Le policier n’a pas tiré pour punir, il a tiré pour empêcher un drame.
Nahel a refusé plusieurs fois d’obtempérer, au volant d’un véhicule puissant, sans permis, après avoir mis en danger des policiers et des piétons.
À l’instant du tir, il redémarrait malgré les sommations, dans une situation tendue où le danger était réel, immédiat et déjà démontré.
La loi (article L.4351) autorise l’usage de l’arme quand la fuite présente un risque pour des vies humaines. C’était le cas.
Ce tir n’était pas une bavure : c’était une réponse rationnelle, proportionnée et conforme à la loi.
Tragique, oui. Mais pas illégitime.