Ayaaa le PRÊTRE qui m'ENGUEULE pendant la CONFESSION

Le 05 septembre 2024 à 23:22:07 :

Le 05 septembre 2024 à 23:16:39 FIexyboi a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:10:30 1000Trombones a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:07:04 FIexyboi a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 22:59:03 Rothirsch1 a écrit :

> Le 05 septembre 2024 à 22:54:42 :

> > Le 05 septembre 2024 à 22:48:06 1000Trombones a écrit :

> >

> > > Je parle plutôt de la levée de l'excommunication notamment

> >

> > > Le Christ a été juridiquement condamné pour blasphème, ça ne signifie pas qu'il ait blasphémé pour autant

> >

> > > Ce qui est visible par contre, c'est le fait que depuis Vat. II les protestants n'ont aucun problème à assister à vos messes. Et il ne me semble pas que le protestantisme soit devenu catholique

> >

> > L'autorité de Pilate vient de César, l'autorité du pape vient du Christ.

> >

> > La messe est inchangée depuis les Apôtres, PAZ.

> >

>

> Saint Pie X a validé per omnia saecula saeculorum la messe tridentine

> Et votre messe n'est, si je ne m'abuse, pas la messe tridentine

>

> Par conséquent, la messe n'est pas demeurée inchangée depuis les apôtres, sinon y'aurait pas ce débat entre messe conciliaire et messe tradi.

>

> Enfin, si Pilate peut désobéir à César, pourquoi le pape ne pourrait-il pas désobéir au Christ ou même simplement se tromper ? Le pape n'est qu'un homme, et c'est là toute sa grandeur, mais il endosse la responsabilité du troupeau alors qu'il se sait faillible. Saint Pierre lui même a renié le Christ, alors croire le pape infaillible en tout point ça frôle l'idolâtrie

La seule idolâtrie me paraît ici d'aimer la forme de la messe, ses accents baroques, ah oui, le tonnerre de ses grandes orgues, les cantiques en latin, plus que son coeur véritable, l'Eucharistie, restée inchangée dans le rite ordinaire, la messe n'est pas un moment civique, elle n'est pas un moment militant, elle est la Cène vécue, et plus encore, un instant apostolique, or les apôtres prêchaient dans les langues courantes, et non dans les mots figés d'une langue morte, vouloir la messe tridentine, c'est ne pas comprendre que plus que jamais, l'Église doit être apostolique, toute l'Europe est à reconvertir, il faut s'adresser aux foules dans une langue qui leur est intelligible, et non dans les poussières du latin

La nouvelle messe, dans sa liturgie, ne porte plus autant la notion de sacré. De plus, les Apôtres avaient reçus le don d'intelligence, ce qui n'est pas le cas avéré de nos prêtres : par conséquent, les erreurs et surtout les imprécisions inhérentes à chaque traduction sont certaines, d'où l'importance du latin (et du sermon qui vient "expliquer" les textes).

L'Europe entière est à reconvertir, certes, mais elle a déjà reçu l'enseignement, ce qui lui faut c'est retrouver l'amour qu'elle avait pour Dieu. C'est bête à dire, mais quand l'être aimé se détourne, ce n'est pas en lui courant après qu'on le récupère, c'est d'ailleurs très bien écrit dans Osée 2

La "notion de sacré" ça n'existe pas, la messe est sacrée parce que :

1) lorsque le prêtre lit l'Évangile c'est le Christ lui-même qui parle

2) lors de la liturgie eucharistique le vrai Corps et le vrai Sang du Christ sont rendus substantiellement présents avec toute l'âme et la divinité du Christ lors de la consécration, puis sont offerts en sacrifice au Père par leur présentation sur l'autel.

C'est sûr que l'encensement et tous les rites de purification effectués par le prêtre ne sont pas liés à la notion de sacré, que les génuflexions sont pas liées à cette notion, etc...
D'ailleurs on se demande à quoi servent ces rites de purification et de sanctification puisque derrière le premier venu peut venir se servir et distribuer ou manger le vrai Corps et le vrai Sang comme des bonbons

Ces actes ont parfaitement leur place, mais ne définissent pas le sacré, surtout lorsqu'il sont pris dans un ordre quantitatif (à ce moment là autant créer une messe avec 120 génuflexions, peut-être qu'on s'envolera directement dans le Ciel tellement c'est sacré).

Dans le rite romain actuel les génuflexions ne sont faites que pour la Présence réelle, contrairement aux missels de 1570-1962, c'est clairement une re-sacralisation de la Messe, puisque la génuflexion est un acte d'adoration qui revient au culte de latrie du aux espèces consacrées.

Ensuite l'encensement est maintenu, il est même élargi à toutes les messes depuis le Saint Concile Vatican II, alors qu'auparavant il était interdit pour les messes basses.

La communion dans la main existe depuis les premiers temps de l'Église, elle est décrite dans les écrits des Pères canonisés.

Oui enfin les mecs se lavaient les mains et recevaient l'hostie dans un linge, c'est pas du tout comparable.

Le 05 septembre 2024 à 23:16:55 Rothirsch1 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:07:04 :

Le 05 septembre 2024 à 22:59:03 Rothirsch1 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 22:54:42 :

Le 05 septembre 2024 à 22:48:06 1000Trombones a écrit :

> Je parle plutôt de la levée de l'excommunication notamment

> Le Christ a été juridiquement condamné pour blasphème, ça ne signifie pas qu'il ait blasphémé pour autant

> Ce qui est visible par contre, c'est le fait que depuis Vat. II les protestants n'ont aucun problème à assister à vos messes. Et il ne me semble pas que le protestantisme soit devenu catholique

L'autorité de Pilate vient de César, l'autorité du pape vient du Christ.

La messe est inchangée depuis les Apôtres, PAZ.

