J'ai pris 10 kilos à cause de mon traitement psychiatrique

Le 18 août 2024 à 16:38:38 :

Le 18 août 2024 à 16:37:17 :

Le 18 août 2024 à 16:35:39 :
T'as un avis sur les jeunes de ton âge en HP?

Parfois c'est n'importe quoi. Le pire c'est un mec de tout juste 20 ans qui débarque à l'HP pour des "pulsions" comme il disait, alors qu'il bandait juste le matin et qu'il avait envie de se branler toute la journée
Il est ressorti au bout de deux semaines avec un traitement

Bah après si il parle de pulsion il a sûrement fait des trucs

il s'est branlé devant sa demi soeur le zinzito

Le 18 août 2024 à 16:38:38 :

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Le 18 août 2024 à 16:35:39 :
T'as un avis sur les jeunes de ton âge en HP?

Parfois c'est n'importe quoi. Le pire c'est un mec de tout juste 20 ans qui débarque à l'HP pour des "pulsions" comme il disait, alors qu'il bandait juste le matin et qu'il avait envie de se branler toute la journée
Il est ressorti au bout de deux semaines avec un traitement

Bah après si il parle de pulsion il a sûrement fait des trucs

Dieu merci, la plupart des mecs qui ont des pulsions ne font rien

En +, ceux qui font des choses ont très souvent mûrement réfléchi leur truc hein

Le 18 août 2024 à 16:30:56 MarinouGarn a écrit :
Alors oui je flippe complètement de refiler ce que j'ai à un possible enfant, parce que moi c'est mon père qui me l'a refilé. J'ai pas envie de taper de phase maniaque ou de dépression post partum à l'arrivée d'un enfant

Je comprend bien ce que tu veux dire. Je suis autiste et je pense que c'est une bénédiction car de mon point de vue ça fait être bienveillant et désintéressé, comme on s'imaginerait quelqu'un de vertueux. Alors je serais heureux de transmettre ça. Mais je ne comprend pas vraiment toutes les implications d'une phase maniaque par exemple. Ça doit être tellement difficile, comme tout ce qui fait sembler incohérent aux yeux des autres ou à ses propres yeux.

Les médicaments sont la seule chose qui te permet un contrôle sur ces comportements ?

Comment se fait-il que tu avais autant de médicaments à disposition sans que ce soit pour (ou sans parvenir à) contrôler ces comportements ?

Le 18 août 2024 à 16:39:43 :

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Le 18 août 2024 à 16:37:17 :

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T'as un avis sur les jeunes de ton âge en HP?

Parfois c'est n'importe quoi. Le pire c'est un mec de tout juste 20 ans qui débarque à l'HP pour des "pulsions" comme il disait, alors qu'il bandait juste le matin et qu'il avait envie de se branler toute la journée
Il est ressorti au bout de deux semaines avec un traitement

Bah après si il parle de pulsion il a sûrement fait des trucs

il s'est branlé devant sa demi soeur le zinzito

devant elle ? elle l'a vu? Ou juste il s'est fait cramé ?

Le 18 août 2024 à 16:40:16 :

Le 18 août 2024 à 16:30:56 MarinouGarn a écrit :
Alors oui je flippe complètement de refiler ce que j'ai à un possible enfant, parce que moi c'est mon père qui me l'a refilé. J'ai pas envie de taper de phase maniaque ou de dépression post partum à l'arrivée d'un enfant

Je comprend bien ce que tu veux dire. Je suis autiste et je pense que c'est une bénédiction car de mon point de vue ça fait être bienveillant et désintéressé, comme on s'imaginerait quelqu'un de vertueux. Alors je serais heureux de transmettre ça. Mais je ne comprend pas vraiment toutes les implications d'une phase maniaque par exemple. Ça doit être tellement difficile, comme tout ce qui fait sembler incohérent aux yeux des autres ou à ses propres yeux.

