a des "tares" ou des "caractéristiques" qui sont clairement plus péjoratives chez l'homme que chez la femme, et d'autres pour lesquelles c'est l'inverse.

Le 30 mai 2021 à 21:31:44 :

Le 30 mai 2021 à 21:28:09 :

Le 30 mai 2021 à 21:23:14 :

Le 30 mai 2021 à 21:18:36 :

Le 30 mai 2021 à 21:13:39 :
"Sans regard social, cette dysphorie n'existerait pas chez de nombreuses personnes."

Totalement faux, le problème des dysphoriques c'est leurs corps, surtout chez les hommes qui ont des poils et de la barbe et se sentent femme, socialement tu es libre de te comporter comme tu veux.

T'es dysphorique ?

Parce que oui, les dysphoriques détestent souvent leur corps. Mais pas directement : parce que ça les ramène à une identité sociale.

Tu as déjà essayé de te comporter "comme tu veux" ? Moi oui. Et sur le plan professionnel, sur le plan sentimental, sur le plan social, sur énormément de plans, c'est galère. Et tu te prends en plein museau une violence assez inouïe.

Rien qu'en prenant, enfant, la décision de ne pas m'épiler les jambes, j'ai signé pour des années d'humiliations parfois publiques, de violences et de remarques à la con. Et je te parle que de poils sur des jambes.

Les mecs qui s'amusent à flirter un peu trop avec la féminité en prennent également plein la gueule.

Virtuellement, oui, tu es libre de te comporter comme tu veux. Dans la pratique, te comporter comme tu veux a un prix, et il est souvent bien salé.

Le problème c'est de ton charisme et ton leadership. J'ai connu des femmes qui ne s'épilaient pas non pas pour des questions sexualité mais tout simplement par flemme, et elles se faisaient respecter par tous le monde. Une en particulier a terminé avec un banquier et ils montent des entreprises ensemble.

Ce n'est pas une question de sexualité : je suis en couple hétéro depuis pas mal d'années.

Le problème c'est ta manière de t'imposer, de te comporter. C'est pas la société qui est responsable de tes sentiments de gènes et du regard des autres qui pèse sur toi.

Je suis quelqu'un qu'on définirait (et je pense que ça se ressent quand j'écris) de plutôt assuré et plus prompt à diriger qu'à suivre. Je n'ai donc jamais eu la sensation de me laisser marcher dessus peut-être, justement, parce que j'ai pas supporté qu'on m'humilie quand j'étais môme. Mais la violence existe néanmoins, et ce n'est pas parce que tu t'imposes qu'elle n'existe pas.

Mon beau-père est mort récemment, juste après m'avoir à demi-mot avoué qu'il aurait souhaité "autre chose" comme belle-fille.
J'ai des patients qui refusent parfois d'être soignés par quelqu'un avec mon physique (notamment des personnes religieuses).
J'ai déjà eu des tentatives d'intimidation suffisamment poussées pour que le charisme n'y puisse rien.

Il y a des violences qui se foutent éperdument de ton leadership.

Tu n'es jamais totalement libre, khey. Aussi charismatique sois-tu, t'en prends dans la gueule. Perso, j'en parle pas IRL. Il n'empêche que ça te trotte dans la tête quand tu rentres le soir et que tu gagnes ton pieu.

Ce que tu appelles des "violences" c'est juste des intérêts différents entre individus.

Des parents qui renient leurs enfants car ils sont déçu d'eux il y en a partout, des gens qui veulent pas faire d'affaire avec d'autres c'est leurs liberté également.

J'appelle pas ça de la violence.

Je serais curieux d'avoir ta définition de la violence.

Parce qu'en toute sincérité, ça te reste plus longtemps dans les tripes de t'être fait renier pour ton apparence que de t'être pris une droite.

Le 30 mai 2021 à 21:33:12 :

Le 30 mai 2021 à 21:27:43 :
Pareille pour les mecs, regarde au cinéma toutes les stars sont des hommes épilés, les sportifs s'épilent régulièrement.

