[ANECDOTES] Vos anecdotes avec les meufs les plus MALAISANTES

Le 21 mai 2023 à 20:50:58 :
Je refais un topic spé anecdotes malaisantes parce que l'autre était un peu trop dispersé.

Balancez vos meilleures expériences.

Je vous attends je dois pas être le seul clown du forum.

Une meuf en boite quand j'avais 21 ans...
Je sort avec mon pote et sa pote meuf ( Lili) on fait un petit tour à l'intérieur il devait être 23H00 on rigole bien, bon délire, bon ambiance...
Là arrive les potes de la meufs: Clara une meuf méga bonne mais déjà prise et Cindy moyenne mais avec des gros seins.
Cindy me lâche pas , elle est un peu bourré, mon pote me file des capotes donc on va dans les toilettes, elle est hyper suiveuse.
Elle descend mon fute pour me tailler une pipe...j'ai craché dans sa bouche au bout de 1minute , j'ai eu du mal à la baiser j'arrivais pas à bander...
On ressort des chiottes un peu gênée, mon pote me regarde en mode t'es un champion, sa pote comprend pas trop.
vers 1H00 elle raconte tout à sa pote et elle vrille complet elle est bourré elle me dit "t''es incapable de me baiser" donc je me tape la honte, mais apparement elle a tout raconté à sa copine sauf la pipe...
Elles étaient en train de se rouler des pelles sur un des canap de la boite juste après ça

Le 21 mai 2023 à 21:09:37 :

Le 21 mai 2023 à 21:07:37 :
Je me suis barre quand j'ai entendu au téléphone qu un des gamins avait demande à sa mère si je voulais être son nouveau papa. J ai direct bloqué la meuf. Plus jamais ces applis de merde.

Triste en vrai

Le 21 mai 2023 à 21:07:51 :
Putain je chiale de rire l'autre qui parle de soupe lyophilisée à son date

Elle a décliné quand je lui ai dit que je lui ferais un bon petit repas à la maison en plus

Souped

respect d'avoir voulu retenté avec la fille, certes parfois la glace a besoin de plus de temps pour se briser selon les personnes, mais apres un date catastrophique de ce type perso j'aurai jamais eu le courage d'aborder encore la meuf (meme si elle était en "tord'" aussi), dans le sens je veux que ce soit oublié à tout jamais

et puis voila si ya pas de complicité ca sert à rien de forcer, meme si encore une fois l'alcool peut aider ou + de temps

Le 21 mai 2023 à 21:34:46 :

Le 21 mai 2023 à 21:24:36 :

Le 21 mai 2023 à 21:21:28 :

Le 21 mai 2023 à 21:19:04 :
Up

AYAAAAAAAAAAAAA Piou piou VDD

Pourquoi t'as jamais revu de meuf depuis ?

desco + asocial + tu parle trop bas on entend rien + phasme + low qi + moche + rsa

Le fameux "tu parles trop bas"

Moi dès qu'il y a de la musique j'ai l'impression que je perds la capacité d'être audible.

Je dois forcer à mort sur ma voix je sais pas pourquoi.

Bon aller cette fois je parle bien fort et je dis "Bonjour je voudrais une baguette s'il vous plait"

- Une tranche de tarte je vous prie

- Tout de suite

- Dites, c'est qu'ils font du bruit dans le bar enfance de votre enseigne

- Hin hin, ça c'est sûr qu'ils ne s'arrête pas

bonjour une baguette s'il vous plait, bonjour une baguette s'il vous plait, bonjour...

- Tenez, ça sera tout ?

- Oui, merci beaucoup mademoiselle, au revoir

- euh, bonjou-..

- Au revoir bonne journée à vous

-

- uhmm, bonjour ça sera heu, une baguette s'il vous plait

- Excusez moi, une baguette c'est bien ça ?

- ah, oui une baguette

Bon alors je prend l'argent dans ma main puis après je prendrais la bague-

- Et avec ceci ?

- tene.. ah heu oui a sera tout hinhin hin

- j'ai pas de pièce désolemner... tousse

- Tenez bonne journée au revoir monsieur

- Merc.. euh au revoir, à vous aussi

Presque parfait putain...

