[RISITAS] Il part refaire sa vie à l'étranger et finit SDF
SuppriméLe 31 janvier 2024 à 15:42:21 :
C'est décevant que tu ais fait ton pavé final qui allait forcément finir Vued
La réalité c'est que tu aurais laissé partir Eva sans jamais chercher à la retenir, y aurait plus de probabilité que votre histoire existe encore.
Le chapitre suivant commence comme suit :
"Après un ultime appel et une dernière chance, je décide délibérément de mettre fin “unilatéralement” à ma relation avec Eva"
En gros, mon pavé était simplement un moyen de la quitter moi-même pour passer à autre chose. Je n'ai jamais accepté et je n'accepterai jamais d'être traité comme la 5e roue du carrosse. Je préfère tout perdre ou ne rien avoir que de me satisfaire d'un truc moyen ou misérable.
Maintenant, c'est une fille intelligente, ce n'est pas quelques messages désagréables qui la rebuteront à me recontacter si la nostalgie de quelques souvenirs extatiques l'accule un jour.
Le 01 février 2024 à 15:31:40 :
Imaginez, vous vous réveillez un matin et vous rendez compte que votre sexe a pris 1cm en quelques années![]()
Tiens, voici ta récompense pour avoir diverti les kheys avec ton risitas
![]()
Bon risitas khey, dire que t'étais pas loin d'être à roanne bordel, faut que tu passe dans cette ville et que tu me dises ce que t'en penses mon khey.
Le 01 février 2024 à 17:22:55 :
Le 01 février 2024 à 15:31:40 :
Imaginez, vous vous réveillez un matin et vous rendez compte que votre sexe a pris 1cm en quelques années![]()
Tiens, voici ta récompense pour avoir diverti les kheys avec ton risitas
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Bon risitas khey, dire que t'étais pas loin d'être à roanne bordel, faut que tu passe dans cette ville et que tu me dises ce que t'en penses mon khey.
![]()
J'ai passé quelques mois à Roanne il y a quelques années
J'avais rencontré une fille de 20 ans en me baladant sur les bords de la Loire vers le Sud
Quand on est passé devant un mémorial où il y avait marqué "1914-1918", elle n'a pas su me dire si c'était la première ou la deuxieme guerre mondiale
C'est une ville de pauvres sans avenir, comme toutes les villes de campagne
Le 01 février 2024 à 17:55:33 :
Le 01 février 2024 à 17:22:55 :
Le 01 février 2024 à 15:31:40 :
Imaginez, vous vous réveillez un matin et vous rendez compte que votre sexe a pris 1cm en quelques années![]()
Tiens, voici ta récompense pour avoir diverti les kheys avec ton risitas
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Bon risitas khey, dire que t'étais pas loin d'être à roanne bordel, faut que tu passe dans cette ville et que tu me dises ce que t'en penses mon khey.
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J'ai passé quelques mois à Roanne il y a quelques années
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J'avais rencontré une fille de 20 ans en me baladant sur les bords de la Loire vers le Sud
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Quand on est passé devant un mémorial où il y avait marqué "1914-1918", elle n'a pas su me dire si c'était la première ou la deuxieme guerre mondiale
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C'est une ville de pauvres sans avenir, comme toutes les villes de campagne
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Ahi dire que je suis originaire de cette ville depuis longtemps ça fait plaisir que t'es passé ahi.
C'est effectivement une ville de prolo extrême.
Après si t'es un vagabon t'aura de quoi discuter.
Tu compte y retourner un jour ?
Si tu veux une forêt y'a de quoi faire pour un prolo.https://image.noelshack.com/minis/2020/29/7/1595190457-saulgoodmanfinger2stk.png
Le 01 février 2024 à 19:24:34 :
Le 01 février 2024 à 17:55:33 :
Le 01 février 2024 à 17:22:55 :
Le 01 février 2024 à 15:31:40 :
Imaginez, vous vous réveillez un matin et vous rendez compte que votre sexe a pris 1cm en quelques années![]()
Tiens, voici ta récompense pour avoir diverti les kheys avec ton risitas
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Bon risitas khey, dire que t'étais pas loin d'être à roanne bordel, faut que tu passe dans cette ville et que tu me dises ce que t'en penses mon khey.