Thor c'est un mec au cheveux long et au corps sans poil

Un homme épilé est quand même largement moins mal vu qu'une femme pas épilée.

C'est pas quelque chose de symétrique à ce niveau-là. Inversement, une femme bodybuildée aura moins de chances de trouver un mec qu'un type avec une carrure fragile de trouver une donzelle

Y a des "tares" ou des "caractéristiques" qui sont clairement plus péjoratives chez l'homme que chez la femme, et d'autres pour lesquelles c'est l'inverse.

C'est vrai, mais un homme épilé va susciter des questions sur son appartenance sexuelle, cela va générer des questions, c'est vu comme anormal et déviant

Le 30 mai 2021 à 21:34:35 :

Le 30 mai 2021 à 21:33:12 :

Le 30 mai 2021 à 21:27:43 :
Pareille pour les mecs, regarde au cinéma toutes les stars sont des hommes épilés, les sportifs s'épilent régulièrement.

Thor c'est un mec au cheveux long et au corps sans poil

Un homme épilé est quand même largement moins mal vu qu'une femme pas épilée.

C'est pas quelque chose de symétrique à ce niveau-là. Inversement, une femme bodybuildée aura moins de chances de trouver un mec qu'un type avec une carrure fragile de trouver une donzelle

Y a des "tares" ou des "caractéristiques" qui sont clairement plus péjoratives chez l'homme que chez la femme, et d'autres pour lesquelles c'est l'inverse.

C'est vrai, mais un homme épilé va susciter des questions sur son appartenance sexuelle, cela va générer des questions, c'est vu comme anormal et déviant

Y a des sports (cyclisme, natation, sports de lutte) où il est habituel de s'épiler. Il n'y a pas de sport ni de discipline où il l'est de ne pas s'épiler pour une fille

Après, oui, ça pose des question : mon compagnon s'épile, donc je sais pertinemment que ça lève des remarques. Mais on n'est clairement pas dans la même cour en matière d'hostilité et de dégoût.

Et c'est pas un reproche que de dire ça : inversement, je me fringue au rayon mec sans que ça soulève -trop- d'interrogations, mais si un mec se mettait à farfouiller chez les meufs, il serait directement catégorisé comme un déviant.

Je cherche pas à faire une hiérarchie, juste à mettre en avant une différence.

Le 30 mai 2021 à 21:31:12 :

Le 30 mai 2021 à 21:25:50 :

Le 30 mai 2021 à 21:19:58 :

Le 30 mai 2021 à 21:13:16 :

Le 30 mai 2021 à 21:00:49 :

Le 30 mai 2021 à 20:56:39 :

Le 30 mai 2021 à 20:52:00 :

Le 30 mai 2021 à 20:49:00 :

Le 30 mai 2021 à 20:45:05 :

Le 30 mai 2021 à 20:43:45 :
Ca devient rare les topics de 1 à 2 ans pas censurés, surtout sur ce genre de sujet

Enfin je suppose que la collabomodération doit veiller au grain et qu a part "bonjour" on ne doit pas pouvoir dire grand chose

Y a eu des discussions très intéressantes sur les détransitions, le lien avec des abus, sur les comorbidités associées, sur les dérives militantes...

Quand tu discutes du sujet sans vomir ton venin sur des personnes, ça marche plutôt bien

Oui bien sur, la haine le venin tout ça tout ça
Ca aurai été étonnant un topic lgbt sans pleurniche

T'appelles ça comment, les menaces de mort et les insultes qui frappent au bide ?

Si tu lis le topic tu t'apercevras bien vite que personnellement, je m'en bats les reins du venin des autres. C'est précisément parce que je ne m'énerve pas et que je ne pleurniche pas que le topic est toujours là. Mais tu peux pas nier qu'y a autour de ces topics une hargne complètement aberrante

J'appelle ça une jeunesse classique en 2021. LGBT ou pas.

Clairement, en étant un minimum de bonne foi, je pense pas que le khey lambda et le khey lambda LGBT subissent le même niveau de haine

La hargne que je vois provient essentiellement de gens dis LGBT justement
Apres je ne me plains pas h24, c est peut-être pour ça

Bon aller j'arrête de taquiner. Je vais pas me mettre aussi à dos les rares LGBT qui acceptent de dialoguer sans mettre une insulte par phrase.

