Topic de MedecineMan :

Pourquoi les entreprises produisent du WOKE si ça nuit à leur marché ?

INDICATEUR ESG POUSSE PAR LES GOUVERNEMENT, REPRIS PAR LES BOARD D ACTIONNAIRE ET ENSUITE L ENTREPRISE ESSAYE DE COCHER QUELQUES CASES

CA S ARRETE LA

Car ils veulent pas se prendre des procès au cul et veulent se la jouer "vertueux"

Donc là y'a des mecs qui tirent les ficelles dans l'ombre ?

Ils sont où ? Cachés dans une cave et décident de l'avenir du monde ?

Le 04 septembre 2024 à 08:57:11 :

Le 03 septembre 2024 à 16:32:07 :
Vous leurrer pas, ce sont les enfants qu'ils visent, ce sont vos enfants qui grandiront avec cette idéologie et qui trouveront ca normal une fois adulte et vous traiteront de fachos :ok:

Non, t'inquiète.
Comme toutes les propagandes, si les parents débunkent correctement le mécanisme, les enfants sont immunisés et font en sorte de passer sous les radars.
C'est ce qui est arrivé aux communistes de l'URSS.
Tout semblait sous contrôle mais en vérité les gens faisaient semblant.
Un jour, tout s'est écroulé quand les gens se sont rendus compte que tous les autres faisaient aussi semblant....
Et puis la baisse continuelle du niveau de vie de monsieur tout le monde en Occident va petit à petit faire émerger des gens forts et adaptés pour casser le système (ça prendra plus ou moins de temps mais c'est inéluctable).

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/34/1/1661178348-grotte-du-ft.png bien votre grotte

Cheh Trump est là maintenant pour contrecarrer ces lows

On entend les progressistes affirmer se battre pour 2 choses, à savoir les progrès sociaux et leur haine du capitalisme. Et si ces progressistes n'étaient pour rien dans ces changements sociaux? Et si ces changements étaient avant tout dus au progrès technique? Les progressistes font souvent cet amalgame entre avancées techniques et sociales pour s'attribuer des mérites des avancées technologiques. C'est la contradiction majeure chez ceux qui se prétendent anticapitalistes. Tous les progrès sociétaux qu'ils défendent ont été possibles grâce au capitalisme. La morale d'une société dépend avant tout de sa situation matérielle. Plus il y a de confort, plus on peut se permettre de faire de l'individualisme. Le système capitaliste créer ce confort matériel dont on ne profite pas équitablement. Se dire anticapitaliste quand on cherche à défendre une idéologie progressiste et les libertés individuelles c'est scier la branche sur laquelle on est assis. Les pays communistes ne sont pas connus pour leurs libertés individuelles. L'argument selon lequel tout conservateur voudrait revenir en arrière, voire au Moyen Age est évidemment un sophisme. Cette idée est d'autant plus stupide qu'on travaille bien plus aujourd'hui qu'au Moyen Age. Les historiens parlent de 215 jours de travail en moyenne aujourd'hui contre 150 au Moyen Age. Le propre du progressiste est d'être intégralement soumis au progrès technique et de se laisser dicter sa manière de penser au grès des nouvelles technologies. Cette confusion entre progrès technique et moral est savamment entretenue par les progressistes car ils partent de l'idée selon laquelle sans idée nouvelle, il n'y a pas de changement ni de progrès possible. Or dans les faits c'est précisément l'inverse.