Les médicaments sont la seule chose qui te permet un contrôle sur ces comportements ?

Comment se fait-il que tu avais autant de médicaments à disposition sans que ce soit pour (ou sans parvenir à) contrôler ces comportements ?

Se sont des comportements impulsifs que je peux pas contrôler, j'arrive pas à gérer mon humeur ou mes émotions par exemple. Du jour au lendemain je peux monter en phase maniaque très haut, ne plus dormir, ne plus manger, faire n'importe quoi de démesurer et ensuite retomber aussi bas que ma phase haute. J'ai fait de la psychothérapie cognitive et comportementale mais finalement ça sert à pas grand chose j'ai l'impression

Le 18 août 2024 à 16:40:38 :

Le 18 août 2024 à 16:39:43 :

Le 18 août 2024 à 16:38:38 :

Le 18 août 2024 à 16:37:17 :

Le 18 août 2024 à 16:35:39 :
T'as un avis sur les jeunes de ton âge en HP?

Parfois c'est n'importe quoi. Le pire c'est un mec de tout juste 20 ans qui débarque à l'HP pour des "pulsions" comme il disait, alors qu'il bandait juste le matin et qu'il avait envie de se branler toute la journée
Il est ressorti au bout de deux semaines avec un traitement

Bah après si il parle de pulsion il a sûrement fait des trucs

il s'est branlé devant sa demi soeur le zinzito

devant elle ? elle l'a vu? Ou juste il s'est fait cramé ?

Il s'est fait dénoncé par la soeur en question et son père l'a emmené voir une psychiatre qui l'a foutu direct en hp sans rien comprendre

Le 18 août 2024 à 16:43:43 MarinouGarn a écrit :

Le 18 août 2024 à 16:40:16 :

Le 18 août 2024 à 16:30:56 MarinouGarn a écrit :
Alors oui je flippe complètement de refiler ce que j'ai à un possible enfant, parce que moi c'est mon père qui me l'a refilé. J'ai pas envie de taper de phase maniaque ou de dépression post partum à l'arrivée d'un enfant

Je comprend bien ce que tu veux dire. Je suis autiste et je pense que c'est une bénédiction car de mon point de vue ça fait être bienveillant et désintéressé, comme on s'imaginerait quelqu'un de vertueux. Alors je serais heureux de transmettre ça. Mais je ne comprend pas vraiment toutes les implications d'une phase maniaque par exemple. Ça doit être tellement difficile, comme tout ce qui fait sembler incohérent aux yeux des autres ou à ses propres yeux.

Les médicaments sont la seule chose qui te permet un contrôle sur ces comportements ?

Comment se fait-il que tu avais autant de médicaments à disposition sans que ce soit pour (ou sans parvenir à) contrôler ces comportements ?

Se sont des comportements impulsifs que je peux pas contrôler, j'arrive pas à gérer mon humeur ou mes émotions par exemple.

Donc dans un cadre très large ? Moi par exemple, quand j'ai des symptômes d'épilepsie, ça me rend désagréable, agressif. Ou triste. Mais pas vraiment d'autres émotions (car mon épilepsie résulte d'un taux de sérotonine trop bas). Donc ça t'empêcherait aussi de gérer un enthousiasme ou un plaisir de trop grande magnitude de la même façon ? Ou bien ça n'affecte que les sentiments négatifs. Ou alors c'est plus complexe que des sentiments négatifs ou positifs ?

Du jour au lendemain je peux monter en phase maniaque très haut, ne plus dormir, ne plus manger, faire n'importe quoi de démesurer et ensuite retomber aussi bas que ma phase haute. J'ai fait de la psychothérapie cognitive et comportementale mais finalement ça sert à pas grand chose j'ai l'impression

C'est difficile de savoir à quel point faire confiance à la médecine, quand on sait que la neurologie est si peu avancée dans ces domaines. Pour mon épilepsie, les médecins étaient incapables de m'aider. Ou même de simplement identifier mon type d'épilepsie ! C'est effarant.

