https://x.com/GiladCohen_/status/1921164068196675968
Profondément préoccupé par l'incident discriminatoire survenu en avril à la guesthouse Wind Villa de Kyoto, où un touriste israélien a été contraint de signer une déclaration affirmant qu'il n'avait pas commis de crimes de guerre.
[...]
J'appelle les autorités municipales de Kyoto à traiter ce dossier rapidement. Nous sommes convaincus que les autorités japonaises continueront de défendre les valeurs d'hospitalité et de respect dont le Japon est si reconnu - et veilleront à ce que tous les visiteurs se sentent les bienvenus et en sécurité.
Réaction de l'hôtel japonais:
https://x.com/windvilla/status/1921658017915015451?s=46
"L'engagement de non-implication dans les crimes de guerre" de notre établissement ne s'applique pas sur la base de la "nationalité", mais concerne les personnes ayant appartenu à une organisation militaire reconnue coupable de crimes de guerre par la Cour pénale internationale (CPI). Par conséquent, cette politique ne constitue pas une "discrimination fondée sur la nationalité."
La discrimination, par définition, implique un traitement inégal envers des individus pour des raisons indépendantes de leur volonté. Par exemple, infliger une violence injuste, confisquer des terres et des foyers, refuser une protection juridique ou détenir indéfiniment sans procès des personnes simplement parce qu'elles sont palestiniennes constitue clairement une "discrimination".
En revanche, l'engagement dans une armée - qu'il soit par conscription ou volontariat - relève d'un choix et d'une responsabilité personnels. Traiter différemment des individus en fonction de tels choix n'est pas discriminatoire. Cela est d'autant plus justifié lorsque le commandant en chef de cette armée fait l'objet d'un mandat d'arrêt international pour crimes de guerre.
Si les ressortissants israéliens sont plus souvent invités à signer cet engagement, cela découle des actions et politiques de leur gouvernement. D'éventuels inconvénients pour eux en résultent ? La responsabilité en incombe à leurs dirigeants. C'est une conclusion logique et naturelle.
"Si un individu impliqué dans les attaques du 7 octobre 2023 par le Hamas tentait de séjourner chez nous, nous lui demanderions également de signer cet engagement." Le fait que le Hamas ait commis des crimes de guerre et la question de savoir si un soldat israélien en est coupable sont deux sujets distincts. Utiliser le premier pour justifier le second relève d'un sophisme ("ignoratio elenchi").
C'est la CPI qui a statué sur les crimes de guerre de l'armée israélienne. En cas de désaccord, c'est au Premier ministre Netanyahu et à l'ex-ministre de la Défense Gallant - visés par des mandats d'arrêt - de se présenter devant la Cour pour y défendre leur innocence. Voilà la démarche légitime pour qui prétend respecter le droit international.
Bien que nous ne représentions ni le Japon ni Kyoto, cette position est pour nous un principe : nous estimons que ceux qui bafouent le droit international et les valeurs humanitaires ne méritent ni "hospitalité" ni "respect".
Nous espérons sincèrement pouvoir un jour accueillir des visiteurs israéliens sans réserve. Pour cela, nous exhortons respectueusement le gouvernement israélien à cesser son mépris du droit international et à adopter des politiques conformes aux principes humanitaires.
c'est aussi arrivé dans un hôtel en Norvège:
Les Japonais qui donnent des leçons de morale sur les " crimes de guerre " mais ahi ce monde est un épisode de south park géant.
Ils ont fait 5 fois, je répète 5 fois plus de morts que les Nazis, 20 millions de Chinois, toute la Malaisie, toute l'Indonésie, toute l'Indochine bordel, mais ça va, ils ont quand même inventé le turbo en mk3, la Playstation et les waifus.
Après en vrai méritax pour les Israéliens, faut qu'ils se calment eux aussi.
Le 16 mai 2025 à 14:12:38 :
Les Israéliens sont tenus de faire leur service dans Tsahal, je le rappelle
Einstein à valider la bombe atomique sur Nagasaki et Hiroshima, je le rappelle
JvArchive compagnon