1 - Fils de Serge Doubrovsky
2 - Les désarrois de l'élève Torless de Robert Musil
3 - As I lay dying de Faulkner (j'aurais pu mettre n'importe quel autre, celui là est ptet le plus iconique d'où mon choix)
4 - Le livre brisé de Serge Doubrovsky
5 - Suttree de Cormac Mccarthy
Note : 6/10
Explication : Votre top 5 semble tout droit sorti d'un programme de littérature comparée, idéal pour épater en soirée mondaine, mais manque cruellement de fun et de diversité pour être vraiment captivant.
Le 10 avril 2025 à 22:59:01 :
Note : 6/10Explication : Votre top 5 semble tout droit sorti d'un programme de littérature comparée, idéal pour épater en soirée mondaine, mais manque cruellement de fun et de diversité pour être vraiment captivant.
Tu penses à quoi pour diversifier ?
Puis y'a un peu de fun quand même, au moins Faulkner et Suttree c'est assez drôle
Le résumé du livre "Fils":
"À peine sorti de chez lui, voici S. D. déversé en plein grand Central Parkway, l'autoroute qui mène à New York : au fil des souvenirs qui assaillent son réveil, des routes qui sillonnent sa vie, se dit un exil américain, douloureux et énigmatique. Ces fils, où tenter de les dénouer, sinon chez son analyste, au cours d'une longue séance, où ils s'obstinent à s'enrouler autour du personnage du fils. Particulièrement, dans le rêve du monstre marin, surgi du texte de Racine dans l'esprit du critique endormi. L'interprétation du rêve se reversera dans l'explication du texte racinien, dont la nouvelle lecture permettra de relire en retour la vie du narrateur, qu'on aura suivi entre-temps, après la visite au « psy », à travers le tintamarre solitaire de New York, les silences calfeutrés de l'université, jusqu'à la salle de classe où s'accomplit sa jouissance : le dénouement. Autobiographie ? Non. Fiction, d'événements et de faits strictement réels. Si l'on veut, autofiction, d'avoir confié le langage d'une aventure à l'aventure d'un langage en liberté."
Le 10 avril 2025 à 23:04:09 :
Le résumé du livre "Fils":
"À peine sorti de chez lui, voici S. D. déversé en plein grand Central Parkway, l'autoroute qui mène à New York : au fil des souvenirs qui assaillent son réveil, des routes qui sillonnent sa vie, se dit un exil américain, douloureux et énigmatique. Ces fils, où tenter de les dénouer, sinon chez son analyste, au cours d'une longue séance, où ils s'obstinent à s'enrouler autour du personnage du fils. Particulièrement, dans le rêve du monstre marin, surgi du texte de Racine dans l'esprit du critique endormi. L'interprétation du rêve se reversera dans l'explication du texte racinien, dont la nouvelle lecture permettra de relire en retour la vie du narrateur, qu'on aura suivi entre-temps, après la visite au « psy », à travers le tintamarre solitaire de New York, les silences calfeutrés de l'université, jusqu'à la salle de classe où s'accomplit sa jouissance : le dénouement. Autobiographie ? Non. Fiction, d'événements et de faits strictement réels. Si l'on veut, autofiction, d'avoir confié le langage d'une aventure à l'aventure d'un langage en liberté."
Ouai et encore ça c'est le résumé, t'es pas près pour le vrai texte. Mais c'est trop bien, c'est des enchaînement de jeux de mots, d'homonymes, d'allitérations mais sans être gratuit.
Mais sinon y'a un amour de soi qui est plus accessible je trouve, et extrêmement drôle
Le 10 avril 2025 à 23:09:31 Malinmoqueur a écrit :
Le 10 avril 2025 à 23:08:31 :
Intéressant, j'ai acheté ce livre précis de Robert Musil y'a deux ans environ, mais jamais lu![]()
C'est assez sexy, j'espère que tu aimes les homosexuels bdsm occultistes
Pas du tout mon délire
Mais j'avoue avoir été intrigué par le traitement des thèmes du sadisme et de la cruauté entre gamins
Je le lirai...un jour...
