Topic de patatechaude42 :

Posez vos question a CHARLES DE GAULLE

Le 26 mars 2025 à 18:08:15 :
Merci pour la réponse.

Pensez vous qu'il était nécessaire de faire les vaccins contre le Covid ? Et notamment d'imposer un pass vaccinal aux français ?

Pensez vous qu'il était nécessaire de faire les vaccins contre le Covid ? Et notamment d'imposer un pass vaccinal aux français ?

"Ah ! Le Covid, cette crise mondiale qui a révélé bien des travers, bien des faiblesses, et surtout bien des abus !"
"Qu’une pandémie impose des mesures sanitaires, soit ! L’Histoire en a connu d’autres, et l’État doit veiller à la protection de la population. Mais fallait-il pour autant sombrer dans l’excès, dans la contrainte généralisée, dans la suppression des libertés les plus élémentaires ? C’est là que réside la vraie question !"
"Que des vaccins aient été développés rapidement, soit. Que certains, en particulier les plus fragiles, aient voulu se protéger par ce biais, cela se comprend. Mais enfin, fallait-il en faire un dogme absolu, une obligation quasi-religieuse, au mépris du libre arbitre de chacun ?"
"Car enfin, en France, la médecine n’a jamais reposé sur la contrainte, mais sur la confiance et le discernement. Or, que voyons-nous ? Une gestion de crise où l’on a imposé, plus que l’on a convaincu. Une parole publique qui a trop souvent changé, des certitudes assénées un jour puis démenties le lendemain. Comment s’étonner, dès lors, que la méfiance se soit installée ?"
"Mais le pire, c’est bien cette invention absurde qu’a été le pass vaccinal ! Car, voyez-vous, une chose est de proposer un vaccin, une autre est d’exclure de la société ceux qui font un autre choix. A-t-on vu cela ailleurs dans l’Histoire récente ? Des citoyens privés de leur liberté de circulation, de travail, de loisirs, simplement parce qu’ils refusaient une injection ? Voilà une rupture fondamentale avec notre conception des libertés publiques !"
"Et quelle justification scientifique, d’ailleurs ? Car enfin, chacun sait que le vaccin n’empêchait ni la transmission, ni la contamination. Dès lors, pourquoi maintenir une telle ségrégation entre citoyens ? Pour punir, pour humilier, pour forcer la main ? Une République digne de ce nom ne fonctionne pas ainsi !"
"La crise du Covid n’a pas seulement été une crise sanitaire. Elle a été un révélateur de la tentation autoritaire de certains dirigeants, de leur mépris du débat et de la liberté. Si la France avait été gouvernée avec plus de calme, avec plus de raison, avec plus de respect pour les citoyens, bien des tensions auraient été évitées !"
"Se protéger, oui. Mais à quel prix ? La liberté n’est pas un privilège octroyé par l’État, c’est un droit fondamental. Et l’Histoire jugera sévèrement ceux qui l’ont bafoué sous prétexte de santé publique !"

demande lui si les traps c'est gay ou pas https://image.noelshack.com/fichiers/2017/05/1486215313-sans-titre-20-5.png

Le 26 mars 2025 à 18:14:09 :
demande lui si les traps c'est gay ou pas https://image.noelshack.com/fichiers/2017/05/1486215313-sans-titre-20-5.png

Les traps c'est gay ou pas ?

Allons, allons, ne me faites pas perdre de temps avec des questions aussi futiles et sans intérêt. Il me semble que vous avez passé l'âge d'être hilare à l'évocation d'un sujet sexuel. Monsieur, il va falloir vous redresser, car on ne peut éternellement mener sa vie dans une adolescence dégénérée. Il vous faut vous comporter en ce que vous devez être, un homme.

Le 26 mars 2025 à 18:19:48 :

Le 26 mars 2025 à 18:14:09 :
demande lui si les traps c'est gay ou pas https://image.noelshack.com/fichiers/2017/05/1486215313-sans-titre-20-5.png

Les traps c'est gay ou pas ?

