Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.
Oui mais d'après les coachs en développement personnel, sortir de sa zone de confort c'est le remède
Le 15 janvier 2025 à 21:55:25 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Oui mais d'après les coachs en développement personnel, sortir de sa zone de confort c'est le remède
Ils ont du sang sur les mains sérieux si seulement j'y avais pas cru
Le 15 janvier 2025 à 21:49:10 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Et oui khey j'ai dû le vivre des dizaines de fois, les phases où on se sent motivé pour changer, mais qui finissent par prendre fin assez rapidement tellement ça demande des efforts inouis quotidiens pour s'en sortir, sans compter les anticipations avant chaque sortie et les ruminations post-sorties...
Tout ce que j'ai gagné avec mes quelques mois où je me forçais à me bouger, ce sont des énormes malaises qui me réveillent encore en pleine nuit des années après.
T'es pas assez sortir de ta zone de confort, bro
Le 15 janvier 2025 à 21:56:43 :
Le 15 janvier 2025 à 21:49:10 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Et oui khey j'ai dû le vivre des dizaines de fois, les phases où on se sent motivé pour changer, mais qui finissent par prendre fin assez rapidement tellement ça demande des efforts inouis quotidiens pour s'en sortir, sans compter les anticipations avant chaque sortie et les ruminations post-sorties...
Tout ce que j'ai gagné avec mes quelques mois où je me forçais à me bouger, ce sont des énormes malaises qui me réveillent encore en pleine nuit des années après.T'es pas assez sortir de ta zone de confort, bro
Oui apparemment faut s'infliger des énormes malaises quotidiens pendant 10 ans pour apercevoir 1% d'amélioration, qui disparaît au bout de 2 mois de relâchement, très motivant
Le 15 janvier 2025 à 21:55:25 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Oui mais d'après les coachs en développement personnel, sortir de sa zone de confort c'est le remède
Le 15 janvier 2025 à 21:56:43 :
Le 15 janvier 2025 à 21:49:10 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Et oui khey j'ai dû le vivre des dizaines de fois, les phases où on se sent motivé pour changer, mais qui finissent par prendre fin assez rapidement tellement ça demande des efforts inouis quotidiens pour s'en sortir, sans compter les anticipations avant chaque sortie et les ruminations post-sorties...
Tout ce que j'ai gagné avec mes quelques mois où je me forçais à me bouger, ce sont des énormes malaises qui me réveillent encore en pleine nuit des années après.T'es pas assez sortir de ta zone de confort, bro
Bah c'est quoi l'alternative ? Se morfondre et se laisser crever ? Vous allez souffrir toute votre vie dans tous les cas, personne n'aime la solitude
Le 15 janvier 2025 à 21:54:15 :
Je suis dans une coloc de 8 pour ma part et je pense que plus la coloc est peuplé, plus tu te fond dans le décorsMais arrêtez avec vos "coloc pas par choix" ahii !
Si t'es vraiment phobique social et prolo tu te prends un 9m2 tout seul et ça reviens au même prix![]()
ahi je suis dans 9m²
mais bordel l'op soigne ton hygiène et va bouffer avec ta Léa bordel
Le 15 janvier 2025 à 21:58:03 :
Le 15 janvier 2025 à 21:55:25 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Oui mais d'après les coachs en développement personnel, sortir de sa zone de confort c'est le remède
Le 15 janvier 2025 à 21:56:43 :
Le 15 janvier 2025 à 21:49:10 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Et oui khey j'ai dû le vivre des dizaines de fois, les phases où on se sent motivé pour changer, mais qui finissent par prendre fin assez rapidement tellement ça demande des efforts inouis quotidiens pour s'en sortir, sans compter les anticipations avant chaque sortie et les ruminations post-sorties...
Tout ce que j'ai gagné avec mes quelques mois où je me forçais à me bouger, ce sont des énormes malaises qui me réveillent encore en pleine nuit des années après.T'es pas assez sortir de ta zone de confort, bro
Bah c'est quoi l'alternative ? Se morfondre et se laisser crever ? Vous allez souffrir toute votre vie dans tous les cas, personne n'aime la solitude
Perso le travail et une sortie de temps en temps avec un pote de confiance ça comble largement mes besoins de ce côté là.
Le seul soucis c'est la pucellerie tardive non tarifée car les meufs ont horreur des timides, et le problème ne fait qu'empirer de jour en jour car un puceau à 18 ans ça passe mieux qu'à 34.