Aya pareil

Plus je me concentre devant la meuf pour pas faire une connerie plus je la fais.

Parler correctement : "Bonjour euh ça ... Bo.. va ça ? Comment ?"

Servir de l'eau correctement, bah non je renverse.

Mettre mon manteau en un coup. Hop je me chie et je fais tomber mon portable.

Le 21 mai 2023 à 21:34:48 :

Le 21 mai 2023 à 20:50:58 :
Je refais un topic spé anecdotes malaisantes parce que l'autre était un peu trop dispersé.

Balancez vos meilleures expériences.

Je vous attends je dois pas être le seul clown du forum.

Une meuf en boite quand j'avais 21 ans...
Je sort avec mon pote et sa pote meuf ( Lili) on fait un petit tour à l'intérieur il devait être 23H00 on rigole bien, bon délire, bon ambiance...
Là arrive les potes de la meufs: Clara une meuf méga bonne mais déjà prise et Cindy moyenne mais avec des gros seins.
Cindy me lâche pas , elle est un peu bourré, mon pote me file des capotes donc on va dans les toilettes, elle est hyper suiveuse.
Elle descend mon fute pour me tailler une pipe...j'ai craché dans sa bouche au bout de 1minute , j'ai eu du mal à la baiser j'arrivais pas à bander...
On ressort des chiottes un peu gênée, mon pote me regarde en mode t'es un champion, sa pote comprend pas trop.
vers 1H00 elle raconte tout à sa pote et elle vrille complet elle est bourré elle me dit "t''es incapable de me baiser" donc je me tape la honte, mais apparement elle a tout raconté à sa copine sauf la pipe...
Elles étaient en train de se rouler des pelles sur un des canap de la boite juste après ça

Attends les meufs se roulaient des pelles après ? Chaud

Et puis elle s'attendait à ce que tu la rebaise alors que tu avais déjà giclé ? Et que t'avais bu ?

Elle voulait une machine en fait.

Aya tu devais te sentir tellement mal quand tu essayais de la prendre en leuleu.

Après c'est le cercle vicieux de la débande c'est fini.

Contexte : Fin de prépa littéraire, classe avec 80% de filles. Moi je n'ai jamais eu de copines (au mieux des coups d'un soir en soirée) et j'aurais vendu père, mère et tout le tralala pour me caser avec une gourgandine de prépa littéraire. A la soirée de fin d'année, je m'incruste dans un groupe de filles (je les connais déjà, ce sont mes camarades).

Elles parlent de leurs vies sentimentales. L'une d'elle avec qui j'avais un peu sympathisé dans l'année - elle appréciait mon humour en classe - lance soudain dans la conversation :

- Moi j'attends beaucoup de l'année prochaine à la fac pour me trouver un petit copain, en prépa on est pas assez nombreux, il n'y a AUCUN mec dispo

Ca m'a surpris qu'elle dise ça parce que je pensais vraiment qu'elle était en couple, elle était plutôt mignonne et ne semblait pas vraiment chercher l'attention des hommes. Franchement je vais pas le cacher, elle me plaisait beaucoup. J'étais pas amoureux d'elle parce qu'on se connaissait pas assez mais j'aurais tout donné pour passer la nuit avec, et plus si affinité. Elle était grande, avait un visage blanc et maigre remplit par deux grands yeux d'enfants qui me faisaient fondre le coeur quand elle daignait jeter un regard serein et fier sur moi. Dans un élan de courage j'osais prendre le risque de lui répondre :

- Bah... si... il... il y a des mecs disponibles en prépa... comme moi par exemple

Elle se tourne alors vers moi, étonnée pendant une fraction de seconde, avant de répondre, dans un éclat de rire, sans qu'aucune méchanceté ne transparaisse dans sa voix, ce que lui dictait le commandement impérieux de son ventre, la loi implacable de l'espèce :
- Nan mais toi, Nid-go (prénom) c'est pas pareil... ça ne compte pas...
- ...

Rarement senti un sentiment d'émasculation aussi puissant. La manière qu'elle avait eu de prononcer ces mots était à peine croyable : sans pudeur mais sans perfidie, elle mortellement blessé sans un effort, sans même y penser, la virilité d'un jeune homme à jamais hanté de ces mots si cruels, si coupables prononcés d'un air si doux, si innocent.

