Tous puceaux -- une eschatologie

Not readyent pour cette thèse rédigée par un théologien professionnel. Suivez les conseils d'Origène et ne cédez rien les kheys, ne répandez pas vos précieux fluides On se rapproche de la fin des temps c'est parfait.

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Demain, tous puceaux ?

Et si la fin des temps passait par la fin des rapports sexuels ?

Et si le monde, au lieu de sombrer dans une apocalypse nucléaire, s’arrêtait… faute de procréation ? Non pas à cause d’une chute démographique ou d’un désintérêt culturel, mais parce que l’humanité entière aurait choisi la chasteté parfaite, librement, par amour de Dieu.

Utopie mystique ? Délire puritain ? Et pourtant, cette hypothèse repose sur une logique théologique sérieuse, enracinée dans la Bible, la tradition chrétienne, et l’enseignement officiel de l’Église.

La virginité, vraiment meilleure que le mariage ?

Oui, c’est un enseignement officiel et infaillible de l’Église catholique : vivre dans la virginité consacrée est un état spirituellement supérieur au mariage, non parce que le mariage est mauvais (il est saint et sacramentel), mais parce que la virginité anticipe la vie éternelle, où “on ne prendra ni femme ni mari” (cf. Matthieu 22,30).

Cela ne signifie pas que tout le monde doive devenir moine ou nonne, mais cela ouvre une question audacieuse : si la virginité est un bien plus élevé, ne serait-il pas logique -- voire désirable -- que, par grâce, tous les êtres humains y soient appelés un jour ?
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Et la procréation, alors ?

On objectera : “Mais enfin, si plus personne ne fait l’amour, l’humanité s’éteint !”
Oui. Mais… et si c’était justement le signe que le monde touche à sa fin ?

Dans la théologie chrétienne, la procréation est un bien temporaire, nécessaire dans l’histoire, mais appelé à disparaître dans la vie future. La fécondité ultime n’est pas biologique, mais spirituelle : faire naître des âmes à la vie divine.

Ce n’est donc pas absurde d’imaginer que, par une surabondance de grâce, l’humanité finisse par ne plus désirer le mariage ni les rapports sexuels, non par peur ou rejet du corps, mais parce qu’elle aurait découvert une joie plus haute, plus durable, plus pleine.
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Pas une obligation, mais une possibilité

Il ne s’agirait pas d’une loi de l’Église, ni d’une interdiction de se marier (ce que saint Paul condamne fermement dans ses lettres). Il s’agirait d’un phénomène libre, personnel, universel, où chacun choisirait, non par contrainte mais par amour, une vie totalement consacrée à Dieu.

Une telle évolution serait un effet secondaire, non une stratégie : l’Église ne cherche pas à éradiquer la sexualité, mais à conduire les âmes à la sainteté. Et si cette sainteté conduisait à une continence généralisée… cela deviendrait simplement le signe que le Royaume de Dieu est tout proche.
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Folie ou prophétie ?

L’idée peut sembler exagérée, presque comique. Et pourtant, elle est cohérente avec toute une tradition ascétique ancienne, avec la Bible, et avec la foi en une transformation finale de l’humanité.

ne répandez pas vos précieux fluides

J’en connais un qui vient de regarder « Docteur Folamour »

Le 14 mai 2025 à 05:24:09 :

ne répandez pas vos précieux fluides

J’en connais un qui vient de regarder « Docteur Folamour »

Oui en lisant le chad Saint Augustin Le Royaume appartient aux puceaux tardifs