L'affaire du col Dyatlov

Le 12 janvier 2020 à 13:03:24 Levrettin a écrit :

Le 12 janvier 2020 à 13:01:36 Brotherhood91 a écrit :

Le 12 janvier 2020 à 12:58:47 Levrettin a écrit :

Le 12 janvier 2020 à 12:57:37 Grandmanor a écrit :
La se situe dans l'Oural ( chaîne de montagne où il y eu énormément de test atomique)
C'est sûrement le rayonnement d'une bombe atomique qui les a tués, paniqué en voyant la boule de feu, ils ont couru et dans leurs fuite, certain se sont fracturé le crâne et les cotes, l'armée est arrivé sur place et les a reperé, le régime soviétique a décidé de camoufler ça en arrachant les yeux et la langue d'une des victimes pour que la scène soit incompatible avec l'enquête
Et voilà

Je trouve que c'est la piste la plus probable en effet. Surtout que:
"Controverses autour de l'enquête
Un groupe de randonneurs se trouvant à environ 50 kilomètres au sud de la montagne affirme avoir vu d'étranges sphères orange dans le ciel au nord — vraisemblablement en direction du Kholat Syakhl — la nuit du drame2. Lev Ivanov, en charge de l'enquête et ayant aussi remarqué la radioactivité des vêtements et de tout le campement, relève des observations de ces sphères en février et en mars 1959. Il reçoit l'ordre de clore l'enquête lorsqu'il mentionne ces sphères à ses supérieurs9."

Et voilà

Perso je suis pas un jean paranormal mais je refuse de croire que c'est juste du à un phénomène naturel.
Il doit y avoir une faille avec l'armée derrière, un meurtre ou autre.

Y a trop de "si" et d'éléments qui collent pas pour que ce soit une cause lambda

La zone ne porte aucune trace d'explosion/détonation/essai d'arme quelconque, c'est une certitude.

Corps fracturés sans blessures externes, comme soumis à une pression de plusieurs tonnes, cadavres radioactifs, peaux brunies, plusieurs centaines de rapports d'apparitions de sphères oranges dans le ciel du Col les jours précédents (et suivants), aucune trace d'intervention humaine, ni d'intervention naturelle (avalanche, coulure).

Définitivement, ça ressemble bien plus à une rencontre du troisième type qu'à une bavure de l'armée.