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J'ai passé quelques mois à Roanne il y a quelques années
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J'avais rencontré une fille de 20 ans en me baladant sur les bords de la Loire vers le Sud
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Quand on est passé devant un mémorial où il y avait marqué "1914-1918", elle n'a pas su me dire si c'était la première ou la deuxieme guerre mondiale
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C'est une ville de pauvres sans avenir, comme toutes les villes de campagne
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Ahi dire que je suis originaire de cette ville depuis longtemps ça fait plaisir que t'es passé ahi.
C'est effectivement une ville de prolo extrême.
Après si t'es un vagabon t'aura de quoi discuter.
Tu compte y retourner un jour ?
Si tu veux une forêt y'a de quoi faire pour un prolo.https://image.noelshack.com/minis/2020/29/7/1595190457-saulgoodmanfinger2stk.png
Ce n'est pas prévu
Cette musique me rend tellement heureux...
Je ne veux vivre qu'entouré de beauté...
Et un jour, m'effondrer plein de rides dans de la soie le coeur comblé
Chapitre 17-1 : Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de pédéraste
Après un ultime appel et une dernière chance, je décide délibérément de mettre fin “unilatéralement” à ma relation avec Eva
Depuis que je suis gamin, je rêve de grandeur et d’extases
Mais je viens d’avoir 25 ans et je vis chez mes parents au fin fond de la campagne
Je n’ai pas de travail et j’attends impatiemment de toucher le RSA
Pour autant, tous les matins, à 7h, un chant militaire résonne dans ma chambre
Après un bol de flocons d’avoine en lisant, je médite 20 min et me pose devant mon ordi pour bosser
Mon objectif est simple : créer la structure que j’aurais rêvée rejoindre à 18 ans : le Commando Underground
Grâce à la méditation, je bosse sur ce projet en étant hyper-focus et discipliné
Enfin, plus exactement, je pars dans tous les sens, mais en étant hyper-focus et discipliné
Je crée un site (inutile), un forum (inutile), des textes pour lancer une croisade (inutile), je rédige des guides (pertinent), je fais des lives tous les dimanches (pertinent) qui me prennent la journée à préparer…
Au tout début, j’avais même recontacté mon mentor pour retravailler avec lui… avant d’accepter que je ne pourrai pas tout faire
En gros, je peux enfin bosser sérieusement et je bosse sérieusement
Mais j’ai beau méditer tous les jours et passer mes soirées à lire des livres écrits par des moines, je n’ai pas l’intention de mener une vie d’ascète
Donc, quand la rupture définitive avec Eva survient, je me remets en chasse
Parmi les quelques personnes avec qui j’ai repris contact quand j’étais en Bulgarie, il y a une fille (appelons-la Léa)
Je l’avais recontacté amicalement pour savoir où en était un projet qu’elle menait et qui m’intéressait
La discussion s’étant avérée particulièrement stimulante, je l’avais rappelé une seconde fois deux semaines avant la fin du drame avec Eva
À cette occasion, je lui avais partagé un point crucial de mon futur programme politique : rouvrir les bagnes… et elle avait acquiescé
À l’occasion, elle m’avait aussi partagé le très excitant bouquin Sous le feu : La mort comme hypothèse de travail de Michel Goya
Désormais célibataire, je la recontacte une 3e fois, mais cette fois, avec une idée derrière la tête
Rapidement, on s’accorde pour que je monte la voir à Paris 3 semaines plus tard
Une semaine avant de monter à Paris, un pote part en week-end et me laisse squatter son appart dans une ville de 150 000 habitants
Le projet ? Passer mes journées à aborder des filles dans la rue
Résumé : 40 filles abordées, j’ai perdu mon temps
Mais peu importe, je suis dans un bus en direction de la terre promise Paris, avec une confiance absolue en Dieu la certitude de passer au moins une nuit avec Léa
Pour rentabiliser mes 5h de bus, j'ai aussi organisé quelques rencontres bonus
Ainsi, quand j’arrive à Paris, je commence par revoir une vieille “amie”, aristocrate, avec un nom à particule, mais désargentée
C’est la première femme très intelligente avec qui j’ai parlé (sur internet) et dont je suis, évidemment, immédiatement tombé amoureux
