L'analyse marxiste est totalement dépassée, ce sont les pauvres qui exploitent les riches

Le 23 novembre 2024 à 12:41:49 :

Le 23 novembre 2024 à 12:40:42 :
Votre analyse repose sur une vision partielle des faits. Les pauvres, en occupant des emplois précaires et mal rémunérés, jouent un rôle fondamental dans l'économie : ils effectuent des tâches essentielles que peu de personnes souhaitent assumer pour de tels salaires (nettoyage, manutention, bâtiment, restauration, etc.). Ces métiers, souvent sous-valorisés, permettent aux entreprises de réduire leurs coûts, augmentant ainsi les marges bénéficiaires et contribuant indirectement à l'enrichissement de certains secteurs et individus.

Par ailleurs, parler d'un "coût" sans prendre en compte les bénéfices réels de leur travail et leur consommation est une erreur. Ces travailleurs contribuent à l'économie en produisant de la richesse, en consommant des biens et des services, et en soutenant des secteurs entiers. Sans eux, les prix augmenteraient dans de nombreux domaines, et des pans entiers de l'économie seraient paralysés.

Enfin, les aides sociales qu’ils perçoivent ne sont pas un privilège, mais un filet de sécurité indispensable dans un système où leurs salaires sont insuffisants pour vivre décemment. Ce système profite davantage aux plus riches qu’à eux : ce sont les faibles coûts de leur travail qui permettent aux actionnaires et aux dirigeants de s'enrichir, tout en criant à la charge fiscale. En réalité, ce n’est pas le travailleur précaire qui "coûte" à la société, mais un modèle économique qui exploite les plus vulnérables tout en concentrant les richesses au sommet.

ChatGPT

Le 23 novembre 2024 à 12:45:34 :

Le 23 novembre 2024 à 12:44:48 :

Le 23 novembre 2024 à 12:42:46 :

Le 23 novembre 2024 à 12:42:04 :
En réalité, ce ne sont pas les pauvres qui "coûtent" à la France, mais un système qui exploite leur travail pour concentrer les richesses au sommet. Les travailleurs précaires ne sont pas une charge : ils subventionnent, à bas coût, le confort de toute une société.

Regarde le graphique
Ils sont bénéficiaires de la redistribution
Donc ils coutent au système
Donc tu peux sortir du topic en baissant la tête

Les pauvres sont assisté a des fin d'exploitation. Tu ne vois pas le tableau en entier

Tu peux me relire la dernière ligne de mon message ? Tu fais quoi encore ici ?

Je viens souligné que regarder la redistribution uniquement, sans comprendre la dynamique globale est un aveuglement idiot qui fini par des absurditées comme "les pauvres exploitent les riches"

Le 23 novembre 2024 à 12:36:00 :
Je suis très content pour toi si tu es en mesure de te comparer à Bernard Arnault

Le 23 novembre 2024 à 12:48:52 :

Le 23 novembre 2024 à 12:47:24 :
il y a des exploités qui se font plus enculé que d'autre c'est tout, si t'es salarié t'es exploité, les riches vont très bien merci de t'en soucier quand même

Si tu es salarié avec APL/HLM / prime d'activité / chèques / etc, t'es salarié mais t'es pas du tout exploité il faut arrêter
Tu bénéficies du système et tu paies zéro impôt

Votre analyse repose sur une vision partielle des faits. Les pauvres, en occupant des emplois précaires et mal rémunérés, jouent un rôle fondamental dans l'économie : ils effectuent des tâches essentielles que peu de personnes souhaitent assumer pour de tels salaires (nettoyage, manutention, bâtiment, restauration, etc.). Ces métiers, souvent sous-valorisés, permettent aux entreprises de réduire leurs coûts, augmentant ainsi les marges bénéficiaires et contribuant indirectement à l'enrichissement de certains secteurs et individus.

Enfin, les aides sociales qu’ils perçoivent ne sont pas un privilège, mais un filet de sécurité indispensable dans un système où leurs salaires sont insuffisants pour vivre décemment. Ce système profite davantage aux plus riches qu’à eux : ce sont les faibles coûts de leur travail qui permettent aux actionnaires et aux dirigeants de s'enrichir, tout en criant à la charge fiscale

Les métiers sont pas sous-valorisés, ils sont valorisés par le prix du marché puis bénéficient de la redistribution, donc ils sont survalorisés par définition

Les aides sociales sont un privilège, la notion de filet de sécurité n'est pas opposée à celle de privilèg,c 'est un privilège ET un filet de sécurité

ET ce système ne profite pas aux riches, c'est eux qui paient et c'est les pauvres qui bénéficient, donc ça serait inversé la réalité de dire que ça bénéficie aux riches

Le 23 novembre 2024 à 13:02:02 :
Les pauvres exploitent la classe moyenne et les riches exploitent tout le monde

c'est déjà un début d'analyse d'avouer que les pauvres exploitent la classe moyenne

Le 23 novembre 2024 à 13:01:23 :
Les métiers sont pas sous-valorisés, ils sont valorisés par le prix du marché puis bénéficient de la redistribution, donc ils sont survalorisés par définition

Les aides sociales sont un privilège, la notion de filet de sécurité n'est pas opposée à celle de privilèg,c 'est un privilège ET un filet de sécurité

ET ce système ne profite pas aux riches, c'est eux qui paient et c'est les pauvres qui bénéficient, donc ça serait inversé la réalité de dire que ça bénéficie aux riches

Le prix du marché ne reflète pas la véritable valeur du travail.