Ce sont les changements et les progrès dus à la technologie qui permettent l'émergence d'idées nouvelles et littéralement tous ls progrès sociétaux de ces derniers siècles sont liés de près ou de loin au progrès technique ou industriel. On peut penser à l'abolition de l'esclavage. Si elle a pu prendre place dans le réel c'est parce que l'industrie a pu remplacer le travail des esclaves de manière beaucoup plus efficace. On entend souvent l'argument des congés payés, la grande fierté des progressistes. Sauf que le but ici c'était de faire tourner le commerce, de développer le tourisme. Bref cela répondait à une logique marchande. De même ce sont les avancées techniques qui ont permis l'amélioration de l'agriculture, de la médecine, de l'industrie c'est à dire des éléments qui ont contribué à allonger la durée de vie de l'être humain et forcément si les gens vivent 2 à 3 fois plus longtemps qu'avant, cela change radicalement la manière de la société de fonctionner. Le capitalisme avait tout à gagner à démocratiser ces avancées. Il est amoral et son but n'est ni de faire le mal ou le bien, c'est de faire du profit. Il se greffe donc naturellement à toute idéologie qui peut aller dans ce sens. Le meilleur exemple pour démontrer ça est peut être le droit des femmes parce que bien des choses au niveau du droit des femmes notamment leur entrée sur le marché du travail a été permis par le capitalisme car cela répondait à une logique de marché. Il s'agissait de venir concurrencer la main d'oeuvre masculine. L'idée même d'émancipation est liée à la logique capitaliste ce qui est assez comique parce que féminisme et anticapitalisme vont souvent de pair alors que le capitalisme a permis " l'émancipation " des femmes. En luttant contre le capitalisme, les féministes scient la branche sur laquelle elles sont assises.

La libération des femmes est aussi la libération sexuelle qui est à mettre sur le compte non pas des progressistes mais des avancées techniques, contraception et avortement. Mais la libération sexuelle c'est aussi une nouvelle forme d'asservissement de la femme. Parce que oui crée d'autres formes de dérives et d'asservissement de la femme en l'objectifiant. C'est paradoxal parce que oui, le capitalisme a servi la femme sur certains aspects mais c'est aussi la civilisation industrielle qui a permis aux femmes de s'émanciper : progrès technique et droits des femmes sont intimement liés au développement du tertiaire et de l'électroménager qui ont eu un rôle énorme dans l'émancipation de la femme. Voilà pourquoi le droit des femmes est fragile et dépendant d'un certain niveau de richesses. Dans un monde disons violent et pauvre, dans un monde en guerre, il est beaucoup plus difficile à assurer cela. On l'a vu lors de la guerre Russie Ukraine lorsqu'en quelques semaines, les hommes et les femmes avaient repris leur rôle naturel. Bien sûr les luttes sociales ne sont pas pour rien mais c'est avant tout le progrès technique, l'industrialisation et le capitalisme qui ont permis ces avancées. C'est avant tout la technologie qui transforme le monde, pas les idées. La politique et la morale ne créent rien. C'est la technologie qui façonne les moeurs. Le revenu universel, le salaire à vie, on pourrait situer son origine au XVIème siècle avec un texte de Thomas Moore qui décrivait un monde utopique où chacun gagnerait sa vie sans avoir à travailler. Le texte s'appelle : " L'utopie. " Dans ce cas là et c'est une exception qui confirme la règle, l'idée a effectivement précédé le progrès. Le texte de Thomas More est un texte proto communiste qui critique beaucoup la propriété privée et qui se base sur l'organisation de la société, pas sur les apports techniques, pour proposer un monde idéal. Or son utopie c'est quelque chose qui appartient au monde des idées.