Un soir, 3 ans plus tôt, en parlant avec elle par message, pour la seule fois de ma vie, je m’étais senti dépassé intellectuellement, elle m’avait mis échec et mat
Bon, juste après, c’est moi qui l’avais mise échet et mat, mais pendant les quelques secondes où je m’étais senti dépassé, j’avais ressenti une excitation incroyable
C’était la sensation la plus intense que j’avais vécue avant de rencontrer Eva
Seulement, le gamin innocent jeune campagnard de 21 ans que j’étais lui avait dit “je t’aime” au bout de 5 min la première fois qu’il l’avait appelé
Résultat, une semaine plus tard, elle ne répondait plus à mes messages
Mais on avait quand même fini par se rencontrer en vrai pour un ultime adieu 1 an plus tard (quand j’étais passé par Paris pour prendre l’avion lors de mon “grand” départ en Estonie)
Bref, quand je débarque à Paris après une nuit dans le bus, je la retrouve au Jardin des Plantes
Elle me dit qu’elle est définitivement ensorcelée par le mauvais œil lesbienne et en couple avec une femme
Et, rapidement, on parle des relations homme-femme, enfin sexuelles et sentimentales en général
Du haut de ces 45 kg, avec ses yeux bleu (très) clair, ses cheveux noirs et son teint de sorcière qui n’a pas vu la lumière du jour depuis le siècle dernier… elle m’engueule presque en me disant que j’ai un discours d’incel
Je lui explique que je suis juste réaliste sur la violence du marché des relations pour les jeunes hommes (surtout à la campagne)
Aussi, je lui évoque mon profond désarroi face à ses vents 3 ans plus tôt et les efforts faramineux que j’ai dû faire pour réussir à avoir des relations avec des femmes (de qualité, on s’entend)
Elle me répond, sans la moindre empathie, que j’ai bien fini par me sortir les doigts du cul et réussir, donc que je n’ai pas à me plaindre
Mais bon, ouais, en définitive, elle a raison…
Enfin non, elle n'a pas raison, par contre, c’est vrai que tenter de justifier l’échec est une dynamique destructrice… et ça, peu importe à quel point le monde est violent
Bref, une fois que j’ai fait faire le plein de soleil pour un nouveau siècle à madame la comtesse, je pars retrouver une autre demoiselle
Chapitre 17-2 : Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de pédéraste
Bref, une fois que j’ai fait faire le plein de soleil pour un nouveau siècle à madame la comtesse, je pars retrouver une autre demoiselle
Je l’ai rencontré en la contactant directement sur un site de rencontre (sur lequel je me suis localisé à Paris)
Son profil n’avait pas de photo, mais elle disait aller à des concerts de musique classique toute seule régulièrement et il ne faut pas plus que le combo solitaire + mélomane pour hameçonner le garçon facile que je suis
On discute un peu et je lui dis être intéressé pour aller à un concert avec elle
Elle me propose une date et de me faire visiter un peu Paris après le récital, ce que j'accepte volontiers
Avant de se rencontrer, elle me demande si je veux voir à quoi elle ressemble, mais je lui réponds que j’attendrai de la voir en vrai, j’aime les surprises !
Fondamentalement, je m’attends à une version parisienne d’Eva, une jeune et jolie bourgeoise parisienne à la peau laiteuse… une brioche fondante et dorée en somme
Mais quand je la retrouve dans un parc en début d’après-midi, je suis face à un bout de pain sec… une banlieusarde d’origine éthiopienne qui a l’air d’avoir 15 ans
Je peux presque entendre Dieu se foutre de ma gueule
Mais je n’ai pas le temps d’être déçu, car mon cerveau se met en mode “exfiltration”
Je suis hyper focus pour éviter de trahir ma gêne et de la blesser, car je suis totalement responsable de l'imbroglio
Je garde donc une poker face absolue et on rentre dans le magnifique bâtiment qui sert d’auditorium
Trois étudiants du conservatoire s’avancent alors…
Trois “faces de quetsche […] bananes flambées... avant qu'elles soient flambées. Les bananes, quoi… Ah, je descends là. Pan, pan, pan… pan ”
Quand on sort du récital, je lui dis simplement que je vais y aller, sans chercher de prétexte
Elle n’insiste pas et on se quitte en douceur
Je me sens mal, un peu honteux de m’être retrouvé dans cette situation et triste de l’avoir peut-être blessé…
Mais l’aventure continue et le lendemain, je rencontre le tout premier auditeur des lives du Commando Underground : une féministe extrémiste !