Saint Pie X a validé per omnia saecula saeculorum la messe tridentine
Et votre messe n'est, si je ne m'abuse, pas la messe tridentine

Par conséquent, la messe n'est pas demeurée inchangée depuis les apôtres, sinon y'aurait pas ce débat entre messe conciliaire et messe tradi.

Enfin, si Pilate peut désobéir à César, pourquoi le pape ne pourrait-il pas désobéir au Christ ou même simplement se tromper ? Le pape n'est qu'un homme, et c'est là toute sa grandeur, mais il endosse la responsabilité du troupeau alors qu'il se sait faillible. Saint Pierre lui même a renié le Christ, alors croire le pape infaillible en tout point ça frôle l'idolâtrie

La seule idolâtrie me paraît ici d'aimer la forme de la messe, ses accents baroques, ah oui, le tonnerre de ses grandes orgues, les cantiques en latin, plus que son coeur véritable, l'Eucharistie, restée inchangée dans le rite ordinaire, la messe n'est pas un moment civique, elle n'est pas un moment militant, elle est la Cène vécue, et plus encore, un instant apostolique, or les apôtres prêchaient dans les langues courantes, et non dans les mots figés d'une langue morte, vouloir la messe tridentine, c'est ne pas comprendre que plus que jamais, l'Église doit être apostolique, toute l'Europe est à reconvertir, il faut s'adresser aux foules dans une langue qui leur est intelligible, et non dans les poussières du latin

La nouvelle messe, dans sa liturgie, ne porte plus autant la notion de sacré. De plus, les Apôtres avaient reçus le don d'intelligence, ce qui n'est pas le cas avéré de nos prêtres : par conséquent, les erreurs et surtout les imprécisions inhérentes à chaque traduction sont certaines, d'où l'importance du latin (et du sermon qui vient "expliquer" les textes).

L'Europe entière est à reconvertir, certes, mais elle a déjà reçu l'enseignement, ce qui lui faut c'est retrouver l'amour qu'elle avait pour Dieu. C'est bête à dire, mais quand l'être aimé se détourne, ce n'est pas en lui courant après qu'on le récupère, c'est d'ailleurs très bien écrit dans Osée 2

Edit : c'est aussi décrit dans Ezéchiel 16 au passage : "Et puis tu as mis ta confiance dans ta beauté, ta renommée t’a permis de te prostituer ; tu as prodigué tes charmes à tout passant et tu es allée avec lui ."

Il n'y a de sacré dans la messe que l'Eucharistie, et le reste se borne à éclairer le mystère, sur quoi la chrétienté entière s'est fondée, le sacrifice, le martyr, de Dieu pour l'Homme, cette relation d'amour inouïe, incompréhensible, mais qui est pourtant vécue partout dans le monde à chaque instant qu'un homme ou qu'une femme, un riche ou un pouilleux, un fort ou un pauvre, reçoit dans ses mains mortelles la Communion, voilà, une messe ce n'est que ça

Pour reprendre tes mots, le reste se "borne" à éclairer le mystère. En d'autre termes, le reste, c'est à dire la liturgie, a pour but de permettre aux fidèles de mieux saisir le mystère.

Par conséquent, le but de l'Eglise étant d'éclairer ses fidèles, il est primordial que la liturgie ne soit pas rendue la plus vague possible dans un but oeucuménique.

Le 05 septembre 2024 à 23:24:00 Dextre449 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:22:07 :

Le 05 septembre 2024 à 23:16:39 FIexyboi a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:10:30 1000Trombones a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:07:04 FIexyboi a écrit :

> Le 05 septembre 2024 à 22:59:03 Rothirsch1 a écrit :

>

> > Le 05 septembre 2024 à 22:54:42 :

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> > > Le 05 septembre 2024 à 22:48:06 1000Trombones a écrit :

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> > > > Je parle plutôt de la levée de l'excommunication notamment

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> > > > Le Christ a été juridiquement condamné pour blasphème, ça ne signifie pas qu'il ait blasphémé pour autant

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> > > > Ce qui est visible par contre, c'est le fait que depuis Vat. II les protestants n'ont aucun problème à assister à vos messes. Et il ne me semble pas que le protestantisme soit devenu catholique

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> > > L'autorité de Pilate vient de César, l'autorité du pape vient du Christ.

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> > > La messe est inchangée depuis les Apôtres, PAZ.

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> > Saint Pie X a validé per omnia saecula saeculorum la messe tridentine

>

> > Et votre messe n'est, si je ne m'abuse, pas la messe tridentine

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> > Par conséquent, la messe n'est pas demeurée inchangée depuis les apôtres, sinon y'aurait pas ce débat entre messe conciliaire et messe tradi.

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> > Enfin, si Pilate peut désobéir à César, pourquoi le pape ne pourrait-il pas désobéir au Christ ou même simplement se tromper ? Le pape n'est qu'un homme, et c'est là toute sa grandeur, mais il endosse la responsabilité du troupeau alors qu'il se sait faillible. Saint Pierre lui même a renié le Christ, alors croire le pape infaillible en tout point ça frôle l'idolâtrie

>

> La seule idolâtrie me paraît ici d'aimer la forme de la messe, ses accents baroques, ah oui, le tonnerre de ses grandes orgues, les cantiques en latin, plus que son coeur véritable, l'Eucharistie, restée inchangée dans le rite ordinaire, la messe n'est pas un moment civique, elle n'est pas un moment militant, elle est la Cène vécue, et plus encore, un instant apostolique, or les apôtres prêchaient dans les langues courantes, et non dans les mots figés d'une langue morte, vouloir la messe tridentine, c'est ne pas comprendre que plus que jamais, l'Église doit être apostolique, toute l'Europe est à reconvertir, il faut s'adresser aux foules dans une langue qui leur est intelligible, et non dans les poussières du latin

La nouvelle messe, dans sa liturgie, ne porte plus autant la notion de sacré. De plus, les Apôtres avaient reçus le don d'intelligence, ce qui n'est pas le cas avéré de nos prêtres : par conséquent, les erreurs et surtout les imprécisions inhérentes à chaque traduction sont certaines, d'où l'importance du latin (et du sermon qui vient "expliquer" les textes).

