Topic de Valenciennes-59 :

[OFFICIEL] Le topic des MONSTRES en DESSIN

Ce topic fait suite au désormais topic MORT "[PROJET] Devenir un MONSTRE en dessin"

Le but étant de s'encourager en postant vos créations, vos évolutions pour ceux qui débutent, s'aider les uns des autres.. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/32/1/1564992728-maitre-sticker.png
à vos crayons les crayons, en espérant que ce nouveau topax ne meurt pas dans l'oeuf https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Quel interet avec l'ia?

Le 28 avril 2025 à 16:05:53 :
Quel interet avec l'ia?

les gens cherchent L'AUTHENTICITE, l'IA ça fais marrer 2min mais ça tiens pas la route face à un travail fait par l'homme https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Le 28 avril 2025 à 16:09:54 :

Le 28 avril 2025 à 16:05:53 :
Quel interet avec l'ia?

les gens cherchent L'AUTHENTICITE, l'IA ça fais marrer 2min mais ça tiens pas la route face à un travail fait par l'homme https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Cte blague, n'importe quelle dessin sorti par l'ia en 5 secondes sera mieux reussi que tes daubes que t'a faites en 1 heure.

Arette de te prendre pour un artiste le rsaiste.

je commence, ma dernière créa, une commande pour une cover d'album peinte à l'acrylique https://image.noelshack.com/fichiers/2025/17/7/1745748975-force-fluide-sdfd.jpg https://image.noelshack.com/fichiers/2025/17/7/1745749010-force-fluide-4.jpg https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Le 28 avril 2025 à 16:05:53 :
Quel interet avec l'ia?

Filtered

J'ai jamais réussi à apprendre malgré un intérêt. J'ai pas la patience :(

Le 28 avril 2025 à 16:11:56 :

Le 28 avril 2025 à 16:09:54 :

Le 28 avril 2025 à 16:05:53 :
Quel interet avec l'ia?

les gens cherchent L'AUTHENTICITE, l'IA ça fais marrer 2min mais ça tiens pas la route face à un travail fait par l'homme https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Cte blague, n'importe quelle dessin sorti par l'ia en 5 secondes sera mieux reussi que tes daubes que t'a faites en 1 heure.

Arette de te prendre pour un artiste le rsaiste.

"Cte blague, n'importe quelle dessin sorti par l'ia en 5 secondes sera mieux reussi que tes daubes que t'a faites en 1 heure. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/41/4/1570720508-335-full.png "

En tout, tu peut grave baiser des meufs si tu es fort en dessin.

MP si tu veux savoir comment faire

Le 28 avril 2025 à 16:13:30 :

Le 28 avril 2025 à 16:11:56 :

Le 28 avril 2025 à 16:09:54 :

Le 28 avril 2025 à 16:05:53 :
Quel interet avec l'ia?

les gens cherchent L'AUTHENTICITE, l'IA ça fais marrer 2min mais ça tiens pas la route face à un travail fait par l'homme https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Cte blague, n'importe quelle dessin sorti par l'ia en 5 secondes sera mieux reussi que tes daubes que t'a faites en 1 heure.

Arette de te prendre pour un artiste le rsaiste.

"Cte blague, n'importe quelle dessin sorti par l'ia en 5 secondes sera mieux reussi que tes daubes que t'a faites en 1 heure. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/41/4/1570720508-335-full.png "

Ha le niveau que t'as en dessous de ton pseudo c'est ton qi en fait, je savais pas.

Le 28 avril 2025 à 16:13:11 :
J'ai jamais réussi à apprendre malgré un intérêt. J'ai pas la patience :(

on a tous 10 min par jour, ça suffit pour bien choper les bases, pas besoin d'enchainer les heures, c'est d'ailleurs l'erreur que font les débutant qui s'en dégoutent https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Le 28 avril 2025 à 16:14:46 :

Le 28 avril 2025 à 16:13:30 :

Le 28 avril 2025 à 16:11:56 :

Le 28 avril 2025 à 16:09:54 :

Le 28 avril 2025 à 16:05:53 :
Quel interet avec l'ia?

les gens cherchent L'AUTHENTICITE, l'IA ça fais marrer 2min mais ça tiens pas la route face à un travail fait par l'homme https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Cte blague, n'importe quelle dessin sorti par l'ia en 5 secondes sera mieux reussi que tes daubes que t'a faites en 1 heure.