Le marché est simple, je lui offre un exemplaire dédicacé de La Bible du Commando Underground contre un cours de chant (sachant qu’elle a 15 ans de chant à son actif)
On passe donc l’après-midi à chanter des chants militaires sous le Pont-Neuf
Quand la nuit commence à tomber, elle me propose d’aller à une “sauvage” (une manifestation illégale, contre la réforme des retraites à ce moment-là)
Le cul-terreux que je suis est curieux, donc je me laisse guider
En attendant le métro, on chante La Bohème, enfin surtout elle parce que je ne connais qu’à moitié les paroles
Et, dans le métro, à mon grand étonnement, elle commence à s’intéresser à ma vie sexuelle
Bon, physiquement, il faut être honnête, elle n’est vraiment pas terrible, donc je n’avais pas envisagé qu’il se passe quelque chose entre nous
Mais j’ai passé une bonne aprèm avec elle et je n’ai rien prévu ce soir-là, donc je me dis, pourquoi pas, après tout, ça peut être une expérience intéressante
On parle donc de cul au milieu des badauds et elle m’apprend un truc que j'ignorais
Apparemment, le fait que l’éjaculation fatigue et fasse perdre de l’énergie aux hommes est une légende urbaine et a été débunké depuis un moment !
Bien sûr, l’absurdité totale de cette affirmation me laisse pantois, mais je ne cherche pas à débattre, j’ai passé l’âge
D’ailleurs, quand elle me raconte sa vie et que je l’entends maudire le patriarcat, mon petit cœur est profondément touché, je suis presque ému
Son existence est une horreur absolue, bien pire que Les Misérables et bien trop misérable pour faire un bon film…
Je ne vois aucune issue positive pour elle, elle a l’air condamnée à une vie de souffrance sans le moindre grand bonheur…
Finalement, la manifestation sauvage n’a pas lieu et on échoue sur un quai à la nuit tombée
Elle commence à lire son exemplaire dédicacé de La Bible du Commando Underground pendant que je chante face au fleuve
Je suis paisible, peu importe comment finira cette soirée, j’ai passé une bonne journée et, demain, je vois Léa
Quand on commence à partir, je lui propose de la raccompagner chez elle
Elle est surprise et me demande si je dis ça avec l’idée de la baiser in fine
Je lui réponds “oui”, avec un peu plus de formes
Et là, elle me dit qu’elle n’est pas du tout intéressée, que je ne l’attire pas le moins du monde, notamment parce qu’elle a “dominé toutes nos discussions”
Je tombe un peu des nues… elle a confondu ma pitié et ma compassion patriarcale avec de la soumission…
Mais ce rejet est quand même extrêmement drôle, donc je rigole et lance une tentative de persuasion rocambolesque, comme si j’étais dans Skyrim : “Tu n’aurais probablement pas d’autres occasions de coucher avec le futur maitre du monde !”