L'Europe entière est à reconvertir, certes, mais elle a déjà reçu l'enseignement, ce qui lui faut c'est retrouver l'amour qu'elle avait pour Dieu. C'est bête à dire, mais quand l'être aimé se détourne, ce n'est pas en lui courant après qu'on le récupère, c'est d'ailleurs très bien écrit dans Osée 2

La "notion de sacré" ça n'existe pas, la messe est sacrée parce que :

1) lorsque le prêtre lit l'Évangile c'est le Christ lui-même qui parle

2) lors de la liturgie eucharistique le vrai Corps et le vrai Sang du Christ sont rendus substantiellement présents avec toute l'âme et la divinité du Christ lors de la consécration, puis sont offerts en sacrifice au Père par leur présentation sur l'autel.

C'est sûr que l'encensement et tous les rites de purification effectués par le prêtre ne sont pas liés à la notion de sacré, que les génuflexions sont pas liées à cette notion, etc...
D'ailleurs on se demande à quoi servent ces rites de purification et de sanctification puisque derrière le premier venu peut venir se servir et distribuer ou manger le vrai Corps et le vrai Sang comme des bonbons

Ces actes ont parfaitement leur place, mais ne définissent pas le sacré, surtout lorsqu'il sont pris dans un ordre quantitatif (à ce moment là autant créer une messe avec 120 génuflexions, peut-être qu'on s'envolera directement dans le Ciel tellement c'est sacré).

Dans le rite romain actuel les génuflexions ne sont faites que pour la Présence réelle, contrairement aux missels de 1570-1962, c'est clairement une re-sacralisation de la Messe, puisque la génuflexion est un acte d'adoration qui revient au culte de latrie du aux espèces consacrées.

Ensuite l'encensement est maintenu, il est même élargi à toutes les messes depuis le Saint Concile Vatican II, alors qu'auparavant il était interdit pour les messes basses.

La communion dans la main existe depuis les premiers temps de l'Église, elle est décrite dans les écrits des Pères canonisés.

Oui enfin les mecs se lavaient les mains et recevaient l'hostie dans un linge, c'est pas du tout comparable.

Si le principe n'est pas respecté ça n'est pas la faute du principe, mais de ceux qui ne l'appliquent pas.

Le 05 septembre 2024 à 23:25:30 :
Ce topic rempli de petits voltaires mesquins, de Charlie Hebdos qui se pensent fins et d’Holbach ricaneurs…
Prie l’auteur, refait ta confession si tu sens que c’est nécessaire, j’aurais une pensée pour ton salut ce soir. D’ailleurs j’aimerais bien que mes kheys chrétiens prient pour moi, j’aimerais avoir à confesser les mêmes péchés que l’auteur…

Courage khey, je prierai pour toi.

Le 05 septembre 2024 à 23:25:30 Dariusandre a écrit :
Ce topic rempli de petits voltaires mesquins, de Charlie Hebdos qui se pensent fin et d’Holbach ricaneurs…
Prie l’auteur, refait ta confession si tu sens que c’est nécessaire, j’aurais une pensée pour ton salut ce soir. D’ailleurs j’aimerais bien que mes kheys chrétiens prient pour moi, j’aimerais avoir à confesser les mêmes péchés que l’auteur…

Courage khey, on est tous dans le même bateau.

Ensuite attention au scrupule, qui est une maladie spirituelle, du moment que Dextre a reçu l'absolution les péchés qu'il a confessé sont pardonnés, il n'y a pas à refaire la confession.

Une dizaine à la sainte Vierge va partir pour toi ce soir igoent

Le 05 septembre 2024 à 23:17:57 :

Le 05 septembre 2024 à 23:16:55 :

Le 05 septembre 2024 à 23:07:04 :

Le 05 septembre 2024 à 22:59:03 Rothirsch1 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 22:54:42 :

> Le 05 septembre 2024 à 22:48:06 1000Trombones a écrit :

> > Je parle plutôt de la levée de l'excommunication notamment

> > Le Christ a été juridiquement condamné pour blasphème, ça ne signifie pas qu'il ait blasphémé pour autant

> > Ce qui est visible par contre, c'est le fait que depuis Vat. II les protestants n'ont aucun problème à assister à vos messes. Et il ne me semble pas que le protestantisme soit devenu catholique

>

> L'autorité de Pilate vient de César, l'autorité du pape vient du Christ.

>

> La messe est inchangée depuis les Apôtres, PAZ.

>

Saint Pie X a validé per omnia saecula saeculorum la messe tridentine
Et votre messe n'est, si je ne m'abuse, pas la messe tridentine

Par conséquent, la messe n'est pas demeurée inchangée depuis les apôtres, sinon y'aurait pas ce débat entre messe conciliaire et messe tradi.

Enfin, si Pilate peut désobéir à César, pourquoi le pape ne pourrait-il pas désobéir au Christ ou même simplement se tromper ? Le pape n'est qu'un homme, et c'est là toute sa grandeur, mais il endosse la responsabilité du troupeau alors qu'il se sait faillible. Saint Pierre lui même a renié le Christ, alors croire le pape infaillible en tout point ça frôle l'idolâtrie

La seule idolâtrie me paraît ici d'aimer la forme de la messe, ses accents baroques, ah oui, le tonnerre de ses grandes orgues, les cantiques en latin, plus que son coeur véritable, l'Eucharistie, restée inchangée dans le rite ordinaire, la messe n'est pas un moment civique, elle n'est pas un moment militant, elle est la Cène vécue, et plus encore, un instant apostolique, or les apôtres prêchaient dans les langues courantes, et non dans les mots figés d'une langue morte, vouloir la messe tridentine, c'est ne pas comprendre que plus que jamais, l'Église doit être apostolique, toute l'Europe est à reconvertir, il faut s'adresser aux foules dans une langue qui leur est intelligible, et non dans les poussières du latin

La nouvelle messe, dans sa liturgie, ne porte plus autant la notion de sacré. De plus, les Apôtres avaient reçus le don d'intelligence, ce qui n'est pas le cas avéré de nos prêtres : par conséquent, les erreurs et surtout les imprécisions inhérentes à chaque traduction sont certaines, d'où l'importance du latin (et du sermon qui vient "expliquer" les textes).

