[FIC] "Célestin et Célestine, duo de choc !"

Sortie du chapitre 9, "Faire partie de quelque chose" à 19h30

Pour rappel il n'y aura pas de choix à la fin de ce chapitre !

Le 06 janvier 2025 à 19:12:15 :
Pour prémonition, j'vote 5 sans aucune hésitation

La réponse bientôt

Chapitre 9 : Faire partie de quelque chose

2 : Plus que de l’amitié.

Avant de donner votre réponse à Tamara vous prenez une grande inspiration et la regardez droit dans les yeux pour rendre cet instant plus authentique.

- Tamara… t’es une fille incroyable. T’es super gentille, t’es drôle, attachante, intelligente, empathique et mignonne aussi. Quand tu es entrée dans ma vie, j’ai su que tu n’allais pas en sortir et je veux que ça reste ainsi. Tu as toujours été la pour moi, et même si je ne te le dis pas assez, je suis heureuse d’être amie avec toi.
- C’est vrai ? Tu le penses vraiment ?
- Oui Tam. Et tous ces moments que j’ai passé avec toi m’ont fait prendre conscience que je veux te connaître encore plus. J’ai envie de t’accorder une place spéciale dans mon cœur. Une place de choix parmi tous ceux que j’aime.
- Alors ça veut dire que…
- Je t’aime Tamara. Même si parfois t’es un peu niaise et que ça t’arrive d’agir sans réfléchir, j’ai envie d’être avec toi aussi longtemps que l’univers nous le permet. Quand on est ensemble, je me sens épanouie, comprise et aussi vivante. Je n’ai jamais ressenti ça pour quelqu’un auparavant et ça me fait un peu bizarre. Mais je suis prête à accepter ses sentiments, pour le meilleur et pour le pire.
- « Pour le meilleur et pour le pire » ? Tu parles comme si on allait se marier ! Je te rappelle qu’on a pas encore le bac ! Mais je trouve ça mignon venant de toi.
- Alors… on essaie ?
- J’ai attendu ce moment pendant si longtemps… viens dans mes bras Célestine !

Tamara écarte ses bras pour vous faire un câlin. Vous vous rapprochez d’elle et enroulez vous bras autour de son corps pendant qu’elle resserre son étreinte sur vous, cette fois ci avec douceur. Vous avez l’impression que des mots ne seraient pas suffisants pour décrire ce que vous ressentez en ce moment. Sous l’effet de l’adrénaline, de la dopamine, des endorphines ou encore de l’ocytocine, vous et votre amie ressentez une puissante sensation d’euphorie, une sensation encore plus satisfaisante que du simple bonheur et qui est décuplée par le fait que vos yeux soient fermés lors de cette effusion. Finalement, après deux minutes, Tamara arrête le câlin et brise l’agréable silence qui s’était imposé dans le salon.

- Incroyable. C’était juste… woaw.
- C’est vrai que c’est sympa ce genre de trucs, surtout quand tu le fais avec la bonne personne.
- Ouais ! J’ai comme des papillons dans le ventre là ! Je comprends pourquoi les couples au lycée passent leurs récrés à s’embrasser ! La sensation est encore mieux que de la drogue !
- T’as déjà essayé ? La drogue je veux dire.
- Non ! Tu me prends pour qui ? Ahmed ?
- C’était une boutade Tamara.
- Elle était bonne ! Et si on faisait la cuisine toute les deux ? Mes vieux m’ont appris la recette de la tarte Sacher et j’ai bien envie de la tester ! Ce serait parfait pour une première activité de couple !
- Woaw. Tout de suite les grands mots.
- Ben tu veux qu’on appelle ça comment ? Ton discours ainsi que le câlin qu’on a fait tout à l’heure c’était plus que du flirt.
- Je sais. C’est juste que j’arrive pas à me faire à l’idée que toi et moi c’est devenu plus que de l’amitié.
- Tu vas t’y faire ma belle ! Faut juste qu’on construise notre relation pas à pas. Le câlin c’était le premier, et la cuisine sera le deuxième. T’en dis quoi ?
- J’en dis que je n’ai jamais goûté une tarte Sacher.
- Alors mettons nos tabliers et allumons nos fourneaux !

