[FIC] "Célestin et Célestine, duo de choc !"

Le 07 mai 2025 à 21:53:27 :
Bon ben je vais être obligé de laisser les votes ouverts + longtemps

Fin des votes demain à 22h30

(1) : 1 vote

(2) : 1 vote

(3) : 0 votes

(4) : 0 votes

(5) : 0 votes

(6) : 1 vote

Fin demain à 22h30

Ce n'est clairement pas une surprise ce qu'il se passe. Maintenant il n'y a eu aucun engagement envers Mélanie si ce n'est quelques messages, on ne lui doit rien du tout.

Je vote la 3.

(1) : 1 vote

(2) : 0 votes

(3) : 2 votes

(4) : 0 votes

(5) : 0 votes

(6) : 1 vote

Fin à 22h30

Le 08 mai 2025 à 14:10:47 :
Allez vote 3 pour avoir une suite plus rapidement

Et un vote 3
On va attendre encore un peu mais je ne m'attends pas à être surpris

(1) : 1 vote

(2) : 1 vote

(3) : 3 votes

(4) : 0 votes

(5) : 0 votes

(6) : 0 votes

Fin à 22h30

Le 08 mai 2025 à 19:34:25 :
L'Op toi qui a l'air d'être un fanboy de life is strange, il donne quoi le dernier ? J'avoue avoir fait que le premier et before the Storm mais pas les autres.

Je l'ai pas fait non plus mais j'ai lu qu'il était assez mauvais en dépit du retour de Max

Chapitre 14 : Bienvenue aux studios de Rasoir TV !

(3) : Même chose que le 2 mais sans vous excuser

Mélanie et ses amies vous observent sans rien dire. Elles attendent vos aveux avec la même patience que possèdent les animaux sauvages, qui sont prêts à sauter sur leur proie à la moindre petite erreur de sa part. Le silence est pesant, voire écrasant. La gêne que vous ressentez depuis tout à l’heure devient de plus en plus forte et noue votre estomac au passage, vous donnant ainsi la boule au ventre. Même vos battements de cœur s’accentuent sous l’effet du stress, au point ou ces derniers se mettent à jouer une musique oppressante dans votre esprit.

« Respire Célestin. Ignore leurs regards de pitbulls et dit à Mélanie ce que tu ressens vraiment. »

Vous regardez Mélanie. Vous remarquez un mélange de colère et d’appréhension dans ses yeux en amande. Vous comptez jusqu'à trois dans votre tête puis prenez la parole :

- En fait… c’est bien ce que tu crois.
- Qu’est-ce que je disais !
- La ferme.
- …
- Je disais que ce que tu as vu avec Joaline est bel et bien ce que tu crois. J’ai effectivement des sentiments pour elle.
- Vraiment ? Qu’est-ce que Joaline a que je n’ai pas ?
- Et bien… j’aime beaucoup le changement qui s’opère en elle depuis son retour au lycée.
- Comment ça ?
- J’ai l’impression qu’elle devient plus… mâture. Et gentille aussi. Quand on prend le temps de la connaître, on découvre une personnalité solaire et un grand cœur. En plus, contrairement à toi, Joaline ne fait pas de crises de jalousie pour un câlin et quelques messages intéressés sur Whatsapp. Si tu veux mon avis, c’est un gros red flag que tu trimballes avec toi ma chère Mélanie.
- Il est sérieux à parler de red flag lui ? Son regular coupe skinny là…
- En voilà un deuxième. Et j’en vois un troisième juste ici, à ta gauche.
- *grogne*.
- Tu sais Célestin, t’es pas obligé de tirer sur mes copines pour me dire que t’aimes Joaline.
- C’est surtout sur toi que je tire Mélanie. Un grand sage sur Youtube a dit : « on est la moyenne des cinq personnes que l’on côtoie le plus ».
- Et donc ?
- Et donc ? Tu t’attendais vraiment à ce que je veuille sortir avec toi, alors que tes amies ici présentes sont chiantes comme la pluie ? Laisse moi rire ! Tu joues les nanas responsables alors que tu te caches derrière tes gardes du corps au lieu de venir me chercher. Prends exemple sur Joaline ! La fille était un red flag ambulant, mais avec le temps elle a su s’assagir et a arrêté de se comporter comme une connasse avec les gens. Fais comme elle Mélanie : grandis un peu. Et arrête de te voiler la face aussi. Ça t’évitera bien des déceptions à l’avenir.
- !!