L'Europe entière est à reconvertir, certes, mais elle a déjà reçu l'enseignement, ce qui lui faut c'est retrouver l'amour qu'elle avait pour Dieu. C'est bête à dire, mais quand l'être aimé se détourne, ce n'est pas en lui courant après qu'on le récupère, c'est d'ailleurs très bien écrit dans Osée 2

Edit : c'est aussi décrit dans Ezéchiel 16 au passage : "Et puis tu as mis ta confiance dans ta beauté, ta renommée t’a permis de te prostituer ; tu as prodigué tes charmes à tout passant et tu es allée avec lui ."

Il n'y a de sacré dans la messe que l'Eucharistie, et le reste se borne à éclairer le mystère, sur quoi la chrétienté entière s'est fondée, le sacrifice, le martyr, de Dieu pour l'Homme, cette relation d'amour inouïe, incompréhensible, mais qui est pourtant vécue partout dans le monde à chaque instant qu'un homme ou qu'une femme, un riche ou un pouilleux, un fort ou un pauvre, reçoit dans ses mains mortelles la Communion, voilà, une messe ce n'est que ça

Je trouve beaucoup plus éclairant le rite extraordinaire que le rite ordinaire qui est beaucoup moins concret et beaucoup plus symbolique.

Et je ne vous blâme de rien, nous vivons ce qui était déjà imagé dans Matthieu et la parabole des outres neuves, oui, aux fois plus vieilles, il faut de la rectitude, il faut le poids des habitudes pour s'aviver, mais aux outres jeunes, au cuir encore souple, foin de cérémonie ; et il arrive parfois l'inverse, il y a des fois neuves qui se retrouvent très bien dans les messes baroques, tridentines, qui s'animent bien dans l'odeur des encens, qui apprécient bien les cantiques en latin, il faut que l'Église propose les deux, c'est très bien, mais aucun des deux cultes ne peut revendiquer sur l'autre une plus grande hauteur, une plus grande chrétienté

Le 05 septembre 2024 à 23:28:09 :

Le 05 septembre 2024 à 23:17:57 :

Le 05 septembre 2024 à 23:16:55 :

Le 05 septembre 2024 à 23:07:04 :

Le 05 septembre 2024 à 22:59:03 Rothirsch1 a écrit :

> Le 05 septembre 2024 à 22:54:42 :

> > Le 05 septembre 2024 à 22:48:06 1000Trombones a écrit :

> > > Je parle plutôt de la levée de l'excommunication notamment

> > > Le Christ a été juridiquement condamné pour blasphème, ça ne signifie pas qu'il ait blasphémé pour autant

> > > Ce qui est visible par contre, c'est le fait que depuis Vat. II les protestants n'ont aucun problème à assister à vos messes. Et il ne me semble pas que le protestantisme soit devenu catholique

> >

> > L'autorité de Pilate vient de César, l'autorité du pape vient du Christ.

> >

> > La messe est inchangée depuis les Apôtres, PAZ.

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> Saint Pie X a validé per omnia saecula saeculorum la messe tridentine

> Et votre messe n'est, si je ne m'abuse, pas la messe tridentine

>

> Par conséquent, la messe n'est pas demeurée inchangée depuis les apôtres, sinon y'aurait pas ce débat entre messe conciliaire et messe tradi.

>

> Enfin, si Pilate peut désobéir à César, pourquoi le pape ne pourrait-il pas désobéir au Christ ou même simplement se tromper ? Le pape n'est qu'un homme, et c'est là toute sa grandeur, mais il endosse la responsabilité du troupeau alors qu'il se sait faillible. Saint Pierre lui même a renié le Christ, alors croire le pape infaillible en tout point ça frôle l'idolâtrie

La seule idolâtrie me paraît ici d'aimer la forme de la messe, ses accents baroques, ah oui, le tonnerre de ses grandes orgues, les cantiques en latin, plus que son coeur véritable, l'Eucharistie, restée inchangée dans le rite ordinaire, la messe n'est pas un moment civique, elle n'est pas un moment militant, elle est la Cène vécue, et plus encore, un instant apostolique, or les apôtres prêchaient dans les langues courantes, et non dans les mots figés d'une langue morte, vouloir la messe tridentine, c'est ne pas comprendre que plus que jamais, l'Église doit être apostolique, toute l'Europe est à reconvertir, il faut s'adresser aux foules dans une langue qui leur est intelligible, et non dans les poussières du latin

La nouvelle messe, dans sa liturgie, ne porte plus autant la notion de sacré. De plus, les Apôtres avaient reçus le don d'intelligence, ce qui n'est pas le cas avéré de nos prêtres : par conséquent, les erreurs et surtout les imprécisions inhérentes à chaque traduction sont certaines, d'où l'importance du latin (et du sermon qui vient "expliquer" les textes).

L'Europe entière est à reconvertir, certes, mais elle a déjà reçu l'enseignement, ce qui lui faut c'est retrouver l'amour qu'elle avait pour Dieu. C'est bête à dire, mais quand l'être aimé se détourne, ce n'est pas en lui courant après qu'on le récupère, c'est d'ailleurs très bien écrit dans Osée 2

Edit : c'est aussi décrit dans Ezéchiel 16 au passage : "Et puis tu as mis ta confiance dans ta beauté, ta renommée t’a permis de te prostituer ; tu as prodigué tes charmes à tout passant et tu es allée avec lui ."

