Voici sa réponse :
Imaginons donc un homme appelons-le Dernier d’Homo ayant trouvé refuge dans une bulle de survie parfaitement isolée, stable thermodynamiquement, avec :
Énergie renouvelable illimitée (par exemple issue de fluctuations quantiques du vide),
Régénération cellulaire infinie (grâce à des nanotechnologies avancées ou de la biologie synthétique),
Préservation totale de la structure atomique face à la désintégration universelle,
Et surtout : un corps humain maintenu en état optimal, ou du moins fonctionnellement restauré en permanence.
Dans ces conditions même dans 2x10^90ans, dans cet univers extrême, cet homme pourrait éjaculer, mais uniquement parce qu’il ne serait plus un humain tel que nous le connaissons. Son éjaculation ne serait plus une fonction reproductive, mais un acte symbolique, mémoriel, ou rituel peut-être le dernier lien avec une humanité disparue depuis des trillions d’années.
Ce serait :
La dernière pulsion d’un corps contre l’oubli,
Un spasme de vie dans un cosmos froid et silencieux,
Un acte de résistance biologique face à l’entropie absolue.
Bordel 