On prend sur soi pour essayer des choses, mais c'est dur d'arriver à un résultat satisfaisant. Est-ce qu'au moins ton lourd traitement, même s'il t'a fait prendre un peu de poids, te soulage réellement de ta pathologie ?

Le 18 août 2024 à 16:51:46 :

Le 18 août 2024 à 16:43:43 MarinouGarn a écrit :

Le 18 août 2024 à 16:40:16 :

Le 18 août 2024 à 16:30:56 MarinouGarn a écrit :
Alors oui je flippe complètement de refiler ce que j'ai à un possible enfant, parce que moi c'est mon père qui me l'a refilé. J'ai pas envie de taper de phase maniaque ou de dépression post partum à l'arrivée d'un enfant

Je comprend bien ce que tu veux dire. Je suis autiste et je pense que c'est une bénédiction car de mon point de vue ça fait être bienveillant et désintéressé, comme on s'imaginerait quelqu'un de vertueux. Alors je serais heureux de transmettre ça. Mais je ne comprend pas vraiment toutes les implications d'une phase maniaque par exemple. Ça doit être tellement difficile, comme tout ce qui fait sembler incohérent aux yeux des autres ou à ses propres yeux.

Les médicaments sont la seule chose qui te permet un contrôle sur ces comportements ?

Comment se fait-il que tu avais autant de médicaments à disposition sans que ce soit pour (ou sans parvenir à) contrôler ces comportements ?

Se sont des comportements impulsifs que je peux pas contrôler, j'arrive pas à gérer mon humeur ou mes émotions par exemple.

Donc dans un cadre très large ? Moi par exemple, quand j'ai des symptômes d'épilepsie, ça me rend désagréable, agressif. Ou triste. Mais pas vraiment d'autres émotions (car mon épilepsie résulte d'un taux de sérotonine trop bas). Donc ça t'empêcherait aussi de gérer un enthousiasme ou un plaisir de trop grande magnitude de la même façon ? Ou bien ça n'affecte que les sentiments négatifs. Ou alors c'est plus complexe que des sentiments négatifs ou positifs ?

Du jour au lendemain je peux monter en phase maniaque très haut, ne plus dormir, ne plus manger, faire n'importe quoi de démesurer et ensuite retomber aussi bas que ma phase haute. J'ai fait de la psychothérapie cognitive et comportementale mais finalement ça sert à pas grand chose j'ai l'impression

C'est difficile de savoir à quel point faire confiance à la médecine, quand on sait que la neurologie est si peu avancée dans ces domaines. Pour mon épilepsie, les médecins étaient incapables de m'aider. Ou même de simplement identifier mon type d'épilepsie ! C'est effarant.

On prend sur soi pour essayer des choses, mais c'est dur d'arriver à un résultat satisfaisant. Est-ce qu'au moins ton lourd traitement, même s'il t'a fait prendre un peu de poids, te soulage réellement de ta pathologie ?

Je te comprends, la médecine est parfois pourrie, ils n'étaient pas capables de me dire le type de bipolarité que j'avais, je l'ai su il y a quelques jours par ma psychiatre libérale.

En soi, oui le traitement m'aide, mais j'ai toujours été attachée à mon poids, j'en ai eu des troubles alimentaires alors remonter aussi haut ça me dégoute juste des cachets que je dois prendre. Je sais que psychiatriquement j'en ai besoin mais à quel prix...

