Depuis que Trump a gagné les élections, je savoure avec une intensité enivrante la tristesse des wokistes abattus.
Je transpire, je tremble, et des larmes de joie me montent aux yeux. Je me masturbe régulièrement en regardant des replays des élections, où je lâche mon sperme au sol qui durcit avec le temps.
Sur YouTube, je ne peux m’empêcher de répondre à des commentaires de détresse et de rage des gauchistes. Je leur réponds que je bois littéralement leurs larmes et après cela je me mets un stylo 4 couleur profondément dans le cul et je continue de me masturber jusqu’à l’orgasme prostatique.
C’est à ce moment là que j’imagine ce scénario avec une démocrate :
- Attends que je te fasse un peu feuille
de rose...
- Ah ! c’est bon, je sens ta langue dans la raie de mon cul... Elle entre et fouille les plis de ma rosette. Ne le déplisse pas trop le pauvre troufignon, n’est-ce pas AnnieWhisky ?
Tiens ! je te fais beau cul. Ah ! tu as fourré ta figure entière entre mes fesses... Tiens, je pète... Je te demande pardon, je n’ai pas pu me retenir !...
Ah ! tes moustaches me piquent et tu baves... cochon... tu baves. Donne-la-moi, ta grosse bitte, que je la suce... j’ai soif...
- Ah ! My sweet democrat, comme ta langue est habile. Si tu enseignes aussi bien l’orthographe que tu tailles les plumes tu dois être une institutrice épatante... Oh ! tu me picotes le trou du gland avec la langue... Maintenant, je la sens à la base du gland... tu nettoyes le repli avec ta langue chaude. Ah ! fellatrice sans pareille, tu glottines incomparablement !... Ne suce pas si fort. Tu me prends le gland entier dans ta petite bouche.
Tu me fais mal...
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
Tu me chatouilles tout le vit... Ah ! Ah ! Ne m’écrase pas les couilles... tes dents sont pointues...
C’est ça, reprends la tête du nœud, c’est là qu’il faut travailler... Tu l’aimes bien, le gland ?.. petite truie...
Ah ! Ah !... Ah !... Ah !... je... dé... charge... cochonne... elle a tout avalé...
Tiens, donne-le-moi, ton gros con, que je te suce pendant que je rebanderai...
- Va plus fort... Agite bien ta langue sur mon bouton... Le sens-tu grossir mon clitoris... dis... fais-moi les ciseaux... C’est ça... Enfonce bien le pouce dans le con et l’index dans le cul. Ah ! c’est bon !... c’est bon
Tiens ! Entends-tu mon ventre qui gargouille de plaisir... C’est ça, ta main gauche sur mon nichon gauche... Écrase la fraise... Je jouis... Tiens !... les sens-tu mes tours de cul, mes coups de reins... salaud ! c’est bon... viens me baiser.
Donne-moi vite ta bite que je la suce pour la faire rebander dur, plaçons-nous en 69, toi sur moi...
Tu bandes ferme, cochon de républicain, ça n’a pas été long, enfile-moi... Attends, il y a des poils qui se sont pris... Suce-moi les nichons... comme ça, c’est bon !...
Entre bien au fond... là, reste comme ça, ne t’en va pas... Je te serre... Je serre les fesses... Je vais bien... Je meurs... AnnieWhisky... ma sœur qui a voté Harris et Biden en 2020, l’as-tu fait autant jouir ?...
pousse bien... ça me va jusqu’au fond de l’âme... ça me fait jouir comme si je mourais... je n’en peux plus... cher
AnnieWhisky ... Je suis tellement épanoui avec toi, qui a voté pour Trump. Ah ! je n’en peux plus, je lâche tout... je jouis...
Bientôt apparut un petit bout de merde, pointu et insignifiant, qui montra la tête et rentra aussitôt dans sa caverne. Il reparut ensuite, suivi lentement et majestueusement par le reste du saucisson qui constituait un des plus beaux étrons qu’un gros intestin eût jamais produit.
Doux jésus quelle démocrate.. pousse plus fort cochonne !
La merde sortait onctueuse et ininterrompue, filée avec calme comme un câble de navire. Elle pendillait gracieusement entre les jolies fesses qui s’écartaient de plus en plus. Bientôt elle se balança plus fort. Le cul se dilata encore plus, se secoua un peu et la merde tomba, toute chaude et fumante, dans les mains du forumeur républicain qui se tendaient pour la recevoir.
Reste comme ça, laisse moi te lécher le trou du cul en faisant rouler ton étron dans mes mains.
Ensuite il l’écrasa avec volupté, puis s’en enduisit tout le corps.
Vint la merde, jaune et molle, qui tomba en plusieurs fois et, comme elle riait et se remuait, la merde tombait de côté et d’autre sur le corps du forumeur qui eut bientôt le ventre orné de plusieurs de ces limaces odoriférantes.
Laisse moi pisser sur ta bite mon forumeur républicain, je vois ta bite qui se soulève petit à petit pour pénétrer ma salle chatte bleue
Le gland se tenait, rouge comme une grosse prune, sous les yeux de la jeune femme qui, s’en rapprochant, s’accroupit de plus en plus, faisant pénétrer la bite en érection entre les bords velus du con large ouvert.
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