Pourquoi il y a toujours un mal baisé pour essayer d'empêcher les gens de vivre ?
T'as pensé à taffer au gouvernement ?
Le 11 juin 2025 à 21:55:15 :
Le 11 juin 2025 à 21:53:37 :
Le 11 juin 2025 à 21:52:43 :
Pourquoi il y a toujours un mal baisé pour essayer d'empêcher les gens de vivre ?T'as pensé à taffer au gouvernement ?
Non mais réponds à la question du coup.
Tu dors mal le soir quand les gens fument ?
Mais les gens ont tout à fait le droit de fumer, j'ai jamais parlé d'interdiction ou quoi que ce soit, mon propos est simple : je dis que ça me répugne et que le cannabis rend les gens zinzins
D'ailleurs si tu n'avais pas le cerveau ravagé par la fumette, tu aurais certainement pu le comprendre sans qu'il soit nécessaire sans que j’aie à te l'expliquer
Le 11 juin 2025 à 21:59:08 :
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Pourquoi il y a toujours un mal baisé pour essayer d'empêcher les gens de vivre ?T'as pensé à taffer au gouvernement ?
Non mais réponds à la question du coup.
Tu dors mal le soir quand les gens fument ?
Mais les gens ont tout à fait le droit de fumer, j'ai jamais parlé d'interdiction ou quoi que ce soit, mon propos est simple : je dis que ça me répugne et que le cannabis rend les gens zinzins
D'ailleurs si tu n'avais pas le cerveau ravagé par la fumette, tu aurais certainement pu le comprendre sans qu'il soit nécessaire sans que j’aie à te l'expliquer![]()
je pense que t'as pas compris là où il voulait en venir clé
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Pourquoi il y a toujours un mal baisé pour essayer d'empêcher les gens de vivre ?T'as pensé à taffer au gouvernement ?
Non mais réponds à la question du coup.
Tu dors mal le soir quand les gens fument ?
Mais les gens ont tout à fait le droit de fumer, j'ai jamais parlé d'interdiction ou quoi que ce soit, mon propos est simple : je dis que ça me répugne et que le cannabis rend les gens zinzins
D'ailleurs si tu n'avais pas le cerveau ravagé par la fumette, tu aurais certainement pu le comprendre sans qu'il soit nécessaire sans que j’aie à te l'expliquer![]()
Tu parles des fumeurs avec ce ton presque soulagé, comme si leur faiblesse validait ton choix de t’en tenir à distance de tout. Tu les regardes et tu te dis qu’ils fuient, qu’ils se détruisent, qu’ils s’accrochent à un truc artificiel. Peut-être. Mais eux, ils ont encore ce besoin de s’accrocher à quelque chose. Toi, tu n'as même plus ça. T’as mis tellement de couches entre toi et le monde que plus rien ne t’atteint vraiment. Plus de grands élans, plus de chutes non plus, juste cette ligne droite, plate, confortable en apparence, où rien ne prend forme, où rien ne t’échappe, parce que t’as vidé la vie de tout ce qui pourrait te surprendre.
Tu parles des autres, souvent, trop souvent. Tu les décortiques, tu soulignes leurs contradictions, leurs illusions, leurs fragilités. Tu fais ça bien. Tellement bien qu’on pourrait croire que t’as compris quelque chose d’essentiel. Mais en vrai, c’est juste un mécanisme. C’est plus simple de démonter ce qui bouge que de construire ce qui manque. Et chez toi, ça manque. Pas de cris, pas de passions, pas de couleurs qui débordent. Tout est mesuré, contrôlé, rangé derrière un regard qui se veut lucide, mais qui trahit surtout une immense fatigue de tout.
T’as vidé le sens avant même d’avoir essayé d’en chercher un. Comme si t’avais décidé trop tôt que ça ne valait pas le coup. Alors tu continues à parler. À commenter. À évaluer la vie des autres pour ne pas regarder la tienne, pas parce qu’elle est moche ou ratée, mais parce qu’elle est absente. Elle n’a pas pris. Elle n’a pas vibré. Et le plus tragique, c’est que ça ne se voit pas de l’extérieur. Personne ne s’en rendra compte. Tu traverseras peut-être toute ton existence avec cette impression d’avoir été un peu au-dessus de tout ça. Alors qu’en réalité, t’étais juste à côté.
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Pourquoi il y a toujours un mal baisé pour essayer d'empêcher les gens de vivre ?T'as pensé à taffer au gouvernement ?
Non mais réponds à la question du coup.
Tu dors mal le soir quand les gens fument ?
Le shit te rend parano le déchet. On te témoigne juste notre mépris
On veut pas vous l'interdire, ça nous arrange que tu te détruises la santé
Le 11 juin 2025 à 22:06:13 :
Le 11 juin 2025 à 21:59:08 :
Le 11 juin 2025 à 21:55:15 :
Le 11 juin 2025 à 21:53:37 :
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Pourquoi il y a toujours un mal baisé pour essayer d'empêcher les gens de vivre ?T'as pensé à taffer au gouvernement ?
Non mais réponds à la question du coup.
Tu dors mal le soir quand les gens fument ?
