J'en veux même pas particulièrement à Le Corbusier. Le mec n'a aucun goût, oui, mais reste un architecte qui propose des idées, artisan du concept et de la théorie, celles-ci pouvant être bonnes ou mauvaise. Les siennes étaient mauvaises, certes, mais les vrais coupables sont les 68ards qui ont vu ces façades grises de béton et se sont dis : quadrillons la France de ces HORREURS
J'étais dans un de ces bunkers au collège. Le matin en voyant ce bâtiment gris, morne, austère, je ressentais dans ma chair que cet endroit POUVAIT à lui seul, faire germer en moi des idées noires ou des volontés de violence, de destruction.
L'urbanisme tourné en punition, en agression pour les sens. La gauche a vu ces bâtiments concepts et se sont dis "cela", voici où ces ânes bâtés ont envie de vivre, et vivront désormais
Moi j'aime bien.
J'ai adoré visiter la cité radieuse à Marseille. Mais je suis sûrement biaisé parce que j'ai grandi dans des grands ensembles. Je crois au modèle du grand ensemble mais seulement avec une population fréquentable. Ce sont les habitants qui font le lieu.
Le 23 juin 2025 à 08:56:06 :
Moi j'aime bien.J'ai adoré visiter la cité radieuse à Marseille. Mais je suis sûrement biaisé parce que j'ai grandi dans des grands ensembles. Je crois au modèle du grand ensemble mais seulement avec une population fréquentable. Ce sont les habitants qui font le lieu.
Bien sûr, avec la bonne population on y vit bien. Je n'excuse aucunement les communautés qui font de la vie en banlieue un enfer dans ce pamphlet.
Je ne crois pas aux grands ensembles perso. Cette idée qu'on peut mettre des gens dans un bloc de tour, si tant est qu'il a une grande forêt à côté pour compenser.
Beaucoup de bétons, beaucoup de verdure à côté. C'était la théorie. Mais ce n'est pas ainsi que vit l'espèce humaine qui, lorsqu'on la laisse seule, s'installe dans la nature, avec elle. Un peu de béton, un peu de nature, car il faut cultiver notre jardin.
[09:02:15] <GutsDuTurfu>
Le 23 juin 2025 à 08:56:06 :
Moi j'aime bien.J'ai adoré visiter la cité radieuse à Marseille. Mais je suis sûrement biaisé parce que j'ai grandi dans des grands ensembles. Je crois au modèle du grand ensemble mais seulement avec une population fréquentable. Ce sont les habitants qui font le lieu.
Bien sûr, avec la bonne population on y vit bien. Je n'excuse aucunement les communautés qui font de la vie en banlieue un enfer dans ce pamphlet.
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Je ne crois pas aux grands ensembles perso. Cette idée qu'on peut mettre des gens dans un bloc de tour, si tant est qu'il a une grande forêt à côté pour compenser.
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Beaucoup de bétons, beaucoup de verdure à côté. C'était la théorie. Mais ce n'est pas ainsi que vit l'espèce humaine qui, lorsqu'on la laisse seule, s'installe dans la nature, avec elle. Un peu de béton, un peu de nature, car il faut cultiver notre jardin.
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La Chine et globalement toute l'Asie souhaiterait s'entretenir avec toi
Avec les bons matériaux, la bonne optimisation (les logements en L et en C de la cité radieuse sont un bel exemple), on peut rendre la vie des gens très agréable dans ces ensembles. J'ai vu un exemple en Australie de résidence avec le rez de chaussée partagé pour tous les résidents : buanderie, jardins partagés, café...
C’est là qu’on voit à quel point l’appréciation de la beauté ou simplement l’engouement pour quoique ce soit est à ce point influencée par presque rien, ou un petit rien, une lubie, qui devient une sorte de hype impossible à arrêter, presque une référence, en un rien de temps...
Et tout le monde se hâte « qu’est-ce que c’est beau » alors qu’ils sont tous des perroquets et que le phénomène ne s’explique par rien d’autre que les mécanismes de la mode.
JvArchive compagnon