Bien sûr les autres filles du groupe ont pouffé de rire
Et je me suis éclipsé très vite après ce qu'il faut bien qualifier de sévère humiliation.

Le 21 mai 2023 à 22:01:02 Nid-go a écrit :
Contexte : Fin de prépa littéraire, classe avec 80% de filles. Moi je n'ai jamais eu de copines (au mieux des coups d'un soir en soirée) et j'aurais vendu père, mère et tout le tralala pour me caser avec une gourgandine de prépa littéraire. A la soirée de fin d'année, je m'incruste dans un groupe de filles (je les connais déjà, ce sont mes camarades).

Elles parlent de leurs vies sentimentales. L'une d'elle avec qui j'avais un peu sympathisé dans l'année - elle appréciait mon humour en classe - lance soudain dans la conversation :

- Moi j'attends beaucoup de l'année prochaine à la fac pour me trouver un petit copain, en prépa on est pas assez nombreux, il n'y a AUCUN mec dispo

Ca m'a surpris qu'elle dise ça parce que je pensais vraiment qu'elle était en couple, elle était plutôt mignonne et ne semblait pas vraiment chercher l'attention des hommes. Franchement je vais pas le cacher, elle me plaisait beaucoup. J'étais pas amoureux d'elle parce qu'on se connaissait pas assez mais j'aurais tout donné pour passer la nuit avec, et plus si affinité. Elle était grande, avait un visage blanc et maigre remplit par deux grands yeux d'enfants qui me faisaient fondre le coeur quand elle daignait jeter un regard serein et fier sur moi. Dans un élan de courage j'osais prendre le risque de répondre lui répondre :

- Bah... si... il... il y a des mecs disponibles en prépa... comme moi par exemple

Elle se tourne alors vers moi, étonnée pendant une fraction de seconde, avant de répondre, dans un éclat de rire, sans qu'aucune méchanceté ne transparaisse dans sa voix, ce que lui dictait le commandement impérieux de son ventre, la loi implacable de l'espère :
- Nan mais toi, Nid-go (prénom) c'est pas pareil... ça ne compte pas...
- ...

Rarement senti un sentiment d'émasculation aussi puissant. La manière qu'elle avait eu de prononcer ces mots était à peine croyable : sans pudeur mais sans perfidie, elle mortellement blessé sans un effort, sans même y penser, la virilité d'un jeune homme à jamais hanté de ces mots si cruels, si coupables prononcés d'un air si doux, si innocent.

Bien sûr les autres filles du groupe ont pouffé de rire
Et je me suis éclipsé très vite après ce qu'il faut bien qualifier de sévère humiliation.

Oh dur mon khey

Le 21 mai 2023 à 22:01:48 :
j'ai mis 40mn a écrire un pavé boulangerie et l'op me répond en trois ligne

Aya mais je suis pas le seul à lire le topic non ?

Le 21 mai 2023 à 22:03:16 :

Le 21 mai 2023 à 22:01:48 :
j'ai mis 40mn a écrire un pavé boulangerie et l'op me répond en trois ligne

Aya mais je suis pas le seul à lire le topic non ?

Tu es ma foi le seul à répondre à mes posts

Le 21 mai 2023 à 22:02:27 :

Le 21 mai 2023 à 22:01:02 Nid-go a écrit :
Contexte : Fin de prépa littéraire, classe avec 80% de filles. Moi je n'ai jamais eu de copines (au mieux des coups d'un soir en soirée) et j'aurais vendu père, mère et tout le tralala pour me caser avec une gourgandine de prépa littéraire. A la soirée de fin d'année, je m'incruste dans un groupe de filles (je les connais déjà, ce sont mes camarades).