Là, l'idée a précédé le réel. Lorsqu'il s'agit d'avoir des idées, les progressistes savent faire. Mais lorsqu'il s'agit de mettre en oeuvre les moyens techniques pour réaliser ces progrès, il n'y a plus personne. Le progressiste préfère le monde des idées et il déteste le réel car pour rendre réel une idée comme le salaire universel, il faut bien des avancées techniques pour que l'être humain puisse être remplacé. Pour cela il faut nécessairement passer par l'étape du travail acharné qui conduira à l'élaboration de ces technologies. Donc là même le progrès social est dépendant du progrès technique et pour arriver à ce salaire universel ce n'est pas l'utopie qui permettra d'y arriver mais paradoxalement le capitalisme. Le livre de More cherche à faire le bonheur de toute société humaine Il y a un autre livre qui étale une société dont la recherche du bonheur à tout prix a rendu cauchemardesque. Ce livre c'est " Bonheur TM " de Jean Baret. C'est un roman de cyberpunk mais qui va évacuer l'un des ingrédients phares du genre, c'est à dire l'idée d'inégalité. Dans le cyberpunk en général on a des ultra riches qui ont tout le pouvoir et des pauvres qui vivent dans des bas fonds. Ce n'est pas le cas dans ce roman vu qu'on a plutôt affaire à une classe moyenne gigantesque. En fait il n'y a plus tant d'inégalités entre riches et pauvres dans ce monde. Personne ne manque de rien et la consommation est même devenue obligatoire. Le travail du personnage principal consiste d'ailleurs à aller enquête sur les gens qui ne consomment pas assez et au cours de son enquête, le personnage principal va être amené à enquêter sur un citoyen présentant des anomalies dans sa manière de consommer : il ne sort plus de chez lui, ne mange ni ne boit. Il n'a pas d'activités sexuelles. Et en ne consommant plus, il devient hors la loi. Au fil de l'enquête il se rend compte que l'homme s'identifie comme un vampire. Il est allé jusqu'à modifier son corps pour correspondre à son fantasme.

Il s'est donc fait inoculer qui a rendu ses enzymes déficientes afin d'avoir besoin de sang pour survivre. A cause de ça il ne peut plus s'exposer au soleil sinon il commence à sécréter une substance toxique. Il a également procédé à une castration chimique car les vampires ne sont pas supposés avoir une libido. Un choix de détruire volontairement son corps pour correspondre à l'idée qu'il se fait de lui même. Forcément cette transidentité rappelle pas mal de problématiques contemporaines. Si s'inoculer cette maladie handicapante semble être complètement cinglé, le fait de se faire émasculer ou faire enlever toute la peau du bars pour se fabriquer un pénis n'est qu'un simulacre non fonctionnel handicapant. L'opération très très lourde et d'une brutalité absolue montrant au monde ce qu'est la soit disante liberté sexuelle. On n'a pas besoin de romans de science fiction ou de cyber punk. Ce roman en fait ne fait que pointer un miroir légèrement déformant seulement de la réalité. Le réel a rattrapé la fiction. L'histoire de Jewel Shuping a fait beaucoup de bruit. C'est une femme qui disait vouloir depuis l'enfance devenir aveugle. Et son psy l'a aidé en ce sens. Il l'a aidé à injecter des produits chimiques dans les yeux jusqu'à ce qu'elle perde définitivement la vue.

On entend les progressistes affirmer se battre pour 2 choses, à savoir les progrès sociaux et leur haine du capitalisme. Et si ces progressistes n'étaient pour rien dans ces changements sociaux? Et si ces changements étaient avant tout dus au progrès technique? Les progressistes font souvent cet amalgame entre avancées techniques et sociales pour s'attribuer des mérites des avancées technologiques. C'est la contradiction majeure chez ceux qui se prétendent anticapitalistes. Tous les progrès sociétaux qu'ils défendent ont été possibles grâce au capitalisme. La morale d'une société dépend avant tout de sa situation matérielle. Plus il y a de confort, plus on peut se permettre de faire de l'individualisme. Le système capitaliste créer ce confort matériel dont on ne profite pas équitablement. Se dire anticapitaliste quand on cherche à défendre une idéologie progressiste et les libertés individuelles c'est scier la branche sur laquelle on est assis. Les pays communistes ne sont pas connus pour leurs libertés individuelles. L'argument selon lequel tout conservateur voudrait revenir en arrière, voire au Moyen Age est évidemment un sophisme. Cette idée est d'autant plus stupide qu'on travaille bien plus aujourd'hui qu'au Moyen Age. Les historiens parlent de 215 jours de travail en moyenne aujourd'hui contre 150 au Moyen Age. Le propre du progressiste est d'être intégralement soumis au progrès technique et de se laisser dicter sa manière de penser au grès des nouvelles technologies. Cette confusion entre progrès technique et moral est savamment entretenue par les progressistes car ils partent de l'idée selon laquelle sans idée nouvelle, il n'y a pas de changement ni de progrès possible. Or dans les faits c'est précisément l'inverse.

