Le 21 février 2025 à 04:06:44 :
que ton opinion est pleine de sagesse mais tu n'en tires rien, à la fois
C'est comme ça que je donne sens à ce que tu as dit, qui n'en a pas, alors que tout ce que tu dis autre en a
comment tu te sens toi
j'ai peu de désir pour la vie mais des fois je panique, j'ai peur qu'elle m'ait vraiment brisée. Je voulais garder ma poésie à jamais. Je pense que je n'ai pas assez souffert, car j'y suis toujours attachée
j'ai de la colère, et de la tristesse, des fois...
Le 21 février 2025 à 04:18:37 salepetitmer2 a écrit :
Le 21 février 2025 à 04:12:04 :
Le 21 février 2025 à 04:01:46 salepetitmer2 a écrit :
Le 21 février 2025 à 03:56:56 :
Le 21 février 2025 à 03:51:05 salepetitmer2 a écrit :
> Le 21 février 2025 à 03:41:21 :
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> > Le 21 février 2025 à 03:39:29 salepetitmer2 a écrit :
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> > > Le 21 février 2025 à 03:34:58 :
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> > > > Le 21 février 2025 à 03:26:09 salepetitmer2 a écrit :
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> > > > > Le 21 février 2025 à 03:20:41 :
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> > > > > > Le 21 février 2025 à 03:18:32 salepetitmer2 a écrit :
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> > > > > > > Le 21 février 2025 à 03:13:10 :
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> > > > > > > > Le 21 février 2025 à 03:08:56 salepetitmer2 a écrit :
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> > > > > > > > > Le 21 février 2025 à 03:07:53 :Les gens qui « haïssent » la vie et qui ne se sont toujours pas suicidés sont juste des gens qui aiment profondément la vie mais pas leur environnement.
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> > > > > > > > merci de venir m'asséner tes banalités de merde à la gueule, j'avais juste besoin de ça
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> > > > > > > Tu as besoin de changer d’environnement.
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> > > > > > > C’est tout.
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> > > > > > et toi tu as besoin de voir l'étendue de ton ignorance crasse et d'en avoir honte. Tu te penses volontiers tout-sachant mais tes posts sont tous plus dénués de pertinence les uns que les autres
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> > > > > Quelle aigreur.
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> > > > > Si tu es autant hostile à ce que disent les autres, à ne pas vouloir sortir de tes certitudes, il n’est pas étonnant que tu aies du mal à trouver le bonheur.
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> > > > J'ai une hostilité toute particulière à ton égard, je supporte difficilement les âneries que tu ne cesses de poster ici-bas. Tu salis tous les sujets possibles de ton empreinte. Ta méthode, sublimer poétiquement des naïvetés et des contre-vérités, me dégoûte. Et j'ai perdu le réflexe de débattre avec toi, parce que tu fuies devant les réfutations qui ont le malheur de dépasser la phrase et de se passer de jolis petits mots d'esprit.
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> > > > Que tu m'accuses moi de refuser de sortir de mes certitudes alors que tu es un dogmatique incapable de remettre en question tes présupposés. Incapable de questionner le plus fondamental d'entre eux, à savoir la préséance axiologique de la vie sur la mort
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> > > Trop de N pour pouvoir débattre.
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> > > Tu m’as l’air trop névrosé et bien plus rigide que quiconque ici.
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> > Bien sûr que mon propos te passe au-dessus, tu es la voix du sens commun, j'ouvre des problématiques auquel tu restes sourd, des questions que tu refermes immédiatement à partir de ces présupposés qui te sont si chers.
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> Tu as l’air d’avoir une obsession envers moi, mais moi je ne sais même pas qui tu es...
>
> On pourra débattre quand tu mettras tes émotions de côté.
Je t'ai déjà proposé deux fois de justifier la préséance axiologique de la vie sur la mort, mes émotions n'ont jamais entravé quelque discussion que ce soit, tu y es juste fermé.
C’est quoi ton propos ? La mort vaut autant que la vie ? Ose formuler une problématique tangible si tu veux avoir un débat pertinent.
La mort étant le néant, il me semble plus exaltant de s’épanouir dans l’infini des possibles et de la création. D’un côté rien n’est possible, de l’autre, tout est possible (ou presque).