Elles parlent de leurs vies sentimentales. L'une d'elle avec qui j'avais un peu sympathisé dans l'année - elle appréciait mon humour en classe - lance soudain dans la conversation :

- Moi j'attends beaucoup de l'année prochaine à la fac pour me trouver un petit copain, en prépa on est pas assez nombreux, il n'y a AUCUN mec dispo

Ca m'a surpris qu'elle dise ça parce que je pensais vraiment qu'elle était en couple, elle était plutôt mignonne et ne semblait pas vraiment chercher l'attention des hommes. Franchement je vais pas le cacher, elle me plaisait beaucoup. J'étais pas amoureux d'elle parce qu'on se connaissait pas assez mais j'aurais tout donné pour passer la nuit avec, et plus si affinité. Elle était grande, avait un visage blanc et maigre remplit par deux grands yeux d'enfants qui me faisaient fondre le coeur quand elle daignait jeter un regard serein et fier sur moi. Dans un élan de courage j'osais prendre le risque de répondre lui répondre :

- Bah... si... il... il y a des mecs disponibles en prépa... comme moi par exemple

Elle se tourne alors vers moi, étonnée pendant une fraction de seconde, avant de répondre, dans un éclat de rire, sans qu'aucune méchanceté ne transparaisse dans sa voix, ce que lui dictait le commandement impérieux de son ventre, la loi implacable de l'espère :
- Nan mais toi, Nid-go (prénom) c'est pas pareil... ça ne compte pas...
- ...

Rarement senti un sentiment d'émasculation aussi puissant. La manière qu'elle avait eu de prononcer ces mots était à peine croyable : sans pudeur mais sans perfidie, elle mortellement blessé sans un effort, sans même y penser, la virilité d'un jeune homme à jamais hanté de ces mots si cruels, si coupables prononcés d'un air si doux, si innocent.

Bien sûr les autres filles du groupe ont pouffé de rire
Et je me suis éclipsé très vite après ce qu'il faut bien qualifier de sévère humiliation.

Oh dur mon khey

ça comptepasED

POUFAIDE

Dis moi qu'après t'as su rebondir ?

Franchement tu as dû te faire plein de contacts non dans cet univers féminin ???

Tu as eu des messages de gourgandines à 4h du mat "J'ai chaud Nid-Go montre moi ton gros logos "

Hein hein hein ?

Le 21 mai 2023 à 22:02:27 :

Le 21 mai 2023 à 22:01:02 Nid-go a écrit :
Contexte : Fin de prépa littéraire, classe avec 80% de filles. Moi je n'ai jamais eu de copines (au mieux des coups d'un soir en soirée) et j'aurais vendu père, mère et tout le tralala pour me caser avec une gourgandine de prépa littéraire. A la soirée de fin d'année, je m'incruste dans un groupe de filles (je les connais déjà, ce sont mes camarades).

Elles parlent de leurs vies sentimentales. L'une d'elle avec qui j'avais un peu sympathisé dans l'année - elle appréciait mon humour en classe - lance soudain dans la conversation :

- Moi j'attends beaucoup de l'année prochaine à la fac pour me trouver un petit copain, en prépa on est pas assez nombreux, il n'y a AUCUN mec dispo

Ca m'a surpris qu'elle dise ça parce que je pensais vraiment qu'elle était en couple, elle était plutôt mignonne et ne semblait pas vraiment chercher l'attention des hommes. Franchement je vais pas le cacher, elle me plaisait beaucoup. J'étais pas amoureux d'elle parce qu'on se connaissait pas assez mais j'aurais tout donné pour passer la nuit avec, et plus si affinité. Elle était grande, avait un visage blanc et maigre remplit par deux grands yeux d'enfants qui me faisaient fondre le coeur quand elle daignait jeter un regard serein et fier sur moi. Dans un élan de courage j'osais prendre le risque de répondre lui répondre :

- Bah... si... il... il y a des mecs disponibles en prépa... comme moi par exemple

Elle se tourne alors vers moi, étonnée pendant une fraction de seconde, avant de répondre, dans un éclat de rire, sans qu'aucune méchanceté ne transparaisse dans sa voix, ce que lui dictait le commandement impérieux de son ventre, la loi implacable de l'espère :
- Nan mais toi, Nid-go (prénom) c'est pas pareil... ça ne compte pas...
- ...

Rarement senti un sentiment d'émasculation aussi puissant. La manière qu'elle avait eu de prononcer ces mots était à peine croyable : sans pudeur mais sans perfidie, elle mortellement blessé sans un effort, sans même y penser, la virilité d'un jeune homme à jamais hanté de ces mots si cruels, si coupables prononcés d'un air si doux, si innocent.

