Dans la baisse de l'activité sexuelles chez les jeunes
1. Illusion de choix infini = Paralysie ou frustration
Les applis comme Tinder donnent l'impression qu’on a accès à des centaines de partenaires potentiels.
Mais ce trop-plein de choix rend les gens plus exigeants ou plus hésitants, créant une "paralysie du choix".
Beaucoup de swipes, peu de vraies connexions.
2. Déséquilibres de genre et de désir
Sur la plupart des applis, les femmes reçoivent beaucoup plus d’attention que les hommes.
Résultat : une minorité d’hommes très "bankables" accapare la majorité des matchs.
Beaucoup de jeunes hommes finissent donc invisibles, frustrés, et décrochent du jeu.
3. Impact psychologique
Le rejet constant, l’absence de réponse ou les "ghostings" répétés abîment l’estime de soi.
Cela peut créer un désengagement affectif ou sexuel, par fatigue ou par protection.
Des évidences pour le forum mais des vérités qui sont pourtant largement ignoré dans les médias
Le 12 mai 2025 à 10:05:56 :
TU L'AS ÉCRIT TOI MÊME AYAAAAAA
Je jure que non j'ai été surpris qu'il soit si redpill aussi
Le 12 mai 2025 à 10:06:51 :
Intéressant, si même GPT a moitié woke speak les facts![]()
Demande lui une réponse plus détaillée![]()
1. Forte concurrence et déséquilibre de visibilité
Les applis sont très asymétriques : sur Tinder par exemple, les 10 à 20 % d’hommes considérés comme les plus attirants (en apparence) reçoivent l’essentiel des matchs.
Les autres reçoivent très peu ou pas d’attention, même s’ils sont intéressants en personne.
Résultat : énorme frustration, sentiment d'invisibilité, et baisse de confiance.
2. Ratio hommes/femmes déséquilibré
Sur certaines applis, on estime que jusqu’à 70-80 % des utilisateurs sont des hommes.
Cela crée une compétition féroce, avec une minorité de femmes très sollicitées et une majorité d’hommes mis de côté.
3. Hypergamie et logique du “top 10 %”
Beaucoup de femmes (statistiquement parlant) likent surtout des profils masculins perçus comme au-dessus de la moyenne (taille, physique, statut).
Cela pousse certains hommes à se comparer constamment, à se sentir inférieurs ou à se retirer complètement du jeu amoureux/sexuel.
Il valide toute les analyses du forum
Il conclut que face à ce problème les hommes se renferment dans le porno
« 1. « Illusion de choix infini = Paralysie ou frustration »
Contre-argument :
Oui, l’abondance de choix peut créer une certaine hésitation, mais ce phénomène n’est pas propre aux applis de rencontres, il reflète plutôt une société où les attentes individuelles sont plus conscientes et affinées. Les applis ne sont pas la cause du problème, mais un miroir de nos comportements et préférences.
En réalité, pour beaucoup, les applis élargissent considérablement les opportunités sociales notamment pour ceux qui ont des vies professionnelles prenantes, vivent dans des zones isolées, ou appartiennent à des minorités sexuelles. Cela offre plus de chances de trouver une compatibilité réelle. Le défi n’est pas l’outil, mais l’approche : en traitant les interactions avec plus d’intention que de consommation, on peut dépasser cette “paralysie”.
2. « Déséquilibres de genre et de désir »
Contre-argument :
Il est vrai que les dynamiques de visibilité peuvent être inégales, mais c’est un effet observé aussi dans les interactions sociales classiques : certaines personnes attirent plus que d’autres. La différence, c’est que les applis rendent ces dynamiques plus visibles et mesurables.
Cependant, réduire les applis à une “dictature des beaux gosses” est caricatural. Beaucoup d’hommes et de femmes trouvent des partenaires grâce à des profils originaux, à l’humour, ou à des centres d’intérêt partagés. L'algorithme favorise souvent l'engagement mutuel : un profil actif, authentique et bien soigné peut très bien compenser un manque de “bankabilité” visuelle.
Enfin, il existe une diversité d’applications avec des philosophies différentes (Bumble, Hinge, OKCupid, etc.), dont certaines corrigent activement ces déséquilibres.
3. « Impact psychologique »
Contre-argument :
Certes, le rejet ou le ghosting peuvent être durs à vivre, mais là encore, ce sont des comportements humains, pas une invention des applis. Ce type de douleur existait déjà dans les cercles sociaux classiques, souvent de manière encore plus opaque.
Les applis permettent aussi de mieux comprendre ses attentes, de poser ses limites, et d'apprendre à gérer les interactions modernes. De plus, elles offrent un espace sécurisé pour explorer des liens sans s’exposer physiquement ou émotionnellement de façon immédiate.
Et surtout, elles ne sont qu’un outil : chacun peut décider de la manière de s’en servir de façon compulsive ou bienveillante, en cherchant l'accumulation ou la qualité.
Conclusion :
Les applis de rencontres ne sont ni des paradis ni des enfers. Elles sont des extensions numériques de nos pratiques sociales, avec leurs forces et leurs pièges. Les problèmes qu’elles révèlent sont souvent des symptômes d’enjeux plus profonds rapport à soi, attentes, communication et non les causes premières. Plutôt que de diaboliser l’outil, il est plus constructif d’apprendre à mieux s’en servir.«
Conclusion : tu peux faire dire ce que tu veux à Chat GPT
JvArchive compagnon