Vous vous arrêtez. Léa et Célia sont choquées de la violence de vos propos envers leur meilleure amie. Leur mines hébétées déclenchent dans votre esprit une réaction que vous ne connaissiez pas jusque là : la Schadenfreude, cette joie malsaine que l’on éprouve en voyant le malheur d’autrui. Quant à Mélanie, elle semble au bord des larmes, mais se retient de pleurer dans le but de garder un semblant de dignité après l’assaut au vitriol qu’elle vient de subir. Célia serre les poings et vous lance un regard froid.

- Tu veux que je le frappe Mélanie ?
- Non. J’ai entendu tout ce que j’avais besoin d’entendre.
- Hmm…
- Bon, si vous n’avez rien d’autre à me dire, je vais m’en aller. Au revoir les filles.
- C’est ça casse toi ! Espèce de pauvre type !

Vous partez sans dire un mot et sans regarder derrière vous.

« Une bonne chose de faite. T’façon je ne dois rien à cette folle qui n’est pas capable de prendre ses responsabilités. Tiens tiens… »

Joaline se tient dans la cour avec une feuille à la main. Vous décidez de la rejoindre.

- Salut Jo !
- Célestin ! T’arrives au bon moment !
- Ah ouais ?
- Oui ! Regarde ! Il y a d’autres gens qui se sont inscrits à la visite.
- Mais c’est génial ! Tu peux me la montrer ?
- Tiens.
- Merci.

De nouveaux noms se sont rajoutés sur la liste, dont certains que vous ne vous attendiez pas à voir.

« Quelle coïncidence ! Célia a invité Mélanie et l’autre à venir. Une vraie casse c*uilles celle-là… »

Mais vous êtes heureux que l’initiative du CVL ait eu autant de succès à quelques jours de l’échéance.

- J’ai fini de lire.

Vous lui rendez la liste.

- Merci. Et au fait, sache que c’est Monsieur Da Silva et Madame McKinnon qui vont nous accompagner.
- Ah ouais ? J’espère qu’ils vont pas transformer la visite en cours de maths ou d’anglais.
- La même. Ou sont Tamara et Célestine ?
- Elles parlent avec Anaëlle et son mec. Tu veux qu’on aille les rejoindre ?
- Ouais !
- Et ben allons-y.

Au même moment…

Stéphane gare sa voiture de location devant la maison de son père. Il en sort avec un sac cabas contenant des denrées alimentaires et des produits d’hygiène. Malgré le fait qu’il ait une entreprise à gérer tout en étant à distance, il a quand même trouvé le temps de faire des courses pour Hubert, avec lequel il a eu une longue discussion en compagnie de ses frères Frédéric et Didier. Mais aujourd’hui, il est temps de déposer ce sac de courses dans la maison et de repartir. En avançant vers la porte d’entrée, il aperçoit une femme au téléphone. C’est Fanny, l’infirmière d’Hubert. Lorsque cette dernière le voit, elle décide de mettre fin à son appel de façon précipitée.

- Attends Déborah, je te rappelle.

Elle raccroche.

- Bonjour Madame Sanchez.
- Appelez moi Fanny monsieur…
- Stéphane.
- Ah oui. C’est vous qui travaillez au Québec non ?
- Oui. J’ai monté une entreprise de cyber sécurité là bas.
- De la cyber sécurité ?
- C’est ça. On propose des solutions pour les entreprises et les particuliers qui souhaitent protéger leurs systèmes informatiques de toute menace extérieure.
- Intéressant… et ça fonctionne bien ?
- On peut dire ça, même si la concurrence est rude. C’est un milieu très compétitif la cyber sécurité.
- J’imagine. Surtout avec l’intelligence artificielle qui arrive…
- Vous avez tout compris Fanny.

