Houellebecq sur les femmes Polonaises

Après cet énième échec sentimental, une seule idée me hante : quitter la France.

Pour quelqu'un d'aussi pessimiste que moi, choisir un pays d'accueil est loin d’être une tâche facile. Peu importe les critères de sélection, après quelques recherches sur Google, on en arrive vite à la conclusion que, globalement, tout semble pire qu’en France. Et pourtant, ce n’est pas comme si la France elle-même brillait par sa perfection.

Par souci de cohérence culturelle et personnelle, je décide de me tourner vers l’Europe. Non pas que je sois insensible aux charmes d’autres continents, mais quelque part, la culpabilité héritée de la colonisation m’empêche de m’installer dans un pays trop éloigné de mes origines. C’est un fardeau partagé par beaucoup, consciemment ou non.

Mon objectif principal ? Trouver des relations sincères, et, pourquoi pas, une femme qui corresponde à mes attentes. Cela élimine d’emblée les pays où le féminisme militant est trop prédominant, ce qui, à mes yeux, exclut une grande partie de l’Europe de l’Ouest, du Nord et du Sud.

C’est ainsi que je pose mon choix sur la Pologne. La femme polonaise, dit-on, se distingue par un mélange d’indépendance et de tradition. Moins matérialiste que l’Ukrainienne ou la Russe, moins rigide que l’Allemande, elle représente un idéal pour certains hommes occidentaux en quête d’amour authentique.

À mon arrivée à Varsovie, l’aéroport Chopin me laisse une impression mitigée. Le paysage industriel et les vestiges de l’ère soviétique s’imposent rapidement à mon regard. Les cheminées massives succèdent aux bâtiments gris et austères, et une partie de moi ne peut s’empêcher de penser : "C’est un peu comme en France."

En me promenant dans le centre-ville, je remarque une diversité étonnante. Les couples mixtes défilent : des Polonaises élégantes, souvent vêtues de robes audacieuses et d’un maquillage appuyé, déambulent au bras d’hommes venus des quatre coins du monde : Américains, Noirs, Anglais, et même quelques Français.

Je réalise que le "marché" des Polonaises n’est plus un secret. Ce qui pouvait être vu comme une niche est désormais une évidence pour les opportunistes étrangers. Pour beaucoup, la Pologne semble être l’un des derniers refuges où trouver des femmes "traditionnelles". Pourtant, un sentiment de malaise m’envahit. Le contraste entre la vitalité des femmes polonaises et l’air austère des hommes polonais est frappant. Ces derniers semblent négligés, parfois même éteints, comme accablés par une misère sentimentale silencieuse.

Un peu plus tard, je croise un homme arabe tenant une magnifique femme polonaise par la taille. Lorsqu’il croise mon regard, il me sourit, presque triomphalement. Je ne peux m’empêcher de penser : "Est-ce ça, un conquérant ? En France, nous avons perdu cette idée." Troublé, je décide d’aller me noyer dans un verre de vodka, direction un bar local.

Au comptoir, j’essaie de commander dans un anglais hésitant. Un homme polonais, au regard vide, engage la conversation. Rapidement, il laisse éclater son amertume :
"Ce pays, c’est l’enfer sur Terre. Nos femmes se donnent à l’étranger, au plus offrant ! Toute l’Europe vient ici pour se soulager. Et maintenant, même les autres continents ! Vous imaginez ? Des Asiatiques, des Turcs ! Sobieski a repoussé les Turcs pour sauver l’Europe, et aujourd’hui, ce sont nos propres femmes qui les accueillent, cuisses ouvertes."

Son discours devient de plus en plus véhément, alors je décide de quitter le bar avant que la situation ne dégénère. À peine dehors, je tombe sur une altercation entre deux groupes : des néonazis polonais, crânes rasés et slogans rageurs, affrontent des féministes brandissant des pancartes où l’on peut lire : "My right is to go black". Ce spectacle absurde ne fait qu’accentuer mon malaise.

Sur le chemin du retour, je croise une jeune femme polonaise d’une beauté rare. Son regard dégage une pureté presque chrétienne, une innocence qui semble à mille lieues du chaos environnant. Je prends mon courage à deux mains et lui demande son numéro. Avec un sourire désolé, elle me répond :
"Sorry, I prefer Arabian men."