Bien sûr les autres filles du groupe ont pouffé de rire
Et je me suis éclipsé très vite après ce qu'il faut bien qualifier de sévère humiliation.

Oh dur mon khey

Ouais dur. J'ai encore un peu du mal à y repenser. En plus je venais d'avoir de bons résultats aux concours, je pensais être le king de la soirée. Ca m'a

Le 21 mai 2023 à 22:06:19 Nid-go a écrit :

Le 21 mai 2023 à 22:02:27 :

Le 21 mai 2023 à 22:01:02 Nid-go a écrit :
Contexte : Fin de prépa littéraire, classe avec 80% de filles. Moi je n'ai jamais eu de copines (au mieux des coups d'un soir en soirée) et j'aurais vendu père, mère et tout le tralala pour me caser avec une gourgandine de prépa littéraire. A la soirée de fin d'année, je m'incruste dans un groupe de filles (je les connais déjà, ce sont mes camarades).

Elles parlent de leurs vies sentimentales. L'une d'elle avec qui j'avais un peu sympathisé dans l'année - elle appréciait mon humour en classe - lance soudain dans la conversation :

- Moi j'attends beaucoup de l'année prochaine à la fac pour me trouver un petit copain, en prépa on est pas assez nombreux, il n'y a AUCUN mec dispo

Ca m'a surpris qu'elle dise ça parce que je pensais vraiment qu'elle était en couple, elle était plutôt mignonne et ne semblait pas vraiment chercher l'attention des hommes. Franchement je vais pas le cacher, elle me plaisait beaucoup. J'étais pas amoureux d'elle parce qu'on se connaissait pas assez mais j'aurais tout donné pour passer la nuit avec, et plus si affinité. Elle était grande, avait un visage blanc et maigre remplit par deux grands yeux d'enfants qui me faisaient fondre le coeur quand elle daignait jeter un regard serein et fier sur moi. Dans un élan de courage j'osais prendre le risque de répondre lui répondre :

- Bah... si... il... il y a des mecs disponibles en prépa... comme moi par exemple

Elle se tourne alors vers moi, étonnée pendant une fraction de seconde, avant de répondre, dans un éclat de rire, sans qu'aucune méchanceté ne transparaisse dans sa voix, ce que lui dictait le commandement impérieux de son ventre, la loi implacable de l'espère :
- Nan mais toi, Nid-go (prénom) c'est pas pareil... ça ne compte pas...
- ...

Rarement senti un sentiment d'émasculation aussi puissant. La manière qu'elle avait eu de prononcer ces mots était à peine croyable : sans pudeur mais sans perfidie, elle mortellement blessé sans un effort, sans même y penser, la virilité d'un jeune homme à jamais hanté de ces mots si cruels, si coupables prononcés d'un air si doux, si innocent.

Bien sûr les autres filles du groupe ont pouffé de rire
Et je me suis éclipsé très vite après ce qu'il faut bien qualifier de sévère humiliation.

Oh dur mon khey

Ouais dur. J'ai encore un peu du mal à y repenser. En plus je vena

T'as rebondi depuis ?

Le 21 mai 2023 à 22:06:19 :

Le 21 mai 2023 à 22:02:27 :

Le 21 mai 2023 à 22:01:02 Nid-go a écrit :
Contexte : Fin de prépa littéraire, classe avec 80% de filles. Moi je n'ai jamais eu de copines (au mieux des coups d'un soir en soirée) et j'aurais vendu père, mère et tout le tralala pour me caser avec une gourgandine de prépa littéraire. A la soirée de fin d'année, je m'incruste dans un groupe de filles (je les connais déjà, ce sont mes camarades).

