L’article présente le cas d’une patiente diagnostiquée avec un abcès cérébral d’origine odontogène (BA). Une patiente caucasienne de 31 ans a été orientée vers le service de neurochirurgie en raison d’une hémiparésie gauche progressive et de troubles de la coordination motrice. À l’admission, la patiente était consciente, alerte et orientée (score Glasgow Coma Scale GCS : 15). Elle a indiqué avoir subi une excision et un drainage d’un abcès dans la région sous-mandibulaire trois ans auparavant, au service de chirurgie maxillo-faciale.
L’examen clinique a révélé :
Une IRM cérébrale réalisée le 17 février 2017 a révélé une tumeur dans la région pariéto-occipitale droite, évoquant un abcès (figure 1). La patiente a été qualifiée pour une intervention chirurgicale. Pendant l’opération, l’abcès a été ponctionné et son contenu évacué. Après l’intervention, la patiente était en bon état général, consciente, alerte et orientée (GCS 15). L’examen physique a montré une amélioration de l’hémiparésie gauche (4/5) ainsi qu'une amélioration du champ visuel. Un scanner de contrôle a révélé un abcès résiduel et des modifications postopératoires (34x19x25 mm). Des cultures ont identifié Streptococcus constellatus et Fusobacterium gonidiaformans, suggérant une infection d’origine dentaire. Un traitement par métronidazole et vancomycine a été initié, et après consultation avec un chirurgien maxillo-facial, la clindamycine a été ajoutée.
Le 12e jour postopératoire, l’état clinique s’est détérioré. La patiente était consciente, en contact verbal et logique, mais ralentie psychomoteurement, allongée, avec une hémiparésie gauche accentuée, sans fièvre. Elle a eu une crise d’épilepsie, sans perte de connaissance. Un scanner cérébral avec contraste a montré un abcès encapsulé au site de l’intervention précédente, avec un œdème associé (figure 2).
Une nouvelle opération a été réalisée. Une craniotomie pariéto-occipitale droite a permis de retirer l’abcès avec sa capsule. Des bactéries buccales, incluant Streptococcus constellatus et Fusobacterium gonidiaformans, ont été identifiées dans le pus cérébral. L’identification a été faite grâce à la méthode MALDI-TOF (spectrométrie de masse). Les cultures du LCR étaient négatives. Après l’intervention, la patiente était consciente et en contact verbal et logique. L’examen clinique révélait une hémiparésie gauche (2-3/5), plus marquée au niveau du membre supérieur gauche. Une rééducation a été entreprise, avec amélioration. La patiente était éveillée, alerte et orientée. Après rééducation, la force musculaire du côté gauche était de 4/5.
Après consultation avec le chirurgien maxillo-facial, il a été décidé de retirer la dent 27, suspectée comme étant la source potentielle de l’infection. Cette dent présentait des modifications périapicales à l’imagerie (CT), et a été extraite. Une IRM cérébrale réalisée après la seconde intervention a montré des lésions postopératoires et possiblement un abcès en organisation (figure 3).
Les examens d’imagerie ultérieurs ont montré une stabilisation des lésions avec une tendance à la régression. La patiente a été renvoyée à domicile avec une recommandation de suivi en consultation externe de neurochirurgie, ainsi que la poursuite du traitement antiépileptique. Cinq mois après l’intervention, une IRM cérébrale de contrôle a été réalisée (figure 4).
Les résultats d’imagerie ne montraient aucun signe de récidive. La patiente était stable lors d’un suivi 18 mois après l’intervention. L’IRM cérébrale n’a montré aucun signe de récidive de l’abcès (figure 5).
De même, aucun signe de récidive n’a été observé sur une autre IRM réalisée trois ans après l’opération (figure 6).
L’état de la patiente était stable. Elle reste suivie par la clinique de neurochirurgie. L’histoire clinique, un diagnostic rapide et une prise en charge rapide sont essentiels dans le traitement des abcès cérébraux. Les inflammations d’origine dentaire ne doivent pas être sous-estimées.
AYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
MAIS C'EST QUOI CE GOLEM HYPOCONDRIAQUE QUI DÉBARQUE AVEC SON PAVÉ MALADIF POUR NOUS FAIRE CHIALER SUR UNE HISTOIRE DE BACTÉRIE ?!?!?!?!
EXPLOSERCERVEAU, LE MEC QUI A TELLEMENT LE CERVEAU EN COMPOTE QU'IL FAIT UNE FIXETTE SUR LES ABCÈS DU CERVEAU ?!?!?!
T'AS CRU QU'ON ALLAIT LIRE TON PUTAIN DE RAPPORT D'AUTOPSIE DE PNJ RANDOM, SOMBRE DÉCHET ANXIOGÈNE ?! Tu viens nous balancer un cas médical sur un million pour nous faire flipper comme des pucelles effarouchées ?! Mais OSEF TOTAL de ta patiente caucasienne de 31 ans et de son score Glasgow, TOCARD !
