L'analyse marxiste est totalement dépassée, ce sont les pauvres qui exploitent les riches
C'est simple, il faut regarder les finances publiques
Il y a les contributeurs nets et les débiteurs nets
Les contributeurs nets (moi, bernard arnault) produisent se font exploiter
les débiteurs net (retraités, certains smicards, rsaistes, associations, fonctionnaires) parasitent
Donc en termes de "classe" si vous être à 3000€ net vous êtes dns la même classe que Bernard Arnault, vous être contributeurs nets, exploitiés par les pauvres et par la ponction publique élargie qui s'en met plein les fouilles (politique, administration, associations)
Le 23 novembre 2024 à 12:36:00 :
Je suis très content pour toi si tu es en mesure de te comparer à Bernard Arnault
On est dans la même classe sociale mais ça veut pas dire que je me compare à lui
je le respecte beaucoup c'est un grand homme
Les retraités géantes
Le RSA
Le chomage
Les APL
La CAF
Les HLM
Les subventions aux associations
Votre analyse repose sur une vision partielle des faits. Les pauvres, en occupant des emplois précaires et mal rémunérés, jouent un rôle fondamental dans l'économie : ils effectuent des tâches essentielles que peu de personnes souhaitent assumer pour de tels salaires (nettoyage, manutention, bâtiment, restauration, etc.). Ces métiers, souvent sous-valorisés, permettent aux entreprises de réduire leurs coûts, augmentant ainsi les marges bénéficiaires et contribuant indirectement à l'enrichissement de certains secteurs et individus.
Par ailleurs, parler d'un "coût" sans prendre en compte les bénéfices réels de leur travail et leur consommation est une erreur. Ces travailleurs contribuent à l'économie en produisant de la richesse, en consommant des biens et des services, et en soutenant des secteurs entiers. Sans eux, les prix augmenteraient dans de nombreux domaines, et des pans entiers de l'économie seraient paralysés.
Enfin, les aides sociales qu’ils perçoivent ne sont pas un privilège, mais un filet de sécurité indispensable dans un système où leurs salaires sont insuffisants pour vivre décemment. Ce système profite davantage aux plus riches qu’à eux : ce sont les faibles coûts de leur travail qui permettent aux actionnaires et aux dirigeants de s'enrichir, tout en criant à la charge fiscale. En réalité, ce n’est pas le travailleur précaire qui "coûte" à la société, mais un modèle économique qui exploite les plus vulnérables tout en concentrant les richesses au sommet.
Le 23 novembre 2024 à 12:40:42 :
Votre analyse repose sur une vision partielle des faits. Les pauvres, en occupant des emplois précaires et mal rémunérés, jouent un rôle fondamental dans l'économie : ils effectuent des tâches essentielles que peu de personnes souhaitent assumer pour de tels salaires (nettoyage, manutention, bâtiment, restauration, etc.). Ces métiers, souvent sous-valorisés, permettent aux entreprises de réduire leurs coûts, augmentant ainsi les marges bénéficiaires et contribuant indirectement à l'enrichissement de certains secteurs et individus.Par ailleurs, parler d'un "coût" sans prendre en compte les bénéfices réels de leur travail et leur consommation est une erreur. Ces travailleurs contribuent à l'économie en produisant de la richesse, en consommant des biens et des services, et en soutenant des secteurs entiers. Sans eux, les prix augmenteraient dans de nombreux domaines, et des pans entiers de l'économie seraient paralysés.
Enfin, les aides sociales qu’ils perçoivent ne sont pas un privilège, mais un filet de sécurité indispensable dans un système où leurs salaires sont insuffisants pour vivre décemment. Ce système profite davantage aux plus riches qu’à eux : ce sont les faibles coûts de leur travail qui permettent aux actionnaires et aux dirigeants de s'enrichir, tout en criant à la charge fiscale. En réalité, ce n’est pas le travailleur précaire qui "coûte" à la société, mais un modèle économique qui exploite les plus vulnérables tout en concentrant les richesses au sommet.
ChatGPT
Le 23 novembre 2024 à 12:42:04 :
En réalité, ce ne sont pas les pauvres qui "coûtent" à la France, mais un système qui exploite leur travail pour concentrer les richesses au sommet. Les travailleurs précaires ne sont pas une charge : ils subventionnent, à bas coût, le confort de toute une société.
Regarde le graphique
Ils sont bénéficiaires de la redistribution
Donc ils coutent au système
Donc tu peux sortir du topic en baissant la tête
Le 23 novembre 2024 à 12:41:49 :
Le 23 novembre 2024 à 12:40:42 :
Votre analyse repose sur une vision partielle des faits. Les pauvres, en occupant des emplois précaires et mal rémunérés, jouent un rôle fondamental dans l'économie : ils effectuent des tâches essentielles que peu de personnes souhaitent assumer pour de tels salaires (nettoyage, manutention, bâtiment, restauration, etc.). Ces métiers, souvent sous-valorisés, permettent aux entreprises de réduire leurs coûts, augmentant ainsi les marges bénéficiaires et contribuant indirectement à l'enrichissement de certains secteurs et individus.Par ailleurs, parler d'un "coût" sans prendre en compte les bénéfices réels de leur travail et leur consommation est une erreur. Ces travailleurs contribuent à l'économie en produisant de la richesse, en consommant des biens et des services, et en soutenant des secteurs entiers. Sans eux, les prix augmenteraient dans de nombreux domaines, et des pans entiers de l'économie seraient paralysés.