Stéphane s’arrête. L’espace d’un instant, il contemple Fanny. Le spécialiste de l’informatique semble sous le charme de la femme en face de lui, essayant de deviner ses formes à travers ses vêtements de travail. À ses yeux, Fanny est très belle. Peut-être plus que sa femme, avec laquelle il est marié depuis bientôt cinq ans.

- Je crois que je vais m’en aller. J’ai déjà fini avec Hubert.
- A-ah oui ? D’accord. A-au revoir Fanny.
- Bonne soirée Stéphane.

Elle part. Au lieu d’entrer dans la maison, Stéphane regarde son déhanché avec beaucoup d’attention. Il reste bouche bée.

« Qu’est-ce qu’elle est belle… »

Jeudi 28 novembre, 7h30…

https://www.youtube.com/watch?v=s2TyVQGoCYo

Point de vue de Célestin.

Le jour de la visite est enfin arrivé ! Tous les élèves inscrits, dont vous, Célestine et Joaline attendent dans la cour le temps que vos accompagnateurs, Joao Da Silva et Annie McKinnon fassent tous les préparatifs nécessaires au bon déroulement de la sortie. En attendant, vous prenez part à la discussion des filles, qui ont l’air très enthousiastes.

- Tu penses qu’on va voir des célébrités à Rasoir TV ?
- Je sais pas. La seule « célébrité » que je connais c’est mon oncle Arnaud.
- Arnaud la Fouine ?
- Lui même.
- Trop cool !
- Ça me fait penser que j’ai oublié de lui demander un autographe à ton anniversaire Cél.
- Ben ce sera l’occasion.
- Encore faut t’il qu’on le croise.
- Ou qu’il ne décide pas de nous bombarder de questions.
- Pas faux. Hé ! Au fait, elle est ou Tam ?
- Elle m’a dit qu’elle a un peu de retard. Faudrait qu’elle se dépêche car…
- MA STAR !

Tamara vient vers vous en courant et termine sa course dans les bras de sa petite-amie.

- Tamara ! Comment tu… Mais ?! T’es en sueur !
- Ben c’est ce qui arrive quand on court Célestine. Si je ne l’avais pas fait, je serais…
- Salut Célestine.

Célestine se retourne. Slimane se tient derrière elle avec une démarche peu assurée.

- Salut Slimane.

Et la, votre amie avance vers lui et lui fait la bise, prenant tout le monde de court, en particulier le jeune homme qui en perd ses moyens.

- Je… je… faut que j’aille pisser.

Slimane manque de trébucher en partant. Tamara en revanche semble sceptique au sujet de la bise et en fait part à Célestine.

- Depuis quand tu fais la bise à Slimane ?
- Et pourquoi pas ? Je veux dire, c’est une autre façon de se saluer entre personnes bien éduquées.
- Tu ne fais pas la bise à Célestin pourtant.
- Ouais ! Slimane a le droit et pas moi ? C’est pas juste.
- Oh ça va hein ! Je compte pas lui refaire la bise de sitôt. Il est un poil trop barbu pour mes joues.
- Terrible…
- Bonjour les élèves.

Aucune réponse de la part de vos camarades. Monsieur Da Silva reprend :

- Si vous êtes tous regroupés ici, c’est que vous êtes inscrits à la visite des studios de Rasoir TV. Ma foi, je n’ai pas grand-chose à dire, à part que tous ceux qui feront les marioles pendant cette excursion se verront sanctionnés. Et ça vaut surtout pour toi Sébastien.
- …
- Maintenant, nous allons faire l’appel avant de monter dans le car…

Une fois l’appel terminé, Madame McKinnon invite tout le monde à monter dans le car par groupes de trois ou quatre. Vous et vos amies faites partie des derniers à monter, juste après le groupe de Slimane et Mélissa. Tamara salue le chauffeur de sa voix guillerette.

- Bonjour monsieur !
- Bonjour ma p’tite. Installez vous confortablement et n’oubliez pas d’attacher vos ceintures !