Allons, allons, ne me faites pas perdre de temps avec des questions aussi futiles et sans intérêt. Il me semble que vous avez passé l'âge d'être hilare à l'évocation d'un sujet sexuel. Monsieur, il va falloir vous redresser, car on ne peut éternellement mener sa vie dans une adolescence dégénérée. Il vous faut vous comporter en ce que vous devez être, un homme.

Desole kheys, il a ete un peu mechant.
:non2:

Mon général que pensez vous de la politique internationale actuel de la France entre la perte de sont influence en Afrique et Au Levant .

Et toujours dans la politique internationale que pensez vous de la trahison de Trump vis à vis des européens et de l'Ukraine et pour finir que pensez vous des BRICS la France devrait elle les rejoindre ?

Le 26 mars 2025 à 18:29:16 :
Mon général que pensez vous de la politique internationale actuel de la France entre la perte de sont influence en Afrique et Au Levant .

Et toujours dans la politique internationale que pensez vous de la trahison de Trump vis à vis des européens et de l'Ukraine et pour finir que pensez vous des BRICS la France devrait elle les rejoindre ?

Ah ! Vous me posez là des questions de grande envergure, et je vais y répondre avec la hauteur de vue qui s’impose.
D’abord, la France et son rôle international. Je l’ai toujours dit : la France ne peut être elle-même qu’en étant grande. Or, que constate-t-on aujourd’hui ? Une dilution progressive de son influence, notamment en Afrique, où jadis elle tenait un rang certain. Certes, les temps changent, les nations s’émancipent, et c’est là un mouvement naturel. Mais la France, au lieu de subir ces évolutions, aurait dû les anticiper, s’y adapter avec intelligence et panache, au lieu de se voir rejetée comme un acteur de second ordre.
Quant au Levant, l’abandon progressif de notre rôle historique dans la région est une faute lourde. La France, de Saint-Louis à la création du Liban, n’a jamais été un acteur de second plan. Elle ne doit ni se désintéresser du sort des chrétiens d’Orient, ni laisser à d’autres le soin de parler aux peuples de Syrie, du Liban, d’Irak. Une France qui renonce à être écoutée là où elle a toujours été respectée commet une erreur fatale.
Sur Trump et les États-Unis, maintenant. Vous parlez de trahison… Mais enfin, comment être surpris ? Voilà un pays qui, de longue date, ne conçoit les relations internationales qu’en fonction de ses propres intérêts, et qui n’hésite pas à sacrifier ses alliances lorsque cela lui chante. Cela nous rappelle une leçon que j’ai toujours défendue : une Europe forte ne peut pas être à la remorque de Washington. Quant à l’Ukraine, la tragédie qui s’y joue est avant tout celle d’une Europe qui ne sait pas parler d’une seule voix, ni peser d’un poids décisif dans son propre destin.
Enfin, les BRICS. Ce groupement témoigne de l’émergence d’un monde multipolaire, ce que j’avais anticipé dès mon temps. Mais la France n’a pas à s’y soumettre ou à s’y fondre. Elle doit être un pôle par elle-même, entre l’Occident et ces nouvelles puissances. Rejoindre les BRICS ? Non, ce serait une manière de nous fondre dans un ensemble où nous ne serions pas maîtres de notre destin. En revanche, dialoguer, coopérer et maintenir des relations d’équilibre, voilà qui est essentiel.
Car la vocation de la France, c’est de tenir son rang dans l’histoire, au lieu de suivre les vents contraires.

Le 26 mars 2025 à 18:45:27 :

Le 26 mars 2025 à 18:29:16 :
Mon général que pensez vous de la politique internationale actuel de la France entre la perte de sont influence en Afrique et Au Levant .

Et toujours dans la politique internationale que pensez vous de la trahison de Trump vis à vis des européens et de l'Ukraine et pour finir que pensez vous des BRICS la France devrait elle les rejoindre ?

