Je suis marxiste, mais je vais vendre mon âme

J'ai un problème sémantique avec les abstractions populaires de Marx, que ce soit en image et en musique dans la pensée et je pense que c'est la plus grosse raison du déclin de ses idées hors mis l'anthropomorphisme flagrant du travail-matière pensant à la place de l'individu et qui se retrouve dans la comparaison des marchandises pour son droit égal, l'occultation de la durée, des fonctions organiques, des moyens de mesure psycho-physiologiques, encore toujours cette idée hégélienne ~~, le calcul industrieux de la fleur qui n'existe que dans sa conscience en soi et non pas dans la détermination, un calcul glacial de la vie, sinon j'aime beaucoup les sources historiques que fournissent le capital, c'est une bonne histoire d'horreur à lire le soir avant de dormir, sinon peut-être penser à prendre un métier avec moins de responsabilités et moins d'heures même avec moins de biens on reste bourgeois dans son coeur.

Ça permet de mettre en contradiction ses conceptions métaphysiques de la nature et de l'histoire.

D’ailleurs Dostoïevski à formuler la critique parfaite
de système idéaliste tel le communisme.

Dans son roman les carnets du sous sol il dit je cite
” le vouloir est la traduction même de la vie tout entière”.

Et le vouloir l’emporte au dessus de la raison. Ici cette raison pourrait être le communisme.

Une idéologie qui paraît idéal sur le papier.
Une idéologie, qui sert de guide afin de délivrer l’homme de la souffrance lié à l’existence.

Or quel est le problème de l’homme ?

Et bien l’homme cherche à “se convaincre vraiment qu’il est un homme et pas une touche de piano”.

Vous avez beau offrir à l’homme un guide, un ensemble d’action a entreprendre pour atteindre ce qui est l’équivalent du paradis sur Terre.

Et bien il “inventera la destruction et le chaos, il inventera toutes sortes de souffrances, et il la soutiendra, sa position !”

Mais pourquoi détruire ce système idéal ? Et pour soutenir quelle position ?

Et bien il cherche à prouver “à chaque instant qu’il est un homme et pas une goupille d’orgue!”.

L’homme cherche à affirmer sa liberté, sa volonté. Une caractéristique qui le distingue de l’animal qui obéit a ses instincts et dont il est fier. Car elle est son bien le plus précieux.

L’homme ne veut pas être instrumentalisé contrairement à l’orgue. Il veut jouer sa propre partition.

Et il rejettera tout système qui chercherait à lui imposer les clés pour être heureux. Pour affirmer cette liberté.

Pour ça il est prêt à tous sacrifier et même ce qui pourrait servir ces intérêt.

Comme le dit très bien Dostoïevski:

“Couvez-le de tous les biens du monde, noyez-le dans le bonheur la tête la première, pour qu’il ne reste que des petites bulles à glouglouter à la surface de ce bonheur, comme sur une mare ; donnez-lui une suffisance économique telle qu’il ne lui reste absolument plus rien à faire, sinon dormir, manger de la brioche et s’agiter, l’histoire du monde ne s’arrête pas - lui, l’homme, je veux dire, une seconde plus tard, par pure ingratitude, par pur désir de nuire, il vous fera une entourloupe.”

Tous ça pour quoi ? Pour excercer son droit à la liberté, sa volonté. Il ne veut pas que les conditions de son bonheur et de son existence soit déterminer par autrui.

Le 20 juillet 2023 à 23:28:14 :
D’ailleurs Dostoïevski à formuler la critique parfaite
de système idéaliste tel le communisme.

Dans son roman les carnets du sous sol il dit je cite
” le vouloir est la traduction même de la vie tout entière”.

Et le vouloir l’emporte au dessus de la raison. Ici cette raison pourrait être le communisme.

Une idéologie qui paraît idéal sur le papier.
Une idéologie, qui sert de guide afin de délivrer l’homme de la souffrance lié à l’existence.

Or quel est le problème de l’homme ?

Et bien l’homme cherche à “se convaincre vraiment qu’il est un homme et pas une touche de piano”.

Vous avez beau offrir à l’homme un guide, un ensemble d’action a entreprendre pour atteindre ce qui est l’équivalent du paradis sur Terre.

Et bien il “inventera la destruction et le chaos, il inventera toutes sortes de souffrances, et il la soutiendra, sa position !”

Mais pourquoi détruire ce système idéal ? Et pour soutenir quelle position ?

Et bien il cherche à prouver “à chaque instant qu’il est un homme et pas une goupille d’orgue!”.

L’homme cherche à affirmer sa liberté, sa volonté. Une caractéristique qui le distingue de l’animal qui obéit a ses instincts et dont il est fier. Car elle est son bien le plus précieux.

L’homme ne veut pas être instrumentalisé contrairement à l’orgue. Il veut jouer sa propre partition.

Et il rejettera tout système qui chercherait à lui imposer les clés pour être heureux. Pour affirmer cette liberté.

Pour ça il est prêt à tous sacrifier et même ce qui pourrait servir ces intérêt.

Comme le dit très bien Dostoïevski:

“Couvez-le de tous les biens du monde, noyez-le dans le bonheur la tête la première, pour qu’il ne reste que des petites bulles à glouglouter à la surface de ce bonheur, comme sur une mare ; donnez-lui une suffisance économique telle qu’il ne lui reste absolument plus rien à faire, sinon dormir, manger de la brioche et s’agiter, l’histoire du monde ne s’arrête pas - lui, l’homme, je veux dire, une seconde plus tard, par pure ingratitude, par pur désir de nuire, il vous fera une entourloupe.”

Tous ça pour quoi ? Pour excercer son droit à la liberté, sa volonté. Il ne veut pas que les conditions de son bonheur et de son existence soit déterminer par autrui.

L'homme peut aussi prendre conscience que pour être libre il peut s'imposer un cadre, genre interdire la clope dans les lieux publics clos c'est une contrainte mais globalement aujourd'hui on est à peu près tous ok avec ça. De la même manière on peut capter que certaines "libertés" n'en sont pas vu qu'elles nous foutent collectivement et individuellement dans la merde. Penser que l'homme est condamné à enfreindre les règles qu'il se donne, c'est justement l'inscrire dans un déterminisme et le condamner à ne pas être libre.

Le 20 juillet 2023 à 23:48:36 :
Ça n'a pas de sens, tu ne peux pas etre marxiste et avoir une âme.

Par contre oui, vendre ce que tu n'a pas c'est totalement capitaliste !

L’homme est justement déterminer du point de vue de Dostoëivski. Ou du moins de son personnage.

Il ne peut pas échapper à sa nature. Et sa liberté fait partie de sa nature. Ce point de vue est contraire à l’existentialisme qui pense que l’homme se définit lui même.

Dans son œuvre, l’auteur dénonce le principal trait mais aussi travers de la nature humaine.

Et je trouve ça plutôt vrai. Par exemple pour quoi à tu désobéis à certaines règles à l’école ou de tes parents.

Parce que parfois elle te semblait oppressante et contraire à ta liberté. Elle pouvait être dans ton intérêt et celles des autre. Mais tu a désobéis.

Notre société aujourd’hui , la démocratie et le libéralisme donne a l’homme un semblant de liberté. Elle lui donne l’impression qu’il a une emprise sur sa condition. C’est pour cela qu’il ne fait pas de remous.

Mais des systèmes comme le communisme sont contraignant car il l’oblige à suivre des règles pour atteindre un certains objectif. Qui semble être dans on intérêt mais l’empêche d’exprimer pleinement sa volonté.