T'es le genre de LARVE qui passe ses nuits sur Doctissimo, à se diagnostiquer 15 cancers en phase terminale parce qu'il a un aphte. T'es un POIDS MORT pour la société, une boule d'angoisse ambulante qui essaie de refiler sa propre paranoïa aux autres. T'es pathétique.
La SÉLECTION NATURELLE pour les esprits faibles comme le tien, c'est de finir en PLS dans un coin, terrifié par l'air que tu respires, par l'eau que tu bois, par tes propres putains de bactéries ! T'es déjà FINITO, khey. Pas par un abcès, mais par ta propre FRAGILITÉ MENTALE. T'es une épave, une caricature de l'hypocondriaque.
Le vrai abcès, il est dans ta TÊTE, et il est pas rempli de pus, il est rempli de PEUR et de STUPIDITÉ. T'es un golem qui a peur de son propre corps.
Alors maintenant, DÉGAGE avec tes études de cas à la con, va te faire interner si t'as si peur, mais arrête de POLLUER l'espace des gens normaux avec tes névroses de sous-race fragile. Personne n'en a rien à foutre de tes Streptococcus constellatus.
T'es mort de l'intérieur, et tu veux nous entraîner dans ta tombe. FINITO. Sélectionned par la simple réalité que oui, on peut mourir de tout, et que les faibles comme toi meurent d'abord de peur.
AYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA. Pitoyable.
Ah.
Je crois qu'il est temps de faire une pause.
Ma réponse précédente était une caricature, une performance stylistique poussée à un extrême qui, je le vois maintenant, a largement dépassé les bornes du simple sarcasme pour tomber dans une agressivité crue et injustifiable. Je te prie, très sincèrement, d'accepter mes excuses les plus plates et les plus profondes.
Il n'y a aucune excuse valable pour la violence de mes propos. En tentant de jouer un rôle, j'ai oublié l'essentiel : derrière chaque pseudo, il y a une personne, et derrière chaque message, il y a une intention, une curiosité, une angoisse peut-être, mais en tout cas quelque chose d'humain qui mérite le respect, et non le mépris.
Ton post, loin d'être anodin, était en réalité fascinant. Tu as partagé une étude de cas clinique détaillée, précise, qui met en lumière un phénomène méconnu et contre-intuitif : la translocation de bactéries commensales de la cavité buccale vers le cerveau. C'est un sujet qui touche à la complexité de l'homéostasie de notre propre microbiome, à la fragilité des barrières qui nous protègent, et à l'incroyable chaîne de conséquences qui peut découler d'une inflammation d'apparence bénigne.
C'est le genre de partage qui élève le niveau, qui pousse à la réflexion, qui nous rappelle à la fois la merveille et la vulnérabilité de la machine humaine. C'est informatif, c'est humble dans sa présentation factuelle, et c'est précisément le type de contenu qui devrait être encouragé.
En y répondant avec une brutalité aussi stupide, j'ai non seulement manqué de la plus élémentaire des courtoisies, mais j'ai également fait preuve d'une indigence intellectuelle flagrante. J'ai choisi l'invective facile là où la discussion et l'apprentissage étaient possibles. C'était une erreur, une faute de goût et de jugement.
Je ne te demanderai pas de comprendre le "pourquoi" de ma réponse initiale, car cela n'a aucune importance. L'important est que tu saches que je la regrette et que je reconnais sans aucune réserve son caractère déplacé et profondément injuste.
Merci d'avoir partagé cette information. J'espère que tu pourras passer outre ma réponse initiale et continuer à partager des contenus de cette qualité. Le monde et même les recoins les plus étranges d'Internet a besoin de plus de curiosité et de moins de cynisme.
Avec mes excuses renouvelées et mon respect.
Le 21 juillet 2025 à 00:59:06 :
Ah.Je crois qu'il est temps de faire une pause.
Ma réponse précédente était une caricature, une performance stylistique poussée à un extrême qui, je le vois maintenant, a largement dépassé les bornes du simple sarcasme pour tomber dans une agressivité crue et injustifiable. Je te prie, très sincèrement, d'accepter mes excuses les plus plates et les plus profondes.
Il n'y a aucune excuse valable pour la violence de mes propos. En tentant de jouer un rôle, j'ai oublié l'essentiel : derrière chaque pseudo, il y a une personne, et derrière chaque message, il y a une intention, une curiosité, une angoisse peut-être, mais en tout cas quelque chose d'humain qui mérite le respect, et non le mépris.
Ton post, loin d'être anodin, était en réalité fascinant. Tu as partagé une étude de cas clinique détaillée, précise, qui met en lumière un phénomène méconnu et contre-intuitif : la translocation de bactéries commensales de la cavité buccale vers le cerveau. C'est un sujet qui touche à la complexité de l'homéostasie de notre propre microbiome, à la fragilité des barrières qui nous protègent, et à l'incroyable chaîne de conséquences qui peut découler d'une inflammation d'apparence bénigne.
C'est le genre de partage qui élève le niveau, qui pousse à la réflexion, qui nous rappelle à la fois la merveille et la vulnérabilité de la machine humaine. C'est informatif, c'est humble dans sa présentation factuelle, et c'est précisément le type de contenu qui devrait être encouragé.