Vous passez donc une heure et trente minutes dans la cuisine à préparer cette pâtisserie qui est aussi connue sous le nom de Sachertorte. Votre complicité avec Tamara ne fait qu’augmenter durant cette activité. Celle-ci se permet de vous taquiner en mettant du chocolat sur votre visage, ce à quoi vous répondez en lui envoyant de la confiture d’abricots sur son tablier.

- Arrête ! On en aura pas assez pour faire la tarte sinon !
- C’est toi qui a commencé. Allez prends ça !
- Ah !

Malgré ces égarements vous réussissez à finir la pâtisserie. Elle ne ressemble pas exactement à un chef d’œuvre mais vous en êtes satisfaites. Tamara coupe le gâteau et vous tend une cuillère avec sourire aux lèvres.

- A toi l’honneur Célestine.

Vous prenez une des parts et plongez la cuillère dedans. Lorsque cette dernière entre dans votre bouche, c’est une avalanche de saveurs qui vous tombe dessus. Le goût du chocolat mélangé à celui de l’abricot vous émerveille et vous pousse à engloutir votre part sous les yeux de votre amoureuse. L’amour… c’est ce sentiment qui donne à cette pâtisserie sa douceur sucrée et chocolatée. C’est lui qui crée les plus belles choses, comme les enfants ou encore cette pâtisserie, que vous voyez comme le symbole de la naissance de votre couple avec Tamara.

- Alors ? C’est comment ?
- C’est trop bon. Je peux ressentir tout l’amour qu’on a mis dedans en plus de l’abricot et du cacao.
- L’amour… pour mes parents c’est ça l’ingrédient secret qui transforme une simple pâtisserie en un véritable délice.
- C’est clair ! Je crois que j’aime cette tarte plus fort que toi !
- Alors ça c’est… une boutade. Je ne me suis pas fait avoir cette fois.
- Qui a dit que c’est une boutade ?
- Et ça alors, c’est une boutade ?

Sur ces mots, Tamara passe frénétiquement sa main dans vos cheveux, ce qui a pour effet de les ébouriffer. Vous la regardez avec un sourire amusé.

- Tu veux la guerre ? Tu vas l’avoir !
- Hii !

C’est à votre tour de décoiffer Tamara. Lorsque vous retirez votre main après avoir arrangé sa frange à votre manière, celle ci se jette sur vous, ce qui a pour effet de vous faire tomber au sol. Ce qui avait commencé comme une gentille chamaillerie se transforme en une lutte dans laquelle vos sentiments amoureux prennent le dessus. Néanmoins, vous trouvez cette petite bagarre tout aussi agréable que le câlin de tout à l’heure. Après avoir passé 5 minutes à vous chatouiller et à vous décoiffer mutuellement Tamara s’arrête et vous aide à vous relever, tout en rougissant.

- Hé Célestine ! Ça te dirais que je te montre un truc ?
- Oui ! Qu’est-ce que c’est ?
- Ça je ne te le dirai pas ! Si tu veux le voir, tu dois me laisser te cacher les yeux.
- Ok. Je te laisse faire.
- Génial. Tu ne seras pas déçue, je te promets !

Tamara se lave les mains puis les met sur votre visage afin d’obstruer votre champ de vision. Vous ne savez pas ce qu’elle va vous montrer mais êtes impatiente de le savoir.

Point de vue d’Inès El Fassi.

Inès est assise seule à la table d’un restaurant semblable à un Kebab et regarde son téléphone avec beaucoup d’attention. Lorsqu’elle fait défiler son fil sur Instagram elle tombe sur une photo d’Ahmed, son ex petit ami, qui pose dans une boite de nuit avec une jeune femme brune avec une forte poitrine. Le texte en dessous est le suivant :

when i die, imma go to snowbunny heaven

Inès tire une moue de dégoût à la vue de ce cliché.

« Ce gars ne mérite aucun paradis, que ce soit le Jannah ou celui des kehs. Pourquoi je continue à le suivre en fait ? Allez ça dégage.  »

Inès prend cette décision sans y réfléchir. Après tout elle n’en a pas besoin, Ahmed étant ce qu’il est, ça ne lui servirait à rien de continuer à le suivre sur les réseaux sociaux. Néanmoins, cela n’empêche pas Inès d’être prise dans un conflit intérieur.