Elles parlent de leurs vies sentimentales. L'une d'elle avec qui j'avais un peu sympathisé dans l'année - elle appréciait mon humour en classe - lance soudain dans la conversation :

- Moi j'attends beaucoup de l'année prochaine à la fac pour me trouver un petit copain, en prépa on est pas assez nombreux, il n'y a AUCUN mec dispo

Ca m'a surpris qu'elle dise ça parce que je pensais vraiment qu'elle était en couple, elle était plutôt mignonne et ne semblait pas vraiment chercher l'attention des hommes. Franchement je vais pas le cacher, elle me plaisait beaucoup. J'étais pas amoureux d'elle parce qu'on se connaissait pas assez mais j'aurais tout donné pour passer la nuit avec, et plus si affinité. Elle était grande, avait un visage blanc et maigre remplit par deux grands yeux d'enfants qui me faisaient fondre le coeur quand elle daignait jeter un regard serein et fier sur moi. Dans un élan de courage j'osais prendre le risque de répondre lui répondre :

- Bah... si... il... il y a des mecs disponibles en prépa... comme moi par exemple

Elle se tourne alors vers moi, étonnée pendant une fraction de seconde, avant de répondre, dans un éclat de rire, sans qu'aucune méchanceté ne transparaisse dans sa voix, ce que lui dictait le commandement impérieux de son ventre, la loi implacable de l'espère :
- Nan mais toi, Nid-go (prénom) c'est pas pareil... ça ne compte pas...
- ...

Rarement senti un sentiment d'émasculation aussi puissant. La manière qu'elle avait eu de prononcer ces mots était à peine croyable : sans pudeur mais sans perfidie, elle mortellement blessé sans un effort, sans même y penser, la virilité d'un jeune homme à jamais hanté de ces mots si cruels, si coupables prononcés d'un air si doux, si innocent.

Bien sûr les autres filles du groupe ont pouffé de rire
Et je me suis éclipsé très vite après ce qu'il faut bien qualifier de sévère humiliation.

Oh dur mon khey

Ouais dur. J'ai encore un peu du mal à y repenser. En plus je venais d'avoir de bons résultats aux concours, je pensais être le king de la soirée. Ca m'a

T'es prof maintenant ?

Tu travailles dans la finance ?

Tu es journaliste dans un grand journal ?

Tu as pu te venger de cette humiliation en prenant la revanche sur la vie ?

Le 21 mai 2023 à 22:09:22 :

Le 21 mai 2023 à 22:06:19 :

Le 21 mai 2023 à 22:02:27 :

Le 21 mai 2023 à 22:01:02 Nid-go a écrit :
Contexte : Fin de prépa littéraire, classe avec 80% de filles. Moi je n'ai jamais eu de copines (au mieux des coups d'un soir en soirée) et j'aurais vendu père, mère et tout le tralala pour me caser avec une gourgandine de prépa littéraire. A la soirée de fin d'année, je m'incruste dans un groupe de filles (je les connais déjà, ce sont mes camarades).

Elles parlent de leurs vies sentimentales. L'une d'elle avec qui j'avais un peu sympathisé dans l'année - elle appréciait mon humour en classe - lance soudain dans la conversation :

- Moi j'attends beaucoup de l'année prochaine à la fac pour me trouver un petit copain, en prépa on est pas assez nombreux, il n'y a AUCUN mec dispo

Ca m'a surpris qu'elle dise ça parce que je pensais vraiment qu'elle était en couple, elle était plutôt mignonne et ne semblait pas vraiment chercher l'attention des hommes. Franchement je vais pas le cacher, elle me plaisait beaucoup. J'étais pas amoureux d'elle parce qu'on se connaissait pas assez mais j'aurais tout donné pour passer la nuit avec, et plus si affinité. Elle était grande, avait un visage blanc et maigre remplit par deux grands yeux d'enfants qui me faisaient fondre le coeur quand elle daignait jeter un regard serein et fier sur moi. Dans un élan de courage j'osais prendre le risque de répondre lui répondre :

- Bah... si... il... il y a des mecs disponibles en prépa... comme moi par exemple

Elle se tourne alors vers moi, étonnée pendant une fraction de seconde, avant de répondre, dans un éclat de rire, sans qu'aucune méchanceté ne transparaisse dans sa voix, ce que lui dictait le commandement impérieux de son ventre, la loi implacable de l'espère :
- Nan mais toi, Nid-go (prénom) c'est pas pareil... ça ne compte pas...
- ...