Le 18 août 2024 à 16:52:53 :
C'est exactement pour ça que je suis en train d'arrêter mon traitement, j'étais monter à 90 kg pour 1m68

Mon Dieu, j'aimerai tellement l'arrêter. Courage mon khey

Le 18 août 2024 à 16:58:07 :

Le 18 août 2024 à 16:52:53 :
C'est exactement pour ça que je suis en train d'arrêter mon traitement, j'étais monter à 90 kg pour 1m68

Mon Dieu, j'aimerai tellement l'arrêter. Courage mon khey

De toute façon avec ou sans je suis toujours en dépression, je n'ai jamais été stabiliser, je préfère être un cadavre esthétique

Le 18 août 2024 à 16:16:06 :
Desirabilite, je prends du lithium, Tranxene, Tercian, olanzapine, lamictal et noctamide ,

T'es déjà morte sans le savoir.
Dans 10 ans t'as plus de neurones, mais on se console en allant courir.

Le 18 août 2024 à 17:01:04 :

Le 18 août 2024 à 16:16:06 :
Desirabilite, je prends du lithium, Tranxene, Tercian, olanzapine, lamictal et noctamide ,

T'es déjà morte sans le savoir.
Dans 10 ans t'as plus de neurones, mais on se console en allant courir.

Si je meurs avec 10 kilos de moins, ça me va

Le 18 août 2024 à 17:00:23 :

Le 18 août 2024 à 16:58:07 :

Le 18 août 2024 à 16:52:53 :
C'est exactement pour ça que je suis en train d'arrêter mon traitement, j'étais monter à 90 kg pour 1m68

Mon Dieu, j'aimerai tellement l'arrêter. Courage mon khey

De toute façon avec ou sans je suis toujours en dépression, je n'ai jamais été stabiliser, je préfère être un cadavre esthétique

Je comprends. Tu prends quoi ?

Le 18 août 2024 à 17:03:50 :

Le 18 août 2024 à 17:00:23 :

Le 18 août 2024 à 16:58:07 :

Le 18 août 2024 à 16:52:53 :
C'est exactement pour ça que je suis en train d'arrêter mon traitement, j'étais monter à 90 kg pour 1m68

Mon Dieu, j'aimerai tellement l'arrêter. Courage mon khey

De toute façon avec ou sans je suis toujours en dépression, je n'ai jamais été stabiliser, je préfère être un cadavre esthétique

Je comprends. Tu prends quoi ?

Anafranil, quetiapine, alprazolam, tercian

Le 18 août 2024 à 17:05:38 :

Le 18 août 2024 à 17:03:50 :

Le 18 août 2024 à 17:00:23 :

Le 18 août 2024 à 16:58:07 :

Le 18 août 2024 à 16:52:53 :
C'est exactement pour ça que je suis en train d'arrêter mon traitement, j'étais monter à 90 kg pour 1m68

Mon Dieu, j'aimerai tellement l'arrêter. Courage mon khey

De toute façon avec ou sans je suis toujours en dépression, je n'ai jamais été stabiliser, je préfère être un cadavre esthétique

Je comprends. Tu prends quoi ?

Anafranil, quetiapine, alprazolam, tercian

l'anafranil m'a fait grossir de ouf, et la quétiapine aussi. quels poisons cela pouah

Le 18 août 2024 à 16:57:43 MarinouGarn a écrit :

Le 18 août 2024 à 16:51:46 :

Le 18 août 2024 à 16:43:43 MarinouGarn a écrit :

Le 18 août 2024 à 16:40:16 :

Le 18 août 2024 à 16:30:56 MarinouGarn a écrit :
Alors oui je flippe complètement de refiler ce que j'ai à un possible enfant, parce que moi c'est mon père qui me l'a refilé. J'ai pas envie de taper de phase maniaque ou de dépression post partum à l'arrivée d'un enfant

Je comprend bien ce que tu veux dire. Je suis autiste et je pense que c'est une bénédiction car de mon point de vue ça fait être bienveillant et désintéressé, comme on s'imaginerait quelqu'un de vertueux. Alors je serais heureux de transmettre ça. Mais je ne comprend pas vraiment toutes les implications d'une phase maniaque par exemple. Ça doit être tellement difficile, comme tout ce qui fait sembler incohérent aux yeux des autres ou à ses propres yeux.