Non mais t'as le droit de t'exprimer, hein. Le topic est là pour ça. Simplement je pense que croire qu'y a pas une crispation, une difficulté particulière quand on traite de sujets LGBT... c'est se planter, ou regarder au mauvais endroit

Alors tu as une bien mauvaise perception du monde reel, ma chère

Je te renvoie le compliment

Il y a une crispation sur la censure et la propagande, comme pour tout. Pas plus pour les LGBT que pour autre chose. Au contraire même je trouve qu'en France on est relativement tolérant la dessus.

Y a de la violence sur les individus LGBT au-delà de la communauté LGBT (ou non-conformes dans leur expression de genre). Et elle dépasse Internet, elle dépasse la politique, elle dépasse les revendications sociales.

C'est pas une accusation, c'est un fait. Si tu crois que le pire de ce que peut subir une personne est de subir du harcèlement, des insultes voir des menaces de mort pour son genre ou son orientation sexuelle, alors tu es très, très loin d'avoir une idée claire sur le pire de ce que représente le monde dans lequel on vit. Prouve-moi le contraire.

Est-ce que j'ai dit que c'était le pire qu'un être humain puisse subir ?

Si elle dépasse internet c'est dans des proportions infimes, parce qu'on en voit jamais.

Peut-être que tu ne le vois pas car ce n'est pas sur toi qu'elle est dirigée. J'ai pas une vie particulièrement audacieuse ni exposée, et ça m'arrive régulièrement de la voir, cette violence et cette haine. T'apprends à vivre avec, après tout, tu peux bien te faire défoncer pour une clope refusée.

Je me moque de hiérarchiser les souffrances : t'as toujours pire ailleurs. Et bossant dans un hôpital, je peux t'assurer que je le mesure parfaitement bien et que je vois tous les jours des vies explosées dans des proportions bien plus immenses que la mienne.

Mais dire que deux individus exactement similaires, à l'orientation sexuelle/expression de genre près subiraient le même niveau de haine... c'est une ânerie. Et ce n'est pas une supposition - pour rebondir sur ce que tu disais -, c'est un fait.

Très bien, je prends en compte ton témoignage. Voici le mien:

Quand des gens s'embrouillent IRL, moi y compris, la plupart du temps c’est pour des trucs du style:
-Une place de parking
-Un temps d'attente à la pompe à essence
-Client/vendeur dans des commerces
-Contrôle de police
-Conflit employeur/employé
-Des gens qui s'énervent dans des caisses de supermarchés
-Des gens qui s'énervent dans des caisses à Mc Do.

Donc honnêtement, on est loin des délires des LGBT.

Le problème n'est pas de hiérarchiser, mais de proportionnaliser. IRL, PERSONNE ne s'embrouille parce que quelqu'un est LGBT.

Tes faits, je pense, tu les fantasmes. Ou tu essais de t'en convaincre. Je ne vois que ça. Parce que quand je discute avec des vrais gens de la vraie vie véritable, bizarrement le consensus est unanime.

Et que ce soit avec des classes sociales aisées, modeste,s des cassos etc, de toutes les histories d'embrouilles que j'ai entendu, j'ai même pas souvenir qu'il y en ai une seule qui ait pour base une personne LGBT

Le 30 mai 2021 à 21:06:04 :

Le 30 mai 2021 à 21:02:07 :
Le genre n'existe pas

Le genre est, par définition, l'ensemble des attentes sociales qu'on associe à un sexe. Tu peux estimer que ce mot est valide ou non, mais il existe, dans sa définition. C'est le genre, et non le sexe, qui est responsable de la différence d'espérance de vie (en grande partie) entre les femmes et les hommes.

Ce qui est une connerie, à mon sens, c'est d'estimer que ce "genre", cet ensemble de comportements sociaux, définit l'homme ou la femme.