Rentré à l’hôtel, je contemple la ville par la fenêtre. Le ciel est gris, des silhouettes titubent dans les rues, emportées par l’alcool ou la fatigue. Une pluie fine tombe sur les bâtiments ternes, trahissant une atmosphère lourde et chargée. Alors qu’une goutte s’écrase sur la vitre, une seule pensée me traverse l’esprit :
"Je déteste ce pays."

Le 18 décembre 2024 à 13:22:04 :
Houellebecq le célestin ultime

oui

Le 18 décembre 2024 à 13:22:17 :
Fallait go Roumanie

J avoue je kiff la Roumanie, tu vis là bas ? Tu as fait un topax sur le sujet ?

[13:23:10] <Germanempire178>

Le 18 décembre 2024 à 13:22:17 :
Fallait go Roumanie

J avoue je kiff la Roumanie, tu vis là bas ? Tu as fait un topax sur le sujet ?

J'arrete pas d'en faire
Oui j'y vis depuis 3 ans

Il miaule car les polonaises sont ouvertes à la mixité ?

C’est tout ?

Le 18 décembre 2024 à 13:26:38 :

[13:23:10] <Germanempire178>

Le 18 décembre 2024 à 13:22:17 :
Fallait go Roumanie

J avoue je kiff la Roumanie, tu vis là bas ? Tu as fait un topax sur le sujet ?

J'arrete pas d'en faire
Oui j'y vis depuis 3 ans

Ok je vais check ton pseudo sur jvc archive

Le 18 décembre 2024 à 13:28:12 :
Il miaule car les polonaises sont ouvertes à la mixité ?

C’est tout ?

Elles sont plus qu ouvertes là

Le 18 décembre 2024 à 13:29:47 :

Le 18 décembre 2024 à 13:28:12 :
Il miaule car les polonaises sont ouvertes à la mixité ?

C’est tout ?

Elles sont plus qu ouvertes là

Et donc ?

Elles doivent être ouvertes avec lui et pas avec les autres

Alors alors ?

Le métissage des femmes c’est bien avec soi même sinon ça devient des décadentes ?

Cela dit c’est très vrai, y’a tellement de meufs polonaises avec des étrangers que ça doit faire rager les hommes la bas

Le 18 décembre 2024 à 13:31:24 :

Le 18 décembre 2024 à 13:29:47 :

Le 18 décembre 2024 à 13:28:12 :
Il miaule car les polonaises sont ouvertes à la mixité ?

C’est tout ?

Elles sont plus qu ouvertes là

Et donc ?

Elles doivent être ouvertes avec lui et pas avec les autres

Alors alors ?

Le métissage des femmes c’est bien avec soi même sinon ça devient des décadentes ?

Cela dit c’est très vrai, y’a tellement de meufs polonaises avec des étrangers que ça doit faire rager les hommes la bas

Bas oui, tout le monde entier go Pologne pour chopper une Polonaise

Quel gros mythos ce type.

Complètement taré.

Les retours que j'ai eu de gens vivant en Pologne c'est l'exact contraire. Les Polonaises ne peuvent pas blairer les black et les Magrebins.

Ce serait pas un Fake écrit par chat gpt?

Le 18 décembre 2024 à 13:38:19 :
Quel gros mythos ce type.

Complètement taré.

Les retours que j'ai eu de gens vivant en Pologne c'est l'exact contraire. Les Polonaises ne peuvent pas blairer les black et les Magrebins.

Pour avoir été en Pologne, j'ai été choqué par leur envie de métissage perso, il y a pas un extra européen qui n'a pas sa polonaise de poche

Le 18 décembre 2024 à 13:38:19 :
Quel gros mythos ce type.

Complètement taré.

Les retours que j'ai eu de gens vivant en Pologne c'est l'exact contraire. Les Polonaises ne peuvent pas blairer les black et les Magrebins.

Ce serait pas un Fake écrit par chat gpt?

Ahi, dans un éclaire de lucidité, il a édité

Le 18 décembre 2024 à 13:38:19 :
Quel gros mythos ce type.

Complètement taré.

Les retours que j'ai eu de gens vivant en Pologne c'est l'exact contraire. Les Polonaises ne peuvent pas blairer les black et les Magrebins.

Ce serait pas un Fake écrit par chat gpt?

El famoso chat GPT qui sait imiter un style houellebecquien