Il n'y a de sacré dans la messe que l'Eucharistie, et le reste se borne à éclairer le mystère, sur quoi la chrétienté entière s'est fondée, le sacrifice, le martyr, de Dieu pour l'Homme, cette relation d'amour inouïe, incompréhensible, mais qui est pourtant vécue partout dans le monde à chaque instant qu'un homme ou qu'une femme, un riche ou un pouilleux, un fort ou un pauvre, reçoit dans ses mains mortelles la Communion, voilà, une messe ce n'est que ça

Je trouve beaucoup plus éclairant le rite extraordinaire que le rite ordinaire qui est beaucoup moins concret et beaucoup plus symbolique.

Et je ne vous blâme de rien, nous vivons ce qui était déjà imagé dans Matthieu et la parabole des outres neuves, oui, aux fois plus vieilles, il faut de la rectitude, il faut le poids des habitudes pour s'aviver, mais aux outres jeunes, au cuir encore souple, foin de cérémonie ; et il arrive parfois l'inverse, il y a des fois neuves qui se retrouvent très bien dans les messes baroques, tridentines, qui s'animent bien dans l'odeur des encens, qui apprécient bien les cantiques en latin, il faut que l'Église propose les deux, c'est très bien, mais aucun des deux cultes ne peut revendiquer sur l'autre une plus grande hauteur, une plus grande chrétienté

Ah oui, il ne faut pas rejeter le rite ordinaire, je te rejoins là-dessus.

Le 05 septembre 2024 à 23:29:31 :
ahii pareil quand je dis au prêtre que je go escort ils me regardent toujours en mode osef

Je me demande parfois comment réagirait un prêtre africain si je confessais que je faisais régulièrement des blagues racistes et que je votais RN pour dégager les étrangers, en feignant de croire que c'est mal.

Le 05 septembre 2024 à 23:30:39 TOUTfaitCHIER a écrit :
ton excuse pour croire en Dieu et te soumettre aux balivernes du clergé en 2024 ?

Partager avec le Christ les béatitudes, puisque notre âme a été créée pour la gloire éternelle auprès de notre Créateur, par la coopération entre la grâce de Dieu et un choix libre qui nous fait mériter ces divins délices.

Le 05 septembre 2024 à 23:24:44 :

Le 05 septembre 2024 à 23:16:55 Rothirsch1 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:07:04 :

Le 05 septembre 2024 à 22:59:03 Rothirsch1 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 22:54:42 :

> Le 05 septembre 2024 à 22:48:06 1000Trombones a écrit :

> > Je parle plutôt de la levée de l'excommunication notamment

> > Le Christ a été juridiquement condamné pour blasphème, ça ne signifie pas qu'il ait blasphémé pour autant

> > Ce qui est visible par contre, c'est le fait que depuis Vat. II les protestants n'ont aucun problème à assister à vos messes. Et il ne me semble pas que le protestantisme soit devenu catholique

>

> L'autorité de Pilate vient de César, l'autorité du pape vient du Christ.

>

> La messe est inchangée depuis les Apôtres, PAZ.

>

Saint Pie X a validé per omnia saecula saeculorum la messe tridentine
Et votre messe n'est, si je ne m'abuse, pas la messe tridentine

Par conséquent, la messe n'est pas demeurée inchangée depuis les apôtres, sinon y'aurait pas ce débat entre messe conciliaire et messe tradi.

Enfin, si Pilate peut désobéir à César, pourquoi le pape ne pourrait-il pas désobéir au Christ ou même simplement se tromper ? Le pape n'est qu'un homme, et c'est là toute sa grandeur, mais il endosse la responsabilité du troupeau alors qu'il se sait faillible. Saint Pierre lui même a renié le Christ, alors croire le pape infaillible en tout point ça frôle l'idolâtrie

La seule idolâtrie me paraît ici d'aimer la forme de la messe, ses accents baroques, ah oui, le tonnerre de ses grandes orgues, les cantiques en latin, plus que son coeur véritable, l'Eucharistie, restée inchangée dans le rite ordinaire, la messe n'est pas un moment civique, elle n'est pas un moment militant, elle est la Cène vécue, et plus encore, un instant apostolique, or les apôtres prêchaient dans les langues courantes, et non dans les mots figés d'une langue morte, vouloir la messe tridentine, c'est ne pas comprendre que plus que jamais, l'Église doit être apostolique, toute l'Europe est à reconvertir, il faut s'adresser aux foules dans une langue qui leur est intelligible, et non dans les poussières du latin

La nouvelle messe, dans sa liturgie, ne porte plus autant la notion de sacré. De plus, les Apôtres avaient reçus le don d'intelligence, ce qui n'est pas le cas avéré de nos prêtres : par conséquent, les erreurs et surtout les imprécisions inhérentes à chaque traduction sont certaines, d'où l'importance du latin (et du sermon qui vient "expliquer" les textes).

L'Europe entière est à reconvertir, certes, mais elle a déjà reçu l'enseignement, ce qui lui faut c'est retrouver l'amour qu'elle avait pour Dieu. C'est bête à dire, mais quand l'être aimé se détourne, ce n'est pas en lui courant après qu'on le récupère, c'est d'ailleurs très bien écrit dans Osée 2

Edit : c'est aussi décrit dans Ezéchiel 16 au passage : "Et puis tu as mis ta confiance dans ta beauté, ta renommée t’a permis de te prostituer ; tu as prodigué tes charmes à tout passant et tu es allée avec lui ."