Le 15 janvier 2025 à 21:56:11 :
Le 15 janvier 2025 à 21:55:25 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Oui mais d'après les coachs en développement personnel, sortir de sa zone de confort c'est le remède
Ils ont du sang sur les mains sérieux si seulement j'y avais pas cru
T'as pris ce qu'on appelle la blackpill, le truc qui se rapproche le plus de la vérité
C'est cynique mais réel, la blackpill dit concrètement que c'est foutu depuis ta naissance (facteurs genetiques), tu peux t'améliorer un petit peu mais c'est tout
Le 15 janvier 2025 à 22:00:12 :
Le 15 janvier 2025 à 21:56:11 :
Le 15 janvier 2025 à 21:55:25 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Oui mais d'après les coachs en développement personnel, sortir de sa zone de confort c'est le remède
Ils ont du sang sur les mains sérieux si seulement j'y avais pas cru
T'as pris ce qu'on appelle la blackpill, le truc qui se rapproche le plus de la vérité
C'est cynique mais réel, la blackpill dit concrètement que c'est foutu depuis ta naissance (facteurs genetiques), tu peux t'améliorer un petit peu mais c'est tout
J'aurais pas dit mieux khey
Le 15 janvier 2025 à 22:00:12 :
Le 15 janvier 2025 à 21:56:11 :
Le 15 janvier 2025 à 21:55:25 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Oui mais d'après les coachs en développement personnel, sortir de sa zone de confort c'est le remède
Ils ont du sang sur les mains sérieux si seulement j'y avais pas cru
T'as pris ce qu'on appelle la blackpill, le truc qui se rapproche le plus de la vérité
C'est cynique mais réel, la blackpill dit concrètement que c'est foutu depuis ta naissance (facteurs genetiques), tu peux t'améliorer un petit peu mais c'est tout
ah ouais mais chaud, je peux pas accepter ça
je prétend pas que vous allez vous transformer en Chad mais vous pouvez clairement vous améliorer à votre niveau et être + heureux
Le 15 janvier 2025 à 21:58:03 :
Le 15 janvier 2025 à 21:55:25 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Oui mais d'après les coachs en développement personnel, sortir de sa zone de confort c'est le remède
Le 15 janvier 2025 à 21:56:43 :
Le 15 janvier 2025 à 21:49:10 :
Le 15 janvier 2025 à 21:44:07 :
Voilà un pavé sur mon expérience en coloc en tant que phobique social.Pour le contexte j'ai fais 3 colocs différentes et jamais par choix évidemment.
1ère coloc : pas grand chose à dire, chacun était dans son coin mais j'avais parfois droit au "ça va Caenem ? on te vois presque jamais ?". J'y suis resté que 6 mois avec le 1er confinement.
2ème coloc
J'avais emménagé en 1er et les autres colocs devaient arriver le lendemain. J'étais déterminé à m'améliorer par rapport à la 1ère coloc donc j'avais plutôt hâte de rencontrer les autres, en plus ils étaient dans la même école que moi.
Sauf que le lendemain matin quand j'ai entendu les premiers pas des autres colocs j'ai commencé à ressentir une grosse boule au ventre, j'avais peur de sortir de ma chambre et d'aller rencontrer les nouveaux.
Donc je suis resté dans ma chambre, les volets encore fermés pour faire comme si je dormais. Je faisais le moins de bruit possible pour qu'ils croient que je dormais encore mais au bout d'un moment un des colocs toque à ma porte, surement inquiet que je ne sois toujours pas levé (à juste titre), mais ça n'a fait que renforcer ma peur de sortir. En plus je les entendais parler de moi entre eux donc ça n'arrangeait pas les choses. Vers la fin de la journée j'ai réfléchi à un plan qui consistait à faire croire que j'étais parti dehors mais je me suis fais cramé donc je leur ai fait croire que j'avais dormi très longtemps et ils y ont cru jusqu'à la fin de la coloc mais cet événement à souvent donné lieu à quelques taquineries que je ne prenais pas mal mais c'était quand même chiant.
Heureusement j'étais dans la même école que mes colocs et ont avait pas mal de choses en commun. On mangeait tout le temps ensemble le soir, on discutait un peu mais j'ai jamais réussi à être 100% à l'aise avec eux. Ma 2ème coloc était de loin la meilleure que j'ai eu.3ème coloc aka l'enfer :
De loin la pire expérience que j'ai eu pourtant ça avait très très bien commencé.
Le premier soir, petit repas avec les colocs, on discute et tout se passe bien. Puis le lendemain je sais pas pourquoi mais j'ai rechuté et j'ai recommencé à avoir peur de croiser les autres colocs.
