Singapour, c’est l’utopie d’un homme de droite qui aurait eu carte blanche pour bâtir une cité idéale, sans ces fioritures gauchisantes qui ralentissent le progrès. Imagine un endroit où l'État est à la fois un despote bienveillant et un comptable obsédé par l’efficacité. Une ville où le capitalisme ne se cache pas derrière des oripeaux de « social-démocratie », où la réussite individuelle est célébrée et où les parasites sociaux sont priés de dégager fissa.
Là-bas, pas de syndicats braillards pour bloquer le centre-ville tous les deux mois, pas de bureaucratie kafkaïenne qui ponctionne 60 % de ton salaire pour engraisser des fonctionnaires obèses de privilèges. L’impôt sur le revenu est une broutille, l’administration fonctionne avec une précision chirurgicale et si quelqu’un jette un papier par terre, il risque de se prendre un coup de trique en public. C’est ça, la vraie justice sociale : pas de discours creux sur « l’égalité des chances », mais une société où si tu bosses et que tu ne fais pas chier les autres, tu prospères.
Le système de santé ?
Le meilleur au monde, ultra-performant, et sans le gouffre financier de la sécu.
L’éducation ?
La meilleure au monde, sélective, exigeante, tournée vers l’excellence.
Le logement ?
Le meilleur système au monde, avec un taux de 90% de propriétaires, pas de squatters qui viennent pleurnicher sur le droit au logement pendant qu’ils crament des poubelles : tout le monde peut acheter son appart via un système où l’État encourage la propriété privée avec un fort interventionnisme économique dans le domaine, en empêchant la spéculation, et sans verser pour autant dans le communisme.
Et la sécurité, mon ami, la sécurité !
Pas un clodo pour t’importuner, pas un caïd pour dealer devant l’école de tes gosses, pas un wokiste hystérique pour coller des affiches sur la « déconstruction des privilèges ». Singapour, c’est l’ordre et la discipline, le tout enrobé dans une réussite économique insolente qui fait baver le reste du monde.
Alors oui, certains diront que c’est une dictature soft, que la presse est muselée et que mâcher du chewing-gum est passible d’amende. Mais franchement, qui s’en plaint quand les rues sont propres, les impôts dérisoires et que l’économie tourne comme une horloge suisse sous amphétamines ?
Singapour, c’est la forge où l’homme prométhéen sculpte l’avenir à coups de circuits imprimés et d’algorithmes. Une cité où la technologie n’est pas un gadget de start-up en mal de disruption, mais le socle d’un ordre absolu, d’une organisation millimétrée, où l’intelligence artificielle optimise la circulation, la sécurité et même la gestion des déchets.
Ici, les buildings ne sont pas de simples tours, ce sont des cathédrales de verre bardées de capteurs, connectées à un cerveau urbain qui orchestre la moindre pulsation de la ville. Les feux de circulation s’ajustent en temps réel, les drones patrouillent sans faillir, et le paiement sans contact a rendu la monnaie aussi désuète qu’un troc médiéval.
Pas de files d’attente dans des administrations poussives : tout se règle en quelques clics, avec une précision algorithmique qui ferait passer l’Occident pour un village gaulois réactionnaire et obsolète. Le crime ? Virtuellement éradiqué par la surveillance omniprésente et une police qui agit avant même que l’idée d’un délit ne germe dans un esprit trop aventureux.
Singapour, c’est la fusion ultime de l’intelligence humaine et de la machine, une utopie cybernétique où l’avenir est déjà là, et où l’homme, enfin libéré des scories du passé, avance sans entraves vers son propre dépassement.
Le 10 mars 2025 à 11:11:51 :
Ok chatgpt avec ton pays vide sans aucune consistance culturelle
Ok Proudhon, t'as deux siècles de retard face à Singapour
Singapour, c’est un cocktail explosif de cultures asiatiques digérées par l’efficacité anglo-saxonne et régurgitées sous forme d’un pragmatisme absolu. Ici, pas de folklore figé ni de querelles identitaires stériles : la culture est un patchwork vivant, calibré pour la performance.
Quatre langues officielles (anglais, mandarin, malais, tamoul), un melting-pot ethnique (Chinois, Malais, Indiens et un nuage d’expats occidentaux), et un État qui orchestre le tout avec une main de fer pour éviter que ça ne dégénère en marché aux revendications. Résultat : une culture sans passéisme, où l’identité n’est pas un fardeau mais un levier d’opportunités.
Côté traditions, on honore Confucius, on respecte les esprits des ancêtres, mais surtout, on vénère le Dieu du Progrès, Prométhée. La gastronomie est l’illustration parfaite de cet état d’esprit : fusion permanente, excellence du goût et zéro snobisme. Des hawker centers où l'on mange pour quelques dollars aux restaurants étoilés, tout est optimisé pour l’efficacité et le plaisir brut.
Et la high-tech a tout infusé. Le temple du consumérisme qu’est Orchard Road, les spectacles en réalité augmentée, les fêtes traditionnelles revisitées à coups de LED et de shows multimédias. Même la spiritualité se digitalise : les offrandes aux ancêtres passent parfois par des QR codes.
Singapour n’a pas de culture figée, elle est en perpétuelle réinvention. C’est une ville-monde sous amphétamines, une synthèse pragmatique où l’Histoire n’est qu’un tremplin vers l’avenir.
Le 10 mars 2025 à 11:11:51 :
Ok chatgpt avec ton pays vide sans aucune consistance culturelle
Nonobstant il a raison.
