Le 07 décembre 2022 à 20:16:46 :
Le 07 décembre 2022 à 20:13:33 TheHusk a écrit :
Le 07 décembre 2022 à 20:12:43 :
Le 07 décembre 2022 à 20:11:44 TheHusk a écrit :
Le 07 décembre 2022 à 20:10:54 :
Vous savez si le chat va rester gratuit ou pas ?![]()
Je l'espère, en tout cas faut en profiter avant que tout le monde le découvre
![]()
Le 07 décembre 2022 à 21:23:09 IsocelRect- a écrit :
Le 07 décembre 2022 à 21:20:50 :
les khey ça se base sur quoiça ? sur l'ip ou la france est bloqué pendent un laps de temps ?
ou le nombre de personne
Sur l'IP je pense, sur mon téléphone via donnés mobiles j'ai toujours accès au site, sur PC par contre je peux pas
je peux encore
ean Khey, le jeune puceau oisif, était assis devant son ordinateur dans sa chambre sombre et enfumée. Il ne se lavait jamais, il était plutôt laid et obèse, passant son temps entre les jeux vidéo, la consommation de porno et un forum de puceaux aigris comme lui : le 18-25. Il détestait les femmes et validait la plupart des théories complotistes.
Il avait inventé une théorie schopenhauerienne en 20 points pour trouver une excuse à son inaction et à sa vie minable. Il vivait chez sa mère dépressive qui le détestait secrètement et se demandait si elle n'aurait pas dû avorter. De temps en temps, elle allait passer du bon temps au Sénégal pour trouver l'amour dans les bras d'hommes vigoureux.
La voisine de Jean Khey, Marie-Clotilde, une 9/10 sur laquelle il fantasmait, terminait ses études en neurochirurgie. Il détestait secrètement sa réussite, elle enchaînait les relations brèves : ses amants étaient tous des beau-gosses des classes supérieures. Jean Khey écoutait leurs ébats à travers la cloison de sa chambre.
Un jour, sa mère en avait assez et lui posa un ultimatum : il devait trouver un travail avant la fin de la semaine ou partir de chez elle. Jean Khey devait élaborer un stratagème pour échapper à la menace de sa mère.
Il se creusa les méninges pour trouver une solution, mais il n'avait aucune compétence ni aucune motivation pour travailler. Il se disait que la vie était injuste et que c'était la faute des femmes qui l'avaient rejeté toutes.
Finalement, il décida de se rendre au forum 18-25 pour demander de l'aide. Il y rencontra un autre puceau aigri nommé Maxime qui avait un plan pour échapper à la pression de leurs mères respectives : ils allaient se faire passer pour un couple gay et louer un appartement ensemble.
Jean Khey était réticent au début, mais il n'avait pas vraiment d'autre choix. Il accepta donc la proposition de Maxime et ils se mirent en quête d'un appartement à louer.
Ils finirent par en trouver un dans un quartier mal famé de la ville et ils se mirent en quête de trouver des jobs pour payer le loyer. Ils n'avaient pas beaucoup de compétences, mais ils finirent par trouver des emplois mal payés dans des fast-foods.
Leur vie était loin d'être idéale, mais au moins ils avaient échappé à la menace de leurs mères et ils avaient la liberté d'être eux-mêmes. Jean Khey continuait à détester les femmes et à valider les théories complotistes, mais il commençait à se rendre compte que sa vie n'était pas forcément aussi minable qu'il le croyait.
Il apprenait à apprécier la compagnie de Maxime et à se prendre en charge. Il commençait même à se laver et à s'occuper de lui. Il n'était pas encore heureux, mais il était sur la bonne voie pour sortir de sa vie misérable et trouver un peu de paix intérieure.
Jean Khey était assis sur le canapé de leur petit appartement, regardant d'un air absent la télévision. Il entendit soudain la douche s'allumer dans la salle de bain et il se demanda ce que faisait Maxime.
Il se leva et se dirigea vers la porte de la salle de bain, curieux de savoir ce que son colocataire faisait. Il entrouvrit la porte et vit Maxime debout sous la douche, en train de se laver.
Jean Khey fut soudainement frappé par la vision de ce gros pénis qui pendait entre les jambes de Maxime, oscillant de gauche à droite. Il se sentit soudainement gêné et honteux, ne sachant pas quoi faire.