Arette de te prendre pour un artiste le rsaiste.

"Cte blague, n'importe quelle dessin sorti par l'ia en 5 secondes sera mieux reussi que tes daubes que t'a faites en 1 heure. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/41/4/1570720508-335-full.png "

Ha le niveau que t'as en dessous de ton pseudo c'est ton qi en fait, je savais pas.

Contre son camp :)

C’est par exemple à une métaphore de ce genre, dans un tableau, représentant le port de Carquethuit, tableau qu’il avait terminé depuis peu de jours et que je regardai longuement, qu’Elstir avait préparé l’esprit du spectateu en n’employant pour la petite ville que des termes marins, et que des termes urbains pour la mer. Soit que les maisons cachassent une partie du port, un bassin de calfatage ou peut-être la mer même s’enfonçant en golfe dans les terres ainsi que cela arrivait constamment dans ce pays de Balbec, de l’autre côté de la pointe avancée où était construite la ville, les toits étaient dépassés (comme ils l’eussent été par des cheminées ou par des clochers) par des mâts, lesquels avaient l’air de faire des vaisseaux auxquels ils appartenaient quelque chose de citadin, de construit sur terre, impression qu’augmentaient d’autres bateaux, demeurés le long de la jetée, mais en rangs si pressés que les hommes y causaient d’un bâtiment à l’autre sans qu’on pût distinguer leur séparation et l’interstice de l’eau, et ainsi cette flottille de pêche avait moins l’air d’appartenir à la mer que, par exemple, les églises de Criquebec qui, au loin, entourées d’eau de tous côtés parce qu’on les voyait sans la ville, dans un poudroiement de soleil et de vagues, semblaient sortir des eaux, soufflées en albâtre ou en écume et, enfermées dans la ceinture d’un arc-en-ciel versicolore, former un tableau irréel et mystique. Dans le premier plan de la plage, le peintre avait su habituer les yeux à ne pas reconnaître de frontière fixe, de démarcation absolue, entre la terre et l’océan. Des hommes qui poussaient des bateaux à la mer couraient aussi bien dans les flots que sur le sable, lequel mouillé, réfléchissait déjà les coques comme s’il avait été de l’eau. La mer elle-même ne montait pas régulièrement, mais suivait les accidents de la grève, que la perspective déchiquetait encore davantage, si bien qu’un navire en pleine mer, à demi caché par les ouvrages avancés de l’arsenal, semblait voguer au milieu de la ville ; des femmes qui ramassaient des crevettes dans les rochers avaient l’air, parce qu’elles étaient entourées d’eau et à cause de la dépression qui, après la barrière circulaire des roches, abaissait la plage (des deux côtés les plus rapprochés de terre) au niveau de la mer, d’être dans une grotte marine surplombée de barques et de vagues, ouverte et protégée au milieu des flots écartés miraculeusement. Si tout le tableau donnait cette impression des ports où la mer entre dans la terre, où la terre est déjà marine, et la population amphibie, la force de l’élément marin éclatait partout ; et près des rochers, à l’entrée de la jetée, où la mer était agitée, on sentait aux efforts des matelots et à l’obliquité des barques couchées en angle aigu devant la calme verticalité de l’entrepôt, de l’église, des maisons de la ville, où les uns rentraient, d’où les autres partaient pour la pêche, qu’ils trottaient rudement sur l’eau comme sur un animal fougueux et rapide dont les soubresauts, sans leur adresse, les eussent jetés à terre. Une bande de promeneurs sortait gaiement en une barque secouée comme une carriole ; un matelot joyeux, mais attentif aussi, la gouvernait comme avec des guides, menait la voile fougueuse, chacun se tenait bien à sa place pour ne pas faire trop de poids d’un côté et ne pas verser, et on courait ainsi par les champs ensoleillés dans les sites ombreux, dégringolant les pentes. C’était une belle matinée malgré l’orage qu’il avait fait. Et même on sentait encore les puissantes actions qu’avait à neutraliser le bel équilibre des barques immobiles, jouissant du soleil et de la fraîcheur, dans les parties où la mer était si calme que les reflets avaient presque plus de solidité et de réalité que les coques vaporisées par un effet de soleil et que la perspective faisait s’enjamber les unes les autres. Ou plutôt on n’aurait pas dit d’autres parties de la mer. Car entre ces parties, il y avait autant de différence qu’entre l’une d’elles et l’église sortant des eaux, et les bateaux derrière la ville. L’intelligence faisait ensuite un même élément de ce qui était, ici noir dans un effet d’orage, plus loin tout d’une couleur avec le ciel et aussi verni que lui, et là si blanc de soleil, de brume et d’écume, si compact, si terrien, si circonvenu de maisons, qu’on pensait à quelque chaussée de pierres ou à un champ de neige, sur lequel on était effrayé de voir un navire s’élever en pente raide et à sec comme une voiture qui s’ébroue en sortant d’un gué, mais qu’au bout d’un moment, en y voyant sur l’étendue haute et inégale du plateau solide des bateaux titubants, on comprenait, identique en tous ces aspects divers, être encore la mer.