Les médicaments sont la seule chose qui te permet un contrôle sur ces comportements ?

Comment se fait-il que tu avais autant de médicaments à disposition sans que ce soit pour (ou sans parvenir à) contrôler ces comportements ?

Se sont des comportements impulsifs que je peux pas contrôler, j'arrive pas à gérer mon humeur ou mes émotions par exemple.

Donc dans un cadre très large ? Moi par exemple, quand j'ai des symptômes d'épilepsie, ça me rend désagréable, agressif. Ou triste. Mais pas vraiment d'autres émotions (car mon épilepsie résulte d'un taux de sérotonine trop bas). Donc ça t'empêcherait aussi de gérer un enthousiasme ou un plaisir de trop grande magnitude de la même façon ? Ou bien ça n'affecte que les sentiments négatifs. Ou alors c'est plus complexe que des sentiments négatifs ou positifs ?

Du jour au lendemain je peux monter en phase maniaque très haut, ne plus dormir, ne plus manger, faire n'importe quoi de démesurer et ensuite retomber aussi bas que ma phase haute. J'ai fait de la psychothérapie cognitive et comportementale mais finalement ça sert à pas grand chose j'ai l'impression

C'est difficile de savoir à quel point faire confiance à la médecine, quand on sait que la neurologie est si peu avancée dans ces domaines. Pour mon épilepsie, les médecins étaient incapables de m'aider. Ou même de simplement identifier mon type d'épilepsie ! C'est effarant.

On prend sur soi pour essayer des choses, mais c'est dur d'arriver à un résultat satisfaisant. Est-ce qu'au moins ton lourd traitement, même s'il t'a fait prendre un peu de poids, te soulage réellement de ta pathologie ?

Je te comprends, la médecine est parfois pourrie, ils n'étaient pas capables de me dire le type de bipolarité que j'avais, je l'ai su il y a quelques jours par ma psychiatre libérale.

Oui, on a vraiment l'impression d'aller voir quelqu'un qui attends que la journée se termine plutôt que quelqu'un qui est là pour te soigner ou te trouver un traitement... Moi ce qui m'a fait le plus de mal et fait perdre toute confiance, c'est d'avoir lu des articles médicaux qui m'ont appris que beaucoup des décisions des médecins sont dogmatiques plutôt que pertinentes. Ils ne voulaient que réduire l'excitabilité de mes neurones alors que ça ne fonctionne pas et que ça rend malheureux. Quand on sait que la sérotonine inhibe la communication par bouffée des neurones qui est responsable de mes crises d'épilepsies, en l'occurrence.

En soi, oui le traitement m'aide, mais j'ai toujours été attachée à mon poids, j'en ai eu des troubles alimentaires alors remonter aussi haut ça me dégoute juste des cachets que je dois prendre. Je sais que psychiatriquement j'en ai besoin mais à quel prix...

Je comprend bien. C'est toujours avec tellement de précaution qu'on doit prendre ces choix pour soi-même, ou bien partager ces raisonnements avec les autres.

Je suis un peu dans la même dualité que toi vis à vis du poids (mais je fais énormément de sport donc ça ne se voit pas), puisque tout ce qui me procure de la sérotonine me soulage... Alors je n'ai pas de trouble alimentaire à proprement parler, mais l'alcool par exemple, me soulage instantanément, et ce sont les mêmes enjeux qu'avec la nourriture. Du plaisir contre des calories. On a vite fait de tomber dans des travers qui ont un impact considérable sur notre corps.

Trouver une activité professionnelle épanouissante qui me laisse beaucoup de temps libre m'a beaucoup aidé. Et à coté de ça j'auto-expérimente dans le but de trouver une solution pérenne et j'ai déjà quelques pistes. Mais c'est facile dans ma situation, si je vais mal, j'arrête d'exister pour quelques minutes... ou pour quelques heures... Je n'ai que mon absence à regretter.