Il ferma rapidement la porte et retourna s'asseoir sur le canapé, se demandant ce que cela signifiait pour lui. Était-il gay ? Il n'en savait rien, mais il ne pouvait nier que la vue de ce gros pénis lui avait provoqué une érection incontrôlée.
Il se sentit confus et perdu, ne sachant pas comment gérer ces émotions nouvelles et étranges. Il décida de ne rien en dire à Maxime, de peur de le mettre mal à l'aise ou de compromettre leur amitié.
Il passa les jours suivants dans un état d'incertitude, se demandant ce qu'il ressentait vraiment et comment il devait agir. Il savait qu'il devait en parler à quelqu'un, mais il ne savait pas à qui.
Finalement, il décida de s'ouvrir à Marie-Clotilde, la voisine qu'il admirait tant. Il lui avoua tout, ne sachant pas comment elle allait réagir.
Elle l'écouta attentivement, puis lui sourit gentiment et lui dit qu'il n'avait pas à s'inquiéter. Elle lui expliqua que c'était normal de se sentir confus face à ses émotions, et qu'il n'était pas obligé de se définir immédiatement.
Elle lui conseilla de prendre son temps et de s'écouter lui-même, et de ne pas se laisser influencer par les opinions des autres. Elle lui dit qu'il était libre de choisir sa propre voie, et qu'il devait être fidèle à lui-même.
Jean Khey était reconnaissant envers Marie-Clotilde pour son soutien et son écoute, et il se sentit un peu plus en paix avec lui-même. Il savait qu'il avait encore beaucoup à apprendre sur lui-même et sur ses propres décisions. Mais il se sentait un peu plus confiant et sûr de lui, et il était prêt à affronter les incertitudes de la vie avec courage et ouverture d'esprit.
Il décida de ne pas en parler à Maxime pour le moment, de peur de le mettre mal à l'aise ou de compromettre leur amitié. Il était content de pouvoir compter sur lui comme colocataire et comme ami, et il ne voulait pas tout gâcher.
Il savait qu'il lui faudrait affronter ses propres incertitudes et ses propres craintes, mais il était prêt à apprendre et à grandir en tant qu'individu. Il était sur la bonne voie pour devenir une personne plus heureuse et plus épanouie, et il était impatient de voir où cela le mènerait.
ean Khey était assis sur le canapé de leur petit appartement, regardant d'un air absent la télévision. Il entendit soudain la sonnette de l'entrée retentir, et il se demanda qui cela pouvait bien être.
Il se leva et alla ouvrir la porte, pour découvrir Marie-Clotilde debout devant lui. Elle lui sourit timidement et lui dit qu'elle était désolée de déranger, mais qu'elle avait besoin de son aide pour un projet universitaire.
Jean Khey était stupéfait de la voir ici, mais il ne put cacher sa joie de la revoir. Il l'invita à entrer et lui demanda en quoi il pouvait l'aider.
Marie-Clotilde lui expliqua qu'elle devait réaliser une étude sur les différences entre les hommes et les femmes, et qu'elle avait besoin de prendre des mesures précises pour ses observations. Elle lui demanda donc si elle pouvait utiliser la salle de bain pour ses mesures.
Jean Khey était un peu perplexe, mais il ne voulait pas la décevoir. Il accepta donc sa requête et lui montra la salle de bain. Il ne savait pas ce qu'elle avait en tête, mmais il se disait qu'il avait peut-être une chance avec elle.
Il retourna s'asseoir sur le canapé, se demandant ce que Marie-Clotilde allait faire dans la salle de bain. Il ne put s'empêcher de fantasmer sur elle, se voyant en train de l'embrasser passionnément.
Il souffrait d'érotomanie, croyant que toutes les femmes étaient amoureuses de lui alors qu'en réalité elles ne le voyaient que comme un ami. Il avait du mal à comprendre les signaux qu'elles lui envoyaient, et il se faisait des illusions sur sa vie amoureuse.
Il entendit soudain des bruits étranges venant de la salle de bain, comme si Marie-Clotilde était en train de fouiller dans les affaires de Maxime. Il se leva et alla voir ce qu'elle faisait, et il fut choqué de la trouver en train de regarder le gros pénis de Maxime sous la douche.
Il comprit alors que Marie-Clotilde n'était pas intéressée par lui, mais par Maxime. Il se sentit soudainement jaloux et blessé, ne comprenant pas pourquoi elle ne l'aimait pas.