Pas la peine de te réfugier derrière des grands mots, tu es juste dépressif et tu cherches à nier ta pathologie en lui donnant un pseudo enrobage philosophique.
tellement ouvert à l'altérité que tu te refuses à considérer la méditation que je te proposetellement ouvert à l'altérité que tu me réduits à un cliché, tu me pathologises pour mieux refermer mon discours et te soustraire à sa considération
Je t'ai soumis une problématique tangible, un défi philosophique: justifie la préséance axiologique de la vie sur la mort
« il te semble » c'est ça le niveau du débat ? Dans ce cas moi il me semble plus exaltant de s'épanouir dans le néant où devient possible la paix absolue, loin de toutes les secousses de la vie, « positives » comme« négatives ».
Donc tu attends de moi que je te démontres que la vie est préférable à la mort ?
Tu es peut-être dans le déni mais je maintiens que tu es profondément dépressif et qu’aucun argument de qui que ce soit n’aura d’impact là dessus. C’est d’un psychiatre dont tu as besoin.
Tu as d’un côté le néant et de l’autre la possibilité de créer ce que tu veux. Si créer t’est désagréable, c’est qu’il te manque une énergie vitale. Tu dis toi-même que tu es fatigué de ta conscience (si on lit entre les lignes). C’est la définition même de la dépression. Je ne pathologise rien, c’est ce que tout le monde te dirait.
Ce n’est pas de la philosophie, la philosophie n’existe pas dans le néant. Le néant n’est d’ailleurs pas la « paix », le néant c’est l’absence de tout ressenti. Tu ne sentirais aucune paix dans la mort. Tu as mieux à gagner à trouver la paix dans la vie parce que c’est ta seule chance de la ressentir, puisque la mort ne t’offrirait aucun ressenti, quel qu’il soit.
Bon allez, tschüss, il faut que je décolle. Tu viendras me trouver quand tu voudras débattre de quelque chose de plus sérieux.
tu commences à saisir les enjeux du sujet. Par contre tu es toujours aussi fermé à l'altérité et dogmatique. Et c'est gentil de vouloir lire entre les lignes mais je te prierais d'éviter. Tu n'es pas psychologue et tout ce que tu fais en t'y essayant c'est montrer l'intérieur de ta conscience et ce que tu projettes d'elle sur moi. Et tu n'as même pas la faculté de l'écoute puisque tu es incapable de ne pas renfermer mon discours dans la case pathologique pour mieux l'éviter
Ce n'est pas de la philosophie ? La philosophie a des limites maintenant ? La philosophie a des questions qu'elle n'a pas le droit de se poser maintenant ? Ca ne serait pas assez sérieux ? Tu réalises combien tu es étriqué ?
La paix est précisément l'absence de ressenti, l'inaffection absolue. C'est ce que je disais oui. Tu as encore échoué à justifier la préséance axiologique de la vie sur la mort.
Arrête un peu ta pseudo-condescendance d’insécure. C’est pas comme ça qu’on fait de la philosophie.
Et oui, la philosophie a des limites, qui s’arrêtent à celles de la vie (c’est à dire au néant) puisque la philosophie sert à la vie (à quoi d’autre ?). Existe-t-il de la philosophie dans un monde où tous les humains sont morts ?
Non, la paix n’est pas l’absence de tout, parce que l’absence de tout, c’est juste le néant, c’est l’absence de tout sentiment. Or, la paix est un sentiment. C’est un sentiment qu’on éprouve face à diverses choses, perçues comme positives ou négatives, mais sur lesquelles on parvient à prendre du recul (comme par exemple via la philosophie des stoïciens, mais ce n’est qu’un exemple parmi d’autres; je préfère pour ma part Schopenhauer).
La mort n’est pas la paix, la mort c’est juste le néant. Et la mort volontaire est une lâcheté (ou un abandon) de la part de ceux qui ne savent justement pas atteindre la paix par la philosophie.
La philosophie s’arrête à la mort, elle n’a plus cours avec des gens qui ne sont plus vivants.
La mort, ce n’est ni la philosophie, ni encore moins la paix.
C’est ta propre vision de dépressif qui te dicte que la paix est l’absence de ressenti, la plupart des philosophes te diront que la paix est la force mentale qui domine face aux frustrations et diverses autres émotions. On ressent, mais on parvient à s’élever, à se dominer, à se transcender, tout en restant vivant.
On ne s’abstient pas de ressentir, on parvient seulement à trouver une harmonie dans ces ressentis et donc la paix.
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