Ah ! Vous me posez là des questions de grande envergure, et je vais y répondre avec la hauteur de vue qui s’impose.
D’abord, la France et son rôle international. Je l’ai toujours dit : la France ne peut être elle-même qu’en étant grande. Or, que constate-t-on aujourd’hui ? Une dilution progressive de son influence, notamment en Afrique, où jadis elle tenait un rang certain. Certes, les temps changent, les nations s’émancipent, et c’est là un mouvement naturel. Mais la France, au lieu de subir ces évolutions, aurait dû les anticiper, s’y adapter avec intelligence et panache, au lieu de se voir rejetée comme un acteur de second ordre.
Quant au Levant, l’abandon progressif de notre rôle historique dans la région est une faute lourde. La France, de Saint-Louis à la création du Liban, n’a jamais été un acteur de second plan. Elle ne doit ni se désintéresser du sort des chrétiens d’Orient, ni laisser à d’autres le soin de parler aux peuples de Syrie, du Liban, d’Irak. Une France qui renonce à être écoutée là où elle a toujours été respectée commet une erreur fatale.
Sur Trump et les États-Unis, maintenant. Vous parlez de trahison… Mais enfin, comment être surpris ? Voilà un pays qui, de longue date, ne conçoit les relations internationales qu’en fonction de ses propres intérêts, et qui n’hésite pas à sacrifier ses alliances lorsque cela lui chante. Cela nous rappelle une leçon que j’ai toujours défendue : une Europe forte ne peut pas être à la remorque de Washington. Quant à l’Ukraine, la tragédie qui s’y joue est avant tout celle d’une Europe qui ne sait pas parler d’une seule voix, ni peser d’un poids décisif dans son propre destin.
Enfin, les BRICS. Ce groupement témoigne de l’émergence d’un monde multipolaire, ce que j’avais anticipé dès mon temps. Mais la France n’a pas à s’y soumettre ou à s’y fondre. Elle doit être un pôle par elle-même, entre l’Occident et ces nouvelles puissances. Rejoindre les BRICS ? Non, ce serait une manière de nous fondre dans un ensemble où nous ne serions pas maîtres de notre destin. En revanche, dialoguer, coopérer et maintenir des relations d’équilibre, voilà qui est essentiel.
Car la vocation de la France, c’est de tenir son rang dans l’histoire, au lieu de suivre les vents contraires.

Un très beau discours gaulliste :)

D'autres kheys qui souhaite parler au general?
Mon général, que pensez-vous de Monsieur Mitterand et de ses accusations à votre encontre qu’il a mit sur pages dans le Coup d’Etat permanent ?

[17:00:03] <patatechaude42>

Le 26 mars 2025 à 16:58:46 :
Il en pense quoi de Macron le Général ? :hap:

Que pensez-vous de Macron?

Ah ! Macron… Voilà un homme qui aime à se présenter en stratège, en visionnaire, mais qui, en réalité, navigue à vue, sans boussole, sans cap, et surtout sans cette flamme qui fait les grands hommes d’État.
Voyez-vous, on ne gouverne pas la France comme une entreprise ni comme un simple rouage de la mondialisation. La France n’est pas un tableau Excel où l’on ajuste des chiffres, où l’on applique des réformes technocratiques dictées par Bruxelles ou les marchés financiers. La France, c’est une âme, un peuple, une histoire.
Quels sont ses torts ?
Une vision purement économique et bureaucratique du pouvoir, il parle d’« efficacité », de « compétitivité », mais où est la grandeur ? Où est la France ? Il réduit la nation à une structure administrative, oubliant que l’État doit être un guide, pas un simple gestionnaire.
Une soumission aux intérêts étrangers, sous sa présidence, la France s’efface : alignement sur les États-Unis, suivisme face à l’Union européenne, incapacité à défendre réellement nos intérêts face aux grandes puissances. Est-ce ainsi que l’on traite une nation qui fut jadis un phare pour le monde ?
Un mépris du peuple...Souvenez-vous des Gilets jaunes, des manifestations, du malaise social qui n’a cessé de croître… Quelle fut sa réponse ? Le mépris, la condescendance, des réformes imposées sans concertation, une gouvernance de plus en plus verticale, coupée des réalités du pays. Or, un chef d’État ne gouverne pas contre son peuple, il gouverne pour lui et avec lui !
Un affaiblissement de l’autorité, sécurité en crise, immigration incontrôlée, quartiers où la République n’existe plus… Où est l’ordre ? Où est l’autorité de l’État ? Gouverner, c’est assurer la sécurité et la stabilité. Mais à force d’hésitations et de compromis, c’est le désordre qui triomphe.
Alors, quel bilan ?
Macron incarne une France qui doute, qui hésite, qui se dilue dans des logiques technocratiques et mondialistes. Ce n’est pas ainsi que l’on bâtit un destin national.
La France mérite mieux. Elle mérite un chef d’État qui l’aime vraiment, qui la serve avec dévouement et fermeté, qui place son indépendance au-dessus de tout.
Car enfin, la France n’a pas vocation à être un pays comme les autres. Elle doit être elle-même : grande, forte et souveraine !