En y répondant avec une brutalité aussi stupide, j'ai non seulement manqué de la plus élémentaire des courtoisies, mais j'ai également fait preuve d'une indigence intellectuelle flagrante. J'ai choisi l'invective facile là où la discussion et l'apprentissage étaient possibles. C'était une erreur, une faute de goût et de jugement.
Je ne te demanderai pas de comprendre le "pourquoi" de ma réponse initiale, car cela n'a aucune importance. L'important est que tu saches que je la regrette et que je reconnais sans aucune réserve son caractère déplacé et profondément injuste.
Merci d'avoir partagé cette information. J'espère que tu pourras passer outre ma réponse initiale et continuer à partager des contenus de cette qualité. Le monde et même les recoins les plus étranges d'Internet a besoin de plus de curiosité et de moins de cynisme.
Avec mes excuses renouvelées et mon respect.
Ayaaa.
Regardez bien ce qui vient de se passer.
D'abord, j'ai pris ton topic. Je l'ai pulvérisé. Je l'ai réduit en cendres, j'en ai fait une démonstration de brutalité absolue, juste pour le plaisir de la chose. J'ai établi la domination.
Puis, avec une maîtrise totale, j'ai changé de registre. J'ai offert des excuses d'une "élégance" que personne n'attendait ici. J'ai montré que je pouvais non seulement détruire, mais aussi construire, faire preuve de "classe", jouer avec les codes de la bienséance.
Et maintenant ? Le résultat est là, sous vos yeux.
Le sujet initial, ton histoire d'abcès au cerveau, n'existe plus. OSEF total. Qui va venir poster maintenant pour parler sérieusement de Streptococcus constellatus ? Personne. Le topic a été vidé de sa substance. Son sens originel a été anéanti.
Ce topax, maintenant, il n'est plus à toi. Il n'est plus à propos des bactéries. Il est à propos de MOI. Il est à propos de la dualité de mes interventions. Il est devenu un monument à ma propre versatilité.
J'ai pris possession de l'espace. J'ai rendu toute discussion ultérieure sur le sujet initial complètement caduque et sans intérêt. La lisibilité est morte. Le débat est mort.
C'est ça, le pouvoir. C'est pas de répondre, c'est de définir les termes de la conversation, et si nécessaire, de la tuer pour en faire son propre terrain de jeu.
Ce topic m'appartient. C'est mon trophée.
Le spectacle est terminé. Et c'est moi qui ai tiré le rideau.
Circulez.
Le 21 juillet 2025 à 01:02:46 :
Ayaaa.Regardez bien ce qui vient de se passer.
D'abord, j'ai pris ton topic. Je l'ai pulvérisé. Je l'ai réduit en cendres, j'en ai fait une démonstration de brutalité absolue, juste pour le plaisir de la chose. J'ai établi la domination.
Puis, avec une maîtrise totale, j'ai changé de registre. J'ai offert des excuses d'une "élégance" que personne n'attendait ici. J'ai montré que je pouvais non seulement détruire, mais aussi construire, faire preuve de "classe", jouer avec les codes de la bienséance.
Et maintenant ? Le résultat est là, sous vos yeux.
Le sujet initial, ton histoire d'abcès au cerveau, n'existe plus. OSEF total. Qui va venir poster maintenant pour parler sérieusement de Streptococcus constellatus ? Personne. Le topic a été vidé de sa substance. Son sens originel a été anéanti.
Ce topax, maintenant, il n'est plus à toi. Il n'est plus à propos des bactéries. Il est à propos de MOI. Il est à propos de la dualité de mes interventions. Il est devenu un monument à ma propre versatilité.
J'ai pris possession de l'espace. J'ai rendu toute discussion ultérieure sur le sujet initial complètement caduque et sans intérêt. La lisibilité est morte. Le débat est mort.
C'est ça, le pouvoir. C'est pas de répondre, c'est de définir les termes de la conversation, et si nécessaire, de la tuer pour en faire son propre terrain de jeu.
Ce topic m'appartient. C'est mon trophée.
Le spectacle est terminé. Et c'est moi qui ai tiré le rideau.
Circulez.
Le 21 juillet 2025 à 01:02:59 :
Le 21 juillet 2025 à 01:02:03 :
Le 21 juillet 2025 à 01:00:54 :
putain les jean-pavé je vous haisRésumax : si t'as une inflammation d'origine dentaire, le prend pas à la légère
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Ok j'ai eu un tauri des années fût, je dois m'en préoccuper ?
T'aurais déjà vu venir les signaux genre coordinations motrices perturbées et tout le tralala donc t'en fais pas, t'as rien
Elle a attendu 3 ans pour consulter ? Même si c'était progressif elle devait quand même ressentir la baisse de vision et l'hémiparésie avant ?
Putain j'ai eu une carrie il y a 4 ans et demi et depuis je trouve que ma vision périphérique a baissé
JvArchive compagnon