Découper un à un chaque abbatis de son fougueux petit kj de poche Laisser pleuvoir les coups de machette au rythme de ses hululements de souffrance Boire le jus de ses plaies purulantes, ambroisie réservées aux déités les plus raffinées Arborer fièrement son corps exsangue, comme le pardessus d'un dandy stendhalien