Pour ces recherches, Greg Neely et son équipe ont donc volontairement blessé plusieurs mouches, en s’attaquant au nerf de l’une de leurs pattes. Une fois la blessure complètement guérie, ils ont alors découvert que chez tous les spécimens, les autres pattes étaient soudainement devenues hypersensibles. Autrement dit, « une fois que l’animal a été blessé une fois, il est hypersensible et tente de se protéger pour le restant de ses jours, explique le chercheur. Ce qui est plutôt cool et intuitif ».