Comme dans les années 70. On vivrait en colocation, vivotant d'aides sociales et essayant de ne pas nous rabaisser dans le désespoir. Nous écririons des poèmes et des romans, certains joueraient de la musique, d'autres vivraient de contemplation et de mysticisme. L'oeuvre principale serait l'amour et le rêve, par-delà l'horizon restreint de la société actuelle, qui brime tout rêve, tout espoir, qui ramène tout au matériel et à l'utile.
Je veux que l'amour emplisse les coeurs.
Mais ça n'intéresse plus personne.