Elle me regarde avec les yeux écarquillés de celle qui prend conscience de peut-être se trouver à côté de la plaque depuis le début
Je n’insiste évidemment pas et, au moment de me coucher, je termine ce sketch en lui envoyant un message : “Je dors seul ce soir, tel le puceau d’extrême droite que je suis ”
Elle n’arrive toujours pas à comprendre si je rigole et se demande sérieusement si je suis d’extrême droite et encore puceau…
Le lendemain soir, c’est enfin la rencontre avec Léa
On se retrouve dans un super resto (qu’elle a réservé) et le repas est parfaitement fluide
Passer d’une féministe ravagée par la vie à une femme qui se tient droite et qui bosse dans les forces de l’ordre en parallèle de ses études est un plaisir difficilement descriptible…
Cependant, je ne dis rien qui pourrait m’engager… car je ne veux pas m’engager
J’aime son esprit et son visage, mais Eva est partie avec mon cœur, je n’en ai plus et je refuse de voler celui d’une autre en la laissant s’attacher, donc je reste distant, quitte à tout faire foirer
Une fois repus de délices
Un peu plus tard, en passant devant la Sorbonne, on méprise en cœur se moque gentiment des étudiants qui sortent à demi alcoolisés de la fac de droit
Puis, elle me dit : “Il y a 2 possibilités, soit on va à gauche vers chez moi, soit on part à droite pour retourner marcher sur les quais ”
À l’intersection, d’un commun instinct, on tourne à gauche
Arrivés devant sa porte, elle me propose de monter
Et je découvre alors, émerveillé, les mystérieuses cités d’or son intimité : sur son bureau, sa table, sa table de nuit et par terre, tout autour de son lit, des livres et des feuilles de notes…
Contemplant cette nature morte merveilleuse, mon cerveau a une érection (ma turgescence habituelle étant déjà présente depuis un baiser sur les quais)
À 3h du matin, on n’a plus de capote…
Je me rhabille donc en vitesse et pars en courant à travers la Ville Lumière en quête d’un distributeur…
1h plus tard, je reviens trempé de sueur et… les mains vides
Tous les distributeurs que j’ai trouvés avaient été dévalisés et puis, quelle idée d’en foutre dans les bouches de métro, alors qu’ils sont fermés la nuit…
On est donc dramatiquement obligés de dormir…
Mais, à 7h30 pétante, je suis devant un magasin pour l’ouverture avec, pour seuls vêtements, mon blouson, mon pantalon et mes chaussures
Je quitte finalement son lit à 12h30, mais je suis tellement épuisé que je ne passe le seuil de sa porte qu’à 13h, après avoir traversé son appart en rampant, assailli par ses baisers
Quand j’essaie de manger un sandwich dans le métro du retour, j’ai la bouche tellement engourdie que je n’arrive plus à mâcher…
Je finis par abandonner l’idée de le finir, un sourire aux lèvres

Le 03 février 2024 à 13:58:04 :
Pourquoi ce titre ?
J'ai toujours rêvé de pouvoir dire que j'étais un gros pd
khey j'ai une question, est-ce que tu pourrais etre plus précis concernant ta méthode pour rencontrer des filles via internet/sites de rencontre etc (en mp meme si tu veux), je suis dans une periode ou j'essaye de "retourner" aux affaires sociales après une periode "d'isolement" ahi
Ps : super risitas qui rappelle la bonne époque du forom et en plus il est original
Le 03 février 2024 à 14:44:12 :
khey j'ai une question, est-ce que tu pourrais etre plus précis concernant ta méthode pour rencontrer des filles via internet/sites de rencontre etc (en mp meme si tu veux), je suis dans une periode ou j'essaye de "retourner" aux affaires sociales après une periode "d'isolement" ahi![]()
Ps : super risitas qui rappelle la bonne époque du forom et en plus il est original
![]()
J'ai rédigé un guide sur le sujet que je vais partager gratuitement (dans les jours qui viennent)
Mais ma méthode est simple : chercher (industriellement) jusqu'à trouver
PS : merci

Chapitre 17-1 : Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de péd*raste
Après un ultime appel et une dernière chance, je décide délibérément de mettre fin “unilatéralement” à ma relation avec Eva
Depuis que je suis gamin, je rêve de grandeur et d’extases
Mais je viens d’avoir 25 ans et je vis chez mes parents au fin fond de la campagne
Je n’ai pas de travail et j’attends impatiemment de toucher le RSA
Pour autant, tous les matins, à 7h, un chant militaire résonne dans ma chambre
Après un bol de flocons d’avoine en lisant, je médite 20 min et me pose devant mon ordi pour bosser
Mon objectif est simple : créer la structure que j’aurais rêvée rejoindre à 18 ans : le Commando Underground
Grâce à la méditation, je bosse sur ce projet en étant hyper-focus et discipliné
Enfin, plus exactement, je pars dans tous les sens, mais en étant hyper-focus et discipliné
Je crée un site (inutile), un forum (inutile), des textes pour lancer une croisade (inutile), je rédige des guides (pertinent), je fais des lives tous les dimanches (pertinent) qui me prennent la journée à préparer…
Au tout début, j’avais même recontacté mon mentor pour retravailler avec lui… avant d’accepter que je ne pourrai pas tout faire
