Dire que certain se contenterait de la guillotiner...
Vous connaissez le supplice du pal ?
La méthode la plus répandue et dont il existe des traces en Russie et en Turquie voulait que l’on enfonçât le pal dans l'anus du condamné, avant de le planter en terre.
La cruauté du supplice était modulée par le degré d'acuité de la pointe, la taille du pieu, et la profondeur à laquelle on l'enfonçait.
Le plus fréquemment, la pointe était arrondie afin de repousser les chairs sans les léser, afin que le supplice durât le plus longtemps possible. Elle ressortait par le thorax, par les épaules ou par la bouche, en fonction de la direction donnée.
Le but était d'apporter une frayeur maximale aux spectateurs.