« Je dis ça mais moi non plus je ne mérite pas d’aller au ciel. Après tout, je me suis laissée aveugler par la vengeance, ce qui m’a poussé à commettre un meurtre. Et le pire, c’est que la police ne sait même pas que c’est moi ! Je ne suis vraiment qu’une hypocrite. Et pourtant, Célestin et Nathanaël ont choisi de m’accorder leur confiance pour retrouver un voleur ! Ils sont vraiment gentils ces deux là, surtout Célestin, qui est plutôt mignon aussi. Je ne mérite probablement pas les mots gentils qu’il m’a dit hier. Si ça se trouve, je ne mérite même pas de…  »
- Inès !

La jeune femme sursaute en entendant son prénom. Son père se tient devant elle avec un air contrarié.

- Oui papa ?
- Ça fait deux minutes que je t’appelle ! T’es dans la lune ou quoi ? J’espère que tu ne pensais pas à ce Ahmed avec qui t’es allé à la marina la dernière fois. Tu sais déjà ce que je pense du métissage…
- Je ne pensais pas à lui papa ! Je ne sors même plus avec lui d’abord.
- Ben c’est très bien. Je vois que tu es revenue à la raison ma fille. Je t’interdis de faire comme ces kehs qui déshonorent leurs lignées en se métissant avec des gw*rs ou des ou kh*ls. Wallah al ahdim si tu t’écartes encore du droit chemin je te jure que ça va mal finir pour toi.
- C’est bon papa j’ai compris. Je ne me métisserai pas.
- Bien parlé Inès. Maintenant va à l’arrière me chercher de la sauce algérienne. On en a reçu ce matin et je sens que je vais en avoir besoin.
- J’y vais tout de suite.

Après avoir donné la sauce algérienne à son père, Inès se rassoit à la table ou elle était. C’est la qu’elle reçoit un message de Célestin.

Salut Inès, t’as du nouveau sur le chat-pardeur ?

Sans plus attendre, Inès pianote sur son écran afin de lui répondre ceci :

Non, pas pour l’instant. Tu vas bien sinon ?

Ce à quoi le jeune homme répond :

Moi ça va. J’étais à Tultan Land avec Nathanaël et Slim. On s’est trop bien amusés ! Fais moi signe quand t’auras des infos. A + dans le bus !

Inès répond à ce message par un « A + » et range son téléphone dans sa poche. Alors qu’elle se met à révasser en regardant les alentours du grec, une voix grave attire son attention.

- Putain de sa mère ! Dire que j’aurais pu me faire un paquet de fric avec cette chèvre ! Mais il a rejeté ma proposition parce que je suis trop grand ! Comme si il était pas grand lui aussi ! C’est vraiment un chat-cré connard ce chat-pardeur !

« Il a bien dit « chat-pardeur » ?  »

Inès se dirige vers la voix d’un pas hésitant. Une fois à portée du client, elle prend une voix douce.

- Euh excuse moi, je peux te parler une minute ?
- Ouais ! Tu veux quoi ?
- Et bien…

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Point de vue de Célestine

Tamara vous emmène dans le jardin de sa maison, toujours avec ses mains sur vos yeux. Vous ne savez toujours pas ce qu’elle veut vous montrer.

- Alors Tam, tu veux me montrer quoi ? Il fait un peu froid dans le jardin.
- On y est. Attention… trois… deux… un !

Votre amie enlève ses mains de votre visage et vous montre une cabane en bois. Elle à l’air assez grande à l’intérieur pour que deux personnes puissent y entrer. Vous n’en croyez pas vos yeux.

- Mais non ? Notre cabane est toujours là ?
- Et comment qu’elle est toujours là ! Ça doit te rappeler tellement de souvenirs.
- J’te jure ! J’aimais tellement jouer avec toi dedans ! Je me rappelle encore des parties de monopoly avec tes peluches ! Et tu te souviens du faux casino ?
- Celui ou Pikachu faisait le croupier ? C’était trop bien, même si il trichait au blackjack. Et si on rentrait ?
- Ouais. J’ai tellement froid que je pourrais me transformer en glaçon si je reste ici.

Vous vous baissez pour entrer dans la cabane. À l’intérieur se trouve un tapis rose, des peluches entassées dans un coin ainsi qu’une petite radio avec lecteur CD sur le sol. Comme une vraie maison, la cabane possède des fenêtres avec des petits rideaux. Vu qu’il fait sombre, Tamara allume une petite bougie. L’ambiance est assez chaleureuse, même après toutes ces années ou vous n’êtes pas entrée dans la cabane.