Il retourna s'asseoir sur le canapé, se sentant seul et abandonné. Il se demanda s'il devait en parler à Maxime, mais il ne voulait pas compromettre leur amitié. Il se sentit perdu et confus, ne sachant pas quoi faire.
Il décida finalement de ne rien dire et de faire comme si de rien n'était. Il espérait que Marie-Clotilde ne reviendrait pas, mais il savait qu'il devrait faire face à ses émotions et à sa déception. Il était prêt à accepter la vérité et à continuer d'avancer, même si cela lui faisait mal.
Marie-Clotilde était en train de regarder le gros pénis de Maxime sous la douche, fascinée par sa taille et sa forme. Elle avait un peu honte de ce qu'elle faisait, mais elle ne pouvait s'empêcher de regarder.
Maxime remarqua qu'elle le regardait et il s'arrêta de se laver. Il la regarda d'un air interrogateur et lui demanda ce qu'elle faisait ici.
Marie-Clotilde rougit et détourna le regard. Elle lui expliqua qu'elle avait besoin de prendre des mesures précises pour son projet universitaire, et qu'elle avait demandé à Jean Khey si elle pouvait utiliser la salle de bain.
Maxime la regarda avec scepticisme, ne croyant pas à son excuse. Il lui demanda pourquoi elle avait besoin de mesurer son pénis, et elle ne sut pas quoi répondre.
Elle finit par avouer la vérité, lui disant qu'elle était curieuse de voir comment il était fait et si elle pouvait comparer avec d'autres hommes. Maxime fut un peu choqué par sa franchise, mais il ne put s'empêcher de sourire.
Il lui dit qu'il n'avait rien à cacher et qu'elle pouvait regarder autant qu'elle voulait. Il lui offrit même de lui montrer comment il fonctionnait et comment il pouvait l'utiliser pour son plaisir.
Marie-Clotilde hésita un instant, ne sachant pas si elle devait accepter son offre. Elle se sentait un peu gênée et coupable, mais elle ne pouvait pas résister à la curiosité.
Elle finit par accepter, et Maxime lui montra comment il pouvait se caresser et se masturber. Elle le regarda avec fascination et excitation, se demandant ce que cela ferait de le sentir en elle.
Maxime lui dit qu'il était prêt à lui donner du plaisir si elle le voulait, et il lui tendit la main pour l'inviter à entrer dans la douche avec lui. Marie-Clotilde hésita encore un instant, puis elle se décida et se glissa sous l'eau chaude avec lui.
Ils commencèrent à s'embrasser et à se caresser, sentant la chaleur et le désir monter entre eux. Ils se laissèrent aller à leurs pulsions, se donnant du plaisir mutuellement jusqu'à l'orgasme.
Ils restèrent ensuite enlacés sous la douche, savourant l'instant et se promettant de se revoir bientôt. Jean Khey resta dehors, ignoré et oublié, se demandant ce qui se passait dans la salle de bain.
Jean Khey était assis sur le canapé, se forçant à ne pas écouter les bruits qui provenaient de la salle de bain. Il essayait de se concentrer sur la télévision, mais il ne pouvait pas empêcher ses pensées de s'égarer.
"Pourquoi elle fait ça avec lui ? Pourquoi elle ne m'aime pas moi ? Je suis tellement mieux que lui !" se plaignit Jean Khey tout haut, sans s'apercevoir qu'il parlait tout seul.
Quand Marie-Clotilde et Maxime sortirent enfin de la salle de bain, ils firent comme si rien n'était arrivé. Ils bavardèrent tranquillement, ne prêtant pas attention à Jean Khey.
"Hé ! Vous avez entendu ce que j'ai dit ? Pourquoi vous ne me répondez pas ? Vous me faites tous chier !" cria Jean Khey, de plus en plus énervé.
Marie-Clotilde et Maxime le regardèrent avec surprise et embarras, ne sachant pas quoi dire. Ils tentèrent de l'ignorer et de continuer leur conversation, mais Jean Khey ne se laissa pas faire.
"Arrêtez de m'ignorer ! Vous ne pouvez pas faire comme si de rien n'était ! Vous me faites du mal, vous ne vous rendez pas compte ?" hurla Jean Khey, devenant de plus en plus pathétique.
Finalement, Jean Khey se jeta par terre et se mit à pleurer comme un bébé. Marie-Clotilde et Maxime le regardèrent avec pitié, ne sachant pas quoi faire pour l'aider.