En gros, je peux enfin bosser sérieusement et je bosse sérieusement
Mais j’ai beau méditer tous les jours et passer mes soirées à lire des livres écrits par des moines, je n’ai pas l’intention de mener une vie d’ascète
Donc, quand la rupture définitive avec Eva survient, je me remets en chasse
Parmi les quelques personnes avec qui j’ai repris contact quand j’étais en Bulgarie, il y a une fille (appelons-la Léa)
Je l’avais recontacté amicalement pour savoir où en était un projet qu’elle menait et qui m’intéressait
La discussion s’étant avérée particulièrement stimulante, je l’avais rappelé une seconde fois deux semaines avant la fin du drame avec Eva
À cette occasion, je lui avais partagé un point crucial de mon futur programme politique : rouvrir des camps de vacances pour malandrin sur des îles, comme à Cayenne… et elle avait acquiescé
À l’occasion, elle m’avait aussi partagé le très excitant bouquin Sous le feu : La mort comme hypothèse de travail de Michel Goya
Désormais célibataire, je la recontacte une 3e fois, mais cette fois, avec une idée derrière la tête
Rapidement, on s’accorde pour que je monte la voir à Paris 3 semaines plus tard
Une semaine avant de monter à Paris, un pote part en week-end et me laisse squatter son appart dans une ville de 150 000 habitants
Le projet ? Passer mes journées à aborder des filles dans la rue
Résumé : 40 filles abordées, j’ai perdu mon temps
Mais peu importe, je suis dans un bus en direction de la terre promise Paris, avec une confiance absolue en Dieu la certitude de passer au moins une nuit avec Léa
Pour rentabiliser mes 5h de bus, j'ai aussi organisé quelques rencontres bonus
Ainsi, quand j’arrive à Paris, je commence par revoir une vieille “amie”, aristocrate, avec un nom à particule, mais désargentée
C’est la première femme très intelligente avec qui j’ai parlé (sur internet) et dont je suis, évidemment, immédiatement tombé amoureux
Un soir, 3 ans plus tôt, en parlant avec elle par message, pour la seule fois de ma vie, je m’étais senti dépassé intellectuellement, elle m’avait mis échec et mat
Bon, juste après, c’est moi qui l’avais mise échet et mat, mais pendant les quelques secondes où je m’étais senti dépassé, j’avais ressenti une excitation incroyable
C’était la sensation la plus intense que j’avais vécue avant de rencontrer Eva
Seulement, le gamin innocent jeune campagnard de 21 ans que j’étais lui avait dit “je t’aime” au bout de 5 min la première fois qu’il l’avait appelé
Résultat, une semaine plus tard, elle ne répondait plus à mes messages
Mais on avait quand même fini par se rencontrer en vrai pour un ultime adieu 1 an plus tard (quand j’étais passé par Paris pour prendre l’avion lors de mon “grand” départ en Estonie)
Bref, quand je débarque à Paris après une nuit dans le bus, je la retrouve au Jardin des Plantes
Elle me dit qu’elle est définitivement ensorcelée par le mauvais œil lesbienne et en couple avec une femme
Et, rapidement, on parle des relations homme-femme, enfin sexuelles et sentimentales en général
Du haut de ces 45 kg, avec ses yeux bleu (très) clair, ses cheveux noirs et son teint de sorcière qui n’a pas vu la lumière du jour depuis le siècle dernier… elle m’engueule presque en me disant que j’ai un discours d’incel
Je lui explique que je suis juste réaliste sur la violence du marché des relations pour les jeunes hommes (surtout à la campagne)
Aussi, je lui évoque mon profond désarroi face à ses vents 3 ans plus tôt et les efforts faramineux que j’ai dû faire pour réussir à avoir des relations avec des femmes (de qualité, on s’entend)
Elle me répond, sans la moindre empathie, que j’ai bien fini par me sortir les doigts du cul et réussir, donc que je n’ai pas à me plaindre
Mais bon, ouais, en définitive, elle a raison…
Enfin non, elle n'a pas raison, par contre, c’est vrai que tenter de justifier l’échec est une dynamique destructrice… et ça, peu importe à quel point le monde est violent
Bref, une fois que j’ai fait faire le plein de soleil pour un nouveau siècle à madame la comtesse, je pars retrouver une autre demoiselle
Chapitre 17-2 : Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de péd*raste
Bref, une fois que j’ai fait faire le plein de soleil pour un nouveau siècle à madame la comtesse, je pars retrouver une autre demoiselle
Je l’ai rencontré en la contactant directement sur un site de rencontre (sur lequel je me suis localisé à Paris)
Son profil n’avait pas de photo, mais elle disait aller à des concerts de musique classique toute seule régulièrement et il ne faut pas plus que le combo solitaire + mélomane pour hameçonner le garçon facile que je suis
On discute un peu et je lui dis être intéressé pour aller à un concert avec elle
Elle me propose une date et de me faire visiter un peu Paris après le récital, ce que j'accepte volontiers
Avant de se rencontrer, elle me demande si je veux voir à quoi elle ressemble, mais je lui réponds que j’attendrai de la voir en vrai, j’aime les surprises !