En cherchant une place dans le car, vous entendez des petits morceaux de conversations de vos camarades :

- Apparemment il y aurait des aliens à Rasoir TV.
- Des aliens ? Même pas vrai.
- Moi je crois Dennis. Les médias sont connus pour nous montrer que leur vision de la vérité. En tant qu’habitants d’Ennui-Sur-Mer, nous avons le droit de savoir.
- Si tu le dis…
- Regarde c’est Célestin.
- Ignore le ma belle. On va passer un bon moment toutes les trois.
- Et rencontrer la boss de Rasoir TV aussi !
- T’en penses quoi de mon t-shirt Slimane ?
- #Free Inès… mouais pourquoi pas.

Vous finissez par vous asseoir à coté de Joaline sur les sièges derrière ceux de Tamara et Célestine et devant les sièges du fond, sur lesquels les trois Mattéo sont assis.

- T’as ramené la JBL ?
- Ouais ! Ça va être la fiesta !
- Ça vous dérange si je m’assois avec vous les jeunes ?
- Non…
- On dirait que leurs plans sont tombés à l’eau.
- Hmm hmm.

Le car démarre au moment ou Monsieur Da Silva prend place sur le siège à coté de celui du chauffeur. Le trajet du lycée jusqu'aux studios se fait sans musique mais non sans quelques conversations à voix haute. Vous arrivez à destination au bout d’une vingtaine de minutes. Les studios de Rasoir TV ressemblent à un bâtiment d’affaires assez classique, avec pour seules différences d’être un peu plus large et d’arborer le nom de la chaîne sur les portes d’entrée. Un graffiti réalisé à la peinture noire se trouve sur le mur à droite de la porte. En plissant les yeux, vous arrivez à lire : « Ou est Pauline Pereira ? ».

« C’est qui Pauline Pereira ? »

- Nous sommes arrivés. Je vais vous demander de sortir calmement, sans faire d’histoires.

Vous sortez du car après avoir été coincé dans la queue avec Joaline pendant trois minutes. Après avoir rejoint Tamara et Célestine, vous apercevez une petite femme avec un grand front qui serre la main de vos professeurs avant de se tourner vers vous :

- Bonjour à vous chers élèves du lycée Jean-Paul Sartre. Je suis Alice Dupieux, et c’est moi qui ait l’honneur de vous faire visiter…
- Wesh ! C’est quoi ce front tah les oufs ?
- Rah ouais ! Le front il est panoramique wesh !
- Carrément tu peux jouer en 4k 60 FPS dessus.
- J’te jure !

Des rires s’élèvent parmi vos camarades. Alice ne semble pas amusée par les quolibets des trois Mattéo, mais garde son calme.

- Si vous voulez bien me suivre…

Vous suivez Alice et les professeurs à l’intérieur du batiment. Le hall d’entrée possède un look moderne et spacieux. De nombreux intermittents du spectacle courent à droite et à gauche des studios, certains tenant des caméras ou des perches à micros dans leur bras. Toute cette effervescence vous laisse penser que le milieu de l’audiovisuel est très intense physiquement.

- A votre gauche se trouve la pièce dans laquelle nous entreposons tout le matos dont on a besoin pour les émissions : caméras, micros, etc. Si on avance un peu plus loin vous verrez les portes menant aux différents plateaux qu’on utilise pour des émissions en tout genre. Je sais qu’à l’heure actuelle une de mes collègues est en train de tourner la météo…
- Et vous faites comment pour vous y retrouver avec tous ces plateaux Madame Dupieux ?
- Question d’habitude mon cher. Pour moi, quand on sait ou aller, il est difficile de se perdre. Maintenant, si vous le permettez… ah, chouette !

Alors que vous continuez à suivre Alice à travers les studios, cette dernière semble remarquer la venue d’une femme en chemise marchant à coté d’un homme un peu plus grand. Au même moment, vous sentez des mains se poser sur vos épaules.

- Mec ! Tu peux me cacher steuplait ?
- Hein ? Mais t’es plus grand que moi !
- Je m’en fous, j’ai besoin que tu me caches !
- Fermez vos gueules les débiles !