Ce sont les changements et les progrès dus à la technologie qui permettent l'émergence d'idées nouvelles et littéralement tous ls progrès sociétaux de ces derniers siècles sont liés de près ou de loin au progrès technique ou industriel. On peut penser à l'abolition de l'esclavage. Si elle a pu prendre place dans le réel c'est parce que l'industrie a pu remplacer le travail des esclaves de manière beaucoup plus efficace. On entend souvent l'argument des congés payés, la grande fierté des progressistes. Sauf que le but ici c'était de faire tourner le commerce, de développer le tourisme. Bref cela répondait à une logique marchande. De même ce sont les avancées techniques qui ont permis l'amélioration de l'agriculture, de la médecine, de l'industrie c'est à dire des éléments qui ont contribué à allonger la durée de vie de l'être humain et forcément si les gens vivent 2 à 3 fois plus longtemps qu'avant, cela change radicalement la manière de la société de fonctionner. Le capitalisme avait tout à gagner à démocratiser ces avancées. Il est amoral et son but n'est ni de faire le mal ou le bien, c'est de faire du profit. Il se greffe donc naturellement à toute idéologie qui peut aller dans ce sens. Le meilleur exemple pour démontrer ça est peut être le droit des femmes parce que bien des choses au niveau du droit des femmes notamment leur entrée sur le marché du travail a été permis par le capitalisme car cela répondait à une logique de marché. Il s'agissait de venir concurrencer la main d'oeuvre masculine. L'idée même d'émancipation est liée à la logique capitaliste ce qui est assez comique parce que féminisme et anticapitalisme vont souvent de pair alors que le capitalisme a permis " l'émancipation " des femmes. En luttant contre le capitalisme, les féministes scient la branche sur laquelle elles sont assises.

La libération des femmes est aussi la libération sexuelle qui est à mettre sur le compte non pas des progressistes mais des avancées techniques, contraception et avortement. Mais la libération sexuelle c'est aussi une nouvelle forme d'asservissement de la femme. Parce que oui crée d'autres formes de dérives et d'asservissement de la femme en l'objectifiant. C'est paradoxal parce que oui, le capitalisme a servi la femme sur certains aspects mais c'est aussi la civilisation industrielle qui a permis aux femmes de s'émanciper : progrès technique et droits des femmes sont intimement liés au développement du tertiaire et de l'électroménager qui ont eu un rôle énorme dans l'émancipation de la femme. Voilà pourquoi le droit des femmes est fragile et dépendant d'un certain niveau de richesses. Dans un monde disons violent et pauvre, dans un monde en guerre, il est beaucoup plus difficile à assurer cela. On l'a vu lors de la guerre Russie Ukraine lorsqu'en quelques semaines, les hommes et les femmes avaient repris leur rôle naturel. Bien sûr les luttes sociales ne sont pas pour rien mais c'est avant tout le progrès technique, l'industrialisation et le capitalisme qui ont permis ces avancées. C'est avant tout la technologie qui transforme le monde, pas les idées. La politique et la morale ne créent rien. C'est la technologie qui façonne les moeurs. Le revenu universel, le salaire à vie, on pourrait situer son origine au XVIème siècle avec un texte de Thomas Moore qui décrivait un monde utopique où chacun gagnerait sa vie sans avoir à travailler. Le texte s'appelle : " L'utopie. " Dans ce cas là et c'est une exception qui confirme la règle, l'idée a effectivement précédé le progrès. Le texte de Thomas More est un texte proto communiste qui critique beaucoup la propriété privée et qui se base sur l'organisation de la société, pas sur les apports techniques, pour proposer un monde idéal. Or son utopie c'est quelque chose qui appartient au monde des idées.

