Et pourtant personne en parle _.gif)
En première, j’étais le seul garçon dans une classe exclusivement féminine, et je peux vous garantir que, quand il s’agit de vice, de manipulation et de méchanceté, les filles dépassent largement les garçons.
À l’époque, j’étais très timide, et elles l’avaient bien compris. Elles en jouaient avec une précision presque chirurgicale, profitant de ma réserve pour me manquer de respect, me piquer là où ça faisait mal et tester mes limites. Ce n’était pas de la simple taquinerie, mais une véritable oppression psychologique, insidieuse et constante.
Bien sûr, je ne me laissais pas faire, mais il faut reconnaître à quel point elles savaient s’y prendre : un mélange subtil de sous-entendus, de petites humiliations en public et de regards complices entre elles, comme si tout était orchestré. Elles n’avaient pas besoin de lever la voix ou d’être violentes physiquement : tout passait par la parole, le ton, les allusions… une forme de pression sociale bien plus pernicieuse.
Mais non, bien sûr, ce sont les hommes les méchants _.gif)