Enfin, les aides sociales qu’ils perçoivent ne sont pas un privilège, mais un filet de sécurité indispensable dans un système où leurs salaires sont insuffisants pour vivre décemment. Ce système profite davantage aux plus riches qu’à eux : ce sont les faibles coûts de leur travail qui permettent aux actionnaires et aux dirigeants de s'enrichir, tout en criant à la charge fiscale. En réalité, ce n’est pas le travailleur précaire qui "coûte" à la société, mais un modèle économique qui exploite les plus vulnérables tout en concentrant les richesses au sommet.
ChatGPT
Pour la mise en forme seulement
Le 23 novembre 2024 à 12:43:11 :
Le 23 novembre 2024 à 12:41:49 :
Le 23 novembre 2024 à 12:40:42 :
Votre analyse repose sur une vision partielle des faits. Les pauvres, en occupant des emplois précaires et mal rémunérés, jouent un rôle fondamental dans l'économie : ils effectuent des tâches essentielles que peu de personnes souhaitent assumer pour de tels salaires (nettoyage, manutention, bâtiment, restauration, etc.). Ces métiers, souvent sous-valorisés, permettent aux entreprises de réduire leurs coûts, augmentant ainsi les marges bénéficiaires et contribuant indirectement à l'enrichissement de certains secteurs et individus.Par ailleurs, parler d'un "coût" sans prendre en compte les bénéfices réels de leur travail et leur consommation est une erreur. Ces travailleurs contribuent à l'économie en produisant de la richesse, en consommant des biens et des services, et en soutenant des secteurs entiers. Sans eux, les prix augmenteraient dans de nombreux domaines, et des pans entiers de l'économie seraient paralysés.
Enfin, les aides sociales qu’ils perçoivent ne sont pas un privilège, mais un filet de sécurité indispensable dans un système où leurs salaires sont insuffisants pour vivre décemment. Ce système profite davantage aux plus riches qu’à eux : ce sont les faibles coûts de leur travail qui permettent aux actionnaires et aux dirigeants de s'enrichir, tout en criant à la charge fiscale. En réalité, ce n’est pas le travailleur précaire qui "coûte" à la société, mais un modèle économique qui exploite les plus vulnérables tout en concentrant les richesses au sommet.
ChatGPT
Pour la mise en forme seulement
Je m'en doutais parce que ChatGPT n'est pas aussi stupide en général
Le 23 novembre 2024 à 12:42:46 :
Le 23 novembre 2024 à 12:42:04 :
En réalité, ce ne sont pas les pauvres qui "coûtent" à la France, mais un système qui exploite leur travail pour concentrer les richesses au sommet. Les travailleurs précaires ne sont pas une charge : ils subventionnent, à bas coût, le confort de toute une société.Regarde le graphique
Ils sont bénéficiaires de la redistribution
Donc ils coutent au système
Donc tu peux sortir du topic en baissant la tête
Les pauvres sont assisté a des fin d'exploitation. Tu ne vois pas le tableau en entier
Le 23 novembre 2024 à 12:44:48 :
Le 23 novembre 2024 à 12:42:46 :
Le 23 novembre 2024 à 12:42:04 :
En réalité, ce ne sont pas les pauvres qui "coûtent" à la France, mais un système qui exploite leur travail pour concentrer les richesses au sommet. Les travailleurs précaires ne sont pas une charge : ils subventionnent, à bas coût, le confort de toute une société.Regarde le graphique
Ils sont bénéficiaires de la redistribution
Donc ils coutent au système
Donc tu peux sortir du topic en baissant la têteLes pauvres sont assisté a des fin d'exploitation. Tu ne vois pas le tableau en entier
Tu peux me relire la dernière ligne de mon message ? Tu fais quoi encore ici ?
Le 23 novembre 2024 à 12:47:24 :
il y a des exploités qui se font plus enculé que d'autre c'est tout, si t'es salarié t'es exploité, les riches vont très bien merci de t'en soucier quand même
Si tu es salarié avec APL/HLM / prime d'activité / chèques / etc, t'es salarié mais t'es pas du tout exploité il faut arrêter
Tu bénéficies du système et tu paies zéro impôt
Données du topic
- Auteur
- jambon-bleu
- Date de création
- 23 novembre 2024 à 12:31:52
- Nb. messages archivés
- 85
- Nb. messages JVC
- 82