Je me rappel encore de la suédoise blonde au yeux bleu qui m'a dit qu'elle ne s'est jamais senti autant en sécurité que a Singapour
Le 10 mars 2025 à 11:15:02 :
J’étais à SG
On s’y fait chier Kheyou quand même
Parce que t'es fauché et/ou une coquille vide
Ils ont même le droit de baiser des jolies escorts dans leur paradis techno-autoritaire alors qu'ici c'est interdit
C'est en effet probablement le meilleur pays pour une personne de droite, à condition qu'elle ne soit pas ethno-différentialiste (même pas un tout petit peu)
Car tu si tu préfères êtres entourés de gens du même groupe ethnique que toi et/ou de la même culture (ou d'une culture très proche) ben à Singapour tu seras à des milliers de lieux de ça
Pour un blanc d'extrême-droite pas sûr que ça soit le meilleur plan, il se sentirait plus à l'aise en Europe de l'Est (car il restera entourés d'Européens)
L'utopie de l'homme de droite est donc un centre commercial géant à la con
Ça résume bien ce bord politique
Singapour nous montre que quand tu as une population multiethnique, l'autoritarisme est la seule voie possible pour assurer le vivre-ensemble.
Beaucoup de Malaisiens sont musulmans et y'en a pas qui bouge avec des revendications communautaires
Le 10 mars 2025 à 11:25:32 Duc3Wellington a écrit :
L'utopie de l'homme de droite est donc un centre commercial géant à la conÇa résume bien ce bord politique
Le 10 mars 2025 à 11:25:32 :
L'utopie de l'homme de droite est donc un centre commercial géant à la conÇa résume bien ce bord politique
Barre toi en Corée du Nord, sale bolcho
Le 10 mars 2025 à 11:24:44 :
C'est en effet probablement le meilleur pays pour une personne de droite, à condition qu'elle ne soit pas ethno-différentialiste (même pas un tout petit peu)Car tu si tu préfères êtres entourés de gens du même groupe ethnique que toi et/ou de la même culture (ou d'une culture très proche) ben à Singapour tu seras à des milliers de lieux de ça
Pour un blanc d'extrême-droite pas sûr que ça soit le meilleur plan, il se sentirait plus à l'aise en Europe de l'Est (car il restera entourés d'Européens)
Oui en effet, mais le nationalisme ethnique ne fait plus sens à Singapour. C'est un melting-pot ultra-efficace qui fonctionne du feu de Dieu grâce à une administration autoritaire et très compétente.
Le 10 mars 2025 à 11:25:55 :
Sinon oui je valide le fait que Singapour c'est vraiment l'anti-Shitholie, là-bas t'es épargné d'à peu près toutes les saloperies qui pourrissent la vie aux gens qui aiment l'ordre, la tranquillité, la propreté, la sécurité
Et le côté ultra-technologique qui fait rêver
Ce doit quand même faire rêver les ethno-nationalistes type Conversano, Faure qui se disent progressistes et Prométhéens.
Le 10 mars 2025 à 11:25:32 :
L'utopie de l'homme de droite est donc un centre commercial géant à la conÇa résume bien ce bord politique
Le 10 mars 2025 à 11:33:02 :
Le 10 mars 2025 à 11:25:32 :
L'utopie de l'homme de droite est donc un centre commercial géant à la conÇa résume bien ce bord politique
Qu'est-ce qu'ils ont à nous proposer les générateurs des plus grandes famines ?
100 millions de morts avant la phase supérieure du communisme ?
Le 10 mars 2025 à 11:07:12 :
Singapour, c’est l’utopie d’un homme de droite qui aurait eu carte blanche pour bâtir une cité idéale, sans ces fioritures gauchisantes qui ralentissent le progrès. Imagine un endroit où l'État est à la fois un despote bienveillant et un comptable obsédé par l’efficacité. Une ville où le capitalisme ne se cache pas derrière des oripeaux de « social-démocratie », où la réussite individuelle est célébrée et où les parasites sociaux sont priés de dégager fissa.Là-bas, pas de syndicats braillards pour bloquer le centre-ville tous les deux mois, pas de bureaucratie kafkaïenne qui ponctionne 60 % de ton salaire pour engraisser des fonctionnaires obèses de privilèges. L’impôt sur le revenu est une broutille, l’administration fonctionne avec une précision chirurgicale et si quelqu’un jette un papier par terre, il risque de se prendre un coup de trique en public. C’est ça, la vraie justice sociale : pas de discours creux sur « l’égalité des chances », mais une société où si tu bosses et que tu ne fais pas chier les autres, tu prospères.
Le système de santé ?
Le meilleur au monde, ultra-performant, et sans le gouffre financier de la sécu.
L’éducation ?
La meilleure au monde, sélective, exigeante, tournée vers l’excellence.
Le logement ?
Le meilleur système au monde, avec un taux de 90% de propriétaires, pas de squatters qui viennent pleurnicher sur le droit au logement pendant qu’ils crament des poubelles : tout le monde peut acheter son appart via un système où l’État encourage la propriété privée avec un fort interventionnisme économique dans le domaine, en empêchant la spéculation, et sans verser pour autant dans le communisme.
Et la sécurité, mon ami, la sécurité !
Pas un clodo pour t’importuner, pas un caïd pour dealer devant l’école de tes gosses, pas un wokiste hystérique pour coller des affiches sur la « déconstruction des privilèges ». Singapour, c’est l’ordre et la discipline, le tout enrobé dans une réussite économique insolente qui fait baver le reste du monde.
Alors oui, certains diront que c’est une dictature soft, que la presse est muselée et que mâcher du chewing-gum est passible d’amende. Mais franchement, qui s’en plaint quand les rues sont propres, les impôts dérisoires et que l’économie tourne comme une horloge suisse sous amphétamines ?
Tire toi,,personne te retient
JvArchive compagnon