J'utilise le terme Dysphorie de sexe qui est plus réaliste.

Pas vraiment. Sans regard social, cette dysphorie n'existerait pas chez de nombreuses personnes. Personnellement, je me suis longtemps posé la question de si cette souffrance perdurerait si je vivais seul sur une île déserte, ou si l'humanité disparaissait du jour au lendemain. La réponse est non : car cette douleur est avant tout sociale, même si elle peut ricocher par effet d'association sur le sexe.

Y a des gens qui haïssent leur sexe, mais ça relève souvent de la dysmorphophobie, qui est un trouble à part.

La problématique finale est

"peut-on être transexuel et sain d'esprit ?

par sain d'esprit j'entend en n'ayant pas eu ce qu'on nomme

"altération psychiatrique"

autrement dit on n'ayant pas souffert d'un certain nombre de névrose, trouble et autre affliction non pris en charge

Le 30 mai 2021 à 21:37:32 :

Le 30 mai 2021 à 21:31:12 :

Le 30 mai 2021 à 21:25:50 :

Le 30 mai 2021 à 21:19:58 :

Le 30 mai 2021 à 21:13:16 :

Le 30 mai 2021 à 21:00:49 :

Le 30 mai 2021 à 20:56:39 :

Le 30 mai 2021 à 20:52:00 :

Le 30 mai 2021 à 20:49:00 :

Le 30 mai 2021 à 20:45:05 :

Le 30 mai 2021 à 20:43:45 :
Ca devient rare les topics de 1 à 2 ans pas censurés, surtout sur ce genre de sujet

Enfin je suppose que la collabomodération doit veiller au grain et qu a part "bonjour" on ne doit pas pouvoir dire grand chose

Y a eu des discussions très intéressantes sur les détransitions, le lien avec des abus, sur les comorbidités associées, sur les dérives militantes...

Quand tu discutes du sujet sans vomir ton venin sur des personnes, ça marche plutôt bien

Oui bien sur, la haine le venin tout ça tout ça
Ca aurai été étonnant un topic lgbt sans pleurniche

T'appelles ça comment, les menaces de mort et les insultes qui frappent au bide ?

Si tu lis le topic tu t'apercevras bien vite que personnellement, je m'en bats les reins du venin des autres. C'est précisément parce que je ne m'énerve pas et que je ne pleurniche pas que le topic est toujours là. Mais tu peux pas nier qu'y a autour de ces topics une hargne complètement aberrante

J'appelle ça une jeunesse classique en 2021. LGBT ou pas.

Clairement, en étant un minimum de bonne foi, je pense pas que le khey lambda et le khey lambda LGBT subissent le même niveau de haine

La hargne que je vois provient essentiellement de gens dis LGBT justement
Apres je ne me plains pas h24, c est peut-être pour ça

Bon aller j'arrête de taquiner. Je vais pas me mettre aussi à dos les rares LGBT qui acceptent de dialoguer sans mettre une insulte par phrase.

Non mais t'as le droit de t'exprimer, hein. Le topic est là pour ça. Simplement je pense que croire qu'y a pas une crispation, une difficulté particulière quand on traite de sujets LGBT... c'est se planter, ou regarder au mauvais endroit

Alors tu as une bien mauvaise perception du monde reel, ma chère

Je te renvoie le compliment

Il y a une crispation sur la censure et la propagande, comme pour tout. Pas plus pour les LGBT que pour autre chose. Au contraire même je trouve qu'en France on est relativement tolérant la dessus.

Y a de la violence sur les individus LGBT au-delà de la communauté LGBT (ou non-conformes dans leur expression de genre). Et elle dépasse Internet, elle dépasse la politique, elle dépasse les revendications sociales.

C'est pas une accusation, c'est un fait. Si tu crois que le pire de ce que peut subir une personne est de subir du harcèlement, des insultes voir des menaces de mort pour son genre ou son orientation sexuelle, alors tu es très, très loin d'avoir une idée claire sur le pire de ce que représente le monde dans lequel on vit. Prouve-moi le contraire.

Est-ce que j'ai dit que c'était le pire qu'un être humain puisse subir ?