Il n'y a de sacré dans la messe que l'Eucharistie, et le reste se borne à éclairer le mystère, sur quoi la chrétienté entière s'est fondée, le sacrifice, le martyr, de Dieu pour l'Homme, cette relation d'amour inouïe, incompréhensible, mais qui est pourtant vécue partout dans le monde à chaque instant qu'un homme ou qu'une femme, un riche ou un pouilleux, un fort ou un pauvre, reçoit dans ses mains mortelles la Communion, voilà, une messe ce n'est que ça

Pour reprendre tes mots, le reste se "borne" à éclairer le mystère. En d'autre termes, le reste, c'est à dire la liturgie, a pour but de permettre aux fidèles de mieux saisir le mystère.

Par conséquent, le but de l'Eglise étant d'éclairer ses fidèles, il est primordial que la liturgie ne soit pas rendue la plus vague possible dans un but oeucuménique.

Et comment une liturgie qui cherche à éclairer un mystère serait-elle plus limpide dans les poussières d'une langue morte ? Comment, d'ailleurs, pourrait-elle même être apostolique s'il fallait absolument un missel, donc une préparation, pour bien la suivre ? Comment donc, l'on ne pourrait plus entrer au hasard d'une messe, s'asseoir dans le banc du fond, écouter, et suivre le rite ? Non, la messe tridentine est un rite pour les habitués, elle maintient, elle conserve, mais elle convertit mal

Le 05 septembre 2024 à 23:24:56 1000Trombones a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:24:00 Dextre449 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:22:07 :

Le 05 septembre 2024 à 23:16:39 FIexyboi a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:10:30 1000Trombones a écrit :

> Le 05 septembre 2024 à 23:07:04 FIexyboi a écrit :

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> > Le 05 septembre 2024 à 22:59:03 Rothirsch1 a écrit :

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> > > Le 05 septembre 2024 à 22:54:42 :

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> > > > Le 05 septembre 2024 à 22:48:06 1000Trombones a écrit :

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> > > > > Je parle plutôt de la levée de l'excommunication notamment

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> > > > > Le Christ a été juridiquement condamné pour blasphème, ça ne signifie pas qu'il ait blasphémé pour autant

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> > > > > Ce qui est visible par contre, c'est le fait que depuis Vat. II les protestants n'ont aucun problème à assister à vos messes. Et il ne me semble pas que le protestantisme soit devenu catholique

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> > > > L'autorité de Pilate vient de César, l'autorité du pape vient du Christ.

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> > > > La messe est inchangée depuis les Apôtres, PAZ.

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> > > Saint Pie X a validé per omnia saecula saeculorum la messe tridentine

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> > > Et votre messe n'est, si je ne m'abuse, pas la messe tridentine

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> > > Par conséquent, la messe n'est pas demeurée inchangée depuis les apôtres, sinon y'aurait pas ce débat entre messe conciliaire et messe tradi.

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> > > Enfin, si Pilate peut désobéir à César, pourquoi le pape ne pourrait-il pas désobéir au Christ ou même simplement se tromper ? Le pape n'est qu'un homme, et c'est là toute sa grandeur, mais il endosse la responsabilité du troupeau alors qu'il se sait faillible. Saint Pierre lui même a renié le Christ, alors croire le pape infaillible en tout point ça frôle l'idolâtrie

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> > La seule idolâtrie me paraît ici d'aimer la forme de la messe, ses accents baroques, ah oui, le tonnerre de ses grandes orgues, les cantiques en latin, plus que son coeur véritable, l'Eucharistie, restée inchangée dans le rite ordinaire, la messe n'est pas un moment civique, elle n'est pas un moment militant, elle est la Cène vécue, et plus encore, un instant apostolique, or les apôtres prêchaient dans les langues courantes, et non dans les mots figés d'une langue morte, vouloir la messe tridentine, c'est ne pas comprendre que plus que jamais, l'Église doit être apostolique, toute l'Europe est à reconvertir, il faut s'adresser aux foules dans une langue qui leur est intelligible, et non dans les poussières du latin

>

> La nouvelle messe, dans sa liturgie, ne porte plus autant la notion de sacré. De plus, les Apôtres avaient reçus le don d'intelligence, ce qui n'est pas le cas avéré de nos prêtres : par conséquent, les erreurs et surtout les imprécisions inhérentes à chaque traduction sont certaines, d'où l'importance du latin (et du sermon qui vient "expliquer" les textes).

>

> L'Europe entière est à reconvertir, certes, mais elle a déjà reçu l'enseignement, ce qui lui faut c'est retrouver l'amour qu'elle avait pour Dieu. C'est bête à dire, mais quand l'être aimé se détourne, ce n'est pas en lui courant après qu'on le récupère, c'est d'ailleurs très bien écrit dans Osée 2

La "notion de sacré" ça n'existe pas, la messe est sacrée parce que :

1) lorsque le prêtre lit l'Évangile c'est le Christ lui-même qui parle

2) lors de la liturgie eucharistique le vrai Corps et le vrai Sang du Christ sont rendus substantiellement présents avec toute l'âme et la divinité du Christ lors de la consécration, puis sont offerts en sacrifice au Père par leur présentation sur l'autel.

C'est sûr que l'encensement et tous les rites de purification effectués par le prêtre ne sont pas liés à la notion de sacré, que les génuflexions sont pas liées à cette notion, etc...
D'ailleurs on se demande à quoi servent ces rites de purification et de sanctification puisque derrière le premier venu peut venir se servir et distribuer ou manger le vrai Corps et le vrai Sang comme des bonbons

Ces actes ont parfaitement leur place, mais ne définissent pas le sacré, surtout lorsqu'il sont pris dans un ordre quantitatif (à ce moment là autant créer une messe avec 120 génuflexions, peut-être qu'on s'envolera directement dans le Ciel tellement c'est sacré).

