Le 11 mai 2025 à 11:25:00 :
Laisse les femmes tranquilles
Oui pardon je sais pas ce qui m'a pris.
Le 11 mai 2025 à 11:25:47 :
Les écologistes s'inquiètent de la pollution des eaux, moi je m'inquiéterais plutôt de la pollution littéraire de ces MIDINETTES.
Je ne te reconnais plus bbsimp, je suis choquée
Le 11 mai 2025 à 11:26:29 :
Le 11 mai 2025 à 11:25:47 :
Les écologistes s'inquiètent de la pollution des eaux, moi je m'inquiéterais plutôt de la pollution littéraire de ces MIDINETTES.Je ne te reconnais plus bbsimp, je suis choquée
Pardon c'est mon petit cousin aigri qui a pris mon compte jvdotcom pendant que j'étais aux toilettes... Putain on peut plus faire confiance à personne.
Le 11 mai 2025 à 11:26:02 :
Le 11 mai 2025 à 11:25:00 :
Laisse les femmes tranquillesOui pardon je sais pas ce qui m'a pris.
Tu arrêtes tout de suite
Le 11 mai 2025 à 11:28:47 :
Le 11 mai 2025 à 11:26:29 :
Le 11 mai 2025 à 11:25:47 :
Les écologistes s'inquiètent de la pollution des eaux, moi je m'inquiéterais plutôt de la pollution littéraire de ces MIDINETTES.Je ne te reconnais plus bbsimp, je suis choquée
Pardon c'est mon petit cousin aigri qui a pris mon compte jvdotcom pendant que j'étais aux toilettes... Putain on peut plus faire confiance à personne.
En plus tu n’assumes pas
Ça suffit tu arrêtes maintenant, redevient gentil avec les madames !
Le 11 mai 2025 à 11:28:24 :
Quel type de texte rédigent-elles ?
J'en sais rien moi, c'était un avis hautement controversé de mon petit cousin masculiniste (il fait 45kg et n'a pas encore mué). Elles écrivent sûrement des textes très touchants, nous délivrent en avant-première de ces mots secrets que les femmes d'habitude réservent à leurs nouveaux-nés.
Le 11 mai 2025 à 11:29:55 :
Le 11 mai 2025 à 11:28:47 :
Le 11 mai 2025 à 11:26:29 :
Le 11 mai 2025 à 11:25:47 :
Les écologistes s'inquiètent de la pollution des eaux, moi je m'inquiéterais plutôt de la pollution littéraire de ces MIDINETTES.Je ne te reconnais plus bbsimp, je suis choquée
Pardon c'est mon petit cousin aigri qui a pris mon compte jvdotcom pendant que j'étais aux toilettes... Putain on peut plus faire confiance à personne.
En plus tu n’assumes pas
Ça suffit tu arrêtes maintenant, redevient gentil avec les madames !
Mais je le jure !..
Le 11 mai 2025 à 11:30:20 :
Le 11 mai 2025 à 11:28:24 :
Quel type de texte rédigent-elles ?J'en sais rien moi, c'était un avis hautement controversé de mon petit cousin masculiniste (il fait 45kg et n'a pas encore mué). Elles écrivent sûrement des textes très touchants, nous délivrent en avant-première de ces mots secrets que les femmes d'habitude réservent à leurs nouveaux-nés.
Voilà, je préfère !
Chapitre 1 : Le Murmure de l'Ombre
La pluie tombait drue cette nuit-là, battant les vitres des petites maisons serrées comme des pierres dans un vieux jardin clos. La ville de Valmont, nichée dans la vallée, semblait avoir été oubliée du monde. Seules les silhouettes des arbres, au bord des ruelles étroites, se dessinaient vaguement dans la brume, leurs branches frémissant sous le poids de l’eau.