Si elle dépasse internet c'est dans des proportions infimes, parce qu'on en voit jamais.

Peut-être que tu ne le vois pas car ce n'est pas sur toi qu'elle est dirigée. J'ai pas une vie particulièrement audacieuse ni exposée, et ça m'arrive régulièrement de la voir, cette violence et cette haine. T'apprends à vivre avec, après tout, tu peux bien te faire défoncer pour une clope refusée.

Je me moque de hiérarchiser les souffrances : t'as toujours pire ailleurs. Et bossant dans un hôpital, je peux t'assurer que je le mesure parfaitement bien et que je vois tous les jours des vies explosées dans des proportions bien plus immenses que la mienne.

Mais dire que deux individus exactement similaires, à l'orientation sexuelle/expression de genre près subiraient le même niveau de haine... c'est une ânerie. Et ce n'est pas une supposition - pour rebondir sur ce que tu disais -, c'est un fait.

Très bien, je prends en compte ton témoignage. Voici le mien:

Quand des gens s'embrouillent IRL, moi y compris, la plupart du temps c’est pour des trucs du style:
-Une place de parking
-Un temps d'attente à la pompe à essence
-Client/vendeur dans des commerces
-Contrôle de police
-Conflit employeur/employé
-Des gens qui s'énervent dans des caisses de supermarchés
-Des gens qui s'énervent dans des caisses à Mc Do.

Donc honnêtement, on est loin des délires des LGBT.

Et les LGBT ont tous ces risques, plus celui associé à leur orientation/expression de genre.

Le problème n'est pas de hiérarchiser, mais de proportionnaliser. IRL, PERSONNE ne s'embrouille parce que quelqu'un est LGBT.

C'est irrespectueux pour le seul séjour que j'ai passé à l'hôpital de ma vie

Tes faits, je pense, tu les fantasmes. Ou tu essais de t'en convaincre. Je ne vois que ça. Parce que quand je discute avec des vrais gens de la vraie vie véritable, bizarrement le consensus est unanime.

J'ai été agressé sexuellement quand j'étais enfant au motif que j'étais "pas vraiment une fille". On m'a déjà -littéralement- craché au visage pour mon apparence. J'ai déjà eu, pas plus tard que cette année, un patient qui s'est enfadé contre moi parce que je cite "il ne veut pas se faire soigner par une gouine".

Je sais ce que j'ai vécu : tu as le droit de ne pas y croire. Mais de mon côté, c'est toi qui as des oeillères.

Et que ce soit avec des classes sociales aisées, modeste,s des cassos etc, de toutes les histories d'embrouilles que j'ai entendu, j'ai même pas souvenir qu'il y en ai une seule qui ait pour base une personne LGBT

Si je peux me permettre de pointer un biais : IRL, tu mentionnes assez peu les agressions homophobes ou liées à ton apparence que tu subis. Déjà parce que ça revient à admettre que t'es LGBT, et ensuite parce que t'as pas envie de susciter ce genre de débats.

Le 30 mai 2021 à 21:40:51 :
Du coup si j'ai bien lu, t'es une nana qui refuse d'être une nana parce-que c'est mieux d'être un mec mais c'est mal vu par la société, et c'est pas une maladie c'est juste totalement naturel, sauf que ça t'a posé problème toute ta vie et que le patriarcat "blanc" (je vois pas ce que la couleur vient foutre dans tes délires névrotiques) soutiens qu'un homme est un homme et qu'une femme est une femme, alors que ce même patriarcat "blanc" permet aux gens d'entamer une transition en cas de dismorphie? Je comprends pas le pavé, tu veux nous faire pleurer?

Alors toi, tu m'as pas lu

Le 30 mai 2021 à 21:34:13 :

Le 30 mai 2021 à 21:31:44 :

Le 30 mai 2021 à 21:28:09 :

Le 30 mai 2021 à 21:23:14 :

Le 30 mai 2021 à 21:18:36 :

Le 30 mai 2021 à 21:13:39 :
"Sans regard social, cette dysphorie n'existerait pas chez de nombreuses personnes."

