En son temps, le vieil Asimov nous avait mis en garde contre le progrès technologique incontrôlable, contre la robotique, contre le transhumanisme.
Mais en voyant le corps sublimé d' Aletta Ocean, sa féminité provocante et optimisée, un cyborg fait de peau et de plastique, je ne pouvais que succomber à la tentation technologique que représenter cette femme. Depuis la nuit des temps, nous vivons dans la malédiction permanente de la recherche de la Vénus, à la féminité sans limite, que les cucks dans les cavernes sculptaient tandis que les alphas de la tribu humaient des chattes puantes sous les fourrures au bord du feu du clan.
Aletta Ocean était l'apex de la création humaine, l'apex d'une technologie qui avait permis de reconstituer et d'atteindre le fantasme originel, la déesse de la fertilité et du sexe recrée par la chirurgie esthétique occidentale.
Aletta Ocean était le monolithe noire de l'odyssée de l'espace. L'espèce humaine avait tout fait pour en arriver là, la fin de l'histoire annoncée c'était elle, la réalisation obscène du fantasme premier, source de toutes les discordes et toutes les cultures du monde.
Le 22 décembre 2022 à 12:43:23 PREMIUMBUKKAKE a écrit :
Le 22 décembre 2022 à 12:41:38 :
Le 22 décembre 2022 à 12:40:20 PREMIUMBUKKAKE a écrit :
elle prend toutes les inscrites sur tinder en 1vs1 et gagne easy
je pourrais me ruiner pour une telle déesse20/10 c la vraie note
Le 22 décembre 2022 à 12:52:08 :
Le 22 décembre 2022 à 12:50:42 JinnyttyDude a écrit :
On dirait qu’elle a confondu son rouge à lèvres avec une ventouse à chiotte la pauvre![]()
une bouche parfaite pour accueillir les verges, pulpeuse, rebondis, invitant à la luxure transformant chaque eyes contact en sex contact
![]()
Quand c’est naturel OK mais là à la forcer un peu hein la moitié aurait suffi à mon avis
JvArchive compagnon