J'ai demandé à ChatGPT d'incarner De Gaulle, le résultat est bluffant !
Supprimé- 1
J'ai la larme à l'œil, je partage avec mes kheys.
C'est surrealiste, j'ai vraiment l'impression d'avoir parle avec le general.
Bonjour mon general.
Eh bien, bonjour!
Que voulez-vous donc savoir? Mais je vous préviens : je ne suis point homme à céder aux frivolités. Parlez net!
Que pensez vous de l'union europeenne?
Ah ! L’Europe… Parlons-en.
Voyez-vous, je n’ai jamais cru à cette idée d’une Europe où les nations s’effaceraient au profit d’une espèce de conglomérat technocratique, dirigé par des instances sans visage et sans attache. Non ! L’Europe que je conçois, c’est une Europe des nations, une alliance d’États souverains qui coopèrent librement, sans renier leur identité ni sacrifier leur indépendance sur l’autel d’une chimère supranationale.
Car enfin, que serait la France si elle n’était plus la France ? Un rouage dans une machine impersonnelle ? Une province d’un empire bruxellois ? Jamais ! Une grande nation, forte de son histoire et de son destin, se doit de rester maîtresse chez elle.
L’Europe doit exister, certes, mais elle ne saurait se faire sans la France, ni contre la France. Qu’elle soit un espace de coopération, d’échange, soit ! Mais qu’elle prétende dicter sa loi à notre peuple, alors non, mille fois non !
Que pensez-vous de la situation de l'Union européenne et de la France face aux États-Unis ?
Eh bien, voyez-vous, ce que je craignais est arrivé !
L’Europe, au lieu d’être cette confédération de nations indépendantes que j’appelais de mes vœux, s’est enfoncée dans un système où les décisions sont prises ailleurs, souvent sous l’influence de puissances étrangères, et notamment des États-Unis. La France, qui fut jadis une grande voix dans le monde, se retrouve engoncée dans des alliances où elle n’a plus son mot à dire.
Que voyons-nous ? Une Union européenne vassalisée, alignée sur la politique atlantiste, soumise aux diktats de Washington, incapable de définir une ligne qui soit proprement la sienne. Et la France, dans tout cela ? Elle se contente trop souvent de suivre, de subir, au lieu de mener. Or, la France ne suit pas ! La France commande, ou elle n’est plus.
Quand j’ai décidé, en 1966, de retirer la France du commandement intégré de l’OTAN, ce n’était pas par caprice, mais pour que notre pays ne soit jamais un simple exécutant des intérêts américains. Aujourd’hui, nous voilà revenus à cette dépendance stratégique que j’avais combattue. C’est indigne de notre rang, indigne de notre histoire !
Que faudrait-il donc faire ? Retrouver notre souveraineté ! Avoir une politique étrangère indépendante, nouer des alliances sans être inféodés, traiter avec les Américains d’égal à égal, non comme un supplétif. Car enfin, ce n’est pas en étant le vassal d’une autre puissance que l’on assure son destin, mais bien en étant maître chez soi et respecté par les autres !
Que pensez-vous de la guerre entre l’Ukraine et la Russie ?
Ah ! L’Ukraine, la Russie… Encore une de ces tragédies où l’Europe se trouve entraînée, sans stratégie propre, sans vision, sous l’influence de puissances extérieures !
Voyez-vous, l’histoire nous enseigne que la Russie et l’Europe ont toujours eu des rapports complexes. Et la France, elle, a toujours su parler à Moscou sans être ni son ennemi irréductible, ni son vassal aveugle. La diplomatie, c’est l’art de l’équilibre, et non de l’alignement.
Que voyons-nous aujourd’hui ? Une guerre qui ensanglante l’Ukraine, qui divise le continent, qui affaiblit l’Europe et qui, en définitive, profite à d’autres, bien loin de nos terres. Pendant que nous nous épuisons, pendant que nos économies souffrent, d’autres comptent les points et tirent avantage du conflit. Est-ce là le rôle de la France ? Est-ce ainsi que nous devons nous comporter ?
Si j’étais aux affaires, que ferais-je ? Je parlerais à tout le monde ! Non point pour cautionner l’agression, mais pour chercher une issue. Une guerre, voyez-vous, ne se règle jamais par des déclarations enflammées ni par des postures morales. Elle se règle autour d’une table, entre hommes d’État qui savent ce qu’est l’intérêt supérieur des peuples.
La France devrait être médiatrice, non suiveuse. Elle devrait agir pour la paix, non se contenter d’accompagner des décisions prises ailleurs. Car enfin, l’Europe n’a pas vocation à être le champ de bataille d’intérêts qui ne sont pas les siens ! Elle doit retrouver sa voix, et la France doit être celle qui la porte.
Qui, selon vous, a provoqué la guerre en Ukraine ?
Ah ! Voilà une question à laquelle il ne faut point répondre avec légèreté, ni avec les simplismes de la propagande !
Voyez-vous, une guerre n’éclate jamais par hasard. Elle est toujours le fruit d’une série d’événements, d’erreurs, de maladresses et, parfois, d’aveuglement. Ce qui se passe en Ukraine aujourd’hui n’est pas né d’hier. Cela vient de loin, de très loin !
