Les USA sont vraiment allés sur la Lune

1. Échantillons lunaires (roches)

382 kg de roches lunaires ont été rapportées sur Terre par les missions Apollo (11 à 17).

Ces roches ont une composition isotopique unique, très différente de tout ce qu'on trouve sur Terre.

Elles ont été étudiées par des laboratoires du monde entier, y compris ceux de pays qui n’étaient pas alliés aux États-Unis.

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2. Témoignages et documentation technique

Plus de 400 000 personnes ont travaillé sur le programme Apollo (ingénieurs, techniciens, scientifiques).

Des milliers de pages de plans, de rapports, d’enregistrements radio entre la Terre et la Lune sont disponibles.

Les communications entre les astronautes et le centre de Houston sont encore écoutables aujourd’hui, sans coupures ni contradictions.

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3. Réflecteurs laser laissés sur la Lune

Apollo 11, 14 et 15 ont installé des panneaux réfléchissants (rétroflecteurs).

On peut encore envoyer un faisceau laser depuis la Terre et mesurer le temps qu’il met à revenir.

Ces expériences sont encore utilisées par les astronomes pour mesurer la distance Terre-Lune avec précision.

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4. Témoignages indépendants

Des observatoires en URSS et dans d'autres pays ont suivi la trajectoire des missions Apollo en temps réel.

L’Union soviétique, ennemie des États-Unis pendant la guerre froide, n’a jamais contesté les alunissages.

Si c’était une fraude, c’est le premier pays qui l’aurait dénoncée.

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5. Photos et vidéos

Les missions ont rapporté des milliers de photos (non retouchées) de la surface lunaire.

Des détails comme :

la poussière lunaire soulevée sans atmosphère,

la lumière du Soleil sans diffusion,

et les ombres convergentes en perspective, montrent qu’elles ne peuvent pas avoir été filmées en studio.

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6. Satellites modernes qui ont photographié les sites Apollo

Les sondes comme Lunar Reconnaissance Orbiter (NASA) ont pris des photos des modules lunaires restés sur place, des traces de pas, et même des équipements scientifiques toujours là.

Ces images sont disponibles en haute résolution et montrent clairement les emplacements exacts des alunissages.

1. Oui, la technologie était rudimentaire mais spécialisée, maîtrisée et suffisante

En 1969, il n’y avait pas besoin d’avoir un iPhone ou de l’intelligence artificielle pour aller sur la Lune.

Tout était fait avec des ordinateurs analogiques et numériques dédiés à une seule tâche, conçus pour voler, naviguer, et atterrir.

Le Lunar Module (LEM) avait des commandes simples, mais robustes, testées et redondantes. Il n'était pas “technologiquement avancé” au sens moderne, mais extrêmement fiable pour sa mission.

2. C’était une opération unique, pas une production industrielle

Aujourd’hui, on “galère” parce qu’on veut :

Réduire les coûts (missions commerciales)

Réutiliser les fusées

Envoyer plus de monde, plus de charge, pour des missions durables

En 1969, la NASA avait un budget colossal, un objectif unique : “planter un drapeau avant les Soviétiques”. Ils ont tout mis dedans.

Environ 4 % du budget fédéral américain, contre moins de 0,5 % aujourd’hui.

3. Le défi technologique a été relevé en partant de zéro et ça a marché

Chaque pièce du programme Apollo a été développée pour une seule chose : fonctionner une fois.

Le calcul de trajectoire, par exemple, a été fait par des ingénieurs capables de coder en assembleur sur des machines avec 2 Ko de RAM.
Ça ne semble pas “high tech” aujourd’hui, mais ça marchait, parce que c'était optimisé à l'extrême.

4. Ce n’est pas parce que “on ne le refait pas” qu’on ne l’a pas fait

C’est un biais logique : si tu escalades l’Everest une fois en 1969 avec une équipe de fous, et que plus personne ne retourne exactement par ce chemin, ça ne veut pas dire que tu as menti.

Le programme Apollo a coûté l’équivalent de 150 à 200 milliards d’euros actuels. On n’y est plus retourné par choix politique et économique, pas par impossibilité technique.

Les chinois et les indiens ont photographié les sites américains (avec les dechets et tout le bordel) avec leurs sondes
Une explication les complotix ?

"Hi guys ! Dans 50 ans, quand vous lancerez vos propres fusées, vous direz aux médias que vous avez vu nos sites lunaires et vous fabriquerez des fausses photos numériques. OKIDOKI ?"