Je te souhaite tout le bonheur, et je suis jamais loin si tu as besoin de discuter, n'hésite pas à m'envoyer de MP

Le 18 août 2024 à 17:06:23 :

Le 18 août 2024 à 17:05:38 :

Le 18 août 2024 à 17:03:50 :

Le 18 août 2024 à 17:00:23 :

Le 18 août 2024 à 16:58:07 :

> Le 18 août 2024 à 16:52:53 :

>C'est exactement pour ça que je suis en train d'arrêter mon traitement, j'étais monter à 90 kg pour 1m68

Mon Dieu, j'aimerai tellement l'arrêter. Courage mon khey

De toute façon avec ou sans je suis toujours en dépression, je n'ai jamais été stabiliser, je préfère être un cadavre esthétique

Je comprends. Tu prends quoi ?

Anafranil, quetiapine, alprazolam, tercian

l'anafranil m'a fait grossir de ouf, et la quétiapine aussi. quels poisons cela pouah

Courage kheyette c'est pas facile, ça fait des années que je suis dans la psychiatrie ça saoul au bout d'un moment, ça te monte juste trop à la tête moi c'est finis je prends plus rien, je vois plus de thérapeute j'ai complétement abandonner

Le 18 août 2024 à 17:09:28 :

Le 18 août 2024 à 16:57:43 MarinouGarn a écrit :

Le 18 août 2024 à 16:51:46 :

Le 18 août 2024 à 16:43:43 MarinouGarn a écrit :

Le 18 août 2024 à 16:40:16 :

> Le 18 août 2024 à 16:30:56 MarinouGarn a écrit :

>Alors oui je flippe complètement de refiler ce que j'ai à un possible enfant, parce que moi c'est mon père qui me l'a refilé. J'ai pas envie de taper de phase maniaque ou de dépression post partum à l'arrivée d'un enfant

Je comprend bien ce que tu veux dire. Je suis autiste et je pense que c'est une bénédiction car de mon point de vue ça fait être bienveillant et désintéressé, comme on s'imaginerait quelqu'un de vertueux. Alors je serais heureux de transmettre ça. Mais je ne comprend pas vraiment toutes les implications d'une phase maniaque par exemple. Ça doit être tellement difficile, comme tout ce qui fait sembler incohérent aux yeux des autres ou à ses propres yeux.

Les médicaments sont la seule chose qui te permet un contrôle sur ces comportements ?

Comment se fait-il que tu avais autant de médicaments à disposition sans que ce soit pour (ou sans parvenir à) contrôler ces comportements ?

Se sont des comportements impulsifs que je peux pas contrôler, j'arrive pas à gérer mon humeur ou mes émotions par exemple.

Donc dans un cadre très large ? Moi par exemple, quand j'ai des symptômes d'épilepsie, ça me rend désagréable, agressif. Ou triste. Mais pas vraiment d'autres émotions (car mon épilepsie résulte d'un taux de sérotonine trop bas). Donc ça t'empêcherait aussi de gérer un enthousiasme ou un plaisir de trop grande magnitude de la même façon ? Ou bien ça n'affecte que les sentiments négatifs. Ou alors c'est plus complexe que des sentiments négatifs ou positifs ?

Du jour au lendemain je peux monter en phase maniaque très haut, ne plus dormir, ne plus manger, faire n'importe quoi de démesurer et ensuite retomber aussi bas que ma phase haute. J'ai fait de la psychothérapie cognitive et comportementale mais finalement ça sert à pas grand chose j'ai l'impression

C'est difficile de savoir à quel point faire confiance à la médecine, quand on sait que la neurologie est si peu avancée dans ces domaines. Pour mon épilepsie, les médecins étaient incapables de m'aider. Ou même de simplement identifier mon type d'épilepsie ! C'est effarant.