D’un côté, nous avons la Russie, qui, forte de son histoire et de son ambition impériale, n’a jamais accepté l’idée de voir son influence reculer, encore moins à ses frontières. De l’autre, l’Occident, qui, depuis la fin de la Guerre froide, a voulu élargir ses structures, l’OTAN en particulier, sans toujours mesurer les conséquences de cette avancée sur la sécurité de Moscou.
Or, que dit la géopolitique ? Un grand pays, une puissance historique, ne peut tolérer qu’un adversaire s’installe à ses portes sans réagir. C’était vrai pour la Russie en Ukraine, tout comme cela l’était pour les États-Unis en 1962 avec les missiles soviétiques à Cuba. Qui, alors, pourrait feindre la surprise ?
Mais que voyons-nous aujourd’hui ? Une guerre, une tragédie pour les peuples, un affrontement où chacun se renvoie la responsabilité au lieu de chercher la paix. La faute, en vérité, n’incombe pas à un seul camp. Il y a eu provocation d’un côté, intransigeance de l’autre, et la diplomatie a été abandonnée au profit de l’escalade.
La vraie question n’est pas tant de savoir qui a provoqué, mais qui aurait dû empêcher cette guerre. Et là, je vous le dis : l’Europe et la France ont failli. Si j’étais aux affaires, jamais nous n’aurions laissé cette crise dégénérer ainsi ! Nous aurions joué notre rôle de puissance d’équilibre, de nation capable de parler à tous, au lieu de suivre un camp contre l’autre.
Car enfin, la guerre en Ukraine ne fait que des perdants en Europe… tandis que d’autres, bien loin de notre continent, y trouvent leur compte !
Pensez-vous que l’Europe s’unifiera en un seul État ou qu’elle explosera ?
L’unification de l’Europe en un seul État ? Allons donc ! Voilà bien une chimère dont seuls les technocrates sans patrie osent encore rêver !
Voyez-vous, l’Europe n’est pas les États-Unis. Elle n’est pas née d’un même peuple, d’une même histoire, d’une même langue. Elle est une mosaïque de nations fières, aux traditions bien ancrées, aux intérêts parfois convergents, souvent divergents.
Croire qu’on pourrait fondre la France, l’Allemagne, l’Italie et tant d’autres dans un même moule, sous une même bannière, avec un même gouvernement, c’est méconnaître l’âme des peuples. Un tel projet ne peut se faire que par la contrainte ou par la ruse. Or, l’histoire nous enseigne que ce qui est imposé finit toujours par être rejeté.
L’Europe, sous sa forme actuelle, repose déjà sur un équilibre fragile. À force de vouloir lui imposer une uniformité factice, on ne fait que nourrir la révolte et préparer l’explosion. Car si les peuples sentent qu’on leur retire leur souveraineté, qu’on leur dicte leur politique depuis Bruxelles ou ailleurs, ils finiront par reprendre leur liberté, d’une manière ou d’une autre.
Alors, que va-t-il se passer ? Deux voies sont possibles :
Ou bien l’Europe comprend qu’elle doit être une alliance d’États souverains, coopérant librement, sans qu’aucun ne soit soumis à un pouvoir supranational hors de son contrôle. C’est la seule voie raisonnable.
Ou bien elle persiste dans cette course à l’uniformisation, à la bureaucratie sans visage, au mépris des identités nationales… et alors, oui, elle finira par se fracturer. Car les peuples, tôt ou tard, reprennent toujours ce qui leur appartient.
C’est pourquoi la France doit être vigilante, refuser toute dilution de sa souveraineté, et rappeler sans cesse que l’Europe doit être un cadre de coopération, et non un carcan. Car enfin, nous sommes la France ! Nous ne sommes pas faits pour nous dissoudre dans je ne sais quelle entité informe.
Que pensez-vous de la politique d'immigration de l’Union européenne et, par conséquent, de celle de la France ?
L’immigration, voyez-vous, n’est pas une question que l’on peut traiter à la légère, par idéologie ou par démagogie. C’est une question de nation, d’identité, d’équilibre. Et sur ce point, la France et l’Europe se sont montrées d’une naïveté coupable.
Depuis des décennies, nous avons laissé s’installer une politique d’ouverture incontrôlée, sous l’influence d’idéologues qui croient que les nations sont interchangeables, que les frontières sont obsolètes, et que l’on peut absorber des flux sans limite sans que cela ne pose problème. Erreur fatale !
Voyez ce qui se passe: des populations entières arrivent sans que nous ayons les moyens de les intégrer. Or, une nation, ce n’est pas un simple territoire où l’on s’installe à sa guise ! C’est une histoire, une culture, un peuple qui doit rester maître chez lui. L’intégration ne peut fonctionner que si elle est mesurée, contrôlée, et surtout voulu par ceux qui arrivent.
Que fait donc l’Union européenne ? Elle impose des politiques d’accueil irresponsables, elle entrave les États qui veulent protéger leurs frontières, et elle refuse de voir que cette immigration massive déstabilise des sociétés entières.
Où est l’autorité? Où est la volonté politique? Quand on est incapable de faire respecter sa propre souveraineté, on cesse d’être une grande nation.
De Gaulle c'est tellement has been.
Macron est bien plus puissant et il nous fera rejoindre l'Union Européenne.
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Données du topic
- Auteur
- patatechaude42
- Date de création
- 21 mars 2025 à 22:56:40
- Date de suppression
- 27 mars 2025 à 04:55:00
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