Le 27 mars 2023 à 19:52:15 :
Outil politique de controle des opinion, outil placé les raté de chaque familles sans pour autant qu'ils souffrent trop au travail tout en arangeant par leurs discours ceux qui les y places, et parfois, vrai travail, meme si je suis pas sur qu'on puisse dire que c'est vraiment de la science, y peut y avoir du vrai travail de qualité, mais on mentiras pas en disant, que très souvent c'est une planque à cassos hautain
Le 27 mars 2023 à 20:01:36 :
Nonobstant c'est une discipline où il manque des droitards.
J'ai fait mon mémoire de socio sur une communauté catho tradi avec un angle bien précis qui permet de reconsidérer la perception classique tradi = intégriste. Le problème c'est qu'une majorité des étudiants traitent de problématiques : genre, immigration voire de temps en temps complotisme.
De fait, il y a une disproportion de représentation dans les travaux publiés.
Au contraire, c'est bien qu'il n'y ait pas trop de "droitards". Ca limite les biais idéologiques. Le problème, c'est qu'il y a beaucoup de gauchistes (bien moins que ce que les droitards l'imaginent, nonobstant) qui ont leurs propres biais
Le 27 mars 2023 à 19:58:14 :
Le 27 mars 2023 à 19:52:15 :
Outil politique de controle des opinion, outil placé les raté de chaque familles sans pour autant qu'ils souffrent trop au travail tout en arangeant par leurs discours ceux qui les y places, et parfois, vrai travail, meme si je suis pas sur qu'on puisse dire que c'est vraiment de la science, y peut y avoir du vrai travail de qualité, mais on mentiras pas en disant, que très souvent c'est une planque à cassos hautain
Y as très peut de mecs qui font des stats correctement, la majorités des idées sont biaisé et les calculs encore plus.
Mais evidement y as des mecs qui on des analyses transversales ultra interessantes et qui font un travail très bon pour le coup.
Mais, c'est surtout une discipline de planqué.
Comme la philo scolaire par exemple, en soit les deux discipline sont interessante (bien qu'un inclut l'autre), en revanche ta beaucoup plus de chance de tomber sur un golem sans libre arbitre fort qui va recraché des cours en te prenant de haut, que sur un mec qui va developper une penser personnel forte et divergente de la norme en s'appuyant sur eux.
Le 27 mars 2023 à 20:05:03 :
Le 27 mars 2023 à 20:01:36 :
Nonobstant c'est une discipline où il manque des droitards.
J'ai fait mon mémoire de socio sur une communauté catho tradi avec un angle bien précis qui permet de reconsidérer la perception classique tradi = intégriste. Le problème c'est qu'une majorité des étudiants traitent de problématiques : genre, immigration voire de temps en temps complotisme.
De fait, il y a une disproportion de représentation dans les travaux publiés.Au contraire, c'est bien qu'il n'y ait pas trop de "droitards". Ca limite les biais idéologiques. Le problème, c'est qu'il y a beaucoup de gauchistes (bien moins que ce que les droitards l'imaginent, nonobstant) qui ont leurs propres biais
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Là ce n'est même pas qu'il n'y en a pas trop, c'est que je suis le seul de ma promo à être de ce bord politique.
Je suis d'accord sur le fait que beaucoup de travaux typés gauchistes sont plutôt bien menés malgré qu'on puisse les attaquer sur une méthodologie plus ou moins défaillantes. L'avantage de la socio, c'est qu'on peut très vite réfuter quelqu'un s'il laisse à disposition toute sa méthodo : conception de l'objet, hypothèses, review de littérature, terrain choisi, représentativité de l'échantillon etc...
Il faut comprendre que la sociologie réfute, et même abhorre l’esprit critique, la raison et la logique, qui selon elle sont les fondements épistémologiques de la société actuelle.
Autrement dit, ces paradigmes renferment en eux les germes de la société de classes capitaliste et ses structures de domination, notamment à travers la technique.
L'axiomatique sociologique, c’est-à-dire les présupposés à la base de la sociologie, est fondée sur l'idée que l'individu est un objet dépourvu de libre-arbitre et entièrement déterminé par la société, comme une particule dont la trajectoire serait régie par des équations compliquées ne dépendant que du champ social dans lequel la particule est plongée.
C'est un parti pris très limité, mais ce n'est pas le pire.