Dans le rite romain actuel les génuflexions ne sont faites que pour la Présence réelle, contrairement aux missels de 1570-1962, c'est clairement une re-sacralisation de la Messe, puisque la génuflexion est un acte d'adoration qui revient au culte de latrie du aux espèces consacrées.

Ensuite l'encensement est maintenu, il est même élargi à toutes les messes depuis le Saint Concile Vatican II, alors qu'auparavant il était interdit pour les messes basses.

La communion dans la main existe depuis les premiers temps de l'Église, elle est décrite dans les écrits des Pères canonisés.

Oui enfin les mecs se lavaient les mains et recevaient l'hostie dans un linge, c'est pas du tout comparable.

Si le principe n'est pas respecté ça n'est pas la faute du principe, mais de ceux qui ne l'appliquent pas.

"Si les fidèles sont perdus, ne viennent plus à la messe le dimanche, se font leur doctrine à la carte et qu'on a peu de nouveaux prêtres, ce n'est pas la faute de l'Eglise, c'est la faute des fidèles qui ne comprennent pas ce que l'Eglise leur dit

L'importance de la clarté du message, et la responsabilité du messager/de l'auteur quant au fait de transmettre ledit message le mieux possible et le plus clairement possible, est d'ailleurs illustrée par le fait que le Christ prenne le soin de donner de nombreuses paraboles explicatives au lieu de foncer à la rédemption

J'ai du mal à comprendre que selon toi l'Eglise puisse se dispenser de donner un enseignement le plus précis possible

Le 05 septembre 2024 à 23:32:30 1000Trombones a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:30:39 TOUTfaitCHIER a écrit :
ton excuse pour croire en Dieu et te soumettre aux balivernes du clergé en 2024 ?

Partager avec le Christ les béatitudes, puisque notre âme a été créée pour la gloire éternelle auprès de notre Créateur, par la coopération entre la grâce de Dieu et un choix libre qui nous fait mériter ces divins délices.

gnagnagna tout ça c'est dans ta tête l'ahuri

Le 05 septembre 2024 à 23:35:02 :

Le 05 septembre 2024 à 23:32:30 1000Trombones a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:30:39 TOUTfaitCHIER a écrit :
ton excuse pour croire en Dieu et te soumettre aux balivernes du clergé en 2024 ?

Partager avec le Christ les béatitudes, puisque notre âme a été créée pour la gloire éternelle auprès de notre Créateur, par la coopération entre la grâce de Dieu et un choix libre qui nous fait mériter ces divins délices.

gnagnagna tout ça c'est dans ta tête l'ahuri

L’athéisme est un vent mauvais

Littéralement, d’abord, puisque cette espèce avachie et suintante conforme ses goûts d’hygiène à ses vues sur Dieu, en somme idiotes, pleines d’une vacuité crasse, lorsqu’elles ne sont pas inexistantes. Vous les voyez, ici, l’oeil levé mais toujours ignorant, adipeux, la face porcine maculée de boutons, se croyant autorisés à autre chose qu’au silence, faisant souvent démonstration publique de leurs lacunes en tout, puis là, hissés sur des cimes de certitudes, dissertant avec force componction sur quelque clause métaphysique qui naturellement leur échappe tout à fait.

Il est temps de rallumer les feux

Oui ces moitiés d’être, et encore, d’aucuns croiraient la proportion trop généreuse, se sont mutilés jusqu’à l’amputation de leur âme, ils ont démissionné du genre humain par leur refus obstiné, folle cécité, d’agréer les formes de pensée les plus sublimes de notre race, la religion, loi indispensable aux civilisations. Bien sûr ces homoncules désincarnés et immédiatement projetés dans le nuit des idiots, l’athéisme, sont par nature aveugles aux oeuvres sublimes du monde, ils s’ouvriraient autrement à Dieu, et font chaque jour prosélytisme de leur ferme apathie et de leur résolution invincible au médiocre.

Boèce et Cicéron

Ces porcs n’envisagent la religion que par l’antagonisme idiot qu’elle ferait naturellement à toute raison, idée bien courte, anéantie par mille ans de scolastique médiévale, pour qui le Christ ne prend évidemment pas ombrage de Platon. Fides et ratio binæ quasi pennæ videntur quibus veritatis ad contemplationem hominis attollitur animus. Voyez hélas comme leurs bouches pleines des fatuités, démoniaques et vénéneuses pour tout ordre civilisé, ne peuvent s’empêcher, jamais, d’admonester partout leurs certitudes incultes.

Si Dieu n’est pas, alors tout est permis

Pensée banale, certes, quoique singulière à tous ces damnés répugnants, échappée même de l’âme dostoïevskienne, et Dieu sait les slaves mal croyants, d’abord exilée dans un bagne sibérien pour idées socialistes, comprenez anomiques, et voyez bien là comme cela est déjà autre chose que le militantisme de ces pétochards modernes, puis revenue aux idées saines de la vertu chrétienne. Évidemment, la grandeur d’un peuple est corollaire immédiat de sa discipline, et la première loi procède toujours d’un sanctuaire, éditée d’un temple, et non de je-ne-sais quel parlement, idée combien futile, mais pourtant si séduisante à ces raclures.

L’athée est la cigüe de toute morale

Je ne vois que cette unique tournure pour expliquer leur avidité gourmande à décréter le terme immédiat et définitif de toute idole contrariant leurs habitudes. Transiger avec Dieu, naturellement, est autrement plus délicat qu’expliquer au juge rouge de son arrondissement, par la plaidoirie abjecte d’un avocat associé, déjà, à tous les enfers, que le téraoctet d’images de loli auxquelles ces porcs s’abandonnent représentent, non pas une forfaiture abjecte à tous points de vue, mais l’acmé de leur liberté souveraine et garantie par l’absence de réprobation céleste.