Totalement faux, le problème des dysphoriques c'est leurs corps, surtout chez les hommes qui ont des poils et de la barbe et se sentent femme, socialement tu es libre de te comporter comme tu veux.

T'es dysphorique ?

Parce que oui, les dysphoriques détestent souvent leur corps. Mais pas directement : parce que ça les ramène à une identité sociale.

Tu as déjà essayé de te comporter "comme tu veux" ? Moi oui. Et sur le plan professionnel, sur le plan sentimental, sur le plan social, sur énormément de plans, c'est galère. Et tu te prends en plein museau une violence assez inouïe.

Rien qu'en prenant, enfant, la décision de ne pas m'épiler les jambes, j'ai signé pour des années d'humiliations parfois publiques, de violences et de remarques à la con. Et je te parle que de poils sur des jambes.

Les mecs qui s'amusent à flirter un peu trop avec la féminité en prennent également plein la gueule.

Virtuellement, oui, tu es libre de te comporter comme tu veux. Dans la pratique, te comporter comme tu veux a un prix, et il est souvent bien salé.

Le problème c'est de ton charisme et ton leadership. J'ai connu des femmes qui ne s'épilaient pas non pas pour des questions sexualité mais tout simplement par flemme, et elles se faisaient respecter par tous le monde. Une en particulier a terminé avec un banquier et ils montent des entreprises ensemble.

Ce n'est pas une question de sexualité : je suis en couple hétéro depuis pas mal d'années.

Le problème c'est ta manière de t'imposer, de te comporter. C'est pas la société qui est responsable de tes sentiments de gènes et du regard des autres qui pèse sur toi.

Je suis quelqu'un qu'on définirait (et je pense que ça se ressent quand j'écris) de plutôt assuré et plus prompt à diriger qu'à suivre. Je n'ai donc jamais eu la sensation de me laisser marcher dessus peut-être, justement, parce que j'ai pas supporté qu'on m'humilie quand j'étais môme. Mais la violence existe néanmoins, et ce n'est pas parce que tu t'imposes qu'elle n'existe pas.

Mon beau-père est mort récemment, juste après m'avoir à demi-mot avoué qu'il aurait souhaité "autre chose" comme belle-fille.
J'ai des patients qui refusent parfois d'être soignés par quelqu'un avec mon physique (notamment des personnes religieuses).
J'ai déjà eu des tentatives d'intimidation suffisamment poussées pour que le charisme n'y puisse rien.

Il y a des violences qui se foutent éperdument de ton leadership.

Tu n'es jamais totalement libre, khey. Aussi charismatique sois-tu, t'en prends dans la gueule. Perso, j'en parle pas IRL. Il n'empêche que ça te trotte dans la tête quand tu rentres le soir et que tu gagnes ton pieu.

Ce que tu appelles des "violences" c'est juste des intérêts différents entre individus.

Des parents qui renient leurs enfants car ils sont déçu d'eux il y en a partout, des gens qui veulent pas faire d'affaire avec d'autres c'est leurs liberté également.

J'appelle pas ça de la violence.

Je serais curieux d'avoir ta définition de la violence.

Parce qu'en toute sincérité, ça te reste plus longtemps dans les tripes de t'être fait renier pour ton apparence que de t'être pris une droite.

Tu as pas besoin d'être transsexuel pour être renié par ton apparence, suffit d'être petit, pas très beau, avoir de l'acné, souvent même une calvitie.

Je sais également ce que c'est, j'ai eu des boutons toute mon adolescence et une calvitie a partir de 20 ans

C'est pas de la violence car c'est la liberté de chacun de renié les autres, je suis libre de dire a mon enfant que je suis déçu de lui, je suis libre de ne pas vouloir commercer avec un individu que je trouve pas beau.

Une droite c'est une atteinte a la liberté de part une attaque concrète sur le corps de l'autre.

Le 30 mai 2021 à 21:43:37 :

Le 30 mai 2021 à 21:34:13 :

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"Sans regard social, cette dysphorie n'existerait pas chez de nombreuses personnes."