- Ça n’a vraiment pas changé ici. On dirait une sorte de sanctuaire dédié à notre enfance. Et je suis surprise qu’on ait pu y rentrer comme ça aussi facilement. Je ne pensais pas que nos pères l’avaient faite aussi grande quand on était gamines.
- Tu m’étonnes ! Reste ici un moment je vais nous chercher des couvertures pour qu’on passe la nuit ici, comme ça j’en profiterai pour fermer la maison.
- Vas y princesse.

Tamara s’accroupit et sort de la cabane, vous laissant seule avec vos pensées.

« Bon bah j’ai une petite copine maintenant. Je sais que c’est un peu niais de penser ça mais j’aimerais que ça dure pour toujours. Et puis je n’imaginais pas à quel point ça pouvait être agréable d’aimer quelqu’un et de le toucher de façon amoureuse. C’est comme si je voyais la vie en rose. Mon dieu, mes joues doivent être super roses en ce moment… »

Tamara revient de la maison avec des couvertures et une petite boite transparente. Elle s’assoit près de vous et se colle à vous de façon affectueuse.

- J’ai appelé mes parents et ça ne les dérange pas qu’on passe la nuit ici.
- Super ! Ça va être comme à la bonne époque ! Celle ou on était des jeunes filles insouciantes qui voulaient juste s’amuser ensemble.
- Rectification : ça va être encore mieux qu’à la bonne époque.
- Ah ouais ?
- Attends je vais nous mettre dans l’ambiance. Heureusement que ma mère n’a pas jeté ce CD.

''Tamara ouvre le couvercle du lecteur CD et pose le disque à l’intérieur. Lorsque c’est fait, les premières notes de Ce soir du groupe français Kyo se font entendre. https://www.youtube.com/watch?v=azmlVr1gLhE''

- T’es sérieuse Tam ? Parmi tous les groupes que je t’ai fait découvrir tu choisis de mettre Kyo ?
- Ben c’est pas mauvais Kyo. Je trouve que leurs paroles sont assez profondes et leurs chansons bien produites.
- Ouais c’est vrai. Mais tu nous mets dans l’ambiance pour quoi au fait ?

Les joues de votre amie se mettent à rougir un peu plus. Pendant un court instant, celle-ci passe sa main dans ses cheveux et détourne le regard. La chanson donne une ambiance particulière à ce moment.

- Et bien… je me suis dit qu’on était parties sur de mauvaises bases la dernière fois.
- La dernière fois… tu veux dire quand tu m’as embrassée ?
- Oui. Je t’ai déjà présenté mes excuses mais je me rends compte que les mots seuls ne valent rien. L’amour est un artifice Célestine. Si on veut lui donner un sens, l’amour a besoin de choix.
- Et quel est le bon choix Eleanor Lamb ?
- Celui de bien faire les choses. Viens là ma belle.

Sur ces mots, Tamara se jette dans vos bras et vous embrasse sur la bouche. Cette fois ci les sentiments sont réciproques et vous acceptez son baiser sans broncher. Les sensations que vous ressentez sont encore plus agréables que celles d’un simple câlin. Vous n’êtes plus dégoûtée par le contact de vos lèvres et prenez même une petite initiative en caressant les cheveux de votre âme sœur qui fait de même avec vous. Les guitares brûlantes du refrain contribuent à l’atmosphère torride de ce baiser. Lorsque ces dernières s’arrêtent, Tamara se décolle de vous et semble fébrile.

- Alors ? Ç-ça te plait ?
- Oui. Ça me plait. C’est beaucoup plus agréable que la dernière fois. Tu sens si bon et ton toucher est doux. On recommence.
- Ok !

Vous reprenez le baiser, mais cette fois ci vous y mettez plus d’intensité, ce qui ne gêne pas Tamara. Bien au contraire. Cette dernière se met à caresser vos cheveux et vos joues avec passion, ce qui libère encore plus d’hormones positives dans tout votre corps et vous remplit d’une douce chaleur. Vous vous dites que c’est le genre d’instant qui devrait durer éternellement et mettez du cœur dans votre étreinte en la resserrant tout doucement. C’est là que vous sentez les mains de Tamara se promener sur votre corps, en particulier sur votre poitrine. Sur le moment ça ne vous dérange pas mais Tamara souhaite aller plus loin.