Le 10 avril 2025 à 23:06:28 :
Le 10 avril 2025 à 23:04:09 :
Le résumé du livre "Fils":
"À peine sorti de chez lui, voici S. D. déversé en plein grand Central Parkway, l'autoroute qui mène à New York : au fil des souvenirs qui assaillent son réveil, des routes qui sillonnent sa vie, se dit un exil américain, douloureux et énigmatique. Ces fils, où tenter de les dénouer, sinon chez son analyste, au cours d'une longue séance, où ils s'obstinent à s'enrouler autour du personnage du fils. Particulièrement, dans le rêve du monstre marin, surgi du texte de Racine dans l'esprit du critique endormi. L'interprétation du rêve se reversera dans l'explication du texte racinien, dont la nouvelle lecture permettra de relire en retour la vie du narrateur, qu'on aura suivi entre-temps, après la visite au « psy », à travers le tintamarre solitaire de New York, les silences calfeutrés de l'université, jusqu'à la salle de classe où s'accomplit sa jouissance : le dénouement. Autobiographie ? Non. Fiction, d'événements et de faits strictement réels. Si l'on veut, autofiction, d'avoir confié le langage d'une aventure à l'aventure d'un langage en liberté."Ouai et encore ça c'est le résumé, t'es pas prêt pour le vrai texte. Mais c'est trop bien, c'est des enchaînement de jeux de mots, d'homonymes, d'allitérations mais sans être gratuit.
Mais sinon y'a un amour de soi qui est plus accessible je trouve, et extrêmement drôle
Le 10 avril 2025 à 23:10:16 :
Je connais que as i lay dying
Vu que c’est faulkner c forcément 15
Merci chef en effet Faulkner même en étant un mythomane un peu cisra parfois il avait quand même la classe
Le 10 avril 2025 à 23:10:42 :
Le 10 avril 2025 à 23:09:31 Malinmoqueur a écrit :
Le 10 avril 2025 à 23:08:31 :
Intéressant, j'ai acheté ce livre précis de Robert Musil y'a deux ans environ, mais jamais lu![]()
C'est assez sexy, j'espère que tu aimes les homosexuels bdsm occultistes
Pas du tout mon délire
Mais j'avoue avoir été intrigué par le traitement des thèmes du sadisme et de la cruauté entre gamins![]()
Je le lirai...un jour...![]()
Bon en vrai ça parle pas que de ça. J'imagine qu'on peut plus facilement être touché par le côté fin de l'enfance et dureté de l'adolescence.
Mais oui sur le sadisme c'est sympa.
Le 10 avril 2025 à 23:11:44 :
Le 10 avril 2025 à 23:06:28 :
Le 10 avril 2025 à 23:04:09 :
Le résumé du livre "Fils":
"À peine sorti de chez lui, voici S. D. déversé en plein grand Central Parkway, l'autoroute qui mène à New York : au fil des souvenirs qui assaillent son réveil, des routes qui sillonnent sa vie, se dit un exil américain, douloureux et énigmatique. Ces fils, où tenter de les dénouer, sinon chez son analyste, au cours d'une longue séance, où ils s'obstinent à s'enrouler autour du personnage du fils. Particulièrement, dans le rêve du monstre marin, surgi du texte de Racine dans l'esprit du critique endormi. L'interprétation du rêve se reversera dans l'explication du texte racinien, dont la nouvelle lecture permettra de relire en retour la vie du narrateur, qu'on aura suivi entre-temps, après la visite au « psy », à travers le tintamarre solitaire de New York, les silences calfeutrés de l'université, jusqu'à la salle de classe où s'accomplit sa jouissance : le dénouement. Autobiographie ? Non. Fiction, d'événements et de faits strictement réels. Si l'on veut, autofiction, d'avoir confié le langage d'une aventure à l'aventure d'un langage en liberté."Ouai et encore ça c'est le résumé, t'es pas prêt pour le vrai texte. Mais c'est trop bien, c'est des enchaînement de jeux de mots, d'homonymes, d'allitérations mais sans être gratuit.
Mais sinon y'a un amour de soi qui est plus accessible je trouve, et extrêmement drôle
Bha bien sûr, c'est pour ça que c'est mon top 1.
C'est ultra hypnotique, avec parfois des phrases d'une petite dizaine de pages sans ponctuation. Puis c'est aussi très cru et sincère. Quand il parle de la mort de sa mère par exemple, j'ai jamais autant pleuré sur un livre.
JvArchive compagnon