En fait les sociologues, et de manière générale les chercheurs en sciences sociales, assument complètement d'avoir une démarche en opposition à la démarche scientifique. En ce sens, ils remettent en cause la démarche scientifique dont les fondements rationnels sont ceux-là même qui ont conduit à l'avènement du capitalisme. De même, les sociologues revendiquent souvent un activisme dans leurs travaux, et plutôt que de connaître et de savoir, cherchent avant tout à changer le monde selon des idéaux marxistes.
Par exemple, dès le début du XXe siècle, le sociologue Max Weber explique très bien dans son introduction de L'Ethique protestante et l'esprit du capitalisme, que l'essence même de la civilisation occidentale, ce qui la distingue des autres civilisations, c'est justement son rationalisme. C'est la rationalisation de la religion qui a mené à la théologie, celle de l'expérience qui a mené à la science, celle du calcul qui a mené aux mathématiques, et notamment celle du commerce qui a mené au capitalisme.
C'est pour ça qu'il est vain d'essayer de montrer, comme l'ont essayé Sokal et Bricmont dans leurs Impostures intellectuelles, que la sociologie est irrationnelle, parce qu'elle le revendique de toute façon. Ils se moquent bien de l'expérience et des statistiques, parce que ce n'est pas là ce qui leur importe.
La sociologie découle d'une épistémologie complètement à part de la science, pour laquelle il faut remonter jusqu'à Auguste Comte et son positivisme, et qui n'a rien à voir avec les principes poppériens de réfutabilité : aucune expérience ne peut infirmer la théorie marxiste, puisqu’elle est d’abord et avant tout une certaine interprétation de l’histoire.
Un autre point important est que les sociologues utilisent un lexique inutilement complexe et emprunté à des disciplines qui n'ont rien à voir ("champ", "morphisme"...) afin de se bâtir une légitimité, vis-à-vis d'autres disciplines comme l'économie ou les sciences dites "dures", comme le revendique fièrement le sociologue Frédéric Lordon dans l’introduction de La Société des affects.
En fait toute la frange marxiste de la sociologie, c'est-à-dire 95% des sociologues, est animée par un activisme égalitariste, autrement dit, par la volonté de rendre la société plus égalitaire en mettant en évidence certaines inégalités, en donnant un crédit intellectuel à la lutte contre les oppressions, et en cherchant des moyens d'action dans la lutte contre la classe dominante.
Ainsi, les sociologues Pinçon-Charlot déclarent par exemple : « Le travail accumulé constitue aujourd'hui un corpus où le militant pourra trouver de l'aide, des analyses transposables, de quoi alimenter son combat. Nous souhaitons aux jeunes sociologues de pouvoir ainsi trouver dans leurs recherches une telle symbiose avec les luttes sociales […] Les privilèges du travailleur intellectuel qu'est le sociologue, payé pour comprendre le monde où il vit, valent bien de vaincre les difficultés pour restituer au plus grand nombre les résultats de la recherche qui ne saurait être apolitique dans un monde de contradictions et d'inégalités. Décidément, la sociologie est bien un sport de combat. »
Ce qui est triste, c'est que c'est une vraie trahison envers leur propre nation, parce que la plupart des sociologues sont issus de ce même peuple qu'ils combattent et qu'ils cherchent à abaisser au profit d'autres communautés.
Le 27 mars 2023 à 20:05:03 :
Le 27 mars 2023 à 20:01:36 :
Nonobstant c'est une discipline où il manque des droitards.
J'ai fait mon mémoire de socio sur une communauté catho tradi avec un angle bien précis qui permet de reconsidérer la perception classique tradi = intégriste. Le problème c'est qu'une majorité des étudiants traitent de problématiques : genre, immigration voire de temps en temps complotisme.
De fait, il y a une disproportion de représentation dans les travaux publiés.Au contraire, c'est bien qu'il n'y ait pas trop de "droitards". Ca limite les biais idéologiques. Le problème, c'est qu'il y a beaucoup de gauchistes (bien moins que ce que les droitards l'imaginent, nonobstant) qui ont leurs propres biais
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En faite, un sujet sérieux ne doit pas etre trop fortement etre influencé par se genre de trucs, evidemment l'idéologie et les croyances permettent de faire naitre certaines idées et influence donc toute discipline, mais si cela n'est pas bien filtré par la disciplines c'est que ses outils sont mauvais.