Là, l'idée a précédé le réel. Lorsqu'il s'agit d'avoir des idées, les progressistes savent faire. Mais lorsqu'il s'agit de mettre en oeuvre les moyens techniques pour réaliser ces progrès, il n'y a plus personne. Le progressiste préfère le monde des idées et il déteste le réel car pour rendre réel une idée comme le salaire universel, il faut bien des avancées techniques pour que l'être humain puisse être remplacé. Pour cela il faut nécessairement passer par l'étape du travail acharné qui conduira à l'élaboration de ces technologies. Donc là même le progrès social est dépendant du progrès technique et pour arriver à ce salaire universel ce n'est pas l'utopie qui permettra d'y arriver mais paradoxalement le capitalisme. Le livre de More cherche à faire le bonheur de toute société humaine Il y a un autre livre qui étale une société dont la recherche du bonheur à tout prix a rendu cauchemardesque. Ce livre c'est " Bonheur TM " de Jean Baret. C'est un roman de cyberpunk mais qui va évacuer l'un des ingrédients phares du genre, c'est à dire l'idée d'inégalité. Dans le cyberpunk en général on a des ultra riches qui ont tout le pouvoir et des pauvres qui vivent dans des bas fonds. Ce n'est pas le cas dans ce roman vu qu'on a plutôt affaire à une classe moyenne gigantesque. En fait il n'y a plus tant d'inégalités entre riches et pauvres dans ce monde. Personne ne manque de rien et la consommation est même devenue obligatoire. Le travail du personnage principal consiste d'ailleurs à aller enquête sur les gens qui ne consomment pas assez et au cours de son enquête, le personnage principal va être amené à enquêter sur un citoyen présentant des anomalies dans sa manière de consommer : il ne sort plus de chez lui, ne mange ni ne boit. Il n'a pas d'activités sexuelles. Et en ne consommant plus, il devient hors la loi. Au fil de l'enquête il se rend compte que l'homme s'identifie comme un vampire. Il est allé jusqu'à modifier son corps pour correspondre à son fantasme.

Il s'est donc fait inoculer qui a rendu ses enzymes déficientes afin d'avoir besoin de sang pour survivre. A cause de ça il ne peut plus s'exposer au soleil sinon il commence à sécréter une substance toxique. Il a également procédé à une castration chimique car les vampires ne sont pas supposés avoir une libido. Un choix de détruire volontairement son corps pour correspondre à l'idée qu'il se fait de lui même. Forcément cette transidentité rappelle pas mal de problématiques contemporaines. Si s'inoculer cette maladie handicapante semble être complètement cinglé, le fait de se faire émasculer ou faire enlever toute la peau du bars pour se fabriquer un pénis n'est qu'un simulacre non fonctionnel handicapant. L'opération très très lourde et d'une brutalité absolue montrant au monde ce qu'est la soit disante liberté sexuelle. On n'a pas besoin de romans de science fiction ou de cyber punk. Ce roman en fait ne fait que pointer un miroir légèrement déformant seulement de la réalité. Le réel a rattrapé la fiction. L'histoire de Jewel Shuping a fait beaucoup de bruit. C'est une femme qui disait vouloir depuis l'enfance devenir aveugle. Et son psy l'a aidé en ce sens. Il l'a aidé à injecter des produits chimiques dans les yeux jusqu'à ce qu'elle perde définitivement la vue.

On entend les progressistes affirmer se battre pour 2 choses, à savoir les progrès sociaux et leur haine du capitalisme. Et si ces progressistes n'étaient pour rien dans ces changements sociaux? Et si ces changements étaient avant tout dus au progrès technique? Les progressistes font souvent cet amalgame entre avancées techniques et sociales pour s'attribuer des mérites des avancées technologiques. C'est la contradiction majeure chez ceux qui se prétendent anticapitalistes. Tous les progrès sociétaux qu'ils défendent ont été possibles grâce au capitalisme. La morale d'une société dépend avant tout de sa situation matérielle. Plus il y a de confort, plus on peut se permettre de faire de l'individualisme. Le système capitaliste créer ce confort matériel dont on ne profite pas équitablement. Se dire anticapitaliste quand on cherche à défendre une idéologie progressiste et les libertés individuelles c'est scier la branche sur laquelle on est assis. Les pays communistes ne sont pas connus pour leurs libertés individuelles. L'argument selon lequel tout conservateur voudrait revenir en arrière, voire au Moyen Age est évidemment un sophisme. Cette idée est d'autant plus stupide qu'on travaille bien plus aujourd'hui qu'au Moyen Age. Les historiens parlent de 215 jours de travail en moyenne aujourd'hui contre 150 au Moyen Age. Le propre du progressiste est d'être intégralement soumis au progrès technique et de se laisser dicter sa manière de penser au grès des nouvelles technologies. Cette confusion entre progrès technique et moral est savamment entretenue par les progressistes car ils partent de l'idée selon laquelle sans idée nouvelle, il n'y a pas de changement ni de progrès possible. Or dans les faits c'est précisément l'inverse.