On prend sur soi pour essayer des choses, mais c'est dur d'arriver à un résultat satisfaisant. Est-ce qu'au moins ton lourd traitement, même s'il t'a fait prendre un peu de poids, te soulage réellement de ta pathologie ?

Je te comprends, la médecine est parfois pourrie, ils n'étaient pas capables de me dire le type de bipolarité que j'avais, je l'ai su il y a quelques jours par ma psychiatre libérale.

Oui, on a vraiment l'impression d'aller voir quelqu'un qui attends que la journée se termine plutôt que quelqu'un qui est là pour te soigner ou te trouver un traitement... Moi ce qui m'a fait le plus de mal et fait perdre toute confiance, c'est d'avoir lu des articles médicaux qui m'ont appris que beaucoup des décisions des médecins sont dogmatiques plutôt que pertinentes. Ils ne voulaient que réduire l'excitabilité de mes neurones alors que ça ne fonctionne pas et que ça rend malheureux. Quand on sait que la sérotonine inhibe la communication par bouffée des neurones qui est responsable de mes crises d'épilepsies, en l'occurrence.

En soi, oui le traitement m'aide, mais j'ai toujours été attachée à mon poids, j'en ai eu des troubles alimentaires alors remonter aussi haut ça me dégoute juste des cachets que je dois prendre. Je sais que psychiatriquement j'en ai besoin mais à quel prix...

Je comprend bien. C'est toujours avec tellement de précaution qu'on doit prendre ces choix pour soi-même, ou bien partager ces raisonnements avec les autres.

Je suis un peu dans la même dualité que toi vis à vis du poids, puisque tout ce qui me procure de la sérotonine me soulage... Alors je n'ai pas de trouble alimentaire à proprement parler, mais l'alcool par exemple, me soulage instantanément, et ce sont les mêmes enjeux qu'avec la nourriture. Du plaisir contre des calories. On a vite fait de tomber dans des travers qui ont un impact considérable sur notre corps.

Trouver une activité professionnelle épanouissante qui me laisse beaucoup de temps libre m'a beaucoup aidé. Et à coté de ça j'auto-expérimente dans le but de trouver une solution pérenne et j'ai déjà quelques pistes. Mais c'est facile dans ma situation, si je vais mal, j'arrête d'exister pour quelques minutes... ou pour quelques heures... Je n'ai que mon absence à regretter.

Je te souhaite tout le bonheur, et je suis jamais loin si tu as besoin de discuter, n'hésite pas à m'envoyer de MP

Merci beaucoup pour tes messages très pertinents, je te souhaite tout le meilleur ! n'hésite pas à venir en mp aussi, ce serait avec plaisir

Le 18 août 2024 à 17:09:46 :

Le 18 août 2024 à 17:06:23 :

Le 18 août 2024 à 17:05:38 :

Le 18 août 2024 à 17:03:50 :

Le 18 août 2024 à 17:00:23 :

> Le 18 août 2024 à 16:58:07 :

>> Le 18 août 2024 à 16:52:53 :

> >C'est exactement pour ça que je suis en train d'arrêter mon traitement, j'étais monter à 90 kg pour 1m68

>

> Mon Dieu, j'aimerai tellement l'arrêter. Courage mon khey

De toute façon avec ou sans je suis toujours en dépression, je n'ai jamais été stabiliser, je préfère être un cadavre esthétique

Je comprends. Tu prends quoi ?

Anafranil, quetiapine, alprazolam, tercian

l'anafranil m'a fait grossir de ouf, et la quétiapine aussi. quels poisons cela pouah

Courage kheyette c'est pas facile, ça fait des années que je suis dans la psychiatrie ça saoul au bout d'un moment, ça te monte juste trop à la tête moi c'est finis je prends plus rien, je vois plus de thérapeute j'ai complétement abandonner

Courage à toi khey, c'est tellement dur tout ça. Prends soin de toi