- Enlève mon t shirt… n’aie pas peur… c’est notre moment.

Tout en continuant de l’embrasser vous décidez d’agir en autopilote et d’enlever le haut de Tamara. Celle ci se met à glousser et à vous embrasser plus fort. Vous la laissez enlever votre t shirt comme vous avez enlevé le sien mais lorsqu’elle se met à toucher votre poitrine et à faire glisser ses mains vers votre dos, plus précisément au niveau de l’ouverture de votre soutien gorge, vous avez un mouvement de recul, ce qui la surprend.

- Cél ? Ça va ? J’ai fait un truc qu’il fallait pas ?
- Euh excuse moi Tam. C’est juste que… je ne me sens pas encore prête à… tu vois…
- A te mettre à nu ? À avoir des rapports sexuels ?
- Ouais… on est en couple que depuis quelques heures et je n’ai pas envie de brûler les étapes tu comprends ?
- T’inquiète pas Célestine. Je me suis encore laissée emporter. C’est très agréable de toucher tes seins néanmoins.
- C’est très sympa en effet. Mais arrêtons nous là, si ça ne te dérange pas. Une couche de vêtements en moins c’est déjà très bien pour une première fois.
- T’as raison. Et puis ton soutien gorge te va à ravir.
- Merci.

Vous saisissez l’instant en serrant Tamara dans vos bras et en l’embrassant tout en vous couchant sur le sol de la cabane Désormais c’est officiel : vous êtes en couple. Cette pensée vous fait sourire et vous donne l’impression qu’aucun cauchemar ne viendra gâcher cette nuit.

Point de vue de Benoît Sammair

Il est 21h30. Alors que le capitaine Comeau s’apprête à sortir du commissariat, Benoît court dans sa direction et se met à lui bloquer le passage.

- Euh capitaine ? Ça dérange quelqu’un si je reste un peu plus tard pour faire es recherches ?
- Ben j’imagine que non. Après tout, les ordis sont la pour ça. On se voit demain la bleusaille.
- A demain capitaine.

Une fois Bertrand parti, Benoît retourne dans le bureau et allume l’ordinateur. Après avoir entré ses identifiants, il ouvre le navigateur internet et commence à faire des recherches. Il décide dans un premier temps de se renseigner sur l’école du Feng Shui mais ne trouve pas son bonheur.

«  Tous ces articles datent d’il y a 3 ans. Ça ne m’aide pas du tout. Cherchons plutôt des infos sur cet enfoiré de Laurent…  »

Benoît tape ensuite les mots clés « Laurent Chamberlain école du feng shui » mais la recherche ne donne aucun résultat.

« Il n’y a même plus son profil Linkedin ! C’est incroyable, on dirait qu’il a réussi à effacer toutes les traces qu’il avait, comme il l’a fait avec la maison. Il ne me reste plus qu’une piste à explorer, c’est à dire la tienne… 
»

Après avoir pris une gorgée de son café, le jeune gardien de la paix tape sur son clavier le nom « Louison Tavernier ». Mais au moment ou il s’apprête à appuyer sur la touche entrée, une personne rentre dans le bureau et lui fait peur.

- Ben alors Benoît, on fait des heures sup ?
- Ah c’est toi Amélie ? Tu m’as fait peur.
- Excuse moi chouchou, ce n’était pas très délicat de ma part. J’aurais du frapper avant de m’inviter.
- C’est pas grave. Je pensais être seul ici mais ce n’est pas le cas.
- Je fais des heures sup moi aussi. J’enquête sur un vol qui a eu lieu dans plusieurs magasins de la ZAC mais je n’ai aucune idée de comment mettre la main sur ce voleur.
- Tu sais ce qui a été volé ?
- Beaucoup d’aliments, quelques outils de bricolage et même de la nourriture pour animaux. Je crois que du papier toilette à été volé aussi.
- Woaw. C’est un peu bizarre tout ça. J’espère que tu pourras trouver celui qui a fait ça.
- Merci Benoît, c’est gentil. Et sinon, c’est qui Louison Tavernier ?