Le 05 septembre 2024 à 23:31:55 :

Le 05 septembre 2024 à 23:29:31 :
ahii pareil quand je dis au prêtre que je go escort ils me regardent toujours en mode osef

Je me demande parfois comment réagirait un prêtre africain si je confessais que je faisais régulièrement des blagues racistes et que je votais RN pour dégager les étrangers, en feignant de croire que c'est mal.

bah ils osef j'ai déjà eu des discussions dans le style ils osef plus que les prêtres blancos qui sont parfois gauchos

Le 05 septembre 2024 à 23:33:52 Rothirsch1 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:24:44 :

Le 05 septembre 2024 à 23:16:55 Rothirsch1 a écrit :

Le 05 septembre 2024 à 23:07:04 :

Le 05 septembre 2024 à 22:59:03 Rothirsch1 a écrit :

> Le 05 septembre 2024 à 22:54:42 :

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> > Le 05 septembre 2024 à 22:48:06 1000Trombones a écrit :

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> > > Je parle plutôt de la levée de l'excommunication notamment

>

> > > Le Christ a été juridiquement condamné pour blasphème, ça ne signifie pas qu'il ait blasphémé pour autant

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> > > Ce qui est visible par contre, c'est le fait que depuis Vat. II les protestants n'ont aucun problème à assister à vos messes. Et il ne me semble pas que le protestantisme soit devenu catholique

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> > L'autorité de Pilate vient de César, l'autorité du pape vient du Christ.

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> > La messe est inchangée depuis les Apôtres, PAZ.

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> Saint Pie X a validé per omnia saecula saeculorum la messe tridentine

> Et votre messe n'est, si je ne m'abuse, pas la messe tridentine

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> Par conséquent, la messe n'est pas demeurée inchangée depuis les apôtres, sinon y'aurait pas ce débat entre messe conciliaire et messe tradi.

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> Enfin, si Pilate peut désobéir à César, pourquoi le pape ne pourrait-il pas désobéir au Christ ou même simplement se tromper ? Le pape n'est qu'un homme, et c'est là toute sa grandeur, mais il endosse la responsabilité du troupeau alors qu'il se sait faillible. Saint Pierre lui même a renié le Christ, alors croire le pape infaillible en tout point ça frôle l'idolâtrie

La seule idolâtrie me paraît ici d'aimer la forme de la messe, ses accents baroques, ah oui, le tonnerre de ses grandes orgues, les cantiques en latin, plus que son coeur véritable, l'Eucharistie, restée inchangée dans le rite ordinaire, la messe n'est pas un moment civique, elle n'est pas un moment militant, elle est la Cène vécue, et plus encore, un instant apostolique, or les apôtres prêchaient dans les langues courantes, et non dans les mots figés d'une langue morte, vouloir la messe tridentine, c'est ne pas comprendre que plus que jamais, l'Église doit être apostolique, toute l'Europe est à reconvertir, il faut s'adresser aux foules dans une langue qui leur est intelligible, et non dans les poussières du latin

La nouvelle messe, dans sa liturgie, ne porte plus autant la notion de sacré. De plus, les Apôtres avaient reçus le don d'intelligence, ce qui n'est pas le cas avéré de nos prêtres : par conséquent, les erreurs et surtout les imprécisions inhérentes à chaque traduction sont certaines, d'où l'importance du latin (et du sermon qui vient "expliquer" les textes).

L'Europe entière est à reconvertir, certes, mais elle a déjà reçu l'enseignement, ce qui lui faut c'est retrouver l'amour qu'elle avait pour Dieu. C'est bête à dire, mais quand l'être aimé se détourne, ce n'est pas en lui courant après qu'on le récupère, c'est d'ailleurs très bien écrit dans Osée 2

Edit : c'est aussi décrit dans Ezéchiel 16 au passage : "Et puis tu as mis ta confiance dans ta beauté, ta renommée t’a permis de te prostituer ; tu as prodigué tes charmes à tout passant et tu es allée avec lui ."

Il n'y a de sacré dans la messe que l'Eucharistie, et le reste se borne à éclairer le mystère, sur quoi la chrétienté entière s'est fondée, le sacrifice, le martyr, de Dieu pour l'Homme, cette relation d'amour inouïe, incompréhensible, mais qui est pourtant vécue partout dans le monde à chaque instant qu'un homme ou qu'une femme, un riche ou un pouilleux, un fort ou un pauvre, reçoit dans ses mains mortelles la Communion, voilà, une messe ce n'est que ça

Pour reprendre tes mots, le reste se "borne" à éclairer le mystère. En d'autre termes, le reste, c'est à dire la liturgie, a pour but de permettre aux fidèles de mieux saisir le mystère.

Par conséquent, le but de l'Eglise étant d'éclairer ses fidèles, il est primordial que la liturgie ne soit pas rendue la plus vague possible dans un but oeucuménique.

Et comment une liturgie qui vise à éclairer un mystère serait-elle plus limpide dans les poussières d'une langue morte ? Comment, d'ailleurs, pourrait-elle même être apostolique s'il fallait absolument un missel, donc une préparation, pour bien la suivre ? Comment donc, l'on ne pourrait plus entrer au hasard d'une messe, s'asseoir dans le banc du fond, écouter, et suivre le rite ? Non, la messe tridentine est un rite pour les habitués, elle maintient, elle conserve, mais elle convertit mal

Et bien parce qu'avant d'être limpide, il faut que ce soit juste. Le missel n'est pas obligatoire, on a suivi cette messe sans missel pendant des siècles. Ensuite, on n'entre pas au hasard à la messe en prenant le train en cours. Le sacrifice de Dieu n'est pas un film de série B que l'on regarde au hasard.

Oui, la messe tridentine est austère et peu abordable, mais la porte est étroite, et resserré est le chemin qui mène à la Vie. Ne vaut-il pas mieux un converti maintenu et conservé que dix mille convertis mous et prompt à se détourner ? C'est pourtant une des leçons principales de l'Ancien Testament