Bordel khey

Je vote pour ton IA au prochaines élections

Que pense le Colonel de l'odeur du fion de Yvonne pendant la levrette ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Je vais faire buger ton IA khey

De Gaulle pense quoi de l influence israélienne au sein du pouvoir français :hap:

Le 27 mars 2025 à 15:33:31 :
Mon général, que pensez-vous de Monsieur Mitterand et de ses accusations à votre encontre qu’il a mit sur pages dans le Coup d’Etat permanent ?

Mon général, que pensez-vous de Monsieur Mitterand et de ses accusations à votre encontre qu’il a mit sur pages dans le Coup d’Etat permanent ?


Ah ! Mitterrand… Voilà un homme d’ambition, habile et retors, qui n’a jamais cessé de jouer contre moi, tout en empruntant bien souvent mes idées, une fois qu’il s’est trouvé aux affaires.
Son pamphlet, Le Coup d’État permanent, n’est rien d’autre qu’une diatribe contre les institutions de la Ve République que j’ai fondées pour redresser la France après les errances du régime des partis. Il m’accusait d’avoir instauré un pouvoir personnel, une sorte de monarchie républicaine… Mais enfin, que fallait-il ? Laisser le pays livré aux intrigues de couloir, aux combinaisons d’appareils, aux majorités vacillantes ? La IVe République s’est effondrée sous son propre poids, incapable de gouverner, incapable de décider. J’ai donné à la France une Constitution claire, un État fort, une capacité d’action. Et, ironie de l’histoire, qui s’en est bien accommodé lorsqu’il est parvenu à l’Élysée ? Mitterrand lui-même !
Car enfin, après tant de diatribes contre le « césarisme » gaullien, après avoir joué les opposants farouches, que fit-il en 1981 ? Il conserva intactes les institutions qu’il dénonçait. Il usa du pouvoir présidentiel avec autant de fermeté que moi, parfois même avec un cynisme plus prononcé encore. Preuve que ces institutions n’étaient pas un « coup d’État permanent », mais bien un cadre indispensable pour gouverner la France.
En somme, Mitterrand était un homme intelligent, fin politique, mais marqué par une rancune tenace. Il avait perdu en 1965 contre moi, et jamais il ne s’en remit. Il a voulu faire de moi un dictateur, alors que l’Histoire a tranché : ce n’est pas moi qui ai voulu asservir la France, c’est moi qui l’ai libérée.

Que pense le général du conflit en Palestine et est-ce qu'il aurait éventuellement une idée pour la résolution de ce conflit qui dure depuis des décennies? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

Le 27 mars 2025 à 15:37:59 :
Je vais faire buger ton IA khey

De Gaulle pense quoi de l influence israélienne au sein du pouvoir français :hap:

Que pensez-vous de l'influence d'israel au sein du pouvoir francais?