Fondamentalement, je m’attends à une version parisienne d’Eva, une jeune et jolie bourgeoise parisienne à la peau laiteuse… une brioche fondante et dorée en somme
Mais quand je la retrouve dans un parc en début d’après-midi, je suis face à un bout de pain sec… une banlieusarde d’origine éthiopienne qui a l’air d’avoir 15 ans
Je peux presque entendre Dieu se foutre de ma gueule
Mais je n’ai pas le temps d’être déçu, car mon cerveau se met en mode “exfiltration”
Je suis hyper focus pour éviter de trahir ma gêne et de la blesser, car je suis totalement responsable de l'imbroglio
Je garde donc une poker face absolue et on rentre dans le magnifique bâtiment qui sert d’auditorium
Trois étudiants du conservatoire s’avancent alors…
Trois “faces de quetsche […] bananes flambées... avant qu'elles soient flambées. Les bananes, quoi… Ah, je descends là. Pan, pan, pan… pan ”
Quand on sort du récital, je lui dis simplement que je vais y aller, sans chercher de prétexte
Elle n’insiste pas et on se quitte en douceur
Je me sens mal, un peu honteux de m’être retrouvé dans cette situation et triste de l’avoir peut-être blessé…
Mais l’aventure continue et le lendemain, je rencontre le tout premier auditeur des lives du Commando Underground : une féministe extrémiste !
Le marché est simple, je lui offre un exemplaire dédicacé de La Bible du Commando Underground contre un cours de chant (sachant qu’elle a 15 ans de chant à son actif)
On passe donc l’après-midi à chanter des chants militaires sous le Pont-Neuf
Quand la nuit commence à tomber, elle me propose d’aller à une “sauvage” (une manifestation illégale, contre la réforme des retraites à ce moment-là)
Le cul-terreux que je suis est curieux, donc je me laisse guider
En attendant le métro, on chante La Bohème, enfin surtout elle parce que je ne connais qu’à moitié les paroles
Et, dans le métro, à mon grand étonnement, elle commence à s’intéresser à ma vie sexuelle
Bon, physiquement, il faut être honnête, elle n’est vraiment pas terrible, donc je n’avais pas envisagé qu’il se passe quelque chose entre nous
Mais j’ai passé une bonne aprèm avec elle et je n’ai rien prévu ce soir-là, donc je me dis, pourquoi pas, après tout, ça peut être une expérience intéressante
On parle donc de cul au milieu des badauds et elle m’apprend un truc que j'ignorais
Apparemment, le fait que l’éjaculation fatigue et fasse perdre de l’énergie aux hommes est une légende urbaine et a été débunké depuis un moment !