Le 23 novembre 2024 à 13:05:00 :

Le 23 novembre 2024 à 13:02:02 :
Les pauvres exploitent la classe moyenne et les riches exploitent tout le monde

c'est déjà un début d'analyse d'avouer que les pauvres exploitent la classe moyenne

Non les riches exploitent la classes moyennes en les obligeant a subventionné les salaires des pauvres qui bossent pour eux, nuance. Les pauvres n'exploitent personne.

Le 23 novembre 2024 à 13:05:40 :

Le 23 novembre 2024 à 13:01:23 :
Les métiers sont pas sous-valorisés, ils sont valorisés par le prix du marché puis bénéficient de la redistribution, donc ils sont survalorisés par définition

Les aides sociales sont un privilège, la notion de filet de sécurité n'est pas opposée à celle de privilèg,c 'est un privilège ET un filet de sécurité

ET ce système ne profite pas aux riches, c'est eux qui paient et c'est les pauvres qui bénéficient, donc ça serait inversé la réalité de dire que ça bénéficie aux riches

Le prix du marché ne reflète pas la véritable valeur du travail.

source ?

Le 23 novembre 2024 à 13:05:40 :

Le 23 novembre 2024 à 13:01:23 :
Les métiers sont pas sous-valorisés, ils sont valorisés par le prix du marché puis bénéficient de la redistribution, donc ils sont survalorisés par définition

Les aides sociales sont un privilège, la notion de filet de sécurité n'est pas opposée à celle de privilèg,c 'est un privilège ET un filet de sécurité

ET ce système ne profite pas aux riches, c'est eux qui paient et c'est les pauvres qui bénéficient, donc ça serait inversé la réalité de dire que ça bénéficie aux riches

Le prix du marché ne reflète pas la véritable valeur du travail.

Il n'y a pas de véritable valeur de quoi que ce soit car tout est subjectif et le marché ne représente que la convergence des subjectivités.

Le 23 novembre 2024 à 13:05:00 :

Le 23 novembre 2024 à 13:02:02 :
Les pauvres exploitent la classe moyenne et les riches exploitent tout le monde

c'est déjà un début d'analyse d'avouer que les pauvres exploitent la classe moyenne

En soit ce n'est pas les pauvres qui exploitent c'est l 'état qui vol l'argent de toute la population. Que ce soit des riches par la taxation des dividendes, de la classe moyenne par la taxation des salaires et des pauvres par le régulation du marché du travail empêchant les opportunités.

Le 23 novembre 2024 à 13:01:23 :
Les métiers sont pas sous-valorisés, ils sont valorisés par le prix du marché puis bénéficient de la redistribution, donc ils sont survalorisés par définition

Les aides sociales sont un privilège, la notion de filet de sécurité n'est pas opposée à celle de privilèg,c 'est un privilège ET un filet de sécurité

ET ce système ne profite pas aux riches, c'est eux qui paient et c'est les pauvres qui bénéficient, donc ça serait inversé la réalité de dire que ça bénéficie aux riches

Le 23 novembre 2024 à 13:09:22 :

Le 23 novembre 2024 à 13:05:40 :

Le 23 novembre 2024 à 13:01:23 :
Les métiers sont pas sous-valorisés, ils sont valorisés par le prix du marché puis bénéficient de la redistribution, donc ils sont survalorisés par définition

Les aides sociales sont un privilège, la notion de filet de sécurité n'est pas opposée à celle de privilèg,c 'est un privilège ET un filet de sécurité

ET ce système ne profite pas aux riches, c'est eux qui paient et c'est les pauvres qui bénéficient, donc ça serait inversé la réalité de dire que ça bénéficie aux riches

Le prix du marché ne reflète pas la véritable valeur du travail.

source ?

les salaires sont largement déterminés par des rapports de pouvoir, et non uniquement par la valeur réelle que représente le travail pour la société.

"ce sont les pauvres qui exploitent les riches"

titre de l'image "les classes moyennes oubliées de la redistribution"

Le 23 novembre 2024 à 13:09:55 :

Le 23 novembre 2024 à 13:05:40 :

Le 23 novembre 2024 à 13:01:23 :
Les métiers sont pas sous-valorisés, ils sont valorisés par le prix du marché puis bénéficient de la redistribution, donc ils sont survalorisés par définition

Les aides sociales sont un privilège, la notion de filet de sécurité n'est pas opposée à celle de privilèg,c 'est un privilège ET un filet de sécurité

ET ce système ne profite pas aux riches, c'est eux qui paient et c'est les pauvres qui bénéficient, donc ça serait inversé la réalité de dire que ça bénéficie aux riches

Le prix du marché ne reflète pas la véritable valeur du travail.

Il n'y a pas de véritable valeur de quoi que ce soit car tout est subjectif et le marché ne représente que la convergence des subjectivités.

Justement l’intérêt generale n'est pas la somme des interets particuliers le marché n'est donc pas efficace a lui seul pour optimiser le bien sociale.