Mais les gens ont tout à fait le droit de fumer, j'ai jamais parlé d'interdiction ou quoi que ce soit, mon propos est simple : je dis que ça me répugne et que le cannabis rend les gens zinzins
D'ailleurs si tu n'avais pas le cerveau ravagé par la fumette, tu aurais certainement pu le comprendre sans qu'il soit nécessaire sans que j’aie à te l'expliquer![]()
Tu parles des fumeurs avec ce ton presque soulagé, comme si leur faiblesse validait ton choix de t’en tenir à distance de tout. Tu les regardes et tu te dis qu’ils fuient, qu’ils se détruisent, qu’ils s’accrochent à un truc artificiel. Peut-être. Mais eux, ils ont encore ce besoin de s’accrocher à quelque chose. Toi, tu n'as même plus ça. T’as mis tellement de couches entre toi et le monde que plus rien ne t’atteint vraiment. Plus de grands élans, plus de chutes non plus, juste cette ligne droite, plate, confortable en apparence, où rien ne prend forme, où rien ne t’échappe, parce que t’as vidé la vie de tout ce qui pourrait te surprendre.
Tu parles des autres, souvent, trop souvent. Tu les décortiques, tu soulignes leurs contradictions, leurs illusions, leurs fragilités. Tu fais ça bien. Tellement bien qu’on pourrait croire que t’as compris quelque chose d’essentiel. Mais en vrai, c’est juste un mécanisme. C’est plus simple de démonter ce qui bouge que de construire ce qui manque. Et chez toi, ça manque. Pas de cris, pas de passions, pas de couleurs qui débordent. Tout est mesuré, contrôlé, rangé derrière un regard qui se veut lucide, mais qui trahit surtout une immense fatigue de tout.
T’as vidé le sens avant même d’avoir essayé d’en chercher un. Comme si t’avais décidé trop tôt que ça ne valait pas le coup. Alors tu continues à parler. À commenter. À évaluer la vie des autres pour ne pas regarder la tienne, pas parce qu’elle est moche ou ratée, mais parce qu’elle est absente. Elle n’a pas pris. Elle n’a pas vibré. Et le plus tragique, c’est que ça ne se voit pas de l’extérieur. Personne ne s’en rendra compte. Tu traverseras peut-être toute ton existence avec cette impression d’avoir été un peu au-dessus de tout ça. Alors qu’en réalité, t’étais juste à côté.
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On dirait une tentative ratée de philosophie de comptoir écrite par quelqu’un qui a vu Fight Club à 16 ans et n’en est jamais revenu
Big malaise
je voulais faire le même genre de topic quand je suis rentré
une meuf m'a invité chez elle ce week end pour qu'on mange ensemble
et franchement elle me plait physiquement et on s'entend super bien, elle est pas débile et elle m'a jamais fait chier jusque là
mais le truc c'est que toutes les pauses elle les passe à fumer, donc je sais bien qu'elle fume et juste à cause de ça en fait je me vois pas aller plus loin avec elle
franchement les meufs qui fument ça me dégoute
Le 11 juin 2025 à 22:13:24 :
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Le 11 juin 2025 à 21:55:15 :
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> Le 11 juin 2025 à 21:52:43 :
> Pourquoi il y a toujours un mal baisé pour essayer d'empêcher les gens de vivre ?
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> T'as pensé à taffer au gouvernement ?
Non mais réponds à la question du coup.
Tu dors mal le soir quand les gens fument ?
Mais les gens ont tout à fait le droit de fumer, j'ai jamais parlé d'interdiction ou quoi que ce soit, mon propos est simple : je dis que ça me répugne et que le cannabis rend les gens zinzins
D'ailleurs si tu n'avais pas le cerveau ravagé par la fumette, tu aurais certainement pu le comprendre sans qu'il soit nécessaire sans que j’aie à te l'expliquer![]()
Tu parles des fumeurs avec ce ton presque soulagé, comme si leur faiblesse validait ton choix de t’en tenir à distance de tout. Tu les regardes et tu te dis qu’ils fuient, qu’ils se détruisent, qu’ils s’accrochent à un truc artificiel. Peut-être. Mais eux, ils ont encore ce besoin de s’accrocher à quelque chose. Toi, tu n'as même plus ça. T’as mis tellement de couches entre toi et le monde que plus rien ne t’atteint vraiment. Plus de grands élans, plus de chutes non plus, juste cette ligne droite, plate, confortable en apparence, où rien ne prend forme, où rien ne t’échappe, parce que t’as vidé la vie de tout ce qui pourrait te surprendre.
Tu parles des autres, souvent, trop souvent. Tu les décortiques, tu soulignes leurs contradictions, leurs illusions, leurs fragilités. Tu fais ça bien. Tellement bien qu’on pourrait croire que t’as compris quelque chose d’essentiel. Mais en vrai, c’est juste un mécanisme. C’est plus simple de démonter ce qui bouge que de construire ce qui manque. Et chez toi, ça manque. Pas de cris, pas de passions, pas de couleurs qui débordent. Tout est mesuré, contrôlé, rangé derrière un regard qui se veut lucide, mais qui trahit surtout une immense fatigue de tout.
T’as vidé le sens avant même d’avoir essayé d’en chercher un. Comme si t’avais décidé trop tôt que ça ne valait pas le coup. Alors tu continues à parler. À commenter. À évaluer la vie des autres pour ne pas regarder la tienne, pas parce qu’elle est moche ou ratée, mais parce qu’elle est absente. Elle n’a pas pris. Elle n’a pas vibré. Et le plus tragique, c’est que ça ne se voit pas de l’extérieur. Personne ne s’en rendra compte. Tu traverseras peut-être toute ton existence avec cette impression d’avoir été un peu au-dessus de tout ça. Alors qu’en réalité, t’étais juste à côté.
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On dirait une tentative ratée de philosophie de comptoir écrite par quelqu’un qui a vu Fight Club à 16 ans et n’en est jamais revenu
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Big malaise![]()
C’est peut-être juste ce que t’as plus l’habitude d’entendre quand ça parle sincèrement, sans cynisme pour faire tampon.
JvArchive compagnon