Bien qu’on dise avec raison qu’il n’y a pas de progrès, pas de découvertes en art, mais seulement dans les sciences, et que chaque artiste recommençant pour son compte un effort individuel ne peut y être aidé ni entravé par les efforts de tout autre, il faut pourtant reconnaître que dans la mesure où l’art met en lumière certaines lois, une fois qu’une industrie les a vulgarisées, l’art antérieur perd rétrospectivement un peu de son originalité. Depuis les débuts d’Elstir, nous avons connu ce qu’on appelle « d’admirables » photographies de paysages et de villes. Si on cherche à préciser ce que les amateurs désignent dans ce cas par cette épithète, on verra qu’elle s’applique d’ordinaire à quelque image singulière d’une chose connue, image différente de celles que nous avons l’habitude de voir, singulière et pourtant vraie et qui à cause de cela est pour nous doublement saisissante parce qu’elle nous étonne, nous fait sortir de nos habitudes, et tout à la fois nous fait rentrer en nous-même en nous rappelant une impression. Par exemple telle de ces photographies « magnifiques » illustrera une loi de la perspective, nous montrera telle cathédrale que nous avons l’habitude de voir au milieu de la ville, prise au contraire d’un point choisi d’où elle aura l’air trente fois plus haute que les maisons et faisant éperon au bord du fleuve d’où elle est en réalité distante. Or, l’effort d’Elstir de ne pas exposer les choses telles qu’il savait qu’elles étaient, mais selon ces illusions optiques dont notre vision première est faite, l’avait précisément amené à mettre en lumière certaines de ces lois de perspective, plus frappantes alors, car l’art était le premier à les dévoiler. Un fleuve, à cause du tournant de son cours, un golfe à cause du rapprochement apparent des falaises, avaient l’air de creuser au milieu de la plaine ou des montagnes un lac absolument fermé de toutes parts. Dans un tableau pris de Balbec par une torride journée d’été, un rentrant de la mer semblait enfermé dans des murailles de granit rose, n’être pas la mer, laquelle commençait plus loin. La continuité de l’océan n’était suggérée que par des mouettes qui, tournoyant sur ce qui semblait au spectateur de la pierre, humaient au contraire l’humidité du flot. D’autres lois se dégageaient de cette même toile comme, au pied des immenses falaises, la grâce lilliputienne des voiles blanches sur le miroir bleu où elles semblaient des papillons endormis, et certains contrastes entre la profondeur des ombres et la pâleur de la lumière. Ces jeux des ombres, que la photographie a banalisés aussi, avaient intéressé Elstir au point qu’il s’était complu autrefois à peindre de véritables mirages, où un château coiffé d’une tour apparaissait comme un château circulaire complètement prolongé d’une tour à son faîte, et en bas d’une tour inverse, soit que la pureté extraordinaire d’un beau temps donnât à l’ombre qui se reflétait dans l’eau la dureté et l’éclat de la pierre, soit que les brumes du matin rendissent la pierre aussi vaporeuse que l’ombre. De même au delà de la mer, derrière une rangée de bois une autre mer commençait, rosée par le coucher du soleil et qui était le ciel. La lumière, inventant comme de nouveaux solides, poussait la coque du bateau qu’elle frappait, en retrait de celle qui était dans l’ombre, et disposait comme les degrés d’un escalier de cristal la surface matériellement plane, mais brisée par l’éclairage de la mer au matin. Un fleuve qui passe sous les ponts d’une ville était pris d’un point de vue tel qu’il apparaissait entièrement disloqué, étalé ici en lac, aminci là en filet, rompu ailleurs par l’interposition d’une colline couronnée de bois où le citadin va le soir respirer la fraîcheur du soir ; et le rythme même de cette ville bouleversée n’était assuré que par la verticale inflexible des clochers qui ne montaient pas, mais plutôt, selon le fil à plomb de la pesanteur marquant la cadence comme dans une marche triomphale, semblaient tenir en suspens au-dessous d’eux toute la masse plus confuse des maisons étagées dans la brume, le long du fleuve écrasé et décousu. Et (comme les premières œuvres d’Elstir dataient de l’époque où on agrémentait les paysages par la présence d’un personnage) sur la falaise ou dans la montagne, le chemin, cette partie à demi humaine de la nature, subissait comme le fleuve ou l’océan les éclipses de la perspective. Et soit qu’une arête montagneuse, ou la brume d’une cascade, ou la mer, empêchât de suivre la continuité de la route, visible pour le promeneur mais non pour nous, le petit personnage humain en habits démodés perdu dans ces solitudes semblait souvent arrêté devant un abîme, le sentier qu’il suivait finissant là, tandis que, trois cents mètres plus haut dans ces bois de sapins, c’est d’un œil attendri et d’un cœur rassuré que nous voyions reparaître la mince blancheur de son sable hospitalier au pas du voyageur, mais dont le versant de la montagne nous avait dérobé, contournant la cascade ou le golfe, les lacets intermédiaires.