Donc, si tu estime que cela évite les biais, c'est indirectement que tu admet que la discipline n'as pas les outils pour les filtré.
Par conséquent le vrai problème n'est pas les idéologie mais les outils mal travaillé de cette disciplnes, outils qui d'ailleurs ce travail justement dans l'argumentation, la démonstration, et l'adversité.
Le 27 mars 2023 à 19:44:00 :
Ce n'est pas une science
Ça existe encore des gens qui, une fois passé le lycée, ignorent encore le concept de sciences humaines et répètent comme des gogols "gneugneu c'est pas une science y a pas de maths, de physique ou de svt dedans" ?
Je ne suis même pas dans ce genre de branches, je ne défends pas ma chapelle mais c'est vraiment très con, et le pire c'est que vous êtes toujours fiers de ce petit poncif de merde
métier avec beaucoup de personne inefficace pour très peu de professionnel, professionnel qui travail pour pas mal sur des sujets qui permette de servir d'arme au entreprise.
Comme habituellement, c'est souvent les types de personnes qui veulent faire ce métier qui mette un indicateur sur comment la section va devenir pertinente et efficace ou au contraire impertinente et inefficace , le problème étant que la sociologie à tendance à attirer des femmes (majoritairement), pleine de conviction social ou voulant faire de social ou de l'aide, cela se ressent sur les études fournie en fin de cursus qui sont pour beaucoup non reproductible, dont les résultat sont extrapolé, portant sur les mêmes sujet, et les profs applaudisse, je crois dans les sociologue qui ne rigole pas en fessant du bruit et qui lise des documents de 300 pages sur leur temps libre.
Un autre point important est que les sociologues utilisent un lexique inutilement complexe et emprunté à des disciplines qui n'ont rien à voir ("champ", "morphisme"...) afin de se bâtir une légitimité, vis-à-vis d'autres disciplines comme l'économie ou les sciences dites "dures", comme le revendique fièrement le sociologue Frédéric Lordon dans l’introduction de La Société des affects.
En fait toute la frange marxiste de la sociologie, c'est-à-dire 95% des sociologues, est animée par un activisme égalitariste, autrement dit, par la volonté de rendre la société plus égalitaire en mettant en évidence certaines inégalités, en donnant un crédit intellectuel à la lutte contre les oppressions, et en cherchant des moyens d'action dans la lutte contre la classe dominante.
Ainsi, les sociologues Pinçon-Charlot déclarent par exemple : « Le travail accumulé constitue aujourd'hui un corpus où le militant pourra trouver de l'aide, des analyses transposables, de quoi alimenter son combat. Nous souhaitons aux jeunes sociologues de pouvoir ainsi trouver dans leurs recherches une telle symbiose avec les luttes sociales […] Les privilèges du travailleur intellectuel qu'est le sociologue, payé pour comprendre le monde où il vit, valent bien de vaincre les difficultés pour restituer au plus grand nombre les résultats de la recherche qui ne saurait être apolitique dans un monde de contradictions et d'inégalités. Décidément, la sociologie est bien un sport de combat. »
Ce qui est triste, c'est que c'est une vraie trahison envers leur propre nation, parce que la plupart des sociologues sont issus de ce même peuple qu'ils combattent et qu'ils cherchent à abaisser au profit d'autres communautés.
Juste t'es au courant que ce même Weber propose une théorie de l'action qui prend en compte l'irrationalité ? Concernant la perte du libre arbitre c'est totalement faux. Tu fais sûrement référence à certains courants marxistes/structuralistes mais ce n'est plus la majorité du travail sociologique. Toutefois, il serait fou de croire que l'individu puisse utiliser pleinement sa rationalité à tout moment et bénéficier d'un choix libre/conscient dans toutes ces actions. Ce sont ces moments que la sociologie peut étudier : voir par exemple les automatismes, la discipline du corps dans l'habitude etc...
Le 27 mars 2023 à 20:19:29 :
y a énormément de conneries avec des "chercheurs" qui ne comprennent pas que faire 3 entretiens et en tirer des conclusions c'est pas un travail sérieux
Imagine tes payer à rien foutre.
C'est pas qu'ils comprennent pas c'est plus "Oh tu sait, de toutes façon que peut on y faire. "
JvArchive compagnon