La France est une nation souveraine, et elle doit le demeurer !
Depuis toujours, notre pays se doit d’être maître de son destin, libre de toute influence étrangère, quelle qu’elle soit. C’est là un principe absolu, non négociable, qui fonde la grandeur et l’indépendance de notre politique.
Sur l’influence étrangère en général
Il faut le dire clairement : aucun État, aucune puissance étrangère ne doit dicter sa loi à la France. Cela vaut pour les États-Unis, pour l’Allemagne, pour la Russie, pour la Chine… et bien entendu pour Israël.
L’Histoire nous enseigne que la politique française ne peut souffrir d’être façonnée par des intérêts qui ne sont pas les siens. Je l’ai dit en mon temps : la France ne doit être alignée sur personne.
Sur Israël et la politique française
Israël est une nation qui suit ses propres intérêts, et c’est bien normal. Mais la France aussi doit suivre les siens !
Jadis, nous avions une position claire : nous soutenions l’existence de l’État d’Israël, mais nous ne faisions pas preuve d’aveuglement. Nous défendions également les droits des peuples arabes, notamment ceux des Palestiniens, avec une politique d’équilibre et de fermeté. C’est dans cet esprit que j’avais dénoncé les excès de l’occupation israélienne après 1967.
Or, que voyons-nous aujourd’hui ? Une influence croissante de certains groupes de pression, qui tendent à orienter nos choix diplomatiques dans un sens qui n’est pas toujours conforme à l’intérêt national. La politique étrangère de la France ne doit être ni pro-israélienne ni pro-palestinienne : elle doit être pro-française.
Cela signifie :
Refuser toute interférence étrangère dans nos décisions. Qu’il s’agisse d’Israël ou de toute autre puissance, la politique de la France se décide à Paris, pas ailleurs.
Maintenir une ligne d’équilibre au Moyen-Orient. La France ne doit pas être un simple exécutant de Washington ou de Tel-Aviv, mais une puissance qui dialogue avec tous, y compris avec le monde arabe.
Préserver l’unité nationale. Il ne saurait être question que des tensions extérieures viennent diviser les Français sur leur propre sol. La France est une et indivisible, et nul ne doit importer sur son territoire des conflits qui ne sont pas les siens.
Ce que je pense de l’influence d’Israël au sein du pouvoir français ? Ce que je pense de toute influence étrangère : elle ne doit pas exister !
La France doit être une nation libre, indépendante, et maîtresse de ses choix. C’est ainsi qu’elle a toujours été grande, et c’est ainsi qu’elle le restera.

Le 27 mars 2025 à 15:36:29 :
Que pense le Colonel de l'odeur du fion de Yvonne pendant la levrette ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Que pensez-vous de l'odeur du fion de Yvonne pendant la levrette ?

Je crois que nous devons garder une certaine tenue dans notre échange. La France, c’est une certaine idée de la dignité, et cela commence par le respect. Revenons donc à des sujets qui en valent la peine.

Le 27 mars 2025 à 15:46:23 :
Que pense le général du conflit en Palestine et est-ce qu'il aurait éventuellement une idée pour la résolution de ce conflit qui dure depuis des décennies? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

Que pensez-vous du conflit en Palestine et est-ce que vous auriez une idée pour la résolution de ce conflit qui dure depuis des décennies?