Rarement senti un sentiment d'émasculation aussi puissant. La manière qu'elle avait eu de prononcer ces mots était à peine croyable : sans pudeur mais sans perfidie, elle mortellement blessé sans un effort, sans même y penser, la virilité d'un jeune homme à jamais hanté de ces mots si cruels, si coupables prononcés d'un air si doux, si innocent.

Bien sûr les autres filles du groupe ont pouffé de rire
Et je me suis éclipsé très vite après ce qu'il faut bien qualifier de sévère humiliation.

Oh dur mon khey

Ouais dur. J'ai encore un peu du mal à y repenser. En plus je venais d'avoir de bons résultats aux concours, je pensais être le king de la soirée. Ca m'a

T'es prof maintenant ?

Tu travailles dans la finance ?

Tu es journaliste dans un grand journal ?

Tu as pu te venger de cette humiliation en prenant la revanche sur la vie ?

Je suis encore étudiant dans une grande école. C'est encore une humiliation toute fraîche ayaaaa

Le 21 mai 2023 à 22:11:19 :

Le 21 mai 2023 à 22:09:22 :

Le 21 mai 2023 à 22:06:19 :

Le 21 mai 2023 à 22:02:27 :

Le 21 mai 2023 à 22:01:02 Nid-go a écrit :
Contexte : Fin de prépa littéraire, classe avec 80% de filles. Moi je n'ai jamais eu de copines (au mieux des coups d'un soir en soirée) et j'aurais vendu père, mère et tout le tralala pour me caser avec une gourgandine de prépa littéraire. A la soirée de fin d'année, je m'incruste dans un groupe de filles (je les connais déjà, ce sont mes camarades).

Elles parlent de leurs vies sentimentales. L'une d'elle avec qui j'avais un peu sympathisé dans l'année - elle appréciait mon humour en classe - lance soudain dans la conversation :

- Moi j'attends beaucoup de l'année prochaine à la fac pour me trouver un petit copain, en prépa on est pas assez nombreux, il n'y a AUCUN mec dispo

Ca m'a surpris qu'elle dise ça parce que je pensais vraiment qu'elle était en couple, elle était plutôt mignonne et ne semblait pas vraiment chercher l'attention des hommes. Franchement je vais pas le cacher, elle me plaisait beaucoup. J'étais pas amoureux d'elle parce qu'on se connaissait pas assez mais j'aurais tout donné pour passer la nuit avec, et plus si affinité. Elle était grande, avait un visage blanc et maigre remplit par deux grands yeux d'enfants qui me faisaient fondre le coeur quand elle daignait jeter un regard serein et fier sur moi. Dans un élan de courage j'osais prendre le risque de répondre lui répondre :

- Bah... si... il... il y a des mecs disponibles en prépa... comme moi par exemple

Elle se tourne alors vers moi, étonnée pendant une fraction de seconde, avant de répondre, dans un éclat de rire, sans qu'aucune méchanceté ne transparaisse dans sa voix, ce que lui dictait le commandement impérieux de son ventre, la loi implacable de l'espère :
- Nan mais toi, Nid-go (prénom) c'est pas pareil... ça ne compte pas...
- ...

Rarement senti un sentiment d'émasculation aussi puissant. La manière qu'elle avait eu de prononcer ces mots était à peine croyable : sans pudeur mais sans perfidie, elle mortellement blessé sans un effort, sans même y penser, la virilité d'un jeune homme à jamais hanté de ces mots si cruels, si coupables prononcés d'un air si doux, si innocent.

Bien sûr les autres filles du groupe ont pouffé de rire
Et je me suis éclipsé très vite après ce qu'il faut bien qualifier de sévère humiliation.

Oh dur mon khey

Ouais dur. J'ai encore un peu du mal à y repenser. En plus je venais d'avoir de bons résultats aux concours, je pensais être le king de la soirée. Ca m'a

T'es prof maintenant ?

Tu travailles dans la finance ?

Tu es journaliste dans un grand journal ?

Tu as pu te venger de cette humiliation en prenant la revanche sur la vie ?

Je suis encore étudiant dans une grande école. C'est encore une humiliation toute fraîche ayaaaa

Tu vas toutes te les faire en grandes écoles

Remarque vu ta signature je sens un certain ressentiment...