" Je ne suis qu'un immonde amas de graisse jaunâtre, mes muscles ont fondu pour laissé place à une quantité gargantuesque de gras flasque qui s'est logée dans chose parcelle de mon corps. Mon ventre est d'une grosseur inégalable mes je peine à marcher tant mes cuisses se touchent, faisant sa frotter mes corps adipeux les uns aux autres
Je ne suis plus qu'une masse difforme, un tas informe de chair molle, gorgée de graisse et de honte. Mon corps est devenu un monument grotesque à l'abandon de soi, une ruine suintante de sucreries passées et de repas nocturnes engloutis dans la pénombre, loin des regards. Ma peau tire, s'étire, se tend sous le poids de ma propre décadence. Elle se craquelle à certains endroits, comme si même elle refusait de contenir davantage cette prison d'où je ne peux m'extraire.
Chaque pas est un supplice. Mes jambes, autrefois outils de mouvement et de liberté, ne sont plus que deux colonnes d’amas adipeux, trop épaisses pour cohabiter sans douleur. À chaque mouvement, mes cuisses s’écrasent l’une contre l’autre, provoquant une friction constante, une sensation moite, une brûlure étouffée qui ne me quitte jamais. La simple idée de gravir quelques marches me glace le sang, tant cela exige de moi un effort herculéen. Mon souffle est court, sifflant, comme s’il venait d’un autre, d’un animal malade que l’on traîne au sol.
Mon ventre, ce globe obscène, pend désormais sans honte, recouvrant partiellement mes cuisses dans un débordement de mollesse. Il se soulève et retombe à chaque respiration, comme une bête indépendante qui vit en moi et par moi. Il n’est plus une partie de moi, mais une entité, une masse qui domine le reste, qui écrase tout ce qui fut autrefois aligné, ferme, humain. Même mes bras ne me répondent plus : ils ballottent de chaque côté, pesants et ridicules, comme deux sacs pleins d'une substance flasque et inutile.
Je ne suis pas gros, je suis difforme. Je ne suis pas un corps, je suis une caricature, une exagération pathétique de la chair sans discipline. Mon reflet dans le miroir est un cauchemar dont je ne me réveille jamais. Chaque bourrelet, chaque repli, chaque trace de transpiration est une lettre de plus dans le manifeste de mon abandon. Je vis englué dans ma propre décomposition lente, un naufragé échoué dans un corps devenu marécage. "
Le 06 juillet 2025 à 21:24:16 :
Comment appelle-t-on le gras qui entoure le vagin?La femme 🤣
Le 06 juillet 2025 à 21:35:56 :
C’est toi qui a rédigé? C’est plutôt bien écrit gros tas
JvArchive compagnon