Quand je devais rentrer à la coloc, je me collais à la porte d'entrée pour écouter si y'avait pas quelqu'un dans le salon pour éviter de le croiser. Du coup des fois j'attendais dans les escaliers.
Il y avait un capteur de mouvement pour l'éclairage donc j’essayais de pas trop bouger pour pas que la lumière s'allume et s'éteigne trop afin que mes colocs pensent pas qu'il y ait quelqu'un qui rôde devant la porte.
Heureusement quand ça commençait à devenir long (plus de 15min) j'arrivais à prendre mon courage à 2 mains et rentrer même si y'avait quelqu'un. Je me contentais de dire un simple "Salut" et de foncer dans ma chambre.
Vers la fin j'étais vraiment dans un sale état mentalement, je mangeais peu et j'étais constamment anxieux.A chaque début de coloc j'ai essayé de faire des efforts mais j'ai jamais réussi à tenir sur la durée.
Depuis, je vis seul en appart mais je suis curieux de savoir comment je m'en sortirais si je devais revivre en coloc demain car depuis j'ai quand même un petit peu progressé niveau social.Et oui khey j'ai dû le vivre des dizaines de fois, les phases où on se sent motivé pour changer, mais qui finissent par prendre fin assez rapidement tellement ça demande des efforts inouis quotidiens pour s'en sortir, sans compter les anticipations avant chaque sortie et les ruminations post-sorties...
Tout ce que j'ai gagné avec mes quelques mois où je me forçais à me bouger, ce sont des énormes malaises qui me réveillent encore en pleine nuit des années après.T'es pas assez sortir de ta zone de confort, bro
Bah c'est quoi l'alternative ? Se morfondre et se laisser crever ? Vous allez souffrir toute votre vie dans tous les cas, personne n'aime la solitude
Bon tu as compris qu'il n'y avait pas d'autre alternative
Personne n'aime la solitude je suis d'accord mais tu peux l'accepter
Le 15 janvier 2025 à 22:02:35 :
On te l'a sans doute déjà dit mais
Tu devrais profiter de la situation pour essayer de te sortir de ta situation de phobique social
SI tu es encore étudiant alors tu es à un âge où notre caractère peut encore évoluer
Go accepter de dîner avec Léa la prochaine fois que l'occasion se présentera
Sauf qu'il est pas très beau, phobique sociale et a des difficultés pour s'exprimer.
La vie c'est pas Walt Disney.
Le 15 janvier 2025 à 21:34:19 :
Le 15 janvier 2025 à 21:33:01 :
Le 15 janvier 2025 à 20:46:01 :
Le 15 janvier 2025 à 20:43:31 :
Mais je crois que le problème de l'op, c'est aussi qu'il est incapable de s'intéresser un minimum aux autres. Le genre à faire des coups de p*** quand il devient yes-lifeOh non, je connais pleins de choses sur eux (merci les murs en CARTON), et justement ça m'éffraie
![]()
C'est tous des yeslifes qui ont une vie ultra remplie (des assos, des sports en club, voyages a tout bout de champ, ect...)
Comment dans une conversation ou ça parle de nous tu veux que j'arrive entre X qui parle de son diplome de pilote d'avion et Y qui nous dit qu'elle fait de la plongée sous-marine et y'a moi "oui bah moi j'ai bien les jeux vidéos héhé"
![]()
Bah dit leur que t'es dans une communauté (le forum
)
T'as jamais voyagé ?Non le seul voyage de ma vie c'était les 2 semaines de camping de french dreamer chaque année avec mes parents quand j'étais gosse
![]()
Bah je sais pas alors, parle leur de ta vie difficile mais surtout en mettant en avant ta resilience pour faire des études, t'installer en coloc. Bref romance un peu ta vie dans ce sens, tu passeras pour un mec solide contre les épreuves de la vie
Le 15 janvier 2025 à 21:42:13 :
Le 15 janvier 2025 à 20:41:20 :
Le 15 janvier 2025 à 20:38:23 :
Le 15 janvier 2025 à 20:36:31 :
Le 15 janvier 2025 à 20:34:35 :
> Le 15 janvier 2025 à 20:13:19 :
>L'OP qui a une touche avec la 8/10 de sa coloc et qui préfère bouffer son poulet devant JVC comme un puceau.
>
> A 30 ans faudra pas venir chialer ici (si le forum est encore ouvert).
Ceci.
L'op tu forces, tu pourrais sortir de ta yes-liferie, plus être puceau, rencontrer des gens autre que sur JVC.