Le visage de Benoît prend une teinte plus rose au moment ou le lieutenant Brasfort lui pose cette question.

- C’est euh… une amie qui a disparu.
- Oh je vois… et c’est pour elle que tu as rejoint la police ?
- Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
- Bah on a tous une raison de vouloir faire partie de quelque chose Ben. Je peux t’appeler Ben ?
- Si tu veux.
- Alors qu’est-ce que je te disais ? Ah oui, on a tous une raison pour faire partie de quelque chose. Ça peut être la survie, une envie personnelle ou encore l’envie de ne pas rester seul. Des trucs comme ça. Le capitaine DeFleur a rejoint la police pour protéger sa fille, tandis que moi je l’ai fait pour réaliser un rêve de gosse, auquel personne ne croyait à part moi. Et toi Ben ? Pourquoi as tu rejoint la police ? Est-ce pour retrouver Louison ? Ou alors parce que c’est la seule option qui t’es venue à l’esprit après le lycée ? Je suis curieuse de le savoir.
- Et bien… t’as raison Amélie. J’ai passé le concours pour avoir une chance de retrouver mon amie. Mais si t’es vraiment curieuse, je peux te raconter toute mon histoire et ainsi te faire connaître tous les petits détails qui m’ont menés ici, au commissariat d’Ennui-Sur-Mer.
- Vas y Benoît. Raconte moi tout.
- Ok. On t’a peut être dit que j’ai d’abord été affecté à Etretat avant d’être muté ici.
- Ouais.
- Ben c’est la vérité. Mais mon histoire commence ici, à Ennui-Sur-Mer. Accroche toi bien, ça va être long.

Bienvenue sur le topic de la fic Célestin et Célestine ! Dans cette fic à choix vous incarnez Célestin et Célestine, deux adolescents qui tentent de changer l'avenir afin d'éviter des catastrophes et qui s'embarquent malgré eux dans des situations folles. Au programme : Action, aventure, surnaturel, humour, personnages hauts en couleur et bien plus encore ! Installez vous bien et utilisez le sommaire ci-dessous afin de rattraper la fic !

SOMMAIRE DE LA FIC CELESTIN ET CELESTINE

Arc 1 : Que le spectacle commence

Arc 2

Divers :

Tamara elle a plus le temps

On sent bien que Célestine était son obsession

Bon sinon on va enfin en apprendre un peu plus sur ce bon vieux Flic Benoit !

Le 06 janvier 2025 à 20:36:29 :
Tamara elle a plus le temps

On sent bien que Célestine était son obsession

Bon sinon on va enfin en apprendre un peu plus sur ce bon vieux Flic Benoit !

Vous n'êtes pas pret pour la backstory de Benoît, je ne vais pas vous spoiler mais la vie n'a pas été tendre avec lui

Le 07 janvier 2025 à 13:55:01 :
La fucksession prochain chapitre ?

Malheureusement non le prochain chapitre sera un gros flash-back sur Benoît

Mais si vous faites les bons choix ce sera peut-être possible mais pas pour tout de suite, Tam et Célestine viennent de se mettre en couple après tout

Le 07 janvier 2025 à 13:55:01 Celestin_tarax a écrit :
La fucksession prochain chapitre ?

Je crois qu'elles sont encore mineures il me semble

Le 07 janvier 2025 à 18:35:22 :

Le 07 janvier 2025 à 13:55:01 Celestin_tarax a écrit :
La fucksession prochain chapitre ?

Je crois qu'elles sont encore mineures il me semble

Le 09 janvier 2025 à 01:11:44 :
Il va falloir poser des congés pour lire la suite

En vrai je pense que j'en vois le bout
J'espère que ça va faire 35k kas histoire que le découpage soit simple mais j'ai quand même envie de pondre une bonne sweet

Le 09 janvier 2025 à 01:18:13 :

Le 09 janvier 2025 à 01:11:44 :
Il va falloir poser des congés pour lire la suite

En vrai je pense que j'en vois le bout
J'espère que ça va faire 35k kas histoire que le découpage soit simple mais j'ai quand même envie de pondre une bonne sweet

Publius a raison en fait, va falloir poser des congés pour la lecture
Mais j'ai enfin terminé la rédaction. Je voulais que le chapitre fasse 35k kas, au final il en fait 37k