L’effort qu’Elstir faisait pour se dépouiller en présence de la réalité de toutes les notions de son intelligence était d’autant plus admirable que cet homme qui, avant de peindre, se faisait ignorant, oubliait tout par probité, car ce qu’on sait n’est pas à soi, avait justement une intelligence exceptionnellement cultivée.

Peoust sur les métaphores en peintures.
Au passage elles sont super tes peintures l'OP https://image.noelshack.com/fichiers/2025/17/1/1745263942-kellin-7-removebg-preview.png
Première page (je ne dessine pas)

Le 28 avril 2025 à 16:22:16 :
Au passage elles sont super tes peintures l'OP https://image.noelshack.com/fichiers/2025/17/1/1745263942-kellin-7-removebg-preview.png

merci kheyou https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Le 28 avril 2025 à 16:24:05 :
Première page (je ne dessine pas)

dessine https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Le 28 avril 2025 à 16:37:56 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2025/18/1/1745851050-img-20250428-163707.jpg https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

ayaaa bordel https://image.noelshack.com/fichiers/2022/24/6/1655577587-ahi-triangle-clopent.png

Données du topic

Auteur
Valenciennes-59
Date de création
28 avril 2025 à 16:05:34
Nb. messages archivés
252
Nb. messages JVC
243
Voir le topic sur JVC

Afficher uniquement les messages de l'auteur du topic

En ligne sur JvArchive

JvArchive compagnon

Découvrez JvArchive compagnon , l'userscript combattant la censure abusive sur le 18-25 !