Ce sont les changements et les progrès dus à la technologie qui permettent l'émergence d'idées nouvelles et littéralement tous les progrès sociétaux de ces derniers siècles sont liés de près ou de loin au progrès technique ou industriel. On peut penser à l'abolition de l'esclavage. Si elle a pu prendre place dans le réel c'est parce que l'industrie a pu remplacer le travail des esclaves de manière beaucoup plus efficace. On entend souvent l'argument des congés payés, la grande fierté des progressistes. Sauf que le but ici c'était de faire tourner le commerce, de développer le tourisme. Bref cela répondait à une logique marchande. De même ce sont les avancées techniques qui ont permis l'amélioration de l'agriculture, de la médecine, de l'industrie c'est à dire des éléments qui ont contribué à allonger la durée de vie de l'être humain et forcément si les gens vivent 2 à 3 fois plus longtemps qu'avant, cela change radicalement la manière de la société de fonctionner. Le capitalisme avait tout à gagner à démocratiser ces avancées. Il est amoral et son but n'est ni de faire le mal ou le bien, c'est de faire du profit. Il se greffe donc naturellement à toute idéologie qui peut aller dans ce sens. Le meilleur exemple pour démontrer ça est peut être le droit des femmes parce que bien des choses au niveau du droit des femmes notamment leur entrée sur le marché du travail a été permis par le capitalisme car cela répondait à une logique de marché. Il s'agissait de venir concurrencer la main d'oeuvre masculine. L'idée même d'émancipation est liée à la logique capitaliste ce qui est assez comique parce que féminisme et anticapitalisme vont souvent de pair alors que le capitalisme a permis " l'émancipation " des femmes. En luttant contre le capitalisme, les féministes scient la branche sur laquelle elles sont assises.

La libération des femmes est aussi la libération sexuelle qui est à mettre sur le compte non pas des progressistes mais des avancées techniques, contraception et avortement. Mais la libération sexuelle c'est aussi une nouvelle forme d'asservissement de la femme. Parce que oui crée d'autres formes de dérives et d'asservissement de la femme en l'objectifiant. C'est paradoxal parce que oui, le capitalisme a servi la femme sur certains aspects mais c'est aussi la civilisation industrielle qui a permis aux femmes de s'émanciper : progrès technique et droits des femmes sont intimement liés au développement du tertiaire et de l'électroménager qui ont eu un rôle énorme dans l'émancipation de la femme. Voilà pourquoi le droit des femmes est fragile et dépendant d'un certain niveau de richesses. Dans un monde disons violent et pauvre, dans un monde en guerre, il est beaucoup plus difficile à assurer cela. On l'a vu lors de la guerre Russie Ukraine lorsqu'en quelques semaines, les hommes et les femmes avaient repris leur rôle naturel. Bien sûr les luttes sociales ne sont pas pour rien mais c'est avant tout le progrès technique, l'industrialisation et le capitalisme qui ont permis ces avancées. C'est avant tout la technologie qui transforme le monde, pas les idées. La politique et la morale ne créent rien. C'est la technologie qui façonne les moeurs. Le revenu universel, le salaire à vie, on pourrait situer son origine au XVIème siècle avec un texte de Thomas Moore qui décrivait un monde utopique où chacun gagnerait sa vie sans avoir à travailler. Le texte s'appelle : " L'utopie. " Dans ce cas là et c'est une exception qui confirme la règle, l'idée a effectivement précédé le progrès. Le texte de Thomas More est un texte proto communiste qui critique beaucoup la propriété privée et qui se base sur l'organisation de la société, pas sur les apports techniques, pour proposer un monde idéal. Or son utopie c'est quelque chose qui appartient au monde des idées.