Dans l’une de ces maisons, au cœur de la ville, une lumière vacillait à travers les rideaux épais. La silhouette de Claire s’agitait dans la pénombre, ses pas résonnant sur le parquet usé. Elle tenait une lettre, crispée entre ses doigts tremblants. Cette lettre, elle l’avait reçue ce matin, et depuis, elle n’avait cessé de l’observer, comme si elle pouvait y lire un message caché, comme si chaque mot inscrite en noir et blanc pouvait lui dévoiler un secret. Mais tout ce qu'elle voyait, c'était un nom, un seul mot : "Retrouvez-le."
Elle s’approcha du bureau, éclairé par une lampe à huile, et posa la lettre. Ses yeux se posèrent sur la vieille horloge en bois, suspendue au mur, qui égrenait les minutes avec un tic-tac incessant. La pendule indiquait déjà une heure avancée, mais elle savait que ce n'était pas la nuit qui pesait sur elle, c’était l'inquiétude, la crainte d’un appel qu'elle n’avait pas voulu recevoir, d’un mystère qu'elle n’avait pas voulu affronter.
Elle se laissa tomber dans le fauteuil en cuir, son regard se perdant dans la poussière soulevée par la lampe. La ville dehors était silencieuse, trop silencieuse. Elle savait qu’il ne fallait pas qu’elle y pense, qu’elle ne devait pas se laisser emporter par ces pensées qui venaient la hanter, mais elle ne pouvait s’en empêcher. Depuis qu'elle avait quitté Paris, elle avait cherché à fuir son passé, à oublier les événements qui l'avaient poussée à cette fuite. Mais voilà que le passé revenait à sa porte, comme un invité indésirable qu’on croyait avoir chassé à jamais.
La porte d’entrée se referma dans un grincement. Claire se redressa brusquement, son cœur battant plus vite. Était-ce lui ? L’ombre qui l'avait suivie jusqu’ici ?
Un bruit sourd, un pas lourd dans le hall, puis un souffle, à peine perceptible. Elle se leva, sans un bruit, avançant sur la pointe des pieds, son regard fixé sur l’ombre qui se dessinait à travers la porte entrouverte. Un frisson parcourut sa nuque. Ce n’était pas un rêve. Ce n’était pas une illusion. Quelqu’un était là, à sa recherche, à sa porte.
La porte s’ouvrit lentement, laissant apparaître une silhouette dans l’encadrement. Un homme, grand et sombre, les traits dissimulés par l’obscurité. Il ne bougeait pas, il la scrutait simplement, comme s’il savait qu’elle l’observait déjà.
"Je savais que tu viendrais," murmura-t-elle, sa voix à peine audible.
L’homme sourit, mais ce n’était pas un sourire rassurant. Un sourire vide, presque amusé.
"Tu ne m'attendais pas ?"
Le vent se leva soudainement, soufflant à travers la fenêtre ouverte. Un bruit de verre brisé, puis un murmure étrange, comme une voix lointaine, s’éleva dans la nuit.
Et à cet instant précis, Claire sut qu’il n’était pas là pour lui rendre une visite de courtoisie. Il n’était pas là pour parler.
Le jeu venait de commencer.
Le 11 mai 2025 à 11:32:49 :
Cette vieille blague de tonton... "gneu gneu c'est mon petit cousin de 14 ans qui a écrit à ma place"
T'es jaloux parce que ma sœur a eu un enfant et pas toi ?
Le 11 mai 2025 à 11:33:37 :
Chapitre 1 : Le Murmure de l'OmbreLa pluie tombait drue cette nuit-là, battant les vitres des petites maisons serrées comme des pierres dans un vieux jardin clos. La ville de Valmont, nichée dans la vallée, semblait avoir été oubliée du monde. Seules les silhouettes des arbres, au bord des ruelles étroites, se dessinaient vaguement dans la brume, leurs branches frémissant sous le poids de l’eau.
[...]
La faute à dru donne envie de lire, un peu. Ça fait presque organique. Bientôt on ne réussira à s'attacher qu'aux textes avec des fautes, à up en temps voulu.
JvArchive compagnon