On te demande pas de te mettre une murge, juste de t'ouvrir aux autres.
J'ai 24 ans, c'est trop tard pour se dépuceler, à cet age toute les femmes s'attendent à ce que t'ai un minimum d'xp, j'ai 24 ans pas 15 où la encore c'était normal d'être puceau
![]()
La vie s'est pas un porno, les femmes s'attendent surtout à ce que t'ai une situation en fait
Que t'ai un bodycount de 0 ou 150 c'est pas écrit sur ton front même si ça peut se traduire dans ton comportement si t'es un nolife mais dans ce cas tu leur parleras pas, ce que tu fais actuellement d'ailleurs
Oui peut être, mais y'a un truc qui fait que je suis condamné à rester pucix a jamais :
tlm va capter que c'est un fake maintenant, dommage l'op, t'as trop surenchéri
Le 15 janvier 2025 à 22:13:16 :
Le 15 janvier 2025 à 21:34:19 :
Le 15 janvier 2025 à 21:33:01 :
Le 15 janvier 2025 à 20:46:01 :
Le 15 janvier 2025 à 20:43:31 :
Mais je crois que le problème de l'op, c'est aussi qu'il est incapable de s'intéresser un minimum aux autres. Le genre à faire des coups de p*** quand il devient yes-lifeOh non, je connais pleins de choses sur eux (merci les murs en CARTON), et justement ça m'éffraie
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C'est tous des yeslifes qui ont une vie ultra remplie (des assos, des sports en club, voyages a tout bout de champ, ect...)
Comment dans une conversation ou ça parle de nous tu veux que j'arrive entre X qui parle de son diplome de pilote d'avion et Y qui nous dit qu'elle fait de la plongée sous-marine et y'a moi "oui bah moi j'ai bien les jeux vidéos héhé"
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Bah dit leur que t'es dans une communauté (le forum
)
T'as jamais voyagé ?Non le seul voyage de ma vie c'était les 2 semaines de camping de french dreamer chaque année avec mes parents quand j'étais gosse
![]()
Bah je sais pas alors, parle leur de ta vie difficile mais surtout en mettant en avant ta resilience pour faire des études, t'installer en coloc. Bref romance un peu ta vie dans ce sens, tu passeras pour un mec solide contre les épreuves de la vie
Ca fait réver personne de raconter que j'étais harceler durant toute ma scolarité
Le 15 janvier 2025 à 22:20:49 :
Le 15 janvier 2025 à 22:13:16 :
Le 15 janvier 2025 à 21:34:19 :
Le 15 janvier 2025 à 21:33:01 :
Le 15 janvier 2025 à 20:46:01 :
> Le 15 janvier 2025 à 20:43:31 :
>Mais je crois que le problème de l'op, c'est aussi qu'il est incapable de s'intéresser un minimum aux autres. Le genre à faire des coups de p*** quand il devient yes-life
Oh non, je connais pleins de choses sur eux (merci les murs en CARTON), et justement ça m'éffraie
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C'est tous des yeslifes qui ont une vie ultra remplie (des assos, des sports en club, voyages a tout bout de champ, ect...)
Comment dans une conversation ou ça parle de nous tu veux que j'arrive entre X qui parle de son diplome de pilote d'avion et Y qui nous dit qu'elle fait de la plongée sous-marine et y'a moi "oui bah moi j'ai bien les jeux vidéos héhé"
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Bah dit leur que t'es dans une communauté (le forum
)
T'as jamais voyagé ?Non le seul voyage de ma vie c'était les 2 semaines de camping de french dreamer chaque année avec mes parents quand j'étais gosse
![]()
Bah je sais pas alors, parle leur de ta vie difficile mais surtout en mettant en avant ta resilience pour faire des études, t'installer en coloc. Bref romance un peu ta vie dans ce sens, tu passeras pour un mec solide contre les épreuves de la vie
Ca fait réver personne de raconter que j'étais harceler durant toute ma scolarité
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Hum je savais que t’avais subis du harcèlement.
Oui tu es trauma et ta peur que ton cauchemar recommence à chaque fois que tu as une interaction avec les autres .
La vérité c’est que tu ne vas jamais évoluer si tu reste dans ta zone de confort
Même au taf t’auras du mal avec tes collègues .
Pareil quand il faudra te trouver une femme et faire des enfants . Et si par miracle tu arrives à en faire, comment pourras tu les protéger ?
Bref t’as 24 ans t’es à un tournant là, et cette épreuve et une occasion rêvée pour toi, force toi !
JvArchive compagnon