Bien sûr, l’absurdité totale de cette affirmation me laisse pantois, mais je ne cherche pas à débattre, j’ai passé l’âge
D’ailleurs, quand elle me raconte sa vie et que je l’entends maudire le patriarcat, mon petit cœur est profondément touché, je suis presque ému
Son existence est une horreur absolue, bien pire que Les Misérables et bien trop misérable pour faire un bon film…
Je ne vois aucune issue positive pour elle, elle a l’air condamnée à une vie de souffrance sans le moindre grand bonheur…
Finalement, la manifestation sauvage n’a pas lieu et on échoue sur un quai à la nuit tombée
Elle commence à lire son exemplaire dédicacé de La Bible du Commando Underground pendant que je chante face au fleuve
Je suis paisible, peu importe comment finira cette soirée, j’ai passé une bonne journée et, demain, je vois Léa
Quand on commence à partir, je lui propose de la raccompagner chez elle
Elle est surprise et me demande si je dis ça avec l’idée de la baiser in fine
Je lui réponds “oui”, avec un peu plus de formes
Et là, elle me dit qu’elle n’est pas du tout intéressée, que je ne l’attire pas le moins du monde, notamment parce qu’elle a “dominé toutes nos discussions”
Je tombe un peu des nues… elle a confondu ma pitié et ma compassion patriarcale avec de la soumission…
Mais ce rejet est quand même extrêmement drôle, donc je rigole et lance une tentative de persuasion rocambolesque, comme si j’étais dans Skyrim : “Tu n’aurais probablement pas d’autres occasions de coucher avec le futur maitre du monde !”
Elle me regarde avec les yeux écarquillés de celle qui prend conscience de peut-être se trouver à côté de la plaque depuis le début
Je n’insiste évidemment pas et, au moment de me coucher, je termine ce sketch en lui envoyant un message : “Je dors seul ce soir, tel le puceau d’extrême droite que je suis ”
Elle n’arrive toujours pas à comprendre si je rigole et se demande sérieusement si je suis d’extrême droite et encore puceau…
Le lendemain soir, c’est enfin la rencontre avec Léa
On se retrouve dans un super resto (qu’elle a réservé) et le repas est parfaitement fluide
Passer d’une féministe ravagée par la vie à une femme qui se tient droite et qui bosse dans les forces de l’ordre en parallèle de ses études est un plaisir difficilement descriptible…
Cependant, je ne dis rien qui pourrait m’engager… car je ne veux pas m’engager
J’aime son esprit et son visage, mais Eva est partie avec mon cœur, je n’en ai plus et je refuse de voler celui d’une autre en la laissant s’attacher, donc je reste distant, quitte à tout faire foirer
Une fois repus de délices
Un peu plus tard, en passant devant la Sorbonne, on méprise en cœur se moque gentiment des étudiants qui sortent à demi alcoolisés de la fac de droit
Puis, elle me dit : “Il y a 2 possibilités, soit on va à gauche vers chez moi, soit on part à droite pour retourner marcher sur les quais ”
À l’intersection, d’un commun instinct, on tourne à gauche
Arrivés devant sa porte, elle me propose de monter
Et je découvre alors, émerveillé, les mystérieuses cités d’or son intimité : sur son bureau, sa table, sa table de nuit et par terre, tout autour de son lit, des livres et des feuilles de notes…
Contemplant cette nature morte merveilleuse, mon cerveau a une érection (ma turgescence habituelle étant déjà présente depuis un baiser sur les quais)
À 3h du matin, on n’a plus de capote…
Je me rhabille donc en vitesse et pars en courant à travers la Ville Lumière en quête d’un distributeur…
1h plus tard, je reviens trempé de sueur et… les mains vides
Tous les distributeurs que j’ai trouvés avaient été dévalisés et puis, quelle idée d’en foutre dans les bouches de métro, alors qu’ils sont fermés la nuit…
On est donc dramatiquement obligés de dormir…
Mais, à 7h30 pétante, je suis devant un magasin pour l’ouverture avec, pour seuls vêtements, mon blouson, mon pantalon et mes chaussures
Je quitte finalement son lit à 12h30, mais je suis tellement épuisé que je ne passe le seuil de sa porte qu’à 13h, après avoir traversé son appart en rampant, assailli par ses baisers
Quand j’essaie de manger un sandwich dans le métro du retour, j’ai la bouche tellement engourdie que je n’arrive plus à mâcher…
Je finis par abandonner l’idée de le finir, un sourire aux lèvres
Données du topic
- Auteur
- SDFtoElysium
- Date de création
- 6 décembre 2023 à 21:38:19
- Date de suppression
- 14 avril 2024 à 13:34:00
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