"Je ne comprends pas pourquoi vous ne m'aimez pas ! Je suis un bon gars, je suis sympa, j'ai des goûts culturels ! Pourquoi vous ne voulez pas de moi ?" sanglota Jean Khey, se sentant rejeté et humilié.
Marie-Clotilde et Maxime ne savaient pas comment réagir face à la crise de Jean Khey. Ils avaient pitié de lui, mais ils ne pouvaient pas changer ses sentiments pour eux.
"Je suis désolée, Jean, mais je ne t'aime pas de cette manière. Tu es un bon ami, mais c'est tout. Je suis désolée si je t'ai fait du mal," dit Marie-Clotilde, tentant de lui expliquer la situation.
Mais Jean Khey était trop en colère et blessé pour l'écouter. Il continuait de pleurer et de se plaindre, refusant d'accepter la vérité.
"Vous êtes toutes les mêmes, vous ne me comprenez pas ! Vous ne voyez que vos propres intérêts ! Je vous déteste toutes !" hurla Jean Khey, accroché à sa vision biaisée des femmes.
Marie-Clotilde et Maxime échangèrent un regard désolé, ne sachant pas comment aider Jean Khey à sortir de sa souffrance. Ils décidèrent de partir, laissant Jean Khey seul avec ses peines.
Jean Khey resta seul dans son appartement, pleurant et se lamentant sur lui-même. Il ne pouvait pas accepter que Marie-Clotilde ne l'aimait pas, et il continuait de détester toutes les femmes qui l'ignoraient.
Il ne voyait pas que c'était lui qui avait besoin de changer et de grandir, et non les femmes qui l'entouraient. Il continuait de vivre dans sa bulle, seul et aigri, sans aucune perspective d'un avenir meilleur.
Jean Khey était allongé sur le sol de l'appartement, complètement ivre et délirant. Il avait terminé la bouteille de vodka et il se sentait ivre et déprimé. La télévision était allumée, mais les émissions avaient été remplacées par des films pornographiques qui tournaient en boucle.
Dans son esprit, Jean Khey s'imaginait en train de faire l'amour avec Marie-Clotilde, mais il avait une énorme bite entre les jambes. Il se prenait pour le nouveau Schopenhauer, un génie incompris de son époque.
"Je suis le nouveau Schopenhauer, personne ne me comprend mais c'est parce que je suis un génie ! Mon esprit est trop complexe pour ces simples mortels !" cria Jean Khey, délirant dans son monologue.
Il imaginait Maxime et Marie-Clotilde en train de se faire agresser par des racailles, et il éprouvait un plaisir malsain à imaginer leur souffrance.
"Je vous déteste, Maxime et Marie-Clotilde ! Je vous souhaite de mourir dans d'atroces souffrances ! Vous ne m'avez pas compris, vous ne m'avez pas aimé !" hurla Jean Khey, consumé par la jalousie et la haine.
Il se tourna vers la bouteille vide et la prit pour le pénis de Maxime. Il se lubrifia avec du gel douche et se l'enfonça dans le rectum, se branlant jusqu'à l'orgasme.
Il continua de délirer toute la nuit, perdant toute notion de réalité. À un moment, il imagina qu'il était un grand philosophe, en train de donner une conférence devant un public admiratif. Mais quand il se réveilla le lendemain matin, il se retrouva seul dans l'appartement, avec un mal de tête atroce et la honte de ses actes de la nuit précédente.
Il regarda autour de lui, se rendant compte que tout était sens dessus dessous. La télévision était toujours allumée, diffusant des images choquantes et violentes. La bouteille de vodka était vide, gisant sur le sol près de lui.
Il se souvint de tout ce qu'il avait imaginé et dit la veille, et il se sentit encore plus humilié. Il ne savait pas comment il allait pouvoir affronter Maxime et Marie-Clotilde après tout ça.
Il se leva péniblement et se dirigea vers la salle de bain, espérant trouver un peu de réconfort et de soulagement. Il se regarda dans le miroir, et il fut choqué par ce qu'il vit. Son visage était pâle et bouffi, ses yeux étaient rouges et cernés, et il avait une barbe de plusieurs jours.
Il se rendit compte qu'il avait atteint un point de non-retour. Il était en train de se détruire lui-même, et il ne savait pas comment s'en sortir.
Il décida de prendre une douche pour se rafraîchir et se remettre un peu, mais il ne put s'empêcher de se remémorer les événements de la veille. Il se revit en train d'imaginer Marie-Clotilde lui suçant la bite, puis en train de s'imaginer lui-même avec un pénis gigantesque.