Ne voulant pas vous afficher devant tout le monde, vous décidez de laisser le garçon se cacher derrière vous en dépit de sa grande taille. Pendant ce temps, les voix des deux femmes arrivent à vos oreilles :

- Déborah tu tombes à pic ! Tu peux continuer la visite avec eux s’il te plaît ? J’ai un rendez-vous chez le gynéco dans trente minutes.
- Pourquoi tu fais la visite si t’as un rendez-vous ?
- Parce qu’Arnaud n’est pas là et que j’étais la seule que Viviane avait sous la main.
- Mais je dois aller faire la régie pour la météo…
- Et bien tu pourras les emmener voir le tournage ! Allez steuplait Déborah, fais le pour moi.
- *soupire* Ok.
- T’es la meilleure.

Alice se retourne vers vous.

- Je ne vais malheureusement pas pouvoir continuer la visite avec vous les jeunes.
- Oh non !
- Mais ne vous inquiétez pas ! Madame Subréchicot et son collègue sont là pour reprendre ou on s’est arrêtés.

Les collègues d’Alice saluent votre groupe de la main en souriant.

- Il n’y a pas de problème Alice. Passez une bonne journée.
- Vous aussi Madame.

Monsieur Da Silva fait signe au groupe de s’écarter pour faciliter le passage d’Alice. Une fois regroupés, celle qui répond au nom de Déborah vous invite à la suivre.

- En route mauvaise troupe !
- Oh le boule !
- Qui a dit ça ?
- Euh… personne.
- C’est ce que je pensais.

Vous suivez Déborah sur quelques mètres. Cette dernière semble s’être prise d’affection pour vous et vos camarades et vous bombarde d’anecdotes sur son quotidien de régisseuse de plateau pour la chaîne locale. Pendant qu’elle vous parle de la fois ou des rats ont envahi le plateau du journal, Célestine lève la main pour poser une question à Déborah, qui s’arrête en conséquence.

- Madame Subréchicot ?
- Oui ?
- Qu’est-ce qu’il y a derrière cette porte ?

Une porte est bel et bien présente. Elle est de couleur blanche et est ornée d’un petit dessin d’arc-en-ciel au centre. Cela vous rappelle quelque chose…

Blanche, avec un arc-en-ciel dessus. Le genre de porte qui pourrait fermer une chambre d’enfants

« La porte de sa vision ! »

- Il n’y a rien.
- Vous êtes sûre ?
- Oui. Il n’y a rien derrière cette porte.

Déborah a l’air déstabilisée par la question de Célestine. Vous le sentez au ton de sa voix. Alors qu’elle reprend la marche avec le reste du groupe, Célestine s’éloigne, vous poussant à la suivre avec Tamara et Joaline.

- Tu fous quoi Célestine ? On est en train de perdre les autres.
- C’est la porte que j’ai vu au centre commercial.
- Et tu vas y aller ? On ne sait même pas ce qu’il y a de l’autre côté, ou si elle est ouverte.
- Je dois la franchir. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je dois le faire.
- Ben ce sera sans moi. Je suis désolée, mais j’aime bien les anecdotes de Déborah.
- Il y a pas de mal. Et toi Tamara, tu veux me suivre ?
- Ben si tu veux…
- Attends !

Vous sursautez. Slimane était derrière vous depuis le début de la conversation.

- Si tu comptes vraiment entrer la dedans, laisse moi venir avec toi.
- Euh…
- Pff ! Si Slimane vient, alors moi je viens pas.
- C’est quoi ton problème avec Slimane Tamara ?
- Je trouve qu’il est un peu trop sur nos côtes depuis le début de la journée.
- Ben euh… mes amis sont pas là ?
- Et ça te donne une raison pour nous coller ?
- Doucement les gars ! Faut qu’on prenne une décision rapidement, car si les profs remarquent notre absence, on est foutus.
- Célestin tu fais quoi ? Tu viens avec Célestine ou pas ?
- Euh…

Choix :

[1] : Suivre Célestine à travers la porte.

(A) : Laisser Slimane venir avec vous.

(B) : Lui dire de continuer avec le groupe.

[2] : Laisser Célestine et suivre le groupe

(A) : Dire à Slimane de suivre Célestine

(B) : Lui dire de continuer avec le groupe.