Totalement faux, le problème des dysphoriques c'est leurs corps, surtout chez les hommes qui ont des poils et de la barbe et se sentent femme, socialement tu es libre de te comporter comme tu veux.

T'es dysphorique ?

Parce que oui, les dysphoriques détestent souvent leur corps. Mais pas directement : parce que ça les ramène à une identité sociale.

Tu as déjà essayé de te comporter "comme tu veux" ? Moi oui. Et sur le plan professionnel, sur le plan sentimental, sur le plan social, sur énormément de plans, c'est galère. Et tu te prends en plein museau une violence assez inouïe.

Rien qu'en prenant, enfant, la décision de ne pas m'épiler les jambes, j'ai signé pour des années d'humiliations parfois publiques, de violences et de remarques à la con. Et je te parle que de poils sur des jambes.

Les mecs qui s'amusent à flirter un peu trop avec la féminité en prennent également plein la gueule.

Virtuellement, oui, tu es libre de te comporter comme tu veux. Dans la pratique, te comporter comme tu veux a un prix, et il est souvent bien salé.

Le problème c'est de ton charisme et ton leadership. J'ai connu des femmes qui ne s'épilaient pas non pas pour des questions sexualité mais tout simplement par flemme, et elles se faisaient respecter par tous le monde. Une en particulier a terminé avec un banquier et ils montent des entreprises ensemble.

Ce n'est pas une question de sexualité : je suis en couple hétéro depuis pas mal d'années.

Le problème c'est ta manière de t'imposer, de te comporter. C'est pas la société qui est responsable de tes sentiments de gènes et du regard des autres qui pèse sur toi.

Je suis quelqu'un qu'on définirait (et je pense que ça se ressent quand j'écris) de plutôt assuré et plus prompt à diriger qu'à suivre. Je n'ai donc jamais eu la sensation de me laisser marcher dessus peut-être, justement, parce que j'ai pas supporté qu'on m'humilie quand j'étais môme. Mais la violence existe néanmoins, et ce n'est pas parce que tu t'imposes qu'elle n'existe pas.

Mon beau-père est mort récemment, juste après m'avoir à demi-mot avoué qu'il aurait souhaité "autre chose" comme belle-fille.
J'ai des patients qui refusent parfois d'être soignés par quelqu'un avec mon physique (notamment des personnes religieuses).
J'ai déjà eu des tentatives d'intimidation suffisamment poussées pour que le charisme n'y puisse rien.

Il y a des violences qui se foutent éperdument de ton leadership.

Tu n'es jamais totalement libre, khey. Aussi charismatique sois-tu, t'en prends dans la gueule. Perso, j'en parle pas IRL. Il n'empêche que ça te trotte dans la tête quand tu rentres le soir et que tu gagnes ton pieu.

Ce que tu appelles des "violences" c'est juste des intérêts différents entre individus.

Des parents qui renient leurs enfants car ils sont déçu d'eux il y en a partout, des gens qui veulent pas faire d'affaire avec d'autres c'est leurs liberté également.

J'appelle pas ça de la violence.

Je serais curieux d'avoir ta définition de la violence.

Parce qu'en toute sincérité, ça te reste plus longtemps dans les tripes de t'être fait renier pour ton apparence que de t'être pris une droite.

Tu as pas besoin d'être transsexuel pour être renié par ton apparence, suffit d'être petit, pas très beau, avoir de l'acné, souvent même une calvitie.

C'est pas de la violence car c'est la liberté de chacun de renié les autres, je suis libre de dire a mon enfant que je suis déçu de lui, je suis libre de ne pas vouloir commercer avec un individu que je trouve pas beau.

Une droite c'est une atteinte a la liberté de part une attaque concrète sur le corps de l'autre.

Il y a une différence entre être déçu d'un enfant et de le refuser dans son identité/dans ses valeurs.

Je comprends ta définition de la violence (ça ne me vexe pas !) mais ça n'est pas, au sens ontologique, quelque chose que tu peux limiter à "une attaque concrète sur le corps de l'autre".