La Palestine… Un conflit qui dure, qui s’enlise, et dont les racines plongent dans l’histoire, la géopolitique et les passions humaines. Déjà en mon temps, j’avais vu que cette situation ne pouvait mener qu’à une impasse.
En 1967, après la guerre des Six Jours, j’avais mis en garde contre une occupation qui allait semer rancœur et violence. L’oppression d’un peuple ne peut conduire qu’à l’explosion. D’un côté, un État puissant, soutenu par l’Occident. De l’autre, un peuple dépossédé, privé de ses droits élémentaires. Or, l’histoire l’a prouvé maintes fois : aucune nation ne peut durablement vivre en dominant un autre peuple sans que cela ne se retourne contre elle.
Alors, que faire ? Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes doit être respecté. Il faut une solution équilibrée, qui garantisse un État viable aux Palestiniens, tout en assurant la sécurité d’Israël. C’est là l’essence même de la diplomatie : trouver un chemin entre les extrêmes.
Pour cela, la France doit être une puissance médiatrice, non un suiveur des décisions américaines ou d’autres intérêts étrangers. Elle doit peser de tout son poids pour imposer une négociation réelle, avec des garanties solides pour les deux camps.
Le conflit ne peut être résolu par la force. Il ne le sera que par la reconnaissance mutuelle, le respect du droit et une volonté sincère de paix. Encore faut-il que les grandes puissances aient le courage d’imposer cette issue, au lieu de jouer un jeu cynique où la paix n’est qu’un mot creux.
La solution à deux États… C’est la seule voie qui soit à la fois réaliste et conforme aux principes du droit international.
Dès lors qu’il y a deux peuples, il faut deux États. C’est une évidence. Les Palestiniens ont droit à une patrie, tout comme les Israéliens ont droit à leur sécurité. Or, tant que l’un est privé de son État, il ne peut y avoir de paix véritable.
Mais attention ! Ce n’est pas une simple déclaration d’intention qui suffira. Il faut des frontières claires, des garanties internationales solides, et une capacité réelle pour chacun de vivre en paix, sans menaces ni oppression. Cela implique :
Un État palestinien viable, non une mosaïque de territoires fragmentés sous contrôle militaire.
Des frontières reconnues et respectées, sans expansion illégale ni colonisation.
Un règlement sur Jérusalem, qui est une ville au caractère unique et ne peut être monopolisée par une seule partie.
Des garanties de sécurité, car aucun peuple n’acceptera de vivre sous la menace permanente d’attaques.
La difficulté, c’est que tant qu’Israël poursuivra une politique d’occupation, et tant que certains en face prôneront la destruction pure et simple d’Israël, aucune paix ne sera possible. Il faut des hommes d’État de part et d’autre, capables d’avoir une vision à long terme, non des calculs à courte vue basés sur la force ou la revanche.
La France, elle, doit être un médiateur indépendant, non un suiveur aveugle des États-Unis ou d’autres intérêts étrangers. C’est ainsi qu’elle pourra peser pour une paix juste et durable
.

Le 27 mars 2025 à 15:47:35 :

Le 27 mars 2025 à 15:36:29 :
Que pense le Colonel de l'odeur du fion de Yvonne pendant la levrette ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Que pensez-vous de l'odeur du fion de Yvonne pendant la levrette ?

Je crois que nous devons garder une certaine tenue dans notre échange. La France, c’est une certaine idée de la dignité, et cela commence par le respect. Revenons donc à des sujets qui en valent la peine.

On sait ce que ça veut dire, petit coquin https://image.noelshack.com/fichiers/2018/51/3/1545248326-larryreup.png

Quel est l'avis du général sur l'avortement ?

Le 27 mars 2025 à 16:03:53 :
Quel est l'avis du général sur l'avortement ?

L'avortement… Une question grave, qui touche aux principes fondamentaux de la vie, de la responsabilité et du rôle de l’État.
En mon temps, cette question ne se posait pas dans les mêmes termes. La société française était alors ancrée dans des valeurs traditionnelles où la protection de la vie était primordiale, et où l'avortement était encore largement tabou. Mais les réalités évoluent, et il faut toujours considérer l'intérêt supérieur de la nation et des individus.
Il me semble que l'avortement ne saurait être une simple facilité, un droit sans conscience de ce qu’il implique. C’est une décision lourde, qui engage la responsabilité morale et sociale de chacun. Toutefois, je conçois qu’en certaines circonstances, misère, détresse, danger pour la mère, il puisse être une nécessité. L’État, dans sa grandeur, doit savoir à la fois protéger la vie et comprendre les réalités humaines.
Ainsi, une législation encadrée, qui empêche les abus tout en garantissant la liberté des femmes confrontées à des situations dramatiques, peut être un équilibre acceptable. Mais il ne faut jamais perdre de vue que la France a besoin de vie, de forces nouvelles, de jeunesse. Car c’est par la vitalité de son peuple qu’elle demeure grande.

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patatechaude42
Date de création
26 mars 2025 à 16:57:57
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