(Pourquoi y'a un modo qui arrête pas de sup ?)
Si on analyse rationnellement croire en quelque chose après la mort c'est comme croire en la matrice, c'est parfaitement indémontrable, pire qu'une superstition
alors pourquoi s'embêter d'une telle conjecture sortie du trou du cul des civilisations vieilles de 2000 ans
il n'y a rien car notre cerveau s'arrête je suis biologiste et je peux vous dire que le fonctionnement d'une seule cellule dépasse vos croyances les plus folles en terme de complexité
car oui l'humain est ultra complexe mais il fonctionne à l'énergie, sans énergie --> mort
l'âme n'existe pas, c'est un concept qui n'a aucun sens rien ne survit à la mort
c'est tellement risible de vouloir contredire ce simple état de fait, en plus on nous sort des arguments claqués au sol, comme par exemple :
- les EMI, alors que ce sont de simples hallucinations créées par le cerveau en hypoxie aucune expérience n'a pas prouver que le sujet pouvait voir des choses qui lui étaient cachées
- effacement de la mémoire à la naissance : bah oui, il faut bien ça pour justifier que ton âme existait avant ta naissance mais que tu n'as pas de souvenir car il y a eu un reset ... connerie
LA REALITE ET CE QUE L'ON SAIT : la mort entraine la putréfaction du corps, aucune activité cérébrale ne peut résister à une perte d'oxygène, nous devenons un amas de cellules qui nécrosent et notre conscience s'évapore, et dans un nombre incalculables d'années l'univers entrera en mort thermique si bien que plus aucune particule de matière ne sera présente, même les trous noirs s'évaporeront et il ne restera qu'un espace vide comblé par les fluctuations du vide quantique
Question pertinente et ce que dit l'op est vrai a priori selon les connaissances actuelles. Mais.
Si 100% des cellules de notre corps meurent puis régénèrent, sommes nous mort pour autant ? En supposant que ce qui fait de nous un individu vivant est notre identité et la conscience (cogito ergo sum), dans quoi réside notre identité ? L'humanité ne formerait-elle pas un superorganisme, au sein duquel une partie de notre identité est diluée ? Ce qui expliquerait qu'une personne se sacrifie (à mourrir) pour le bien commun. Considérons qu'un tout est plus que la somme de ses partie (sinon quoi nous serions juste un ensemble de cellules n'ayant pas d'identité propre ni de vie, donc la question de la mort ne se poserait pas) : dans ce cas, un humain ne meurt pas tout à fait si le groupe d'humain dans lequel il contribue à l'identité du "superorganisme" perdure ?
Peut-on être "demi-mort" ?
Maintenant imaginons que la mort soit l'absence de pensée. Chauque seconde qui passe, la pensée se créer et meurt : la conscience est fugace est meurt, pour peu qu'elle ait existé. Pensée qui est biaisée par les constructions sociales
En conclusion, la mort n'existe pas, parce que nous sommes tous morts et vivants, seul le superorganisme existe et perdure Ou alors, nous mourrons tous à chaque instant
Ou alors, le libre arbitre n'existe pas et nous n'avons jamais été vivants
Peut-être que seule la réalité biologique est importante, que nous sommes des robots, et que savoir si la mort existe / savoir si l'on perdure, est une question qui n'a pas de sens
Si tu veux une réponse, commence par poser une question cohérente
Parce que sur des questions comme celle-ci même le plus brillant des cerveaux humains ne peut pas répondre pour la simple et bonne raison que la vie sur Terre ou l'existence même de l'univers sont des questions qui dépassent très largement nos capacités et notre logique
Peut-être il y a quelque chose après la mort et peut-être il n'y a rien, il y a sûrement des millions ou des milliards de choses qui existent que l'on ne connaît pas et que l'on ne connaîtra jamais que ce soit sur terre ou dans l'univers donc tout est possible mais de là à avoir un avis ferme et définitif faut être sacrément gonflé.
JvArchive compagnon