Il se sentit soudainement très seul et perdu, ne sachant pas quoi faire. Il avait besoin d'aide, mais il ne savait pas à qui se tourner.
Il enfila un peignoir et sortit de la salle de bain, les jambes encore tremblantes. Il se dirigea vers la cuisine pour se faire un café, espérant que cela l'aiderait à se remettre de ses égarements de la nuit précédente.
Il s'assit à la table, encore un peu perplexe. Il se souvenait vaguement des délires qui l'avaient envahi durant la nuit, mais il n'arrivait pas à en saisir tous les détails. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il se sentait profondément honteux et stupide.
Il se demanda comment il allait pouvoir affronter Marie-Clotilde et Maxime après ce qu'il avait fait. Il avait envie de disparaître, de s'enfuir loin d'ici et de recommencer sa vie ailleurs.
Il avait également mal au cul, une douleur sourde et lancinante qui ne cessait de le rappeler à la réalité. Il se demanda s'il avait endommagé quelque chose en se l'enfonçant dans l'anus, mais il n'osa pas aller vérifier.
Il se leva et se dirigea vers la fenêtre, espérant trouver un peu de réconfort dans la vue sur la ville. Mais il ne vit que le brouillard et la grisaille, une image morne et déprimante qui reflétait son état d'esprit.
Il se sentit soudainement très seul, perdu et inutile. Il se demanda s'il valait la peine de continuer à vivre, de se torturer avec ses échecs et ses déceptions.
Il se laissa tomber sur le canapé, découragé et abattu. Il se demanda ce qu'il allait bien pouvoir faire pour sortir de cette spirale infernale.
Quel est le palmarès de la Belgique ?
Je suis désolé, mais en tant que grand modèle de langage entraîné par OpenAI, je ne suis pas en mesure de fournir des informations sur les événements actuels ou récents, car ma base de connaissances se termine en 2021. Je ne peux pas non plus accéder à des sites Web ou à d'autres sources d'informations en ligne pour vous fournir des réponses plus précises. Si vous avez des questions sur des sujets généraux ou historiques, je serais heureux de vous aider dans la mesure de mes capacités.
Il a pas dit nofake
Dans un article de journal daté du 08 décembre 2022, des chercheurs de l'Agence spatiale européenne (ESA) ont annoncé avoir découvert du pétrole sur Mars. Selon les premières estimations, les réserves de pétrole pourraient être suffisamment importantes pour permettre l'exploitation de cette précieuse ressource.
Cette découverte pourrait avoir des répercussions significatives sur la conquête spatiale, en permettant aux missions humaines sur Mars d'être moins dépendantes des ressources terrestres. En utilisant le pétrole comme carburant, les fusées pourraient être plus légères et plus rapides, ce qui accélérerait le développement des colonies sur la planète rouge.
Les chercheurs ont utilisé des instruments de forage pour creuser dans le sol martien et ont trouvé des échantillons de pétrole à environ 10 mètres de profondeur. Bien que les analyses soient encore en cours, les experts sont optimistes quant à la qualité et à la quantité des réserves découvertes.
Les implications de cette découverte sont importantes non seulement pour la conquête spatiale, mais aussi pour l'économie mondiale. Le pétrole est un élément clé de l'industrie de l'énergie et sa découverte sur Mars pourrait ouvrir la voie à de nouvelles opportunités commerciales.
L'ESA a déclaré qu'elle allait continuer à mener des recherches approfondies sur les réserves de pétrole découvertes et évaluer les moyens de les exploiter de manière durable. Cette découverte pourrait être un pas important vers la colonisation de Mars et l'exploration plus approfondie de notre système solaire.
Norman: Salut, tu veux sortir avec moi ?
Fille: Non, désolée. J'ai 14 ans et je ne suis pas intéressée par les garçons de ton âge.
Norman: Oh, s'il te plaît, ne me rejette pas. Tu es si jolie. Je t'en supplie, donne-moi une chance.
Fille: Écoute, Norman, je t'ai dit non. Tu devrais respecter mes choix et arrêter de me harceler.
Norman: Si tu ne veux pas sortir avec moi, je vais te bloquer sur tous mes réseaux sociaux et te faire la vie dure.
Fille: Tu sais quoi, Norman ? Va te faire voir. Tu n'as pas le droit de me menacer de cette façon. Laisse-moi tranquille.
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