Là, l'idée a précédé le réel. Lorsqu'il s'agit d'avoir des idées, les progressistes savent faire. Mais lorsqu'il s'agit de mettre en oeuvre les moyens techniques pour réaliser ces progrès, il n'y a plus personne. Le progressiste préfère le monde des idées et il déteste le réel car pour rendre réel une idée comme le salaire universel, il faut bien des avancées techniques pour que l'être humain puisse être remplacé. Pour cela il faut nécessairement passer par l'étape du travail acharné qui conduira à l'élaboration de ces technologies. Donc là même le progrès social est dépendant du progrès technique et pour arriver à ce salaire universel ce n'est pas l'utopie qui permettra d'y arriver mais paradoxalement le capitalisme. Le livre de More cherche à faire le bonheur de toute société humaine Il y a un autre livre qui étale une société dont la recherche du bonheur à tout prix a rendu cauchemardesque. Ce livre c'est " Bonheur TM " de Jean Baret. C'est un roman de cyberpunk mais qui va évacuer l'un des ingrédients phares du genre, c'est à dire l'idée d'inégalité. Dans le cyberpunk en général on a des ultra riches qui ont tout le pouvoir et des pauvres qui vivent dans des bas fonds. Ce n'est pas le cas dans ce roman vu qu'on a plutôt affaire à une classe moyenne gigantesque. En fait il n'y a plus tant d'inégalités entre riches et pauvres dans ce monde. Personne ne manque de rien et la consommation est même devenue obligatoire. Le travail du personnage principal consiste d'ailleurs à aller enquête sur les gens qui ne consomment pas assez et au cours de son enquête, le personnage principal va être amené à enquêter sur un citoyen présentant des anomalies dans sa manière de consommer : il ne sort plus de chez lui, ne mange ni ne boit. Il n'a pas d'activités sexuelles. Et en ne consommant plus, il devient hors la loi. Au fil de l'enquête il se rend compte que l'homme s'identifie comme un vampire. Il est allé jusqu'à modifier son corps pour correspondre à son fantasme.

Il s'est donc fait inoculer qui a rendu ses enzymes déficientes afin d'avoir besoin de sang pour survivre. A cause de ça il ne peut plus s'exposer au soleil sinon il commence à sécréter une substance toxique. Il a également procédé à une castration chimique car les vampires ne sont pas supposés avoir une libido. Un choix de détruire volontairement son corps pour correspondre à l'idée qu'il se fait de lui même. Forcément cette transidentité rappelle pas mal de problématiques contemporaines. Si s'inoculer cette maladie handicapante semble être complètement cinglé, le fait de se faire émasculer ou faire enlever toute la peau du bars pour se fabriquer un pénis n'est qu'un simulacre non fonctionnel handicapant. L'opération très très lourde et d'une brutalité absolue montrant au monde ce qu'est la soit disante liberté sexuelle. On n'a pas besoin de romans de science fiction ou de cyber punk. Ce roman en fait ne fait que pointer un miroir légèrement déformant seulement de la réalité. Le réel a rattrapé la fiction. L'histoire de Jewel Shuping a fait beaucoup de bruit. C'est une femme qui disait vouloir depuis l'enfance devenir aveugle. Et son psy l'a aidé en ce sens. Il l'a aidé à injecter des produits chimiques dans les yeux jusqu'à ce qu'elle perde définitivement la vue.

On en arrive au stade où le capitalisme freine le développement des forces productives vdd

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Auteur
MedecineMan
Date de création
3 septembre 2024 à 16:27:06
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